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Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : lun. août 17, 2009 1:24 pm
par .anthurium.
La campagne n'est pas encore commencée. C'est demain la date limite du dépôt des milles signatures réparties dans les 12 régions administratives du Québec avec un minimum de 60 signature par région. Après on pourra dire qui est vraiment candidats et tout pourra commencer les débats et tout le tralala
Je ne sais pas si vous êtes comme moi mais je n'ai pas du tout écouté les nouvelles de l`été.
C'est tellement plate les nouvelles l'été, il ne se passe pas grand chose. Je pense que ça aurait été une erreur d'essayer de soulever des débats en été alors qu'il y a tellement autre chose à faire qu'écouté la télé et on a besoin de décrocher de la routine et des affaires sérieuses.
Gardons les débats pour l'automne
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : jeu. août 20, 2009 3:20 pm
par .anthurium.
ADQ: Eric Caire propose une importante hausse des frais de scolarité
Par Rémi Nadeau, LA PRESSE CANADIENNE
à 14h20 HAE, le 20 août 2009.
QUEBEC - Le candidat à la direction de l'Action démocratique, Eric Caire, propose une importante hausse des frais de scolarité au Québec.
En dévoilant une partie de son programme électoral jeudi à Québec, le député adéquiste de La Peltrie a émis le souhait que les tarifs québécois rattrapent la moyenne canadienne, ce qui implique des hausses pouvant atteindre 75 pour cent dans certaines disciplines.
Par exemple, le coût d'une année d'études universitaires en droit quadruplerait, passant de 1820 $ à 7221 $.
L'aspirant à la succession de Mario Dumont a indiqué que cet important rattrapage devrait s'échelonner sur quelques années, sans donner d'échéancier précis.
Avant d'augmenter les droits de scolarité de façon générale, M. Caire propose toutefois de mettre un terme à l'uniformité des frais, afin que la contribution de l'étudiant corresponde à 30 pour cent du coût de la formation.
Ainsi, les frais reliés à une année d'études dans un programme de sciences humaines, par exemple, seraient d'abord revus à la baisse, alors que des hausses seraient immédiatement appliquées dans le cas de formations plus coûteuses, notamment en médecine dentaire.
En conférence de presse, M. Caire a affirmé que ses propositions n'auraient pas pour conséquence de réduire l'accès aux universités, précisant qu'il suggérait aussi que les universités consacrent 30 pour cent des frais de scolarité perçus à des bourses aux étudiants.
Par ailleurs, le candidat Caire propose toujours l'abolition des commissions scolaires, afin de donner plus d'autonomie aux écoles, ainsi que la mise au rancart de la réforme scolaire.
Puis, pour contrer la pénurie de professeurs, il suggère de permettre aux bacheliers d'accéder à la profession d'enseignant en complétant un certificat en pédagogie d'un an.
Selon le député adéquiste, le Québec doit faire en sorte de réduire le taux de décrochage, particulièrement chez les garçons.
Les autres candidats à la direction de l'ADQ sont l'ex-député de Chauveau, Gilles Taillon; l'ex-député de Lévis, Christian Lévesque; et l'animateur de radio, Jean-François Plante.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : ven. août 21, 2009 7:24 am
par .anthurium.
jeudi 20 août 2009
Éric Caire s'attaque aux vaches sacrées du milieu de l'éducation
Il y a de quoi de totalement désolant lorsqu'on se met à lire sur le milieu de l'éducation.
Le décrochage a augmenté sous les libéraux (de 26% à 29%)
Le décrochage chez les garçons est de 36%!
La réforme, qui devait aider les élèves en difficulté, est le plus grand mensonge du système de l'éducation
Les élèves des écoles françaises sur l'île de Montréal ont plus de chances de réussir que les élèves qui fréquentent des écoles anglaises. Misère...
Les professeurs sont épuisés et décrochent eux-mêmes!
Cet héritage, nous le devons à ceux qui ont construit, mais pire, à ceux qui maintiennent le modèle québécois en éducation. Nous le devons aussi au fait que l'enjeu de l'éducation est plus souvent qu'autrement relégué à l'arrière-plan des priorités au Québec.
Avec une population vieillissante et la plus importante cohorte qui arrivera bientôt à la retraite, il est normal que des enjeux comme le système de santé, les soins de longue durée, l'accès à un médecin de famille soient des sujets dont on traitera davantage dans les médias.
Mais l'avenir, ce sont nos jeunes. Et les jeunes familles le savent. On le voit à l'attention que les parents mettent aux devoirs de leurs jeunes, on le voit aux sacrifices que plusieurs d'entre eux font lorsqu'ils choisissent de sacrifier des petites gâteries pour payer des écoles privées. Ils veulent ce qu'il y a de mieux pour leurs enfants. Ils veulent un environnement sécuritaire, un encadrement, des professeurs qualifiés, motivés et stimulants pour leurs enfants. Des grands-parents d'aujourd'hui vont même jusqu'à contribuer des sous pour que leurs petits-enfants aient accès à des écoles privées qui feront d'eux des élèves bilingues au sortir du primaire ou du secondaire.
