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Publié : lun. janv. 23, 2006 5:12 am
par lolilou
LeeLou  a écritj ai une question (maudit j hais ca me sentir tarte )

quand on va voter , es-ce quil nous demande une piece d identité ?

Si c est oui bien j irai pas voté (me déplacerait pas pour rien) j ai pu de carte .



euh il te demande la carte que tu as reçu par la poste là... sinon amène un compte, il faut une preuve d'adresse... T'as pas de carte même sans photo?

Publié : lun. janv. 23, 2006 5:13 am
par LeeLou
lolilou  a écrit

euh il te demande la carte que tu as reçu par la poste là... sinon amène un compte, il faut une preuve d'adresse... T'as pas de carte même sans photo?

ah ca oui des cartes pas de photos j en ai , je parlais surtout de la carte d assurance maladie , dans ma tete il nous demandait ca pour etre sure que c est bien nous .


Publié : lun. janv. 23, 2006 5:15 am
par Beppo
LeeLou  a écritj ai une question (maudit j hais ca me sentir tarte )

quand on va voter , es-ce quil nous demande une piece d identité ?

Si c est oui bien j irai pas voté (me déplacerait pas pour rien) j ai pu de carte .



Tu poses là une question qui m'embête. Si je me fie au document reçu par Élections Canada, je ne crois pas qu'il exige une pièce d'identité. Il y est écrit que pour voter vous devez être citoyen canadien et être âgé d'au moins 18 ans le jour de l'élection. Je ne vois pas autre indication qui ferait en sorte qu'on te demanderait une pièce d'identité.




Publié : lun. janv. 23, 2006 5:17 am
par Beppo
lolilou  a écrit

euh il te demande la carte que tu as reçu par la poste là... sinon amène un compte, il faut une preuve d'adresse... T'as pas de carte même sans photo?


Tu as bien raison. J'ai entendu ça à la radio ce matin et les gens qui n'avaient pas de pièce d'identité pouvait fournir la facture d'un compte, par exemple ta facture du compte de téléphone.



Publié : lun. janv. 23, 2006 5:21 am
par lolilou
Beppo  a écrit

Tu poses là une question qui m'embête. Si je me fie au document reçu par Élections Canada, je ne crois pas qu'il exige une pièce d'identité. Il y est écrit que pour voter vous devez être citoyen canadien et être âgé d'au moins 18 ans le jour de l'élection. Je ne vois pas autre indication qui ferait en sorte qu'on te demanderait une pièce d'identité.




Ouai pis sur le site off des élections, y-a absoluement rien concernant les pièces d'identité

Publié : lun. janv. 23, 2006 5:22 am
par LeeLou
ah bien je vais aller voter alors,dire que ca me disais pas grand chose mais c est nécéssaire puis j ai la chance de pas avoir a faire de sortie extérieur expres pour ca , ca se fait a l école de mes enfants et je dois m y rendre d une maniere ou d une autre.

Publié : lun. janv. 23, 2006 5:22 am
par lolilou
Beppo  a écrit

Tu as bien raison. J'ai entendu ça à la radio ce matin et les gens qui n'avaient pas de pièce d'identité pouvait fournir la facture d'un compte, par exemple ta facture du compte de téléphone.



ah ben tu vois j'ai dit ça par hasard, je l'avais même pas entendu... Je pense qu'il y a toujours moyen de moyenner comme on dit.  

Publié : lun. janv. 23, 2006 5:23 am
par LeeLou
lolilou  a écrit
Ouai pis sur le site off des élections, y-a absoluement rien concernant les pièces d'identité  
Au pire je virerai de bord pis ca sera pour une autre fois .
Habituellement je vote pas , donc ca ferais pas changement , mais j ai tout de meme le gout d avoir eu mon mot a dire

Publié : lun. janv. 23, 2006 5:43 am
par jumbo
LeeLou  a écrit
Au pire je virerai de bord pis ca sera pour une autre fois .
Habituellement je vote pas , donc ca ferais pas changement , mais j ai tout de meme le gout d avoir eu mon mot a dire  

Avec la carte, il ne te demande rien. Pas de carte, si tu es connu pas de problème non plus.

