Briny a écritmoi je me souviens de cette série quoi que j'était encore petite,... je trouvais que l'histoire resemblais un peu a celle d,aurore
L'histoire était basé sur le Livre D'Élisa T.
Le négociateur
Modérateur : Elise-Gisèle
Pour les intéressés!!
Claude Poirier
Biographie
Claude Poirier a grandi sur le Plateau Mont-Royal à Montréal. De son enfance, on sait peu de choses, sinon qu’il a été enfant de chœur et qu’avec la coiffure en boudins qu’il arborait à l’époque, rien dans son allure ne semblait le prédestiner à la carrière particulière qui allait prendre toute la place dans sa vie.
La carrière de ce reporter chroniqueur analyste commentateur (!) a débuté à une date bien précise : le 11 août 1960. Claude Poirier, qui a alors 21 ans, est témoin d’un vol à main armée à la Caisse populaire du Sault-au-Récollet, au coin des rues Henri-Bourassa et Papineau à Montréal. Il se rend alors dans une cabine téléphonique et appelle à CJMS pour rapporter la nouvelle, dans le cadre d’un concours de la meilleure nouvelle de la semaine. Au bout du fil, on le fait patienter quelques minutes puis on lui demande de rapporter en direct à l’antenne ce qu’il vient de voir. C’est son premier reportage radiophonique. Le lendemain, il se présente à la station de radio pour offrir ses services. Comme on ne peut pas le payer, il offre à CJMS de travailler six mois sans salaire. Ainsi débute sa carrière de reporter judiciaire.
En 1964, Claude Poirier se joint à la station de télévision Télé-Métropole. Sa présence au petit écran va contribuer à le faire connaître et reconnaître du public en général.
Début des années 70. Quelques hommes recherchés pour meurtre font appel à Claude Poirier afin qu’il les aide à se livrer à la police. L’histoire se répète lorsqu’arrive, à la même époque, la série d’enlèvements des employés de banque où les criminels font de nouveau appel au journaliste. Une nouvelle carrière parallèle se dessine alors pour Claude Poirier : celle de négociateur. À ce jour (2004), M. Poirier a été impliqué dans 43 prises d’otages et enlèvements. De plus, il a aidé 175 criminels – la plupart étant recherchés pour meurtre - à se livrer à la police.
Plusieurs événements ont marqué l’homme et sa carrière.
• En octobre 1970, Claude Poirier était présent lors de la découverte du corps de Pierre Laporte à l’intérieur du coffre d’une voiture.
• Le 1er septembre 1972, il a été témoin d’une horreur qui l’a marqué à jamais lors de l’incendie du bar Blue Bird à Montréal où 37 personnes ont péri et quarante autres ont été blessées.
• Toujours dans les années 70, M. Poirier a également été témoin du suicide par balle de Robert Brown dans un motel. Ce dernier allait se faire arrêter pour enlèvement et ne voulait pas retourner en prison.
• Le 11 juin 1973, Claude Poirier a sauvé la vie de plusieurs personnes prises en otage dans la célèbre affaire de l’Institut Philippe-Pinel. Il s’est substitué aux otages et est parti en voiture avec Normand Champagne, un dangereux psychopathe qui lui a tenu un couteau sur la gorge. Quelques heures plus tard, leur voiture a été encerclée par la police et la filature s’est terminée abruptement. Le 17 février 1975, deux voleurs tenant en otage 5 personnes à la pointe de leurs armes dans une station-service se sont remis à Claude Poirier afin qu’il les conduise dans un poste de police.
Les deux derniers événements mentionnés ont d’ailleurs valu à M. Poirier de recevoir, en 1977, une Médaille de la bravoure du Gouvernement du Canada. Il a également reçu, pour différents événements, 5 citations d’honneur du Gouvernement du Québec.
