C'est ce que je pense aussi, mais Charest évoquait cette possibilité aujourd'hui... J'imagine qu'on aura plus de détails sur cette entende éventuelle au cours des prochaines jours, pour l'instant ça demeure assez nébuleux.Grain de sel a écrit : [...]
Quand tu garanti un prêt ce n'est pas toi le débiteur, tu es le garant, c'est à dire l'endosseur.
Élections Fédérales
Re: Élections Fédérales
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Re: Élections Fédérales
Pour gagner Terre-Neuve et être majoritaireRaven a écrit : [...]
Mais le Québec n'a jamais eu d'aide pour développer son hydroélectricité. Dans les années 1960, le fédéral n'a rien fait pour nous aider; nous avons dû allez faire un emprunt auprès de banques américaines et on s'est doté d'une énorme dette.
Le Québec ne s'oppose pas à ce que TN exploite son hydroélectricité, il s'oppose au fait que TN bénéficie de mesures et d'aide financière pour éventuellement concurrencer le Québec. S'il souhaite devenir un producteur d'hydroélectricité à grande échelle, fine, mais qu'il soit soumis aux mêmes règles que les autres, sinon ça devient une compétition déloyale.
Après tout, il s'agit d'une compétence provinciale, alors pourquoi le fédéral viendrait se mêler de cela...

C'est de la politique.
Prière et chant religieux
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Re: Élections Fédérales
Quand un gouvernement provincial subventionne une entreprise plutôt qu'une autre cela crée un avantage compétitif injuste entre les entreprises qui reçoivent l'aide et celles qui ne la reçoivent pasRaven a écrit : [...]
Mais le Québec n'a jamais eu d'aide pour développer son hydroélectricité. Dans les années 1960, le fédéral n'a rien fait pour nous aider; nous avons dû allez faire un emprunt auprès de banques américaines et on s'est doté d'une énorme dette.
Le Québec ne s'oppose pas à ce que TN exploite son hydroélectricité, il s'oppose au fait que TN bénéficie de mesures et d'aide financière pour éventuellement concurrencer le Québec. S'il souhaite devenir un producteur d'hydroélectricité à grande échelle, fine, mais qu'il soit soumis aux mêmes règles que les autres, sinon ça devient une compétition déloyale.
Après tout, il s'agit d'une compétence provinciale, alors pourquoi le fédéral viendrait se mêler de cela...
et pourtant il le fait.
Comme quoi le bonheur des uns fait le malheur des autres, C'est la vie

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Re: Élections Fédérales
Aussi simple que ça... Voilà pourquoi le gouvernement provincial doit réagir énergiquement.Raven a écrit : [...]
Mais le Québec n'a jamais eu d'aide pour développer son hydroélectricité. Dans les années 1960, le fédéral n'a rien fait pour nous aider; nous avons dû allez faire un emprunt auprès de banques américaines et on s'est doté d'une énorme dette.
Le Québec ne s'oppose pas à ce que TN exploite son hydroélectricité, il s'oppose au fait que TN bénéficie de mesures et d'aide financière pour éventuellement concurrencer le Québec. S'il souhaite devenir un producteur d'hydroélectricité à grande échelle, fine, mais qu'il soit soumis aux mêmes règles que les autres, sinon ça devient une compétition déloyale.
Après tout, il s'agit d'une compétence provinciale, alors pourquoi le fédéral viendrait se mêler de cela...
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Re: Élections Fédérales
Ce que je retients, c'est que les manoeuvres fédérales ont toujours l'air correctes quand elles défavorisent le Québec, mais que c'est donc scandaleux quand elle semblent le favoriser un peu...


Re: Élections Fédérales
Publié le 01 avril 2011 à 14h54 | Mis à jour le 01 avril 2011 à 21h56
Harmonisation des taxes: un règlement d'ici septembre, promet Paradis
Le lieutenant québécois du Parti conservateur, Christian Paradis.
Paul Journet
La Presse
(Québec) Le dossier piétinait depuis plusieurs années, mais les conservateurs ont soudainement promis de le régler vendredi midi.
Québec sera indemnisé d'ici le 15 septembre pour avoir harmonisé au début des années 90 sa taxe de vente avec la TPS fédérale. «C'est un engagement ferme», assurait vendredi le lieutenant québécois du Parti conservateur, Christian Paradis. Il indique que ce règlement apparaîtra «noir sur blanc» dans la prochaine plateforme conservatrice.
Québec réclame 2,2 milliards pour les coûts engendrés par cette harmonisation. Cinq autres provinces ont déjà été indemnisées. Québec demande la même compensation que l'Ontario et la Colombie-Britannique ont reçu, soit 276 dollars par citoyen.
