Un Monde de Fous...!! (et autres lectures de bol...)
New York: l'artiste est un chien, et ses tableaux valent 2.000 dollars
NEW YORK (AFP) - Avec ses tableaux abstraits et furieux, ses moments d'intense production, son envie de reconnaissance, Tillamook Cheddar pourrait être une artiste new-yorkaise typique. Sauf que Tillie est un chien.
Calme dans la vie, fougueux dans la création - dixit son entourage - le petit Jack Russell terrier blanc aux oreilles noires a en quelques années produit plusieurs centaines d'oeuvres, exposant jusqu'en Belgique ou aux Pays-Bas.
"Tillie avait six mois", se souvient son maître, Bowman Hastie. "J'écrivais sur le canapé quand elle s'est mise à gratter ma page. J'ai vu qu'elle laissait des traces, alors j'ai eu l'idée du papier carbone. J'ai glissé le carbone sous une feuille, et je lui ai tenu. Après quelques minutes j'ai soulevé le papier. Je n'en revenais pas: une image était formée".
Depuis, cet écrivain de 37 ans en jean et baskets est devenu avant tout "assistant d'artiste". Plusieurs fois par semaine, dans leur appartement de Brooklyn, il prépare le travail, à même le sol: une superposition de papiers, avec une feuille plastifiée enduite de peinture. Le quadrupède peut alors se lancer.
"A chaque fois, je la sens pressée de s'y mettre", assure M. Hastie. "Elle travaille avec ses dents, ses griffes. Cela fait des gravures, des impressions... Plus elle travaille, plus son style se précise". Un tableau monochrome prend environ une demi-heure.
Le résultat: des panneaux traversés de rayures et griffures colorées, avec souvent des traces de dents sur les côtés. Coût à l'achat: 700 à 2.000 dollars pièce (l'un vient de se vendre 1.700 euros en Belgique, dit M. Hastie).
Depuis que Tillie expose, à New York, Amsterdam ou Ibiza cet été, son maître assure avoir vendu une centaine d'oeuvres. "Mais elle ne me fait pas encore vivre", ajoute-t-il. "Espérons que ça vienne bientôt".
Tillamook dite Tillie - qui doit son nom à une marque de fromage, "parce que j'adore le fromage", dit Bowman - commercialise aussi des produits dérivés: t-shirts, sacs et même aliments canins emballés dans des tirages limités de l'artiste. Coût du sac de riz à la viande de 2,3 kg: 100 dollars.
"C'est la plus chère pâtée au monde, alors on en vend peu", admet Bowman. "Mais c'est un moyen de rendre accessible son travail aux gens qui n'ont pas les moyens".
Le chien a collaboré avec quelques artistes montants, comme Ryan McGinness ou Tom Sachs. Pourtant son aventure fait aussi grincer des dents dans le monde de l'art.
"L'art n'est pas un réflexe, il doit avoir une intention, communiquer quelque chose", dit Monroe Denton, critique et professeur à la School of Visual Arts de New York. Pour lui, acheter ce genre de pièce "c'est pervertir l'art abstrait". "Comme quand les gens disent à propos d'un tableau +mon enfant pourrait faire pareil+. C'est un point de vue réactionnaire".
M. Denton se dit peu surpris: "Une grande part de l'art, y compris l'art réalisé par des artistes, veut faire parler de lui aujourd'hui. Mes étudiants veulent savoir comment se retrouver dans les journaux. Mais ce n'est pas comme cela qu'un artiste se développe!"
Bowman Hastie est conscient du scepticisme, et répond de son ton égal, sans émotion: "Beaucoup de gens ont du mal avec l'idée qu'un chien puisse être un artiste. Mais une fois qu'ils ont la chance de voir Tillie travailler, ils sont convaincus".
Dans cette galerie de Soho où un de ses tableaux est en vente, il pose avec sa chienne, âgée de 7 ans déjà.
"Je pense que Tillie, si Dieu veut, vivra encore au moins 10 ans... Et quand forcément elle disparaîtra, je pense que les prix grimperont".
Tillie a aussi une descendance: Doc, un an. Mais il ne paraît guère intéressé par la peinture. "Son talent est sans doute ailleurs", dit Bowman Hastie.
NEW YORK (AFP) - Avec ses tableaux abstraits et furieux, ses moments d'intense production, son envie de reconnaissance, Tillamook Cheddar pourrait être une artiste new-yorkaise typique. Sauf que Tillie est un chien.
Calme dans la vie, fougueux dans la création - dixit son entourage - le petit Jack Russell terrier blanc aux oreilles noires a en quelques années produit plusieurs centaines d'oeuvres, exposant jusqu'en Belgique ou aux Pays-Bas.