M. Poirier a connu Richard Blass et rencontré Jacques Mesrine, un mois avant sa mort.
De 1968 à 1974, il a couvert de nombreux troubles raciaux à Détroit, Chicago, Los Angeles et New York. Il a également couvert les assassinats de John F. Kennedy à Dallas en 1963, de son frère Robert Kennedy à Los Angeles en 1968 ainsi que celui de Martin Luther King, deux mois plus tôt, à Memphis.
Toujours dans les années 70, M. Poirier a collaboré à l’entraînement d’agents du FBI à Quantico en Viginie.
Il a visité les quartiers généraux du FBI à Washington DC, de la CIA à Langley en Virginie, d’Interpol à Paris et de Scotland Yard à Londres, la prison de la Cité de la santé à Paris ainsi que plus de vingt pénitenciers aux États-Unis dont St Quentin et Alcatraz en Californie.
Aujourd’hui, avec 44 ans de métier dans le domaine judiciaire, il est le doyen de sa profession. Oeuvrant désormais davantage comme analyste et commentateur, on peut le voir, l’entendre et le lire dans différents médias. Il collabore à des journaux et magazines. À Cool FM 98,5 et à CKOI FM 96,9, il commente l’actualité judiciaire; à LCN, il produit les chroniques 10-4; enfin, à TVA, il rapporte l’actualité policière au bulletin de nouvelles Le 17 heures.
TVA présente en ce moment la série Le négociateur, s’inspirant d’événements réels vécus par M. Claude Poirier et pour laquelle il a agi à titre de consultant.
http://tva.canoe.com/vosvedettes/biographie/269.html
Claude Poirier
Biographie
Claude Poirier a grandi sur le Plateau Mont-Royal à Montréal. De son enfance, on sait peu de choses, sinon qu’il a été enfant de chœur et qu’avec la coiffure en boudins qu’il arborait à l’époque, rien dans son allure ne semblait le prédestiner à la carrière particulière qui allait prendre toute la place dans sa vie.
La carrière de ce reporter chroniqueur analyste commentateur (!) a débuté à une date bien précise : le 11 août 1960. Claude Poirier, qui a alors 21 ans, est témoin d’un vol à main armée à la Caisse populaire du Sault-au-Récollet, au coin des rues Henri-Bourassa et Papineau à Montréal. Il se rend alors dans une cabine téléphonique et appelle à CJMS pour rapporter la nouvelle, dans le cadre d’un concours de la meilleure nouvelle de la semaine. Au bout du fil, on le fait patienter quelques minutes puis on lui demande de rapporter en direct à l’antenne ce qu’il vient de voir. C’est son premier reportage radiophonique. Le lendemain, il se présente à la station de radio pour offrir ses services. Comme on ne peut pas le payer, il offre à CJMS de travailler six mois sans salaire. Ainsi débute sa carrière de reporter judiciaire.
En 1964, Claude Poirier se joint à la station de télévision Télé-Métropole. Sa présence au petit écran va contribuer à le faire connaître et reconnaître du public en général.
Début des années 70. Quelques hommes recherchés pour meurtre font appel à Claude Poirier afin qu’il les aide à se livrer à la police. L’histoire se répète lorsqu’arrive, à la même époque, la série d’enlèvements des employés de banque où les criminels font de nouveau appel au journaliste. Une nouvelle carrière parallèle se dessine alors pour Claude Poirier : celle de négociateur. À ce jour (2004), M. Poirier a été impliqué dans 43 prises d’otages et enlèvements. De plus, il a aidé 175 criminels – la plupart étant recherchés pour meurtre - à se livrer à la police.
Plusieurs événements ont marqué l’homme et sa carrière.
• En octobre 1970, Claude Poirier était présent lors de la découverte du corps de Pierre Laporte à l’intérieur du coffre d’une voiture.
• Le 1er septembre 1972, il a été témoin d’une horreur qui l’a marqué à jamais lors de l’incendie du bar Blue Bird à Montréal où 37 personnes ont péri et quarante autres ont été blessées.