Publié : lun. janv. 23, 2006 8:05 am
par Choupet
Je suis allée voter. J'avais oublié ma carte du Bureau des élections et je me suis présentée avec mon permis de conduire pour voter. Ils n'ont même pas voulu le regarder. Ils m'ont dit qu'une carte d'identité n'était pas nécessaire au fédéral.

J'ai téléphoné au bureau des élections et ils m'ont dit qu'on n'avait pas à donner de preuve d'identité au fédéral!!!!!!!!!!

Publié : lun. janv. 23, 2006 8:10 am
par Earendil
alors nimporte qui peut voté a notre place alors

Publié : lun. janv. 23, 2006 8:27 am
par Boule à mites
Earendil  a écritalors nimporte qui peut voté a notre place alors Raison de plus pour aller voter, au moins on s'assure qu'on ne s'est pas fait avoir.

Publié : lun. janv. 23, 2006 9:52 am
par Earendil
voilas toute facon mi c,est fait alors personnes peut prendre mon vote

Publié : lun. janv. 23, 2006 11:41 am
par SilverWings
C 'est fait..mon devoir de citoyenne est fait....

Les résultats des votes dans mon coin de pays seront des premiers a etre connus...et j'espère.   .j'ose espèrer que le worst case scenario ne se produise pas....


a+ la gang

Publié : lun. janv. 23, 2006 12:02 pm
par Rénatane
Choupet  a écritJe suis allée voter. J'avais oublié ma carte du Bureau des élections et je me suis présentée avec mon permis de conduire pour voter. Ils n'ont même pas voulu le regarder. Ils m'ont dit qu'une carte d'identité n'était pas nécessaire au fédéral.

J'ai téléphoné au bureau des élections et ils m'ont dit qu'on n'avait pas à donner de preuve d'identité au fédéral!!!!!!!!!!  
Moi aussi , je n'avais pas ma carte et ils ne m'ont rien demandé....

Publié : lun. janv. 23, 2006 12:53 pm
par Earendil
un  journaliste de la region de quebec a reussi a déjoué le systeme et a voté plusieurs fois

en prennant des adresses au hasard dans le bottin telephonique et coller es adresses la surune carte didentité

Publié : lun. janv. 23, 2006 2:01 pm
par kolem
COMMUNIQUÉ DE PRESSE : POUR PUBLICATION IMMÉDIATE

LES ANTÉCÉDENTS LINGUISTIQUES DE STEPHEN HARPER
VIENNENT HANTER LE CHEF CONSERVATEUR

Constatant que, dans le cadre de la présente campagne électorale, le chef conservateur Stephen Harper tente présentement de se poser en champion de l'unité canadienne et de prétendre que son parti est le seul à mériter la confiance des Québécois et des francophones établis dans les autres provinces et territoires du pays, une franco-albertaine de Calgary, Francine Boisclair-Stewart, a décidé de rappeler les antécédents linguistiques du chef du Parti conservateur du Canada, monsieur Stephen Harper.

Madame Boisclair-Stewart rappelle d'abord que, dans le cadre des élections fédérales d'octobre 1993, Stephen Harper avait refusé de participer à un forum organisé par les francophones de Calgary en disant : « I represent an Anglophone riding; no French here, this is Calgary; I'm not here to represent Quebec » ( Je représente un comté anglophone; pas de français ici, c'est Calgary; je ne représente pas le Québec. )

Les idées de monsieur Harper ont-elles beaucoup évolué au cours des années? Madame Boisclair-Stewart pointe du doigt le texte que Stephen Harper a publié dans le journal « The Calgary Sun », le 6 mai 2001, alors qu'il présidait l'organisme connu sous le nom « National Citizens Coalition » (Coalition nationale des citoyens). Intitulé "Bilingualism's Become A Religion" (Le bilinguisme est devenu une religion), et où il démontre peu de sympathie pour le fait français et les politiques linguistiques.