"Tillie avait six mois", se souvient son maître, Bowman Hastie. "J'écrivais sur le canapé quand elle s'est mise à gratter ma page. J'ai vu qu'elle laissait des traces, alors j'ai eu l'idée du papier carbone. J'ai glissé le carbone sous une feuille, et je lui ai tenu. Après quelques minutes j'ai soulevé le papier. Je n'en revenais pas: une image était formée".
Depuis, cet écrivain de 37 ans en jean et baskets est devenu avant tout "assistant d'artiste". Plusieurs fois par semaine, dans leur appartement de Brooklyn, il prépare le travail, à même le sol: une superposition de papiers, avec une feuille plastifiée enduite de peinture. Le quadrupède peut alors se lancer.
"A chaque fois, je la sens pressée de s'y mettre", assure M. Hastie. "Elle travaille avec ses dents, ses griffes. Cela fait des gravures, des impressions... Plus elle travaille, plus son style se précise". Un tableau monochrome prend environ une demi-heure.
Le résultat: des panneaux traversés de rayures et griffures colorées, avec souvent des traces de dents sur les côtés. Coût à l'achat: 700 à 2.000 dollars pièce (l'un vient de se vendre 1.700 euros en Belgique, dit M. Hastie).
Depuis que Tillie expose, à New York, Amsterdam ou Ibiza cet été, son maître assure avoir vendu une centaine d'oeuvres. "Mais elle ne me fait pas encore vivre", ajoute-t-il. "Espérons que ça vienne bientôt".
Tillamook dite Tillie - qui doit son nom à une marque de fromage, "parce que j'adore le fromage", dit Bowman - commercialise aussi des produits dérivés: t-shirts, sacs et même aliments canins emballés dans des tirages limités de l'artiste. Coût du sac de riz à la viande de 2,3 kg: 100 dollars.
"C'est la plus chère pâtée au monde, alors on en vend peu", admet Bowman. "Mais c'est un moyen de rendre accessible son travail aux gens qui n'ont pas les moyens".
Le chien a collaboré avec quelques artistes montants, comme Ryan McGinness ou Tom Sachs. Pourtant son aventure fait aussi grincer des dents dans le monde de l'art.
"L'art n'est pas un réflexe, il doit avoir une intention, communiquer quelque chose", dit Monroe Denton, critique et professeur à la School of Visual Arts de New York. Pour lui, acheter ce genre de pièce "c'est pervertir l'art abstrait". "Comme quand les gens disent à propos d'un tableau +mon enfant pourrait faire pareil+. C'est un point de vue réactionnaire".
M. Denton se dit peu surpris: "Une grande part de l'art, y compris l'art réalisé par des artistes, veut faire parler de lui aujourd'hui. Mes étudiants veulent savoir comment se retrouver dans les journaux. Mais ce n'est pas comme cela qu'un artiste se développe!"
Bowman Hastie est conscient du scepticisme, et répond de son ton égal, sans émotion: "Beaucoup de gens ont du mal avec l'idée qu'un chien puisse être un artiste. Mais une fois qu'ils ont la chance de voir Tillie travailler, ils sont convaincus".
Dans cette galerie de Soho où un de ses tableaux est en vente, il pose avec sa chienne, âgée de 7 ans déjà.
"Je pense que Tillie, si Dieu veut, vivra encore au moins 10 ans... Et quand forcément elle disparaîtra, je pense que les prix grimperont".
Tillie a aussi une descendance: Doc, un an. Mais il ne paraît guère intéressé par la peinture. "Son talent est sans doute ailleurs", dit Bowman Hastie.
Drôle de planète
Grossièreté, non merci!
BOMBAY (AP) -- Grossiers, les habitants de Bombay? Un classement publié cette semaine dans le "Readers's Digest" suscite l'indignation dans cette ville de l'ouest de l'Inde.
"Est-ce qu'ils sont déjà allés à Paris? C'est la ville la plus impolie", a rétorqué le réalisateur de publicité Alyque Padamsee. "Les chauffeurs de taxi et piétons sont serviables ici. C'est le meilleur indicateur", a-t-il lancé.
Dans ce classement, la capitale française partage la 15e place avec Londres. Pour cette étude ouvertement non scientifique, le magazine avait envoyé des journalistes dans 36 villes de 35 pays, avec trois tests pour juger plus de 2.000 personnes.
Dans un premier temps, ils tomber une liasse de papiers dans une zone très fréquentée pour voir si on les aidait à les ramasser. Dans une deuxième phase, ils entraient dans un immeuble et observaient si on leur tenait la porte. Enfin, ils ont contrôlé que les commerçants disaient "merci" après un achat.
"Tenir une porte ou dire 'merci' ne sont guère des instruments de mesure de la politesse", s'est insurgé Ajit Nambiar, un employé de banque qui a déménagé de Bangalore (sud) à Bombay (ouest) il y a dix ans. "Les habitants de Bombay sont débordés et toujours pressés, mais ils sont sympathiques."