Dites-moi. Y a-t-il une raison pour laquelle tous les Québécois n'auraient pas accès au même service? Quand on a un fardeau fiscal aussi élevé, pourquoi les parents devraient-ils payer deux fois pour l'éducation ? Une fois pour les écoles publiques qui ne livrent pas la marchandise, et une 2e fois pour une école privée? Quand on sait que la prospérité future du Québec repose sur l'éducation, comment peut-on laisser aller ça sans s'émouvoir? C'est suicidaire.
La raison est simple: le milieu de l'éducation est miné par un ensemble de vaches sacrées qu'il est temps d'abattre. J'ai beaucoup lu sur le sujet dans la dernière année: des livres écrits par des enseignants, des rapports et des études. Les études et les rapports, ça ne manque pas au Québec! Ce qui manque, c'est encore une fois le courage d'énoncer les tabous et d'agir.
L'Équipe Éric Caire en est là.
À la vache sacrée de la réforme et au culte du socioconstructivisme, elle propose la fin de la réforme, une révision des programmes et une révision de la formation des maîtres. Il est grand temps de nous rassurer: on veut revenir aux matières de base, on veut pouvoir évaluer ce qu'apprennent nos enfants et on veut savoir si notre direction d'école fait ce qu'il faut pour que tous les enfants y trouvent leur compte - et j'ajouterais, surtout nos garçons!
À la toute-puissance des fonctionnaires du ministère de l'Éducation, elle propose l'autonomie des écoles et le respect de l'autonomie professionnelle des enseignants.
À l'unilinguisme et la peur de l'anglais, elle offre une ouverture sur le monde et le bilinguisme à la fin du secondaire.
À la folie de l'intégration obligatoire qui finalement, nuit bien plus qu'elle n'aide les élèves en difficulté, elle soutiendra les projets-écoles et la communauté participante dans leur désir d'adapter les services aux besoins de leurs élèves.
Aux conventions collectives rigides qui se préoccupent davantage de la mobilité du personnel que de la stabilité des équipes-écoles, l'Équipe Éric Caire priorise la stabilité du personnel enseignant et la liberté des directions d'écoles d'embaucher et de congédier leur personnel - comme le font les écoles privées, d'ailleurs.
À la bureaucratie ministérielle et des commissions scolaires, l'ADQ avec Éric Caire aboutit à l'allégement des structures et une gouvernance qui se situe au niveau de l'école et non pas au niveau des commissions scolaires!
Enfin au gel des droits de scolarité universitaire, Éric Caire met fin aux discours électoralistes et idéologiques, ajuste les droits de scolarité et s'assure d'une aide financière plus ciblée pour les étudiants qui en ont réellement besoin.
Je pense que c'est un bon plan. Je pense aussi que les 700 000 électeurs qui n'ont pas voté ADQ la dernière fois devraient y regarder de plus près:
http://www.voirplusgrand.ca/" onclick="window.open(this.href);return false;
source: blogue de Johanne Marcotte
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : dim. août 23, 2009 8:58 pm
par .anthurium.
Publié le 23 août 2009 à 07h10 | Mis à jour à 13h44
Échanges musclés entre Caire et Lévesque
Avec un style agressif, Éric Caire (à droite) a reproché à Christian Lévesque d'avoir des propositions floues au sujet des droits de scolarité et de l'avenir politique du Québec.
Tommy Chouinard
La Presse
(Lévis) Éric Caire est tombé à bras raccourcis sur Christian Lévesque lors du premier débat des aspirants à la direction de l'ADQ aujourd'hui, à Lévis.
Avec un style agressif, le député de La Peltrie a reproché à M. Lévesque, ex-député de Lévis, d'avoir des propositions floues au sujet des droits de scolarité et de l'avenir politique du Québec. Il a interrompu son adversaire à plusieurs reprises, allant jusqu'à lui tapoter l'épaule pour lui signifier qu'il voulait la parole.
M. Caire propose une hausse substantielle des droits de scolarité, alors que M. Lévesque favorise une indexation au coût de la vie. Ce dernier juge que le débat sur l'avenir politique du Québec est dépassé, celui d'une autre génération. «Tu as la même stratégie du silence que Jean Charest, le même discours vide», a lancé Éric Caire, qui prône un «fédéralisme renouvelé», un système dans lequel le Québec aurait davantage d'autonomie. «Tu es un fédéraliste!» a répliqué Christian Lévesque.