• Toujours dans les années 70, M. Poirier a également été témoin du suicide par balle de Robert Brown dans un motel. Ce dernier allait se faire arrêter pour enlèvement et ne voulait pas retourner en prison.
• Le 11 juin 1973, Claude Poirier a sauvé la vie de plusieurs personnes prises en otage dans la célèbre affaire de l’Institut Philippe-Pinel. Il s’est substitué aux otages et est parti en voiture avec Normand Champagne, un dangereux psychopathe qui lui a tenu un couteau sur la gorge. Quelques heures plus tard, leur voiture a été encerclée par la police et la filature s’est terminée abruptement. Le 17 février 1975, deux voleurs tenant en otage 5 personnes à la pointe de leurs armes dans une station-service se sont remis à Claude Poirier afin qu’il les conduise dans un poste de police.
Les deux derniers événements mentionnés ont d’ailleurs valu à M. Poirier de recevoir, en 1977, une Médaille de la bravoure du Gouvernement du Canada. Il a également reçu, pour différents événements, 5 citations d’honneur du Gouvernement du Québec.
M. Poirier a connu Richard Blass et rencontré Jacques Mesrine, un mois avant sa mort.
De 1968 à 1974, il a couvert de nombreux troubles raciaux à Détroit, Chicago, Los Angeles et New York. Il a également couvert les assassinats de John F. Kennedy à Dallas en 1963, de son frère Robert Kennedy à Los Angeles en 1968 ainsi que celui de Martin Luther King, deux mois plus tôt, à Memphis.
Toujours dans les années 70, M. Poirier a collaboré à l’entraînement d’agents du FBI à Quantico en Viginie.
Il a visité les quartiers généraux du FBI à Washington DC, de la CIA à Langley en Virginie, d’Interpol à Paris et de Scotland Yard à Londres, la prison de la Cité de la santé à Paris ainsi que plus de vingt pénitenciers aux États-Unis dont St Quentin et Alcatraz en Californie.
Aujourd’hui, avec 44 ans de métier dans le domaine judiciaire, il est le doyen de sa profession. Oeuvrant désormais davantage comme analyste et commentateur, on peut le voir, l’entendre et le lire dans différents médias. Il collabore à des journaux et magazines. À Cool FM 98,5 et à CKOI FM 96,9, il commente l’actualité judiciaire; à LCN, il produit les chroniques 10-4; enfin, à TVA, il rapporte l’actualité policière au bulletin de nouvelles Le 17 heures.
TVA présente en ce moment la série Le négociateur, s’inspirant d’événements réels vécus par M. Claude Poirier et pour laquelle il a agi à titre de consultant.
http://tva.canoe.com/vosvedettes/biographie/269.html
Propriétaire de 3 enfants de 15, 16 et 19 ans. Négociable pour en vendre un ou deux. Payable en vin.
Télévision - Négociation serrée
Réalisé au coût de 672 000 $ l'heure, Le Négociateur, qui compte huit épisodes, a représenté une occasion en or pour certains créateurs
Paul Cauchon
Édition du samedi 15 et du dimanche 16 janvier 2005
Mots clés : Québec (province), Justice, Faits divers, télésérie, télévision
La passion pour les faits divers et les grandes affaires criminelles est insatiable. Le Négociateur devrait donc frapper fort auprès des téléspectateurs... d'autant plus que la série est un véritable thriller, qui a le don de nous river à nos fauteuils.
Version pour imprimer
Faire suivre ...
Réactions
Droit de reproduction
Textes associés
À voir à la télévision le lundi 17 janvier - Croisade contre le sexe
(15.01.2005)
À voir à la télévision le samedi 15 janvier - Un personnage hors du commun
(15.01.2005)
À voir à la télévision le mardi 18 janvier - Pouvoir blanc, pouvoir noir
(15.01.2005)
À voir à la télévision le dimanche 16 janvier - Hollywood Party
(15.01.2005)
Théâtre - Le peintre des madones
(15.01.2005)
Dossier(s)
Justice
Télévision
Ce projet du producteur Vincent Gabriele a mis un certain temps à se réaliser : il était en chantier depuis trois ans. Pour le public, une certaine confusion subsistera peut-être : est-ce vraiment la vie du journaliste et chroniqueur judiciaire Claude Poirier ?