Les chaînes de télévision et journaux se sont même fendus d'interviews de stars de cinéma, mannequins et anciens policiers pour évaluer la ville. Verdict: pinailleurs, certainement; directs, sans aucun doute. Mais sûrement pas grossiers. AP
- 0 - 0 - 0 -
Excuses symboliques
LONDRES (AP) -- Etre le descendant direct d'un grand marchand d'esclaves élisabéthain, qui plus est pionnier de ce commerce criminel, peut devenir lourd à porter. C'est sûrement ce qui a poussé l'Anglais Andrew Hawkins à effectuer un "voyage d'excuses" en Gambie, petit pays d'Afrique de l'Ouest.
Dans la vie, Hawkins, 37 ans, est animateur dans un centre théâtral pour jeunes en Cornouailles. Il est aussi l'un des lointains héritiers de Sir John Hawkins, premier Anglais à se commettre dans la traite des esclaves au XVIe siècle.
Accompagné d'autres Européens, Andrew Hawkins a récemment rejoint la Gambie dans le cadre d'un "voyage d'excuses pour le commerce esclavagiste" organisé par l'organisation The Lifeline Expedition. A l'occasion du Roots International Festival, hommage annuel à l'esclave gambien Kunta Kinte du roman d'Alex Haley, lui et ses compagnons ont fait acte de pénitence en portant les chaînes et les entraves des victimes africaines de l'esclavage. AP
- 0 - 0 - 0 -
L'ADN des All Blacks
WELLINGTON, Nouvelle Zélande (AP) -- C'est un souvenir peu commun dont l'idée revient à la Fédération néo-zélandaise de rugby: un poster du XV de Nouvelle-Zélande avec un échantillon de l'ADN de chacun des All Blacks.
Commercialisé en édition limitée par le fabricant d'équipements de sport Adidas, le poster montre les All Blacks chantant le traditionnel "haka" maori. Surtout, il contient de l'ADN provenant d'échantillons de sang stérilisé fournis par les joueurs.
"Chaque All Black a donné un peu de son sang", a expliqué le directeur marketing d'Adidas-Nouvelle Zélande, Craig Waugh. "Cette année, nous voulions faire quelque chose de différent pour refléter la profondeur du lien qui unit les All Blacks à leurs fans."
A en croire Waugh, le sponsor officiel de l'équipe nationale entendait rappeler qu'"encourager les All Blacks est dans notre sang." Mieux, a-t-il ajouté, "le rugby constitue une part essentielle de l'ADN néo-zélandais". AP
- 0 - 0 - 0 -
Le plus utilisé des mots anglais
LONDRES (AP) -- Ceux qui jugent que la société moderne est obsédée par le temps trouve confirmation de ce constat dans le Concise Oxford Dictionnary. Cet ouvrage de référence a ainsi annoncé jeudi dernier que le mot "time" était le plus souvent utilisé dans la langue anglaise.
Sur la liste des 25 noms les plus courants, "time" est suivi d'autres indicateurs de temps: "year" (année) est en troisième place, "day" (jour) se classe cinquième, tandis que "week" (semaine) apparaît en 17e position.
Si beaucoup de notre temps semble être consacré au travail, comme en atteste le 16e rang du mot "work", "money" (argent) est étrangement relégué en 65e place. De même, "problem" se classe 24e, mais le mot "solution" n'entre pas dans le Top 100.
Sur le plan humain, "person" est deuxième sur la liste des 25 noms les plus courants, devant "man" (homme) numéro 7, "woman" (femme) numéro 14 et "child" (enfant) numéro 12.
Plus bas, "government" (gouvernement) est 20e et "war" (guerre) 49e. Quant à "peace" (paix), il n'apparaît pas dans le Top 100... AP
ch/ir/tl/v
Grossièreté, non merci!
BOMBAY (AP) -- Grossiers, les habitants de Bombay? Un classement publié cette semaine dans le "Readers's Digest" suscite l'indignation dans cette ville de l'ouest de l'Inde.
"Est-ce qu'ils sont déjà allés à Paris? C'est la ville la plus impolie", a rétorqué le réalisateur de publicité Alyque Padamsee. "Les chauffeurs de taxi et piétons sont serviables ici. C'est le meilleur indicateur", a-t-il lancé.
Dans ce classement, la capitale française partage la 15e place avec Londres. Pour cette étude ouvertement non scientifique, le magazine avait envoyé des journalistes dans 36 villes de 35 pays, avec trois tests pour juger plus de 2.000 personnes.