Les deux hommes ont eu les échanges les plus vifs du débat. L'ancien numéro deux du parti, Gilles Taillon, a adopté un ton plus posé, insistant sur la nécessité de réformer l'État qui souffre «d'embonpoint». L'animateur de radio controversé Jean-François Plante n'a pas joué le trouble-fête, contrairement à ce que craignaient les organisateurs du parti. Il a défendu ses positions avec calme.
Toutefois, le président de l'élection, Pierre Éloi Talbot, étudie toujours le bulletin de candidature de M. Plante pour s'assurer de sa conformité aux règles de la course. Une annonce doit être faite demain.
Le président de la commission jeunesse de l'ADQ, Martin-Karl Bourbonnais, a annoncé son appui à Éric Caire. Son choix était fait avant même la tenue du premier débat entre les candidats à la direction.
Trois autres débats auront lieu d'ici le scrutin, qui se déroulera du 16 au 18 octobre
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : dim. août 23, 2009 9:08 pm
par .anthurium.
http://videos.lcn.canoe.ca/video/350490 ... t-plouffe/" onclick="window.open(this.href);return false;
Reportage sur le débat des jeunes adéquistes
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : lun. août 24, 2009 6:40 am
par Acrux
Merci .anthurium. !
J'aime beaucoup le fait qu'il recommencent à parler de la dette... Je voterais sans doute pour eux avec ce genre de propositions, mais c'est clair que le parti est voué à l'echec...
Les gens votent pour les pères noel... Pour faire ce qu'ils veulent faudrait qu'ils fassent comme les autres, promette n'importe quoi... Ensuite, contrairement aux autres, ils pourraient travailler de façon responsables étant élu...
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : lun. août 24, 2009 3:49 pm
par .anthurium.
Denis Julien viens parler avec Jeff Fillion des propositions d'Éric Caire en Éducation
http://www.radioego.com/ego/listen/2998" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : mar. août 25, 2009 2:19 pm
par Earendil
la candidature de jf plante aurait été refusé selon certains médias dont cyberpresse
une bonne chose de positif enfin pour l'adq et pour le quebec
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : mar. août 25, 2009 4:50 pm
par .anthurium.
Publié le 25 août 2009 à 11h43 | Mis à jour à 16h45
ADQ: la candidature de Jean-François Plante a été rejetée La Presse Canadienne
Montréal
La candidature de Jean-François Plante dans la course à la direction de l'Action démocratique du Québec (ADQ) a été rejetée, mais il pourrait toujours demander une révision judiciaire.
D'après M. Plante, son dossier de candidature comptait quelque 1200 signatures, alors qu'il lui en fallait 1000.
Mais au moins 60 signatures devaient provenir de chacune des 12 régions du Québec, et c'est là que l'animateur d'une radio Web a échoué, selon ce que le président d'élection de l'ADQ, l'avocat Pierre Eloi Talbot, a précisé mardi après-midi à Montréal.
Cinq des 12 régions établies par la constitution de la formation politique étaient ainsi sous-représentées.
Il n'est donc pas ici question de fausses signatures, selon Me Talbot.
M. Plante, lui, estime néanmoins que sa situation est conforme aux règles. Il a indiqué en entrevue que puisque sa candidature n'avait pas été rejetée à l'heure limite, lundi en fin de journée, il se considère comme un prétendant officiel à la direction de l'ADQ.
Les règles de la course, qui sont affichées dans le site Web de la formation, stipulent en effet qu'«au plus tard le 24 août 2009 à 17 heures, le président d'élection confirmera la liste des candidats dont les mises en candidature ont été reçues et acceptées».
Pierre Eloi Talbot a cependant indiqué que son équipe a respecté ce délai, car les candidatures des trois aspirants retenus - Eric Caire, Christian Lévesque et Gilles Taillon - ont toutes été confirmées avant qu'il ne vienne à échéance.
Estimant être la victime de plusieurs irrégularités depuis le début de la campagne, Jean-François Plante a fait parvenir une mise en demeure aux responsables de la course, mardi matin, exigeant qu'ils confirment sa candidature.
Il reste maintenant à voir s'il demandera une révision judiciaire.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : mer. août 26, 2009 3:13 pm
par .anthurium.
Publié le 26 août 2009 à 07h54 | Mis à jour à 07h55
De l'ADQ à l'ABQ?
André Pratte
La Presse
Lors du débat des candidats à la direction de l'Action démocratique du Québec, le député Éric Caire a soutenu que le parti se devait de «brasser la cage», d'être «à limite un petit peu baveux». Et M. Caire de faire une démonstration du style qu'il souhaite imprégner à l'ADQ en étant lui-même plus qu'un petit peu baveux à l'endroit d'un de ses rivaux, Christian Lévesque.