Jeudi, les conservateurs appuyaient le projet de câbles sous-marins de 6 milliards de Terre-Neuve pour transporter son électricité. L'annonce avait été unanimement décriée à Québec. Vendredi matin, le premier ministre convoquait une conférence de presse pour la dénoncer et pour présenter les demandes du Québec, dont celle sur l'indemnisation des taxes de vente. Environ deux heures plus tard, M. Paradis promettait le règlement du dossier.
M. Paradis avoue qu'il ne s'agit pas d'une coïncidence. «On veut montrer qu'on est ouvert au Québec. Nous, on ne veut pas de chicanes», a-t-il expliqué.
C'est par la voie des médias que Québec a appris la promesse de règlement de ce dossier prioritaire. Au cabinet du ministre des Finances, Raymond Bachand, on se disait «très content».
En février dernier, M. Bachand envoyait une entente de principe à son homologue au fédéral, Jim Flaherty. Elle n'a pas encore été signée, et elle ne figurait pas dans le dernier budget. M. Paradis affirme que le renversement du gouvernement par l'opposition a retardé le dossier.
En même temps, il assure que «le volet administratif et législatif ne sont pas des écueils dans les discussions». «Il reste seulement des détails techniques à régler», indique-t-il.
Québec demandait en effet de continuer à percevoir la taxe de vente. On voulait aussi que la taxe reste sous les lois québécoises. En retour, Québec s'engageait à cesser d'appliquer la TVQ sur la TPS.
Si ces dossiers ne posent plus problème, alors pourquoi ne pas signer dès maintenant l'entente de principe et régler ensuite les détails? «On veut prendre le temps de bien faire les choses», répond M. Paradis.
Il a aussi répondu à une autre demande du Québec. «On s'engage à renouveler les transferts fédéraux en santé à leur échéance en 2014. Ça montre qu'on est pour le fédéralisme d'ouverture.»
«Mauvaise foi», réagit Duceppe
Le règlement de ce dossier constituait une condition sine qua non du Bloc pour appuyer le dernier budget conservateur. «Pourquoi n'ont-ils pas présenté ça au dernier budget?» a lancé son chef, Gilles Duceppe.
Il estime que les conservateurs sont «complètement de mauvaise foi». M. Duceppe laisse entendre que le gouvernement Harper voulait peut être déclencher des élections ou se garder un cadeau pour la campagne.
Harmonisation des taxes: un règlement d'ici septembre, promet Paradis
Le lieutenant québécois du Parti conservateur, Christian Paradis.
Paul Journet
La Presse
(Québec) Le dossier piétinait depuis plusieurs années, mais les conservateurs ont soudainement promis de le régler vendredi midi.
Québec sera indemnisé d'ici le 15 septembre pour avoir harmonisé au début des années 90 sa taxe de vente avec la TPS fédérale. «C'est un engagement ferme», assurait vendredi le lieutenant québécois du Parti conservateur, Christian Paradis. Il indique que ce règlement apparaîtra «noir sur blanc» dans la prochaine plateforme conservatrice.
Québec réclame 2,2 milliards pour les coûts engendrés par cette harmonisation. Cinq autres provinces ont déjà été indemnisées. Québec demande la même compensation que l'Ontario et la Colombie-Britannique ont reçu, soit 276 dollars par citoyen.
Jeudi, les conservateurs appuyaient le projet de câbles sous-marins de 6 milliards de Terre-Neuve pour transporter son électricité. L'annonce avait été unanimement décriée à Québec. Vendredi matin, le premier ministre convoquait une conférence de presse pour la dénoncer et pour présenter les demandes du Québec, dont celle sur l'indemnisation des taxes de vente. Environ deux heures plus tard, M. Paradis promettait le règlement du dossier.
M. Paradis avoue qu'il ne s'agit pas d'une coïncidence. «On veut montrer qu'on est ouvert au Québec. Nous, on ne veut pas de chicanes», a-t-il expliqué.
C'est par la voie des médias que Québec a appris la promesse de règlement de ce dossier prioritaire. Au cabinet du ministre des Finances, Raymond Bachand, on se disait «très content».
En février dernier, M. Bachand envoyait une entente de principe à son homologue au fédéral, Jim Flaherty. Elle n'a pas encore été signée, et elle ne figurait pas dans le dernier budget. M. Paradis affirme que le renversement du gouvernement par l'opposition a retardé le dossier.
En même temps, il assure que «le volet administratif et législatif ne sont pas des écueils dans les discussions». «Il reste seulement des détails techniques à régler», indique-t-il.
Québec demandait en effet de continuer à percevoir la taxe de vente. On voulait aussi que la taxe reste sous les lois québécoises. En retour, Québec s'engageait à cesser d'appliquer la TVQ sur la TPS.