Dans un premier temps, ils tomber une liasse de papiers dans une zone très fréquentée pour voir si on les aidait à les ramasser. Dans une deuxième phase, ils entraient dans un immeuble et observaient si on leur tenait la porte. Enfin, ils ont contrôlé que les commerçants disaient "merci" après un achat.
"Tenir une porte ou dire 'merci' ne sont guère des instruments de mesure de la politesse", s'est insurgé Ajit Nambiar, un employé de banque qui a déménagé de Bangalore (sud) à Bombay (ouest) il y a dix ans. "Les habitants de Bombay sont débordés et toujours pressés, mais ils sont sympathiques."
Les chaînes de télévision et journaux se sont même fendus d'interviews de stars de cinéma, mannequins et anciens policiers pour évaluer la ville. Verdict: pinailleurs, certainement; directs, sans aucun doute. Mais sûrement pas grossiers. AP
- 0 - 0 - 0 -
Excuses symboliques
LONDRES (AP) -- Etre le descendant direct d'un grand marchand d'esclaves élisabéthain, qui plus est pionnier de ce commerce criminel, peut devenir lourd à porter. C'est sûrement ce qui a poussé l'Anglais Andrew Hawkins à effectuer un "voyage d'excuses" en Gambie, petit pays d'Afrique de l'Ouest.
Dans la vie, Hawkins, 37 ans, est animateur dans un centre théâtral pour jeunes en Cornouailles. Il est aussi l'un des lointains héritiers de Sir John Hawkins, premier Anglais à se commettre dans la traite des esclaves au XVIe siècle.
Accompagné d'autres Européens, Andrew Hawkins a récemment rejoint la Gambie dans le cadre d'un "voyage d'excuses pour le commerce esclavagiste" organisé par l'organisation The Lifeline Expedition. A l'occasion du Roots International Festival, hommage annuel à l'esclave gambien Kunta Kinte du roman d'Alex Haley, lui et ses compagnons ont fait acte de pénitence en portant les chaînes et les entraves des victimes africaines de l'esclavage. AP
- 0 - 0 - 0 -
L'ADN des All Blacks
WELLINGTON, Nouvelle Zélande (AP) -- C'est un souvenir peu commun dont l'idée revient à la Fédération néo-zélandaise de rugby: un poster du XV de Nouvelle-Zélande avec un échantillon de l'ADN de chacun des All Blacks.
Commercialisé en édition limitée par le fabricant d'équipements de sport Adidas, le poster montre les All Blacks chantant le traditionnel "haka" maori. Surtout, il contient de l'ADN provenant d'échantillons de sang stérilisé fournis par les joueurs.
"Chaque All Black a donné un peu de son sang", a expliqué le directeur marketing d'Adidas-Nouvelle Zélande, Craig Waugh. "Cette année, nous voulions faire quelque chose de différent pour refléter la profondeur du lien qui unit les All Blacks à leurs fans."
A en croire Waugh, le sponsor officiel de l'équipe nationale entendait rappeler qu'"encourager les All Blacks est dans notre sang." Mieux, a-t-il ajouté, "le rugby constitue une part essentielle de l'ADN néo-zélandais". AP
- 0 - 0 - 0 -
Le plus utilisé des mots anglais
LONDRES (AP) -- Ceux qui jugent que la société moderne est obsédée par le temps trouve confirmation de ce constat dans le Concise Oxford Dictionnary. Cet ouvrage de référence a ainsi annoncé jeudi dernier que le mot "time" était le plus souvent utilisé dans la langue anglaise.
Sur la liste des 25 noms les plus courants, "time" est suivi d'autres indicateurs de temps: "year" (année) est en troisième place, "day" (jour) se classe cinquième, tandis que "week" (semaine) apparaît en 17e position.
Si beaucoup de notre temps semble être consacré au travail, comme en atteste le 16e rang du mot "work", "money" (argent) est étrangement relégué en 65e place. De même, "problem" se classe 24e, mais le mot "solution" n'entre pas dans le Top 100.
Sur le plan humain, "person" est deuxième sur la liste des 25 noms les plus courants, devant "man" (homme) numéro 7, "woman" (femme) numéro 14 et "child" (enfant) numéro 12.
Plus bas, "government" (gouvernement) est 20e et "war" (guerre) 49e. Quant à "peace" (paix), il n'apparaît pas dans le Top 100... AP
ch/ir/tl/v
Un homme qui a souffert d'une érection de 10 ans à cause d'un implant indemnisé par un tribunal
PROVIDENCE, Rhode Island (AP) - Un tribunal a accordé 400.000 dollars d'indemnités à un plaignant de 68 ans dont le sexe est resté en érection pendant dix ans suite à un dysfonctionnement de son implant pénien.
Charles "Chick" Lennon s'était fait opérer en 1996, deux ans environ avant l'arrivée du Viagra sur le marché. Le Dura-II, implant d'acier et de plastique, devait permettre aux hommes souffrant d'impuissance de commander leurs érections, et d'y mettre fin.