Une «Action baveuse du Québec», est-ce vraiment ce dont la province a besoin? Pendant quelques années, les Québécois ont apprécié le côté frondeur du parti de Mario Dumont, le fait qu'il osait s'attaquer à nos vaches sacrées. Quand est venu le temps des choses sérieuses, l'électorat a constaté que la formation n'était pas prête à gouverner, n'était même pas capable d'être une opposition sérieuse. C'est pourquoi l'ADQ se retrouve à la case départ. Selon le sondage CROP-La Presse publié ce matin, à peine 8% des Québécois voteraient ADQ si des élections avaient lieu ces jours-ci.
Brasser la cage? Les adéquistes semblent avoir du mal à secouer leur propre cage. Les propositions mises de l'avant par les candidats à la direction relèvent du copier-coller des anciens programmes du parti. Dans certains cas, l'ADQ a raison d'insister; on pense à la diminution de la dette. Dans d'autres, on comprend mal pourquoi les candidats s'entêtent à promouvoir des idées dont l'ADQ n'est pas parvenue à démontrer le bien-fondé; c'est le cas de l'abolition des commissions scolaires.
Le positionnement ambigu du parti au sujet de l'avenir politique du Québec continue de poser problème. Pendant le débat, M. Lévesque a accusé M. Caire d'être «fédéraliste». Est-ce censé être une insulte? Les adéquistes devront bien un jour admettre qu'être autonomiste sans être fédéraliste, ça n'a pas de sens. L'autonomie des états constituants, c'est un principe clé du fédéralisme. L'autonomie sans la fédération, c'est l'indépendance.
Y a-t-il au Québec de la place à droite du Parti libéral? Sans doute. Cette place est-elle grande ou petite? Plutôt petite si on en juge par les difficultés qu'a eues le gouvernement Charest pendant ses premières années. Chose certaine, toute formation qui défend des idées aussi controversées devra faire preuve d'une très grande rigueur. C'est là-dessus que devraient plancher les adéquistes au cours des prochains mois, à défaut de quoi ils se condamneront à la marginalité.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : mer. août 26, 2009 3:15 pm
par .anthurium.
De l'ADQ à l'ABQ: Joanne Marcotte répond à André Pratte
Bonjour Monsieur Pratte,
Ayant lu votre éditorial d'aujourd'hui, je me permets de vous offrir quelques éléments d'information qui peut-être vous feront nuancer vos propos portant sur l'attitude de Éric Caire au débat de dimanche dernier. Contrairement à plusieurs analystes qui se basent sur les propos des uns ou des autres - et je vois ici, sur les propos du candidat Gilles Taillon - j'y étais, à ce débat, comme plusieurs autres adéquistes.
Il est clair qu'Éric Caire a fait usage de combativité au débat. Mais la combativité était à l'endroit des idées. Si, à un moment donné, il a "touché l'épaule du candidat Lévesque", comme le raconte M. Taillon, c'était parce que Christian Lévesque lui tournait carrément le dos alors qu'ils étaient tous les deux en débat. Visiblement mal à l'aise de regarder Éric Caire dans les yeux, M. Lévesque a préféré carrément faire face à la salle, ce qui est, vous l'avouerez, un "petit peu baveux" aussi...
La langue de bois que vous déplorez régulièrement est en partie, on l'admettra, due à la dissection de la parole des politiciens par des journalistes et des éditorialistes tels que vous. Lorsque vous concluez que M. Caire voudrait une "Action baveuse du Québec", vous condamnez un discours qui s'exprime entre les membres d'une famille politique. Le contexte étant un Congrès des jeunes, il n'est pas difficile d'imaginer que le candidat Caire voulait encourager les jeunes à être des jeunes et encourager l'ADQ à continuer de ne pas avoir peur de dénoncer les tabous. Il est si facile de fabriquer un texte et de dégager une impression à partir d'une seule parole...
Lorsque vous concluez que "les propositions mises de l'avant par les candidats à la direction relèvent du copier-coller des anciens programmes du parti", je vous dirai que votre conclusion est peut-être un petit peu hâtive. S'il est peut-être légitime de penser cela de la plateforme de Gilles Taillon, je vous apprendrai (!) que M. Lévesque n'a pas encore fait part de sa vision, et que seule la plateforme en matière d'Éducation de Éric Caire est connue. Jugez-vous donc qu'il n'y a qu'un seul candidat valable dans cette course à la chefferie? À ce propos, Éric Caire n'a pas froid aux yeux et se montre beaucoup moins timide face aux programmes précédents de l'ADQ: ajustement graduel des droits de scolarité à la moyenne canadienne, liberté des directions d'écoles d'embaucher et de congédier leur personnel pour assurer la stabilité des équipes-écoles, revoir la formation des maîtres dans le but de rééquilibrer la part des connaissances vs. les aspects pédagogiques, etc. Si tout cela vous intéresse, je joins le cahier que l'Équipe Éric Caire a rendu disponible sur son site Internet.