Si ces dossiers ne posent plus problème, alors pourquoi ne pas signer dès maintenant l'entente de principe et régler ensuite les détails? «On veut prendre le temps de bien faire les choses», répond M. Paradis.
Il a aussi répondu à une autre demande du Québec. «On s'engage à renouveler les transferts fédéraux en santé à leur échéance en 2014. Ça montre qu'on est pour le fédéralisme d'ouverture.»
«Mauvaise foi», réagit Duceppe
Le règlement de ce dossier constituait une condition sine qua non du Bloc pour appuyer le dernier budget conservateur. «Pourquoi n'ont-ils pas présenté ça au dernier budget?» a lancé son chef, Gilles Duceppe.
Il estime que les conservateurs sont «complètement de mauvaise foi». M. Duceppe laisse entendre que le gouvernement Harper voulait peut être déclencher des élections ou se garder un cadeau pour la campagne.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
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Re: Élections Fédérales
J'ai honte de notre attitude d'éternel quémendeur. Je serais fière si on prouvait qu'on est capable tout seul. (si non être au moins reconnaissant) Là on reçoit on dépense pour recevoir encore plus , on ne veut pas exploiter les richesses de notre sol pendant que d'autres le font et payent pour nous. On chiale le Fédéral parce qu'il encourage l'Alberta, onNikki a écrit : Ce que je retients, c'est que les manoeuvres fédérales ont toujours l'air correctes quand elles défavorisent le Québec, mais que c'est donc scandaleux quand elle semblent le favoriser un peu...
cris notre honte de vivre dans un Pays pollueur et quand le fédéral encourage une province a devenir plus autonome plus verte on se scandalise encore.
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Re: Élections Fédérales
Donc tu serais fière si le Québec devenait indépendant puisque l'on pourrait enfin montrer qu'on est capable tous seuls..anthurium. a écrit : [...]
J'ai honte de notre attitude d'éternel quémendeur. Je serais fière si on prouvait qu'on est capable tout seul. (si non être au moins reconnaissant) Là on reçoit on dépense pour recevoir encore plus , on ne veut pas exploiter les richesses de notre sol pendant que d'autres le font et payent pour nous. On chiale le Fédéral parce qu'il encourage l'Alberta, on
cris notre honte de vivre dans un Pays pollueur et quand le fédéral encourage une province a devenir plus autonome plus verte on se scandalise encore.
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Re: Élections Fédérales
Skarhet a écrit : [...]
Donc tu serais fière si le Québec devenait indépendant puisque l'on pourrait enfin montrer qu'on est capable tous seuls.
Devenir indépendant pour montrer qu'on est capable tout seul, il voudrait mieux devenir indépendant parce que nous sommes fort économiquement, parce que nous pouvons dire que nous sommes autonome.
J'aimerais que le Bloc puisse nous convaincre que c'est le cas, mais pour le moment à part le fait de critiquer la générosité du fédéral et de nous rabattre les oreilles que nous devrions recevoir toujours plus, il ne réussit pas à me convaincre que nous avons l'autonomie suffisante.
Si le bloc avait vraiment à coeur les intérêts du Québec il ferait en sorte d'être présent dans toutes les provinces ce qui lui permettrait peut-être d'accéder au pouvoir, ce qu'il ne fera jamais.
Plus facile de critiquer que d'agir.
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Re: Élections Fédérales
Sommes-nous la seule province à réclamer notre « butin » comme le disait Duplessis ? Sommes-nous les seuls à quémander l'harmonisation des deux taxes ? Pourquoi la quémander quand elle nous est due comme aux autres provinces qui l'ont reçue ? L'Ontario a reçu 4,3 milliards pour harmoniser les deux taxes. Sont-ils aussi d'éternel quémandeur ? Lors de la récession, l'Ontario a reçu des subventions à la tonne pour maintenir l'industrie automobile. Je ne t'ai pas lu à ce sujet. Le bois d'oeuvre a reçu combien pendant cette période difficile ?.anthurium. a écrit : [...]
J'ai honte de notre attitude d'éternel quémendeur. Je serais fière si on prouvait qu'on est capable tout seul. (si non être au moins reconnaissant) Là on reçoit on dépense pour recevoir encore plus , on ne veut pas exploiter les richesses de notre sol pendant que d'autres le font et payent pour nous. On chiale le Fédéral parce qu'il encourage l'Alberta, on
cris notre honte de vivre dans un Pays pollueur et quand le fédéral encourage une province a devenir plus autonome plus verte on se scandalise encore.
Quand même étrange que tu sembles te réjouir qu'une province reçoive de l'aide d'Ottawa, dans un champ de compétence provinciale, pour devenir éventuellement une compétitrice ce qui va sûrement entraîner une diminution de nos revenus et que ça te fasse plaisir ? Il y a surement quelque chose que je ne comprends pas à te lire.