Mais Charles Lennon n'aurait jamais réussi à détendre son sexe. Il a déclaré qu'il ne pouvait plus étreindre personne, enfourcher un vélo, nager ou porter de maillot de bain, à cause de la souffrance et de la gêne. Il s'est reclus et ne supportait pas d'être en compagnie de ses petits-enfants, a déclaré son avocat.
En 2004, un jury lui avait accordé 750.000 dollars d'indemnités. Mais un juge avait trouvé la somme excessive, et l'avait ramenée à 400.000 dollars. Vendredi, la Cour suprême de Rhode Island a confirmé ce montant.
"Je ne connais aucun homme qui voudrait échanger sa vie avec celle de mon client, quelle que soit la somme d'argent", a commenté Jules D'Alessandro, l'avocat de Lennon. "Il n'est pas une personne à part entière."
L'avocat qui représentait à la fois le fabriquant de l'implant, Dacomed Corp., et la compagnie d'assurance, n'a pas souhaité s'exprimer. Dacomed a maintenu qu'il n'y avait rien d'anormal dans l'implant. La compagnie a été mise en faillite après le classement de l'affaire.
Lennon n'avait pas pu se faire enlever l'implant défectueux à cause de problèmes de santé, notamment une opération à coeur-ouvert. Si cela avait été possible, il n'aurait pu se contenter de médicaments contre l'impuissance, les tissus de son pénis ayant été retirés pour permettre l'implant. AP
gb/v931
PROVIDENCE, Rhode Island (AP) - Un tribunal a accordé 400.000 dollars d'indemnités à un plaignant de 68 ans dont le sexe est resté en érection pendant dix ans suite à un dysfonctionnement de son implant pénien.
Charles "Chick" Lennon s'était fait opérer en 1996, deux ans environ avant l'arrivée du Viagra sur le marché. Le Dura-II, implant d'acier et de plastique, devait permettre aux hommes souffrant d'impuissance de commander leurs érections, et d'y mettre fin.
Mais Charles Lennon n'aurait jamais réussi à détendre son sexe. Il a déclaré qu'il ne pouvait plus étreindre personne, enfourcher un vélo, nager ou porter de maillot de bain, à cause de la souffrance et de la gêne. Il s'est reclus et ne supportait pas d'être en compagnie de ses petits-enfants, a déclaré son avocat.
En 2004, un jury lui avait accordé 750.000 dollars d'indemnités. Mais un juge avait trouvé la somme excessive, et l'avait ramenée à 400.000 dollars. Vendredi, la Cour suprême de Rhode Island a confirmé ce montant.
"Je ne connais aucun homme qui voudrait échanger sa vie avec celle de mon client, quelle que soit la somme d'argent", a commenté Jules D'Alessandro, l'avocat de Lennon. "Il n'est pas une personne à part entière."
L'avocat qui représentait à la fois le fabriquant de l'implant, Dacomed Corp., et la compagnie d'assurance, n'a pas souhaité s'exprimer. Dacomed a maintenu qu'il n'y avait rien d'anormal dans l'implant. La compagnie a été mise en faillite après le classement de l'affaire.
Lennon n'avait pas pu se faire enlever l'implant défectueux à cause de problèmes de santé, notamment une opération à coeur-ouvert. Si cela avait été possible, il n'aurait pu se contenter de médicaments contre l'impuissance, les tissus de son pénis ayant été retirés pour permettre l'implant. AP
gb/v931
Mort de la "tortue de Darwin" à l'âge de 176 ans
SYDNEY (AP) - Une tortue de 176 ans, qui était réputée avoir appartenu à Charles Darwin, est morte dans un zoo australien.
La tortue géante, qui répondait au nom de Harriet, serait l'une des trois tortues rapportées des Galapagos par Darwin lors de son périple historique sur le "Beagle" en 1835. Certains scientifiques doutent toutefois de la véracité de cette histoire même si des tests génétiques ont confirmé le grand âge de Harriet. Car ceux-ci ont aussi montré qu'elle était originaire d'une île que Darwin n'a pas visitée.
Selon la légende locale, Harriet n'avait que cinq ans et n'était probablement pas plus large qu'une assiette lorsqu'elle a été capturée pour être rapportée en Angleterre. Elle est repartie pour les antipodes au bout de quelques années et s'est retrouvée au jardin botanique de Brisbane en Australie au milieu des années 1800. Là, on l'avait prise pour un mâle et surnommée "Harry", avant d'être rachetée par la société Australia Zoo alors qu'elle pesait 150 kilos.
Ce parc zoologique de l'Etat du Queensland appartient au "chasseur de crocodile" Steve Irwin et à son épouse Terri.