« Stephen Harper ne fût pas l'ami des Francophones de l'Alberta mais plutôt notre ennemi, préoccupé à alimenter l'opposition à l'épanouissement de notre communauté francophone. Il n'était pas là quand nous avons eu besoin de lui », d'affirmer madame Boisclair-Stewart.

Résidente de l'Alberta depuis plus de trois décennies, madame Francine Boisclair-Stewart a été membre (1991-1993) du Comité de direction qui a vu à l'établissement du Centre scolaire communautaire de Calgary, connu sous le nom « La Cité des Rocheuses » et a travaillé à la reconnaissance des droits scolaires de la minorité franco-albertaine, notamment en assurant la vice-présidence (1994-1995) du Conseil de coordination pour l'éducation francophone (région Centre-Sud de l'Alberta).

En intervenant publiquement dans la présente campagne électorale à titre de citoyenne, madame Boisclair-Stewart insiste qu'on ne saurait interpréter son geste comme étant partisan puisque, non seulement elle n'a jamais été membre du Parti Libéral, elle a au contraire longtemps milité au sein du Parti progressiste-conservateur, entre autres en assumant la présidence ou la vice-présidence (1993-2003) d'activités de levées de fonds pour le Parti progressiste-conservateur, en présidant (1997-1999) l'Association du Parti progressiste-conservateur de la circonscrïption Wild Rose, à Calgary, en siégeant au Conseil national du Parti du progressiste-conservateur du Canada (1997-1998), en acceptant à la demande de l'honorable Joe Clark de siéger comme directrice (1999-2003) au Conseil de l'Association du Parti progressiste-conservateur de Calgary-Centre pour y représenter les francophones et en étant déléguée à la course à la Chefferie (mai & juin 2003) pour appuyer Jim Prentice. En 2004, elle adhérait au nouveau Parti conservateur en vue d'appuyer la candidature de Belinda Stronach; comme bien des militants conservateurs qui étaient considérés comme des modérés, elle a cessé son implication au sein de ce Parti lorsque Stephen Harper en a pris le contrôle.





Voir l'article "Bilingualism's Become A Religion" par Stephen Harper, The Calgary Sun (6 Mai 2001)


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Par Stephen Harper

(Traduction du texte "Bilingualism's Become A Religion", publié dans l'édition du 6 mai 2001 du journal The Calgary Sun)

Selon le président de la National Citizens Coalition, le credo libéral n'a pas engendré l'unité nationale et nous a coûté amplement.


Le député de l'Alliance qui s'est levé récemment à la Chambre des communes pour s'attaquer à l'administration du bilinguisme officiel n'a pas simplement remis en question une politique gouvernementale - il a été coupable d'hérésie.

Après tout, le bilinguisme national obligatoire dans ce pays n'est pas qu'une simple politique. Au contraire, c'est devenu une religion. C'est un dogme qu'on est censé accepter sans question.

Il n'est donc pas surprenant que l'opinion du député allianciste ait provoqué l'indignation des principaux apôtres du bilinguisme: les médias libéraux, le parti Libéral et les Conservateurs centristes.

Je ne connais pas ce député et je ne peux pas me prononcer sur les motifs de son intervention, mais au risque de commettre moi-même un blasphème, laissez-moi dire que je ne vois pas pourquoi la remise en question du coût et de l'échec de la politique actuelle des langues officielles serait si « extrémiste ».

Ma propre expérience du bilinguisme remonte à l'été de 1968. Pierre Trudeau venait d'accéder au pouvoir.

Mes parents m'avaient inscrit à un cours primitif d'immersion à l'autre bout de la ville, plus, je crois, pour me tenir occupé que pour aider à bâtir une nouvelle théologie fédérale.

À cette époque, on promettait que le bilinguisme produirait un pays nouveau - plus uni, plus juste, véritablement bilingue.

Ce fut un échec.

De fait, les Canadiens ne sont pas beaucoup plus bilingues aujourd'hui qu'ils ne l'étaient à l'époque.

Selon le recensement de 1996, par exemple, 17 % des Canadiens sont bilingues anglais-français.