Au plaisir!
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Re: Élections Fédérales
J'aimerais que tu m'expliques. Depuis 1991 que l'harmonisation des deux taxes est dans le décor. Générosité du fédéral, tu écris ? Ouffff!Grain de sel a écrit : [...]
Devenir indépendant pour montrer qu'on est capable tout seul, il voudrait mieux devenir indépendant parce que nous sommes fort économiquement, parce que nous pouvons dire que nous sommes autonome.
J'aimerais que le Bloc puisse nous convaincre que c'est le cas, mais pour le moment à part le fait de critiquer la générosité du fédéral et de nous rabattre les oreilles que nous devrions recevoir toujours plus, il ne réussit pas à me convaincre que nous avons l'autonomie suffisante.
Si le bloc avait vraiment à coeur les intérêts du Québec il ferait en sorte d'être présent dans toutes les provinces ce qui lui permettrait peut-être d'accéder au pouvoir, ce qu'il ne fera jamais.
Plus facile de critiquer que d'agir.
Au plaisir!
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Re: Élections Fédérales
A-t-on besoin de Glles Duceppe pour nous le rappeler ? Pauline Marois le fait très bien, Duceppe n'a pas besoin d'être à Ottawa pour ce faire il n'a qu'à se joindre à Pauline ici, on va l'entendre pareil tsé.Beppo a écrit : [...]
J'aimerais que tu m'expliques. Depuis 1991 que l'harmonisation des deux taxes est dans le décor. Générosité du fédéral, tu écris ? Ouffff!

Personne n'a besoin de me convaincre que nous avons besoin de l'argent du fédéral ici au Quebec.
Parizeau lui même a dit que Pauline devrait se pencher dès maintenant sur les questions qui apparaîtront au moment où le Québec deviendra souverain. Entre autre :
Comment compensera-t-on la suppression de la péréquation?
Si la péréquation n'est que le retour de ce que nous payons à Ottawa ça ne devrait pas soulever de problèmes et Pauline ne devrait pas à avoir de questionnement à ce sujet puisqu'il suffit de garder l'argent des Québecois pour qu'un Québec souverain soit maître chez lui.
En passant j'avoue que le mot générosité n'est peut-être pas le bon, j'aurais dû parler de financement, d'aide, de transfert .
Dernière modification par Grain de sel le sam. avr. 02, 2011 10:56 am, modifié 1 fois.
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Re: Élections Fédérales
Publié le 02 avril 2011 à 06h00 | Mis à jour à 06h00
Duos ou quatuors?
Lysiane Gagnon
La Presse
Au moins, cette fois-ci, Elizabeth May ne viendra pas jouer la mouche du coche et interrompre les «grands» dans son français approximatif. Les débats télévisés se feront à quatre, entre les chefs des partis représentés aux Communes.
C'est bien le moins que l'on puisse exiger, en effet. Les diffuseurs devraient s'entendre une fois pour toutes sur les critères d'admission pour que la comédie du «moi aussi!» ne recommence pas à chaque campagne électorale.
Un critère intelligent et parfaitement juste serait de limiter l'accès aux «débats des chefs» à ceux qui comptent au moins un député au parlement et qui ont recueilli au moins 5% du vote aux dernières élections. C'est déjà fort généreux, et la chef des Verts ne répond pas à la première de ces exigences vraiment minimales.
Mais encore faudrait-il trouver une formule satisfaisante. Celle de la dernière campagne était la pire de toutes, avec ce concept de table ronde faussement conviviale autour de laquelle les chefs s'interpellaient dans la cacophonie la plus totale. La formule avait été rendue nécessaire par la présence de Mme May. On ne pouvait organiser des face-à-face entre cinq chefs.
Comme on revient cette fois aux débats à quatre, on peut revenir à l'ancienne formule des débats à deux, chaque chef étant, comme il se doit, debout derrière un lutrin. Mais la formule reste bancale si l'on ne réserve pas une plage spéciale, plus longue, au débat le plus important - celui mettrait aux prises les deux seuls hommes qui ont, réalistement, des chances de devenir premier ministre, soit les chefs libéral et conservateur.
Or, en laissant au hasard le soin de combiner les face-à-face et en donnant à chaque face-à-face un temps égal, on multiplie les débats secondaires.
Quel intérêt y a-t-il à voir MM. Duceppe et Layton croiser le fer, eux qui sont du même avis sur presque tout (sauf la souveraineté) et qui ne font même pas campagne dans les mêmes eaux, le NPD étant pratiquement absent au Québec, et le Bloc inexistant dans les autres provinces?