"Harriet est morte paisiblement la nuit dernière, fort heureusement, après une très courte maladie", a annoncé vendredi un vétérinaire, le Dr Jon Hanger, sur les ondes de l'Australian Broadcasting Corporation. Selon lui, elle a succombé à une attaque cardiaque.
Quant à Steve Irwin, il a déclaré samedi qu'il considérait Harriet comme un membre de sa famille: "Harriet a représenté une part énorme de la vie de la famille Irwin. Elle est peut-être l'une des plus vieilles créatures vivantes de la planète et son décès aujourd'hui n'est pas seulement une grande perte pour le monde mais un jour très triste pour ma famille. C'était une grande dame."
Selon le livre Guinness des records, la plus vieille créature vivante connue était une certaine Tui Malila, une tortue de Madagascar qui avait été offerte à la famille royale des îles Tonga par l'explorateur britannique James Cook dans les années 1770. Elle est morte en 1965 à l'âge canonique de 188 ans. AP
Bg/v0111
SYDNEY (AP) - Une tortue de 176 ans, qui était réputée avoir appartenu à Charles Darwin, est morte dans un zoo australien.
La tortue géante, qui répondait au nom de Harriet, serait l'une des trois tortues rapportées des Galapagos par Darwin lors de son périple historique sur le "Beagle" en 1835. Certains scientifiques doutent toutefois de la véracité de cette histoire même si des tests génétiques ont confirmé le grand âge de Harriet. Car ceux-ci ont aussi montré qu'elle était originaire d'une île que Darwin n'a pas visitée.
Selon la légende locale, Harriet n'avait que cinq ans et n'était probablement pas plus large qu'une assiette lorsqu'elle a été capturée pour être rapportée en Angleterre. Elle est repartie pour les antipodes au bout de quelques années et s'est retrouvée au jardin botanique de Brisbane en Australie au milieu des années 1800. Là, on l'avait prise pour un mâle et surnommée "Harry", avant d'être rachetée par la société Australia Zoo alors qu'elle pesait 150 kilos.
Ce parc zoologique de l'Etat du Queensland appartient au "chasseur de crocodile" Steve Irwin et à son épouse Terri.
"Harriet est morte paisiblement la nuit dernière, fort heureusement, après une très courte maladie", a annoncé vendredi un vétérinaire, le Dr Jon Hanger, sur les ondes de l'Australian Broadcasting Corporation. Selon lui, elle a succombé à une attaque cardiaque.
Quant à Steve Irwin, il a déclaré samedi qu'il considérait Harriet comme un membre de sa famille: "Harriet a représenté une part énorme de la vie de la famille Irwin. Elle est peut-être l'une des plus vieilles créatures vivantes de la planète et son décès aujourd'hui n'est pas seulement une grande perte pour le monde mais un jour très triste pour ma famille. C'était une grande dame."
Selon le livre Guinness des records, la plus vieille créature vivante connue était une certaine Tui Malila, une tortue de Madagascar qui avait été offerte à la famille royale des îles Tonga par l'explorateur britannique James Cook dans les années 1770. Elle est morte en 1965 à l'âge canonique de 188 ans. AP
Bg/v0111
Crâne humain, poupée gonflable... on trouve de tout aux objets trouvés de Londres
LONDRES (AFP) - Une tondeuse à gazon, un aigle empaillé, une poupée gonflable ou un crâne humain... On trouve de tout parmi les quelque 600 à 800 objets qui échouent chaque jour sur les étagères du London Lost Property Office (LPO), le service des objets trouvés de la capitale britannique.
L'année dernière, ce sont près de 148.000 articles en attente de leur propriétaire qui ont été receptionnés, triés, stockés et répertoriés dans Sherlock, le système informatique interne du LPO.
Les sacs figurent en tête des biens les plus oubliés, suivis des livres (25.000 en 2005), puis des vêtements (22.000), lesquels peuvent aller de la simple écharpe à la robe de mariée en passant par la robe de magistrat.
Quant aux quelque 14.000 téléphones portables retrouvés l'année passée, ils représentent un vrai casse-tête pour le service, à cause de la ressemblance des modèles. "Si quelqu'un vient réclamer son portable en nous disant juste que c'est un "Nokia noir", ce n'est pas vraiment suffisant!" explique Judith Adams, du service des transports.
Dans le lot commun des arrivées, on trouve aussi par milliers clés, parapluies, paires de lunettes et autres appareils photos. Vient enfin le rayon des inclassables, par lequel ont transité au cours des ans des curiosités aussi incongrues que des béquilles, des skis nautiques, une cloche tibétaine, un masque à gaz ou encore trois chauves-souris mortes bien rangées dans une boîte. Jusqu'à ce bateau de quatre mètres de long "oublié" dans le métro et dont tout le monde se demandait comment il avait bien pu arriver là.