La réponse n'est pas évidente. Le Négociateur, c'est l'histoire d'un jeune journaliste débutant et ambitieux qui, dans les années 70, finit par agir comme intermédiaire entre les corps policiers et les criminels, à la demande de ces derniers.
La série s'inspire «librement» des expériences réelles de Claude Poirier, qui a suivi le tournage de près, agissant comme consultant. Mais l'auteure Danielle Dansereau a brodé autour des histoires réelles, inventant une famille imaginaire à son personnage principal, Michel-André «Mac» Cloutier. Donc, il ne faudra pas considérer Le Négociateur comme une biographie de Poirier. Dans la série, on a changé les noms de lieux réels : par exemple, Mac Cloutier travaille à la station de radio CJKM, le pénitencier ne s'appelle pas Saint-Vincent-de-Paul ou Bordeaux mais Montélimar. Par contre, certains personnages sont vraiment directement liés à la réalité. Ainsi, les deux premiers épisodes racontent les relations troubles entre le jeune journaliste et le criminel le plus recherché de l'époque, le «Chat», qui est directement inspiré de la vie et du comportement de Richard Blass. Le Chat, un bum brillant, baveux et très dangereux, est interprété de façon étonnante par le chanteur Éric Lapointe, qui a beaucoup de charisme : on y croit du début à la fin !
La série est dure, intense, dramatique, et l'on y sent bien l'atmosphère des années 70, avec ces tavernes de l'est de Montréal, ces grosses voitures dans les rues et les relations troubles entre policiers, criminels et journalistes. La police ne s'était pas encore complètement professionnalisée et n'avait pas encore formé ses propres négociateurs. Des criminels mal pris, qui craignaient, non sans raison, de se faire abattre à vue par les policiers, faisaient alors appel à un journaliste comme Claude Poirier pour tenter de leur négocier une sortie honorable.
«C'est justement ce qui m'a intéressée dans ce projet, explique au Devoir l'auteure Danielle Dansereau. Mac Cloutier est un personnage pris dans des dilemmes moraux. Son intervention peut sauver des vies, mais il lui faut toujours essayer de ne pas prendre parti, ni pour la police ni pour les criminels. Cela m'intéressait de voir le mauvais dans le bon et le bon dans le mauvais.»
Danielle Dansereau a mis dans la bouche d'un photographe d'affaires criminelles (Julien Poulin) le sens même de la série : «La règle numéro 1, dit-il, c'est que rien n'est jamais noir et rien n'est jamais blanc [...] Ma place, c'est d'être exactement au milieu, dans le gris.»
Le personnage principal est interprété correctement par Frédérick de Grandpré, mais certains personnages secondaires frappent l'imagination, dont au premier chef les parents de Cloutier, interprétés par Pauline Martin et Serge Thériault.
Réalisé au coût de 672 000 $ l'heure, Le Négociateur, qui compte huit épisodes, a représenté une occasion en or pour certains créateurs : c'est la première réalisation solo de Sylvain Archambault et la première écriture solo de Danielle Dansereau, qui a participé à l'écriture de séries comme Tribu.com, Diva, Watatatow, ainsi qu'à celle de séries pour enfants. Danielle Dansereau écrit actuellement une éventuelle suite pour l'année prochaine.
Le Négociateur, TVA, début le lundi
Réalisé au coût de 672 000 $ l'heure, Le Négociateur, qui compte huit épisodes, a représenté une occasion en or pour certains créateurs
Paul Cauchon
Édition du samedi 15 et du dimanche 16 janvier 2005
Mots clés : Québec (province), Justice, Faits divers, télésérie, télévision
La passion pour les faits divers et les grandes affaires criminelles est insatiable. Le Négociateur devrait donc frapper fort auprès des téléspectateurs... d'autant plus que la série est un véritable thriller, qui a le don de nous river à nos fauteuils.