Quel intérêt les Canadiens des autres provinces ont-ils à entendre, dans le débat anglais, le chef d'un parti qui ne présente des candidats qu'au Québec? Ils peuvent y trouver, à la rigueur, un intérêt d'ordre intellectuel, mais ces débats ne sont pas des colloques, ce sont des exercices visant à aider les électeurs à choisir le parti pour lequel ils voteront. Un débat anglais à trois serait beaucoup plus vivant et instructif.
Évidemment, M. Duceppe monte sur ses grands chevaux à l'idée que l'on puisse exiger des participants au débat anglais que leur parti soit présent sur la scène pancanadienne. «On veut exclure le Québec!», s'écrie-t-il. Du calme! M. Duceppe, tout Québécois soit-il, n'est pas «le» Québec. Aucun chef politique n'«incarne» un pays, sauf si l'on a une vision mussolinienne de la société.
Le seul argument - et c'en est un de poids - qui milite en faveur de sa présence au débat anglais, c'est que la minorité anglo-québécoise a le droit d'entendre le chef du Bloc dans sa langue. D'ailleurs, M. Duceppe, qui parle bien anglais, n'alourdit pas le processus.
Jack Layton, lui aussi, s'insurge contre l'idée d'un débat spécial entre les candidats au poste suprême. Il accuse Michael Ignatieff de souhaiter un face à face avec M. Harper parce qu'il est moins populaire que lui-même dans les sondages. C'est de l'enfantillage. M. Layton est populaire parce qu'il a une bouille sympathique, mais tout indique que son parti demeurera un tiers parti, même si le PLC devait perdre des voix à son profit.
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Duos ou quatuors?
Lysiane Gagnon
La Presse
Au moins, cette fois-ci, Elizabeth May ne viendra pas jouer la mouche du coche et interrompre les «grands» dans son français approximatif. Les débats télévisés se feront à quatre, entre les chefs des partis représentés aux Communes.
C'est bien le moins que l'on puisse exiger, en effet. Les diffuseurs devraient s'entendre une fois pour toutes sur les critères d'admission pour que la comédie du «moi aussi!» ne recommence pas à chaque campagne électorale.
Un critère intelligent et parfaitement juste serait de limiter l'accès aux «débats des chefs» à ceux qui comptent au moins un député au parlement et qui ont recueilli au moins 5% du vote aux dernières élections. C'est déjà fort généreux, et la chef des Verts ne répond pas à la première de ces exigences vraiment minimales.
Mais encore faudrait-il trouver une formule satisfaisante. Celle de la dernière campagne était la pire de toutes, avec ce concept de table ronde faussement conviviale autour de laquelle les chefs s'interpellaient dans la cacophonie la plus totale. La formule avait été rendue nécessaire par la présence de Mme May. On ne pouvait organiser des face-à-face entre cinq chefs.
Comme on revient cette fois aux débats à quatre, on peut revenir à l'ancienne formule des débats à deux, chaque chef étant, comme il se doit, debout derrière un lutrin. Mais la formule reste bancale si l'on ne réserve pas une plage spéciale, plus longue, au débat le plus important - celui mettrait aux prises les deux seuls hommes qui ont, réalistement, des chances de devenir premier ministre, soit les chefs libéral et conservateur.
Or, en laissant au hasard le soin de combiner les face-à-face et en donnant à chaque face-à-face un temps égal, on multiplie les débats secondaires.
Quel intérêt y a-t-il à voir MM. Duceppe et Layton croiser le fer, eux qui sont du même avis sur presque tout (sauf la souveraineté) et qui ne font même pas campagne dans les mêmes eaux, le NPD étant pratiquement absent au Québec, et le Bloc inexistant dans les autres provinces?
Quel intérêt les Canadiens des autres provinces ont-ils à entendre, dans le débat anglais, le chef d'un parti qui ne présente des candidats qu'au Québec? Ils peuvent y trouver, à la rigueur, un intérêt d'ordre intellectuel, mais ces débats ne sont pas des colloques, ce sont des exercices visant à aider les électeurs à choisir le parti pour lequel ils voteront. Un débat anglais à trois serait beaucoup plus vivant et instructif.
Évidemment, M. Duceppe monte sur ses grands chevaux à l'idée que l'on puisse exiger des participants au débat anglais que leur parti soit présent sur la scène pancanadienne. «On veut exclure le Québec!», s'écrie-t-il. Du calme! M. Duceppe, tout Québécois soit-il, n'est pas «le» Québec. Aucun chef politique n'«incarne» un pays, sauf si l'on a une vision mussolinienne de la société.