Les locaux du LPO n'étant pas extensibles, les propriétaires étourdis ont trois mois pour récupérer leur bien, moyennant le versement de frais de traitement. Passé ce délai, les objets sont vendus aux enchères, les bénéfices servant à alimenter les frais de fonctionnement du service.
Mais les trouvailles qui présentent une valeur sentimentale évidente sont conservées, comme les médailles de guerre ou même les urnes funéraires, dont deux exemplaires sont déjà parvenus au LPO. L'une a pu être rendue à l'homme qui l'avait malencontreusement égarée, l'autre est toujours stockée.
Un objet de valeur sur deux en moyenne retrouve son propriétaire, un sac sur trois, un téléphone portable sur quatre. Mais le taux de retour tombe à seulement un sur 12 pour les autres objets de moindre valeur. Un échec relatif qui s'explique tout simplement par le fait que, bien souvent, les propriétaires ne contactent pas le LPO.
LONDRES (AFP) - Une tondeuse à gazon, un aigle empaillé, une poupée gonflable ou un crâne humain... On trouve de tout parmi les quelque 600 à 800 objets qui échouent chaque jour sur les étagères du London Lost Property Office (LPO), le service des objets trouvés de la capitale britannique.
L'année dernière, ce sont près de 148.000 articles en attente de leur propriétaire qui ont été receptionnés, triés, stockés et répertoriés dans Sherlock, le système informatique interne du LPO.
Les sacs figurent en tête des biens les plus oubliés, suivis des livres (25.000 en 2005), puis des vêtements (22.000), lesquels peuvent aller de la simple écharpe à la robe de mariée en passant par la robe de magistrat.
Quant aux quelque 14.000 téléphones portables retrouvés l'année passée, ils représentent un vrai casse-tête pour le service, à cause de la ressemblance des modèles. "Si quelqu'un vient réclamer son portable en nous disant juste que c'est un "Nokia noir", ce n'est pas vraiment suffisant!" explique Judith Adams, du service des transports.
Dans le lot commun des arrivées, on trouve aussi par milliers clés, parapluies, paires de lunettes et autres appareils photos. Vient enfin le rayon des inclassables, par lequel ont transité au cours des ans des curiosités aussi incongrues que des béquilles, des skis nautiques, une cloche tibétaine, un masque à gaz ou encore trois chauves-souris mortes bien rangées dans une boîte. Jusqu'à ce bateau de quatre mètres de long "oublié" dans le métro et dont tout le monde se demandait comment il avait bien pu arriver là.
Les locaux du LPO n'étant pas extensibles, les propriétaires étourdis ont trois mois pour récupérer leur bien, moyennant le versement de frais de traitement. Passé ce délai, les objets sont vendus aux enchères, les bénéfices servant à alimenter les frais de fonctionnement du service.
Mais les trouvailles qui présentent une valeur sentimentale évidente sont conservées, comme les médailles de guerre ou même les urnes funéraires, dont deux exemplaires sont déjà parvenus au LPO. L'une a pu être rendue à l'homme qui l'avait malencontreusement égarée, l'autre est toujours stockée.
Un objet de valeur sur deux en moyenne retrouve son propriétaire, un sac sur trois, un téléphone portable sur quatre. Mais le taux de retour tombe à seulement un sur 12 pour les autres objets de moindre valeur. Un échec relatif qui s'explique tout simplement par le fait que, bien souvent, les propriétaires ne contactent pas le LPO.
Nouveau au Japon: un oreiller qui vous dit comment bien dormir
TOKYO (AFP) - Des chercheurs nippons viennent de mettre au point un nouveau type d'oreiller capable de prodiguer des conseils pour bien dormir aux Japonais, connus pour dormir mal et manquer de sommeil.
Baptisé "Médecin du sommeil", cet oreiller analyse les habitudes du dormeur et est capable d'afficher 40 différents types de conseils ou d'encouragements sur un écran miniature.
Enveloppé d'un doux tissu d'uréthane, l'oreiller est équipé de détecteurs qui captent les mouvements de tête et du corps afin de calculer le nombre d'heures de sommeil réparateur par nuit, évalués sur une échelle de 30 à 95%.
"Si vous dormez mal pendant quelques nuits, l'oreiller vous suggèrera par exemple: Pourquoi n'essaieriez-vous pas de vous détendre ce soir ? en prenant un bon bain", a expliqué Naomi Adachi, vice-présidente de l'entreprise Lofty, qui va commercialiser l'oreiller conçu par l'Institut japonais de recherche sur le sommeil. "Ou bien après de bonnes nuits de sommeil, l'oreiller va vous bombarder de compliments tels que +vous avez très bien dormi, continuez ainsi+!", a ajouté la responsable.