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La réponse n'est pas évidente. Le Négociateur, c'est l'histoire d'un jeune journaliste débutant et ambitieux qui, dans les années 70, finit par agir comme intermédiaire entre les corps policiers et les criminels, à la demande de ces derniers.
La série s'inspire «librement» des expériences réelles de Claude Poirier, qui a suivi le tournage de près, agissant comme consultant. Mais l'auteure Danielle Dansereau a brodé autour des histoires réelles, inventant une famille imaginaire à son personnage principal, Michel-André «Mac» Cloutier. Donc, il ne faudra pas considérer Le Négociateur comme une biographie de Poirier. Dans la série, on a changé les noms de lieux réels : par exemple, Mac Cloutier travaille à la station de radio CJKM, le pénitencier ne s'appelle pas Saint-Vincent-de-Paul ou Bordeaux mais Montélimar. Par contre, certains personnages sont vraiment directement liés à la réalité. Ainsi, les deux premiers épisodes racontent les relations troubles entre le jeune journaliste et le criminel le plus recherché de l'époque, le «Chat», qui est directement inspiré de la vie et du comportement de Richard Blass. Le Chat, un bum brillant, baveux et très dangereux, est interprété de façon étonnante par le chanteur Éric Lapointe, qui a beaucoup de charisme : on y croit du début à la fin !
La série est dure, intense, dramatique, et l'on y sent bien l'atmosphère des années 70, avec ces tavernes de l'est de Montréal, ces grosses voitures dans les rues et les relations troubles entre policiers, criminels et journalistes. La police ne s'était pas encore complètement professionnalisée et n'avait pas encore formé ses propres négociateurs. Des criminels mal pris, qui craignaient, non sans raison, de se faire abattre à vue par les policiers, faisaient alors appel à un journaliste comme Claude Poirier pour tenter de leur négocier une sortie honorable.
«C'est justement ce qui m'a intéressée dans ce projet, explique au Devoir l'auteure Danielle Dansereau. Mac Cloutier est un personnage pris dans des dilemmes moraux. Son intervention peut sauver des vies, mais il lui faut toujours essayer de ne pas prendre parti, ni pour la police ni pour les criminels. Cela m'intéressait de voir le mauvais dans le bon et le bon dans le mauvais.»
Danielle Dansereau a mis dans la bouche d'un photographe d'affaires criminelles (Julien Poulin) le sens même de la série : «La règle numéro 1, dit-il, c'est que rien n'est jamais noir et rien n'est jamais blanc [...] Ma place, c'est d'être exactement au milieu, dans le gris.»
Le personnage principal est interprété correctement par Frédérick de Grandpré, mais certains personnages secondaires frappent l'imagination, dont au premier chef les parents de Cloutier, interprétés par Pauline Martin et Serge Thériault.
Réalisé au coût de 672 000 $ l'heure, Le Négociateur, qui compte huit épisodes, a représenté une occasion en or pour certains créateurs : c'est la première réalisation solo de Sylvain Archambault et la première écriture solo de Danielle Dansereau, qui a participé à l'écriture de séries comme Tribu.com, Diva, Watatatow, ainsi qu'à celle de séries pour enfants. Danielle Dansereau écrit actuellement une éventuelle suite pour l'année prochaine.
Le Négociateur, TVA, début le lundi
Joannie a écritMerci Voyeur! On rit pu, $672,000 l'heure. Ça va prendre des bons commanditaires .
C'est vrai que les comédiens sont super bons. J'ai bien aimé Pauline Martin; sauf dans Virginie, on ne la voit pas tellement.
Ils rentrent déjà dans leur frais
Dire que Detect Inc a couté le double par épisode
C'est vrai que les comédiens sont super bons. J'ai bien aimé Pauline Martin; sauf dans Virginie, on ne la voit pas tellement.