Le seul argument - et c'en est un de poids - qui milite en faveur de sa présence au débat anglais, c'est que la minorité anglo-québécoise a le droit d'entendre le chef du Bloc dans sa langue. D'ailleurs, M. Duceppe, qui parle bien anglais, n'alourdit pas le processus.
Jack Layton, lui aussi, s'insurge contre l'idée d'un débat spécial entre les candidats au poste suprême. Il accuse Michael Ignatieff de souhaiter un face à face avec M. Harper parce qu'il est moins populaire que lui-même dans les sondages. C'est de l'enfantillage. M. Layton est populaire parce qu'il a une bouille sympathique, mais tout indique que son parti demeurera un tiers parti, même si le PLC devait perdre des voix à son profit.
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Re: Élections Fédérales
Tu vois bien ça comme tu veux..anthurium. a écrit : [...]
J'ai honte de notre attitude d'éternel quémendeur. Je serais fière si on prouvait qu'on est capable tout seul. (si non être au moins reconnaissant) Là on reçoit on dépense pour recevoir encore plus , on ne veut pas exploiter les richesses de notre sol pendant que d'autres le font et payent pour nous. On chiale le Fédéral parce qu'il encourage l'Alberta, on
cris notre honte de vivre dans un Pays pollueur et quand le fédéral encourage une province a devenir plus autonome plus verte on se scandalise encore.
Mais quand je regarde ma paye nette versus ma paye brute, je ne me sens pas du tout comme une quémandeuse, mais bien comme une personne qui verse de l'argent pour recevoir socialement différentes sommes auxquelles j'ai droit. Je parle au ''je'', mais on aura compris que je parle en tant que citoyenne payeuse de taxes et d'impôts, comme tout autre citoyen canadien.
Tu as honte d'être Québécoise?... C'est pas toi un jour qui m'a dit de changer de job si je n'y étais pas bien?.. Pourquoi est-ce que ça ne vaut pas pour les gens malheureux d'être Québécois et de vivre au Québec?.. Qu'est-ce qui t'empêche de déménager en Alberta?...
Re: Élections Fédérales
Absolument. C'est lui qui a réveillé Bachand. Malgré les questions répétées de Pauline Marois, Bachand faisait la sourde oreille. C'est quand il a entendu Duceppe en faire un objectif de campagne que les cloches lui ont sonné. Depuis, le PLQ en fait une condition de campagne pour contrer un peu l'effet Terre-Neuve.Grain de sel a écrit : [...]
A-t-on besoin de Glles Duceppe pour nous le rappeler ? Pauline Marois le fait très bien, Duceppe n'a pas besoin d'être à Ottawa pour ce faire il n'a qu'à se joindre à Pauline ici, on va l'entendre pareil tsé.![]()
Personne n'a besoin de me convaincre que nous avons besoin de l'argent du fédéral ici au Quebec.
Parizeau lui même a dit que Pauline devrait se pencher dès maintenant sur les questions qui apparaîtront au moment où le Québec deviendra souverain. Entre autre :
Comment compensera-t-on la suppression de la péréquation?
Si la péréquation n'est que le retour de ce que nous payons à Ottawa ça ne devrait pas soulever de problèmes et Pauline ne devrait pas à avoir de questionnement à ce sujet puisqu'il suffit de garder l'argent des Québecois pour qu'un Québec souverain soit maître chez lui.
En passant j'avoue que le mot générosité n'est peut-être pas le bon, j'aurais dû parler de financement, d'aide, de transfert .
Au plaisir!
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Re: Élections Fédérales
la rancune vient de encore plus loin entre le quebec et terre neuve faisons un peu d'histoire 101 terre neuve a voler le labrador au quebec .Car terre neuve voulant faire parti du canada a la seule condition d'avoir le labrador
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Re: Élections Fédérales
Labrador
Carte du LabradorLe Labrador est la région continentale de la province du Terre-Neuve-et-Labrador. Cependant, au Québec, un conflit frontalier subsiste avec cette province[1].
Le Labrador est séparé de l'île de Terre-Neuve par le détroit de Belle-Isle. La région fait partie de la péninsule du Labrador (dont la région côtière est parfois aussi nommée Markland, « terre du bois » en vieux norrois).
Le Labrador a une population de 27 860 habitants (2001) dont 30 % est d'origine autochtone (Inuit, Innu et Métis), répandue sur une surface de 294 330 km² aussi grande que l'Italie, ou la Nouvelle-Zélande. On trouve une petite communauté francophone d'origine québécoise et acadienne, venue dans les années 60 pour travailler dans l'exploitation minière.
HistoireUn procès devant le Conseil Privé à Londres, débuté en 1922, aboutit en 1927 à une décision qui avantageait fortement Terre-Neuve, qui ne faisait pas encore partie du Canada. Le Québec a toujours contesté cette décision depuis ce temps. Lors de son entrée dans la Confédération canadienne, en 1949, Terre-Neuve a exigé que la frontière de 1927 fasse partie intégrante de la Constitution.