Quant à l'ambiguïté autour du sujet de l'avenir politique du Québec, nous sommes d'accord. Mais encore là, j'ai entendu Éric Caire, au débat, clairement énoncer ce qui suit: "Il y a une chose qui est claire, c'est que l'avenir du Québec est à l'intérieur du Canada." Si des gens qui ont fait carrière sur la question constitutionnelle continuent d'obséder sur le mot "fédéraliste", je crois sentir qu'il y en a aussi beaucoup qui croient qu'il y a d'autres priorités sur lesquelles il faut plancher, et qui ne méritent pas d'être oblitérées par cette obsession chronique.
Enfin, lorsque vous dites que la place à droite du Parti libéral "est plutôt petite si on en juge par les difficultés qu'a eues le gouvernement Charest pendant ses premières années", je vous dirais que les difficultés du Parti libéral ne sont pas liées à la valeur de ces idées, mais plutôt à son manque de courage et à la mollesse de ses supporters. N'ai-je pas lu, dans votre journal, à la moindre initiative de réforme, de multiples mises en garde du type "Ne jetez pas le bébé avec l'eau du bain"? Si le Parti libéral accepte de co-gérer le Québec avec les mouvements syndicaux et les lobbies de toutes sortes, j'espère bien que l'ADQ saura gouverner pour l'intérêt du plus grand nombre et saura faire ce qu'il faut.
Il y a de ces politiciens qui croient que les Québécois souhaitent ne pas entendre la vérité, qu'il ne faut pas laisser voir que nos idées "bousculeront", qu'il "ne faut pas de chicane", que les "changements se feront en douceur". Nous avons tous reconnu ce discours, cette semaine, chez un des candidats dans la course à la chefferie de l'ADQ. Ne nous illusionnons pas. Cette catégorie de politiciens dira ce qu'il croit devoir dire pour accéder au pouvoir. Pour eux, les Québécois ne sont pas prêts à entendre la vérité. N'est-il pas temps d'encourager une catégorie de politiciens qui dira ce qu'il faut dire, et qui fera ce qu'il faut faire?
Finalement, il y a des analystes et éditorialistes qui qualifieront de "controversée" toute idée qui par ailleurs ne reçoit pas l'assentiment des lobbies auxquels ils se réfèrent. Or, beaucoup de rapports, d'études et de commissions parlementaires arrivent aux mêmes conclusions "controversées" que propose l'ADQ? Discréditez-vous pour autant les académiciens auteurs de ces rapports?
Laissons donc les Québécois se faire leur propre opinion sur les idées; quant à la forme, si c'est tout ce que vous trouvez à y redire, c'est que le contenu a peut-être quelque chose de très sensé...
Joanne Marcotte
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : mer. août 26, 2009 3:20 pm
par .anthurium.
Que j'aime Johanne Marcotte. Eric Caire est vraiment bien entouré
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : mer. août 26, 2009 8:54 pm
par Acrux
.anthurium. a écrit : Que j'aime Johanne Marcotte. Eric Caire est vraiment bien entouré
Ouais! C'estvraiment excellent sa réponse!
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : sam. août 29, 2009 8:51 am
par .anthurium.
http://www.radioego.com/ego/listen/3037" onclick="window.open(this.href);return false;
Pierre Éloi Talbot Président de l'Élection à la course à la chefferie en entrevue a Radio Pirate au sujet des signature de Jean François Plante.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : mer. sept. 02, 2009 8:10 am
par .anthurium.
Éric Caire, Gilles Taillon et Christian Lévesque seront en entrevue jeudi matin, le 3 septembre à l'émission de Christiane Charrette à la radio de Radio-Canada.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : mer. sept. 02, 2009 7:02 pm
par lucide
ADQ: crêpage de chignon entre
Christian Lévesque
La Presse
La course à la direction de l'Action démocratique du Québec a viré à la foire d'empoigne, hier, alors que le candidat Christian Lévesque a été durement attaqué par ses deux rivaux, qui ont dénoncé ses propos «farfelus» et «ridicules».