Ils rentrent déjà dans leur frais
Dire que Detect Inc a couté le double par épisode
C'est bobépine ou bépine SVP
Je l`ai écouté......j`ai pas accroché encore, peut-être la semaine prochaine.
Pour Eric Lapointe, il était pas mal dans son rôle. Mais j`ai remarqué qu`il avait la même face gluante que quand il a passé à Tout le monde en parle....Pauvre Eric va! Euhhh à moins qu`il sortait d`un enregistrement quand il a passé à Tout le monde en parle?
Pour Eric Lapointe, il était pas mal dans son rôle. Mais j`ai remarqué qu`il avait la même face gluante que quand il a passé à Tout le monde en parle....Pauvre Eric va! Euhhh à moins qu`il sortait d`un enregistrement quand il a passé à Tout le monde en parle?
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[color=#BF0040]** 11e Commandement de Dieu : Tu ne fumeras point ! **[/color] :( :/
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[color=#BF0040]** 11e Commandement de Dieu : Tu ne fumeras point ! **[/color] :( :/
Hier j'ai entendu Frédéric De Grandpré à l'émission de Erik Rémy et il disait que contrairement à ce que l'on peut penser, Eric Lapointe a été très très professionnel. Il écoutait à la lettre les directions, il arrivait toujours à l'avance sur les plateaux et il était toujours prêt et préparer pour le travail qu'il avait à faire. Et il était TOUJOURS sobre. Apparemment qu'il est d'un très grand professionnalisme.
J'étais vraiment pas surprise d'entendre ça car on le voit très souvent dans des émissions. A chaque fois qu'il y a une émission spéciale, Eric est là, donc s'il était toujours sur le party il ne pourrait pas faire tout ce qu'il fait. Je ne sais pas si je me trompe mais il a été le chanteur qui a fait le plus de chanson dans les 5 dernières années. Pensez-y, y'a toujours des nouvelles tounes de lui à la radio etc.
J'étais vraiment pas surprise d'entendre ça car on le voit très souvent dans des émissions. A chaque fois qu'il y a une émission spéciale, Eric est là, donc s'il était toujours sur le party il ne pourrait pas faire tout ce qu'il fait. Je ne sais pas si je me trompe mais il a été le chanteur qui a fait le plus de chanson dans les 5 dernières années. Pensez-y, y'a toujours des nouvelles tounes de lui à la radio etc.
Marylin a écritMoi je suis sûre que Éric Lapointe c'est un genre qui se donne .Il peut prendre de la bière mais pas en quantité industriel.Il pourrait pas faire tout ce qui fait impossible.Bravo Éric pour tout ce que tu accomplis
J'pense pas que c'est un genre qui se donne...je crois qu'il est comme ça...et c'est sa personnalité... Ça ne veux pas dire qu'il est mauvais ou méchant pour ça...tu peux avoir l'air d'un bum et être très professionnel...
Tu ne peux pas toujours te donner un genre...pour faire parler le monde...y viens un temps que tu ne peux plus jouer ce rôle...et que tu redeviennes dans la vraie vie...Alors c'est pourquoi je pense qu'il est comme ça...Beau Bum...hi hi hi...
J'pense pas que c'est un genre qui se donne...je crois qu'il est comme ça...et c'est sa personnalité... Ça ne veux pas dire qu'il est mauvais ou méchant pour ça...tu peux avoir l'air d'un bum et être très professionnel...
Tu ne peux pas toujours te donner un genre...pour faire parler le monde...y viens un temps que tu ne peux plus jouer ce rôle...et que tu redeviennes dans la vraie vie...Alors c'est pourquoi je pense qu'il est comme ça...Beau Bum...hi hi hi...
Ça m'a pris quelques jours avant de venir faire mon petit commentaire mais je veux laisser ma griffe aussi.
J'ai vraiment aimé cette émission et je vais la suivre religieusement.