La contestation du Québec n'est toutefois plus aussi importante qu'elle le fut autrefois. La seule contestation maintenue par le gouvernement aujourd'hui est une définition différente de la frontière sud entre le Labrador et le Québec qui apparaît sur les cartes géographiques au Québec.
Projet de scission avec Terre-NeuveUne Commission royale en 2002 révélait une insatisfaction forte règnant chez les Labradoriens quant à leur place au sein de la Province de Terre-Neuve-et-Labrador et donc une pression naissante certaine pour que le Labrador se sépare de Terre-Neuve et devienne un territoire séparé.
Les Innus préféreraient que ce territoire devienne leur patrie comme le Nunavut l'est pour les Inuits ; une résolution de l'Assemblée des Premières Nations en 1999 réclamait le Labrador comme patrie des Innu et exigeait sa reconnaissance formelle avant toute discussion constitutionnelle ultérieure concernant la région.
Depuis 2005, les Inuits qui vivent dans le nord du Labrador ont droit à un régime de gouvernement autonome dans une région appelée le Nunatsiavut ("notre beau pays"), qui comprend tout le nord du Labrador ainsi que quelques régions dans les latitudes centrales.
Carte du LabradorLe Labrador est la région continentale de la province du Terre-Neuve-et-Labrador. Cependant, au Québec, un conflit frontalier subsiste avec cette province[1].
Le Labrador est séparé de l'île de Terre-Neuve par le détroit de Belle-Isle. La région fait partie de la péninsule du Labrador (dont la région côtière est parfois aussi nommée Markland, « terre du bois » en vieux norrois).
Le Labrador a une population de 27 860 habitants (2001) dont 30 % est d'origine autochtone (Inuit, Innu et Métis), répandue sur une surface de 294 330 km² aussi grande que l'Italie, ou la Nouvelle-Zélande. On trouve une petite communauté francophone d'origine québécoise et acadienne, venue dans les années 60 pour travailler dans l'exploitation minière.
HistoireUn procès devant le Conseil Privé à Londres, débuté en 1922, aboutit en 1927 à une décision qui avantageait fortement Terre-Neuve, qui ne faisait pas encore partie du Canada. Le Québec a toujours contesté cette décision depuis ce temps. Lors de son entrée dans la Confédération canadienne, en 1949, Terre-Neuve a exigé que la frontière de 1927 fasse partie intégrante de la Constitution.
La contestation du Québec n'est toutefois plus aussi importante qu'elle le fut autrefois. La seule contestation maintenue par le gouvernement aujourd'hui est une définition différente de la frontière sud entre le Labrador et le Québec qui apparaît sur les cartes géographiques au Québec.
Projet de scission avec Terre-NeuveUne Commission royale en 2002 révélait une insatisfaction forte règnant chez les Labradoriens quant à leur place au sein de la Province de Terre-Neuve-et-Labrador et donc une pression naissante certaine pour que le Labrador se sépare de Terre-Neuve et devienne un territoire séparé.
Les Innus préféreraient que ce territoire devienne leur patrie comme le Nunavut l'est pour les Inuits ; une résolution de l'Assemblée des Premières Nations en 1999 réclamait le Labrador comme patrie des Innu et exigeait sa reconnaissance formelle avant toute discussion constitutionnelle ultérieure concernant la région.
Depuis 2005, les Inuits qui vivent dans le nord du Labrador ont droit à un régime de gouvernement autonome dans une région appelée le Nunatsiavut ("notre beau pays"), qui comprend tout le nord du Labrador ainsi que quelques régions dans les latitudes centrales.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Re: Élections Fédérales
Élections 2011
Les journalistes qui suivent Harper lui reprochent son « mépris »
Agence QMI
02/04/2011 13h41
OTTAWA – L’attitude du chef conservateur Stephen Harper envers les journalistes qui l’accompagnent suscite énormément de grogne chez ceux-ci.
Le leader libéral Michael Ignatieff s’est d’ailleurs payé la tête de M. Harper, vendredi, en ordonnant à la blague aux journalistes de reculer parce qu’ils étaient à moins de 50 pieds de lui, ce qui l’« incommodait ». Le chef conservateur exige en effet des reporters qu’ils restent derrière un cordon de sécurité, à plusieurs mètres de lui.
Les journalistes qui suivent la caravane de M. Harper se plaignent de la limite de quatre questions qu’il leur impose – deux en français et deux anglais. Le reporter d’un média local peut ajouter une cinquième question.