C'est M. Lévesque lui-même qui a mis le feu aux poudres en matinée sur les ondes de RDI, en entrevue avec Simon Durivage, en déclarant que son équipe avait aidé tous ses adversaires à faire le plein de signatures. La veille, Radio-Canada avait révélé que l'équipe de M. Lévesque avait conclu une entente secrète avec le candidat controversé Jean-François Plante pour l'aider à obtenir des signatures de membres dans au moins deux régions. Ce dernier a finalement été exclu de la course après un nouveau dépouillement - il devait obtenir au moins 1000 signatures, avec un minimum de 60 signatures dans 12 régions du Québec.Hier, à l'émission RDI en direct, Christian Lévesque en a rajouté : «J'ai aidé aussi M. Caire ; j'ai aidé aussi M. Taillon. M. Caire a reçu beaucoup de signatures de notre équipe, M. Taillon aussi. Et M. Caire et M. Taillon ont aussi donné des signatures à ma candidature pour qu'il y ait un débat lors de la course à la direction.»
La déclaration a fait bondir ses rivaux, qui ont sommé M. Lévesque de se rétracter. «C'est complètement ridicule, a rétorqué François Bonnardel, député de Shefford et président de la campagne de Gilles Taillon. C'est comme si on travaillait tous main dans la main dans la course à la direction. Voyons donc. On a une course à gagner, on a des nouveaux membres à aller chercher.»
Selon M. Bonnardel, la déclaration de Christian Lévesque laisse croire que les responsables des équipes «s'échangeaient les feuilles» contenant les signatures d'appui des membres. «C'est ridicule», a-t-il répété.
Même ton scandalisé du côté de l'équipe d'Éric Caire, alors que le coprésident de la campagne, Richard Merlini, a dénoncé les «fausses allégations» de M. Lévesque. «Il doit se rétracter, a dit l'ex-député de Chambly. Ses propos dénaturent la course même. C'est aussi farfelu que de voir, par exemple, à la course NASCAR en fin de semaine, Jacques Villeneuve dire à Patrick Carpentier : «Arrête à mon garage, je vais te prêter de l'essence et des mécaniciens...»»
Les deux organisateurs conviennent que des membres ont probablement signé pour plus d'un candidat. Des activités rassemblant les quatre candidats et permettant à tous de faire le plein de signatures ont d'ailleurs été tenues dans plusieurs régions. On reconnaît même que certains membres d'une équipe ont signé pour un rival. «Pour la démocratie, tout le monde pouvait signer la candidature des autres candidats, a dit M. Bonnardel. Moi, je pouvais signer la candidature de M. Caire, de M. Lévesque, de M. Plante, si je le désirais, mais je ne me promenais pas dans les activités avec les feuilles des autres candidats pour ramasser des signatures.»
Christian Lévesque, lui, semblait plutôt estomaqué par l'ampleur de la réaction à ses propos. «Je n'ai pas compris la tournure que ç'a pris. C'était dans un but d'entraide. On fait tous partie de la même famille. C'est une collaboration de bon aloi.»
Il affirme pouvoir divulguer une liste d'activités dans plusieurs régions «où tout le monde a signé pour tout le monde». «Dans mon équipe, c'était clair, tout le monde pouvait signer les candidatures des autres. Éric Caire, M. Taillon, M. Bonnardel, ils ont tous signé ma candidature.»
Selon lui, le fait pour un membre d'offrir sa signature à un candidat ne révèle en rien sa préférence - d'où la possibilité de signer pour plusieurs personnes. «Le but n'est pas de dire qu'on est derrière un candidat, mais qu'on estime que cette personne-là a les qualités qu'il faut pour au moins débattre des idées.»
Il déplore les attaques dont il a été la cible hier, estimant qu'«une lutte pour la direction, ce n'est pas une guerre. On n'est pas devenus du jour au lendemain des ennemis. J'y vois la chance de présenter nos idées, mais après ça, il faut travailler ensemble.»
Je crois pas que ce soit ce genre d'action qui les aide a revamper leur parti.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : mer. sept. 02, 2009 8:06 pm
par Beppo
lucide a écrit : ADQ: crêpage de chignon entre
Christian Lévesque
La Presse
La course à la direction de l'Action démocratique du Québec a viré à la foire d'empoigne, hier, alors que le candidat Christian Lévesque a été durement attaqué par ses deux rivaux, qui ont dénoncé ses propos «farfelus» et «ridicules».
C'est M. Lévesque lui-même qui a mis le feu aux poudres en matinée sur les ondes de RDI, en entrevue avec Simon Durivage, en déclarant que son équipe avait aidé tous ses adversaires à faire le plein de signatures. La veille, Radio-Canada avait révélé que l'équipe de M. Lévesque avait conclu une entente secrète avec le candidat controversé Jean-François Plante pour l'aider à obtenir des signatures de membres dans au moins deux régions. Ce dernier a finalement été exclu de la course après un nouveau dépouillement - il devait obtenir au moins 1000 signatures, avec un minimum de 60 signatures dans 12 régions du Québec.Hier, à l'émission RDI en direct, Christian Lévesque en a rajouté : «J'ai aidé aussi M. Caire ; j'ai aidé aussi M. Taillon. M. Caire a reçu beaucoup de signatures de notre équipe, M. Taillon aussi. Et M. Caire et M. Taillon ont aussi donné des signatures à ma candidature pour qu'il y ait un débat lors de la course à la direction.»