Ceux qui ont mon âge ont connu toute la carrière de Claude Poirier. Pendant un grand bout de temps, dans les années 70, on entendait parler de lui tous les jours à la radio. Il a été appelé tellement de fois comme intermédiaire entre les criminels et la police, c'était incroyable.
Je l'ai toujours admiré parce qu'il a vécu sa passion, même au péril de sa vie. Combien d'entre nous pourront en dire autant à son âge?
Et j'adore Férédéric De Grandpré.
J'ai vraiment aimé cette émission et je vais la suivre religieusement.
Ceux qui ont mon âge ont connu toute la carrière de Claude Poirier. Pendant un grand bout de temps, dans les années 70, on entendait parler de lui tous les jours à la radio. Il a été appelé tellement de fois comme intermédiaire entre les criminels et la police, c'était incroyable.
Je l'ai toujours admiré parce qu'il a vécu sa passion, même au péril de sa vie. Combien d'entre nous pourront en dire autant à son âge?
Et j'adore Férédéric De Grandpré.
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nicki a écritÇa m'a pris quelques jours avant de venir faire mon petit commentaire mais je veux laisser ma griffe aussi.
J'ai vraiment aimé cette émission et je vais la suivre religieusement.
Ceux qui ont mon âge ont connu toute la carrière de Claude Poirier. Pendant un grand bout de temps, dans les années 70, on entendait parler de lui tous les jours à la radio. Il a été appelé tellement de fois comme intermédiaire entre les criminels et la police, c'était incroyable.
Je l'ai toujours admiré parce qu'il a vécu sa passion, même au péril de sa vie. Combien d'entre nous pourront en dire autant à son âge?
Et j'adore Férédéric De Grandpré.
Je me permets de te citer car je partage ton opinion. J'aime beaucoup cette série. Et le beau bonhomme aussi. Claude Poirier a dit à la télé qu'il ferait des commentaires sur l'émission à tous les mardis, à l'émission de Pierre Bruneau, entre 17 h et 18 h, question de mettre les pendules à l'heure sur ce qui est vrai et ce qui relève de la fiction.
J'ai vraiment aimé cette émission et je vais la suivre religieusement.
Ceux qui ont mon âge ont connu toute la carrière de Claude Poirier. Pendant un grand bout de temps, dans les années 70, on entendait parler de lui tous les jours à la radio. Il a été appelé tellement de fois comme intermédiaire entre les criminels et la police, c'était incroyable.
Je l'ai toujours admiré parce qu'il a vécu sa passion, même au péril de sa vie. Combien d'entre nous pourront en dire autant à son âge?
Et j'adore Férédéric De Grandpré.
Je me permets de te citer car je partage ton opinion. J'aime beaucoup cette série. Et le beau bonhomme aussi. Claude Poirier a dit à la télé qu'il ferait des commentaires sur l'émission à tous les mardis, à l'émission de Pierre Bruneau, entre 17 h et 18 h, question de mettre les pendules à l'heure sur ce qui est vrai et ce qui relève de la fiction.
Ne prenez pas la vie trop au sérieux : personne n'en sort vivant, de toute façon!
nicki a écritÇa m'a pris quelques jours avant de venir faire mon petit commentaire mais je veux laisser ma griffe aussi.
J'ai vraiment aimé cette émission et je vais la suivre religieusement.
Ceux qui ont mon âge ont connu toute la carrière de Claude Poirier. Pendant un grand bout de temps, dans les années 70, on entendait parler de lui tous les jours à la radio. Il a été appelé tellement de fois comme intermédiaire entre les criminels et la police, c'était incroyable.
Je l'ai toujours admiré parce qu'il a vécu sa passion, même au péril de sa vie. Combien d'entre nous pourront en dire autant à son âge?
Et j'adore Férédéric De Grandpré. Je suis tout à fait d'accord avec toi - Claude Poirier est un personnage respectable et il a mis sa vie en péril plusieurs fois.