Un éditorial publié samedi matin dans les journaux de la chaîne Sun, propriété de Quebecor Media, accuse Stephen Harper de « traiter les reporters avec mépris » et lui explique qu’« ils ne sont pas nécessairement des ennemis ».
« Avec une mine renfrognée, vous avez répondu très sèchement à un reporter hautement respecté qui avait osé vous demander pourquoi vous imposez de telles restrictions », lui reproche particulièrement l’éditorial, qui lui lance aussi : « Vous avez eu l’air d’un homme contrôlant et arrogant, qui a toute la chaleur d’un robot et qui n’a aucune considération pour les médias. »
Les auteurs du texte l’invitent à changer d’attitude, voire à « devenir humain ».
http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/f ... 34122.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Les journalistes qui suivent Harper lui reprochent son « mépris »
Agence QMI
02/04/2011 13h41
OTTAWA – L’attitude du chef conservateur Stephen Harper envers les journalistes qui l’accompagnent suscite énormément de grogne chez ceux-ci.
Le leader libéral Michael Ignatieff s’est d’ailleurs payé la tête de M. Harper, vendredi, en ordonnant à la blague aux journalistes de reculer parce qu’ils étaient à moins de 50 pieds de lui, ce qui l’« incommodait ». Le chef conservateur exige en effet des reporters qu’ils restent derrière un cordon de sécurité, à plusieurs mètres de lui.
Les journalistes qui suivent la caravane de M. Harper se plaignent de la limite de quatre questions qu’il leur impose – deux en français et deux anglais. Le reporter d’un média local peut ajouter une cinquième question.
Un éditorial publié samedi matin dans les journaux de la chaîne Sun, propriété de Quebecor Media, accuse Stephen Harper de « traiter les reporters avec mépris » et lui explique qu’« ils ne sont pas nécessairement des ennemis ».
« Avec une mine renfrognée, vous avez répondu très sèchement à un reporter hautement respecté qui avait osé vous demander pourquoi vous imposez de telles restrictions », lui reproche particulièrement l’éditorial, qui lui lance aussi : « Vous avez eu l’air d’un homme contrôlant et arrogant, qui a toute la chaleur d’un robot et qui n’a aucune considération pour les médias. »
Les auteurs du texte l’invitent à changer d’attitude, voire à « devenir humain ».
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Re: Élections Fédérales
Il faut faire nos preuves avant. Là on est comme un adolescent qui chiale qu'il n'a pas de liberté mais qui demande sans cesse de l'argent, l'auto de ses parents, qui chiale parce que sa mère de plie pas son linge de la bonne façon, chiale contre les repas... en demande toujours plus mais ne fait rien car il attent "la job"...Skarhet a écrit : [...]
Donc tu serais fière si le Québec devenait indépendant puisque l'on pourrait enfin montrer qu'on est capable tous seuls.
La journée ou l'on aura fait nos preuves il n'y aura pas 50% qui voterons oui mais 80 %
Prière et chant religieux
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- Seigneur de la Causerie
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Re: Élections Fédérales
Je n'ai rien contre le fait que le Fédéral aide une province à se prendre en main, si elle arrive a bien gérer elle deviendra profitable pour le Canada pour son image et pour les revenus qu'elle réussira peut-être a aller chercher.C'est un pari, (je ne sais pas si ça marchera car le gaz naturel est si peu cher qu'il risque d'être un compétiteur féroce) mais je trouve que c'est une bonne nouvelle d'amener un peu d'argent dans ce coin là du Canada. Pour le Québec a première vue, c'est une moins bonne nouvelle mais je suis certaine qu'on peut tourner ça en notre faveur si c'est bien mené.Beppo a écrit : [...]
Sommes-nous la seule province à réclamer notre « butin » comme le disait Duplessis ? Sommes-nous les seuls à quémander l'harmonisation des deux taxes ? Pourquoi la quémander quand elle nous est due comme aux autres provinces qui l'ont reçue ? L'Ontario a reçu 4,3 milliards pour harmoniser les deux taxes. Sont-ils aussi d'éternel quémandeur ? Lors de la récession, l'Ontario a reçu des subventions à la tonne pour maintenir l'industrie automobile. Je ne t'ai pas lu à ce sujet. Le bois d'oeuvre a reçu combien pendant cette période difficile ?
.Anthurium.: J'étais contre et je pense l'avoir exprimé ici
Quand même étrange que tu sembles te réjouir qu'une province reçoive de l'aide d'Ottawa, dans un champ de compétence provinciale, pour devenir éventuellement une compétitrice ce qui va sûrement entraîner une diminution de nos revenus et que ça te fasse plaisir ? Il y a surement quelque chose que je ne comprends pas à te lire.
.Anthurium.: C'est une garantie de prêt, je pense que c'est le genre de chose que le Fédéral peut faire
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