Mais, si l'on remonte à 1951, bien avant Trudeau, cette proportion était supérieure à 12 %.

Même cette croissance minime du bilinguisme officiel (à un coût considérable pour le fédéral) est sans doute exagérée.

Nombreux sont ceux, particulièrement des anglophones, qui ont suivi un programme d'immersion et qui sont donc encouragés à se déclarer bilingues.

Mais s'ils n'ont pas de véritable raison économique, sociale ou culturelle de maîtriser et maintenir le français , la compétence s'atrophie tout simplement.

Je ne remets pas en question la qualité de l'enseignement des cours d'immersion ni le sérieux des apprenants.

Seulement, il est difficile – extraordinairement difficile – de devenir bilingue dans un pays qui ne l'est pas.

Ne nous leurrons pas.

Le Canada n'est pas un pays bilingue. De fait, le pays est moins bilingue que jamais.

Ouille, voilà une autre hérésie. Mais avant de convoquer l'inquisition de la langue, considérez ceci : si la proportion de Canadiens officiellement bilingues est demeurée à peu près inchangée, le vrai bilinguisme au Canada est confiné à quelques régions géographiques.

De fait, la plupart des Francophones habitent les régions unilingues françaises du Canada – principalement au Québec – et la plupart des Anglophones habitent des régions unilingues anglaises à l'extérieur de cette province. Les régions où on retrouve une proportion importante des deux groupes linguistiques sont presque toutes situées près des frontières du Nouveau-Brunswick, du Québec et de l'Ontario, où habitent également les Canadiens véritables bilingues .

Et ce n'est pas un mal. Un Anglophone unilingue ou un Francophone unilingue est tout autant « un vrai Canadien » que celui qui est bilingue. Les villes de Québec et de Calgary définissent toutes deux le Canada, tout comme Ottawa et Montréal. La difficulté ne survient que lorsque les Libéraux fédéraux insistent pour que le Canada devienne le pays bilingue qu'il n'est pas.

Mais la vérité toute crue, c'est que même les Libéraux perdent foi en leur propre credo. Ils ne pratiquent pas ce qu'ils prêchent.

Bien qu'il y ait depuis longtemps des tentatives infructueuses de promotion du français à l'extérieur du Québec, le gouvernement fédéral s'incline de plus en plus devant les politiques militantes du Québec visant l'unilinguisme officiel. La discrimination contre l'anglais et les institutions anglaises se trouvant dans la loi sur la langue du Québec est bien documentée.

Et maintenant la double mesure atteint son comble avec la nomination de Stéphane Dion à titre de ministre des Langue officielles. Stéphane Dion est un partisan déclaré de la loi 101 préconisant « seulement-le-francais » au Québec et du bilinguisme officiel ailleurs. Dès sa nomination, il a déclaré que le bilinguisme national devait servir à « promouvoir le français ».

Les Libéraux, bien sûr, estiment qu'en insistant sur la « francité » du pays, ils encourageront les Québécois à être plus loyal envers le Canada. Mais à mesure que le Québec devient plus français et que le reste du Canada devient plus anglais, les Québécois s'identifieront plus au Québec qu'au Canada.

Alors voilà. Dans cette religion, le bilinguisme est le dieu qui a échoué. Sans produire un pays juste et uni, il a coûté aux Canadiens on ne sait pas combien de millions.

J'imagine qu'il faut s'y attendre lorsqu'on joint l'Église à l'État.






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À tous les Canadiens francophones conservateurs:

BRA-VO.

Publié : lun. janv. 23, 2006 2:04 pm
par Renton
...en tappant des mains évidemment kolem...!

En effet Bra-Vo...
On nous prend pour des caves...c'est pas new tsé...!

Publié : lun. janv. 23, 2006 2:31 pm
par Earendil
qqn ici pourrait ecouté les radio en atlantiques et qui sais savoir les resultats la bas?

Publié : lun. janv. 23, 2006 2:32 pm
par SilverWings
2-0 pour les Libéraux..jusqu'a présent....deux comtés ont étég gagnés..on continue de voir pour les autres