La déclaration a fait bondir ses rivaux, qui ont sommé M. Lévesque de se rétracter. «C'est complètement ridicule, a rétorqué François Bonnardel, député de Shefford et président de la campagne de Gilles Taillon. C'est comme si on travaillait tous main dans la main dans la course à la direction. Voyons donc. On a une course à gagner, on a des nouveaux membres à aller chercher.»
Selon M. Bonnardel, la déclaration de Christian Lévesque laisse croire que les responsables des équipes «s'échangeaient les feuilles» contenant les signatures d'appui des membres. «C'est ridicule», a-t-il répété.
Même ton scandalisé du côté de l'équipe d'Éric Caire, alors que le coprésident de la campagne, Richard Merlini, a dénoncé les «fausses allégations» de M. Lévesque. «Il doit se rétracter, a dit l'ex-député de Chambly. Ses propos dénaturent la course même. C'est aussi farfelu que de voir, par exemple, à la course NASCAR en fin de semaine, Jacques Villeneuve dire à Patrick Carpentier : «Arrête à mon garage, je vais te prêter de l'essence et des mécaniciens...»»
Les deux organisateurs conviennent que des membres ont probablement signé pour plus d'un candidat. Des activités rassemblant les quatre candidats et permettant à tous de faire le plein de signatures ont d'ailleurs été tenues dans plusieurs régions. On reconnaît même que certains membres d'une équipe ont signé pour un rival. «Pour la démocratie, tout le monde pouvait signer la candidature des autres candidats, a dit M. Bonnardel. Moi, je pouvais signer la candidature de M. Caire, de M. Lévesque, de M. Plante, si je le désirais, mais je ne me promenais pas dans les activités avec les feuilles des autres candidats pour ramasser des signatures.»
Christian Lévesque, lui, semblait plutôt estomaqué par l'ampleur de la réaction à ses propos. «Je n'ai pas compris la tournure que ç'a pris. C'était dans un but d'entraide. On fait tous partie de la même famille. C'est une collaboration de bon aloi.»
Il affirme pouvoir divulguer une liste d'activités dans plusieurs régions «où tout le monde a signé pour tout le monde». «Dans mon équipe, c'était clair, tout le monde pouvait signer les candidatures des autres. Éric Caire, M. Taillon, M. Bonnardel, ils ont tous signé ma candidature.»
Selon lui, le fait pour un membre d'offrir sa signature à un candidat ne révèle en rien sa préférence - d'où la possibilité de signer pour plusieurs personnes. «Le but n'est pas de dire qu'on est derrière un candidat, mais qu'on estime que cette personne-là a les qualités qu'il faut pour au moins débattre des idées.»
Il déplore les attaques dont il a été la cible hier, estimant qu'«une lutte pour la direction, ce n'est pas une guerre. On n'est pas devenus du jour au lendemain des ennemis. J'y vois la chance de présenter nos idées, mais après ça, il faut travailler ensemble.»
Je crois pas que ce soit ce genre d'action qui les aide a revamper leur parti.
J'ai toujours pensé qu'il n'y avait qu'au PQ qu'on s'crêpait le chignon de même. Du moins, ce que l'on a bien voulu nous laisser croire...
mdr
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : jeu. sept. 03, 2009 10:28 am
par .anthurium.
lucide a écrit : ADQ: crêpage de chignon entre
Christian Lévesque
La Presse
La course à la direction de l'Action démocratique du Québec a viré à la foire d'empoigne, hier, alors que le candidat Christian Lévesque a été durement attaqué par ses deux rivaux, qui ont dénoncé ses propos «farfelus» et «ridicules».
C'est M. Lévesque lui-même qui a mis le feu aux poudres en matinée sur les ondes de RDI, en entrevue avec Simon Durivage, en déclarant que son équipe avait aidé tous ses adversaires à faire le plein de signatures. La veille, Radio-Canada avait révélé que l'équipe de M. Lévesque avait conclu une entente secrète avec le candidat controversé Jean-François Plante pour l'aider à obtenir des signatures de membres dans au moins deux régions. Ce dernier a finalement été exclu de la course après un nouveau dépouillement - il devait obtenir au moins 1000 signatures, avec un minimum de 60 signatures dans 12 régions du Québec.Hier, à l'émission RDI en direct, Christian Lévesque en a rajouté : «J'ai aidé aussi M. Caire ; j'ai aidé aussi M. Taillon. M. Caire a reçu beaucoup de signatures de notre équipe, M. Taillon aussi. Et M. Caire et M. Taillon ont aussi donné des signatures à ma candidature pour qu'il y ait un débat lors de la course à la direction.»