Il a animé également l'émission 24/24 à la télé avec Richard Desmarais.
Et Frédéric De Grandpré joue bien le rôle qu'ils lui ont attribué.
J'ai vraiment aimé cette émission et je vais la suivre religieusement.
Ceux qui ont mon âge ont connu toute la carrière de Claude Poirier. Pendant un grand bout de temps, dans les années 70, on entendait parler de lui tous les jours à la radio. Il a été appelé tellement de fois comme intermédiaire entre les criminels et la police, c'était incroyable.
Je l'ai toujours admiré parce qu'il a vécu sa passion, même au péril de sa vie. Combien d'entre nous pourront en dire autant à son âge?
Et j'adore Férédéric De Grandpré. Je suis tout à fait d'accord avec toi - Claude Poirier est un personnage respectable et il a mis sa vie en péril plusieurs fois.
Il a animé également l'émission 24/24 à la télé avec Richard Desmarais.
Et Frédéric De Grandpré joue bien le rôle qu'ils lui ont attribué.
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loft_great
- Intronisé au Panthéon
- Messages : 292677
- Inscription : mer. nov. 12, 2003 1:00 am
Illusion a écritHier j'ai entendu Frédéric De Grandpré à l'émission de Erik Rémy et il disait que contrairement à ce que l'on peut penser, Eric Lapointe a été très très professionnel. Il écoutait à la lettre les directions, il arrivait toujours à l'avance sur les plateaux et il était toujours prêt et préparer pour le travail qu'il avait à faire. Et il était TOUJOURS sobre. Apparemment qu'il est d'un très grand professionnalisme.
J'étais vraiment pas surprise d'entendre ça car on le voit très souvent dans des émissions. A chaque fois qu'il y a une émission spéciale, Eric est là, donc s'il était toujours sur le party il ne pourrait pas faire tout ce qu'il fait. Je ne sais pas si je me trompe mais il a été le chanteur qui a fait le plus de chanson dans les 5 dernières années. Pensez-y, y'a toujours des nouvelles tounes de lui à la radio etc.
C'est vrai qu'il se donne beaucoup a sa carrière et je crois qu'il n'est pas pret de tomber dans l'oubli de si tot.Yé vraiment bon --Message edité par loft_great le 2005-01-22 14:45:57--
J'étais vraiment pas surprise d'entendre ça car on le voit très souvent dans des émissions. A chaque fois qu'il y a une émission spéciale, Eric est là, donc s'il était toujours sur le party il ne pourrait pas faire tout ce qu'il fait. Je ne sais pas si je me trompe mais il a été le chanteur qui a fait le plus de chanson dans les 5 dernières années. Pensez-y, y'a toujours des nouvelles tounes de lui à la radio etc.
C'est vrai qu'il se donne beaucoup a sa carrière et je crois qu'il n'est pas pret de tomber dans l'oubli de si tot.Yé vraiment bon --Message edité par loft_great le 2005-01-22 14:45:57--
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Lucky Luke
- Immortel du Domaine
- Messages : 14394
- Inscription : mer. nov. 26, 2003 1:00 am
Finalement, d'un bord comme de l'autre, du côté des bandits et de la police, sont autant une gang de malade, de tueur. Y'en a qui sont légals, pis d'autres pas, mais ce sont tous une gang de trous d'cul!
Ca me révolte de voir des cochonneries comme ça. C'est sûr que "LE Chat" était un dangereux criminel, un espèce de malade, mais c'était pas une raison pour l'abattre comme ça. Pareil comme dans le temps des cow-boys qui pendait à un arbre n'importe qui à un arbre. L'humain n'évoluera jamais!
Ca me révolte de voir des cochonneries comme ça. C'est sûr que "LE Chat" était un dangereux criminel, un espèce de malade, mais c'était pas une raison pour l'abattre comme ça. Pareil comme dans le temps des cow-boys qui pendait à un arbre n'importe qui à un arbre. L'humain n'évoluera jamais!