La déclaration a fait bondir ses rivaux, qui ont sommé M. Lévesque de se rétracter. «C'est complètement ridicule, a rétorqué François Bonnardel, député de Shefford et président de la campagne de Gilles Taillon. C'est comme si on travaillait tous main dans la main dans la course à la direction. Voyons donc. On a une course à gagner, on a des nouveaux membres à aller chercher.»
Selon M. Bonnardel, la déclaration de Christian Lévesque laisse croire que les responsables des équipes «s'échangeaient les feuilles» contenant les signatures d'appui des membres. «C'est ridicule», a-t-il répété.
Même ton scandalisé du côté de l'équipe d'Éric Caire, alors que le coprésident de la campagne, Richard Merlini, a dénoncé les «fausses allégations» de M. Lévesque. «Il doit se rétracter, a dit l'ex-député de Chambly. Ses propos dénaturent la course même. C'est aussi farfelu que de voir, par exemple, à la course NASCAR en fin de semaine, Jacques Villeneuve dire à Patrick Carpentier : «Arrête à mon garage, je vais te prêter de l'essence et des mécaniciens...»»
Les deux organisateurs conviennent que des membres ont probablement signé pour plus d'un candidat. Des activités rassemblant les quatre candidats et permettant à tous de faire le plein de signatures ont d'ailleurs été tenues dans plusieurs régions. On reconnaît même que certains membres d'une équipe ont signé pour un rival. «Pour la démocratie, tout le monde pouvait signer la candidature des autres candidats, a dit M. Bonnardel. Moi, je pouvais signer la candidature de M. Caire, de M. Lévesque, de M. Plante, si je le désirais, mais je ne me promenais pas dans les activités avec les feuilles des autres candidats pour ramasser des signatures.»
Christian Lévesque, lui, semblait plutôt estomaqué par l'ampleur de la réaction à ses propos. «Je n'ai pas compris la tournure que ç'a pris. C'était dans un but d'entraide. On fait tous partie de la même famille. C'est une collaboration de bon aloi.»
Il affirme pouvoir divulguer une liste d'activités dans plusieurs régions «où tout le monde a signé pour tout le monde». «Dans mon équipe, c'était clair, tout le monde pouvait signer les candidatures des autres. Éric Caire, M. Taillon, M. Bonnardel, ils ont tous signé ma candidature.»
Selon lui, le fait pour un membre d'offrir sa signature à un candidat ne révèle en rien sa préférence - d'où la possibilité de signer pour plusieurs personnes. «Le but n'est pas de dire qu'on est derrière un candidat, mais qu'on estime que cette personne-là a les qualités qu'il faut pour au moins débattre des idées.»
Il déplore les attaques dont il a été la cible hier, estimant qu'«une lutte pour la direction, ce n'est pas une guerre. On n'est pas devenus du jour au lendemain des ennemis. J'y vois la chance de présenter nos idées, mais après ça, il faut travailler ensemble.»
Je crois pas que ce soit ce genre d'action qui les aide a revamper leur parti.
A radio Pirate M Lévesques a dit qu'il avait offert de ramasser des signatures entre autre pour l'équipe de M. Caire mais que ceux-ci ont refusé.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : jeu. sept. 03, 2009 10:36 am
par .anthurium.
Un des problèmes avec M Lévesques c'est qu'il n'est pas tellement adéquistes, ses idées peuvent aussi bien faire au PQ qu'au parti libéral mais il considère que les autres partis on les pied et poing lié par un paquet de groupes (ils en doivent beaucoup) donc ces partis ne peuvent pas faire aucun changement même si ils l'annonce en campagne électorale (exemple: La réingénérie de l'État)
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié : jeu. sept. 03, 2009 11:27 am
par tuberale
.anthurium. a écrit : [...]
A radio Pirate M Lévesques a dit qu'il avait offert de ramasser des signatures entre autre pour l'équipe de M. Caire mais que ceux-ci ont refusé.
Ben il a raison Lévesque. le truc des 1,000 signatures pour une candidature c,est pour démontrer que cette personne " peut " prétendre à la direction d'un parti. Que ça intéresse au moins 1,000 membres de diverses régions d,entendre ce qu'il a à dire quoi ! Donc dans le fond un membre peut se dire ces 3 trois ça m'intéresse de voir ce qu'ils valent et donc peut signer les 3 candidatures.
Maintenant dans pas mal tous les partis, la signature devient un signe public de ton appui à ce candidat parmi les autres. Et c'est dommage car dans le fond signer pour un, avant même le début du débat entre chacun des candidats t'empêche de vraiment choisir, chaque clan s'enferme avec sa petite gang d'appui et le vrai débat en est teinté.