L'oreiller peut également enregistrer les habitudes du dormeur sur une durée de deux semaines. "La personne peut ainsi avoir conscience de ses habitudes de sommeil et si elles sont mauvaises, essayer de les améliorer", a souligné Mme Adachi.
"Cet oreiller n'a toutefois pas été conçu pour aider les gens à s'endormir plus facilement ou mieux. Il a été fait pour qu'ils puissent développer de bonnes habitudes de sommeil. Cet outil permet aux gens de s'autodiscipliner pour mieux prendre soin de leur santé", a-t-elle souligné.
L'entreprise prévoit de commercialiser ces oreillers à partir du mois de septembre au Japon et à l'étranger, notamment Asie et aux Etats-Unis.
Le Japon souffre de l'un des taux de privation de sommeil les plus élevés au monde en raison des longues journées de travail auxquelles sont soumis de nombreux employés. Selon une récente étude, le manque de sommeil coûte chaque année à l'économie du pays, quelque 3.500 milliards de yens (24 milliards d'euros), principalement en raison de la baisse de productivité au travail.
TOKYO (AFP) - Des chercheurs nippons viennent de mettre au point un nouveau type d'oreiller capable de prodiguer des conseils pour bien dormir aux Japonais, connus pour dormir mal et manquer de sommeil.
Baptisé "Médecin du sommeil", cet oreiller analyse les habitudes du dormeur et est capable d'afficher 40 différents types de conseils ou d'encouragements sur un écran miniature.
Enveloppé d'un doux tissu d'uréthane, l'oreiller est équipé de détecteurs qui captent les mouvements de tête et du corps afin de calculer le nombre d'heures de sommeil réparateur par nuit, évalués sur une échelle de 30 à 95%.
"Si vous dormez mal pendant quelques nuits, l'oreiller vous suggèrera par exemple: Pourquoi n'essaieriez-vous pas de vous détendre ce soir ? en prenant un bon bain", a expliqué Naomi Adachi, vice-présidente de l'entreprise Lofty, qui va commercialiser l'oreiller conçu par l'Institut japonais de recherche sur le sommeil. "Ou bien après de bonnes nuits de sommeil, l'oreiller va vous bombarder de compliments tels que +vous avez très bien dormi, continuez ainsi+!", a ajouté la responsable.
L'oreiller peut également enregistrer les habitudes du dormeur sur une durée de deux semaines. "La personne peut ainsi avoir conscience de ses habitudes de sommeil et si elles sont mauvaises, essayer de les améliorer", a souligné Mme Adachi.
"Cet oreiller n'a toutefois pas été conçu pour aider les gens à s'endormir plus facilement ou mieux. Il a été fait pour qu'ils puissent développer de bonnes habitudes de sommeil. Cet outil permet aux gens de s'autodiscipliner pour mieux prendre soin de leur santé", a-t-elle souligné.
L'entreprise prévoit de commercialiser ces oreillers à partir du mois de septembre au Japon et à l'étranger, notamment Asie et aux Etats-Unis.
Le Japon souffre de l'un des taux de privation de sommeil les plus élevés au monde en raison des longues journées de travail auxquelles sont soumis de nombreux employés. Selon une récente étude, le manque de sommeil coûte chaque année à l'économie du pays, quelque 3.500 milliards de yens (24 milliards d'euros), principalement en raison de la baisse de productivité au travail.
Les Estoniens champions du monde de portage de femme
SONKAJARVI, Finlande (Reuters) - Les Estoniens Sandra Kullas et Margo Uusorg sont devenus samedi en Finlande champions du monde de portage de femme.
Quelque quarante couples de huit nationalités différentes ont participé à la 11e édition de cette compétition annuelle qui s'est tenue à Sonkajarvi, dans le centre de la Finlande.
Uusorg, 26 ans, a parcouru les 250 mètres de la piste jalonnée de haies et de bassins en 56,9 secondes, établissant ainsi un nouveau record du monde. Kullas, 19 ans, était cramponnée les jambes autour du cou de son partenaire.
Il s'agit de la cinquième victoire consécutive de Uusorg qui a déclaré que cette course pourrait être la dernière.
Ils ont gagné des ordinateurs portables et l'équivalent de 49 kg, le poids de Kullas, en bière.
Ces championnats sont un clin d'oeil à la légende de Rosvo-Ronkainen, un bandit qui obligeait ceux qui voulaient rejoindre son clan à porter de gros sacs à travers la forêt.
SONKAJARVI, Finlande (Reuters) - Les Estoniens Sandra Kullas et Margo Uusorg sont devenus samedi en Finlande champions du monde de portage de femme.
Quelque quarante couples de huit nationalités différentes ont participé à la 11e édition de cette compétition annuelle qui s'est tenue à Sonkajarvi, dans le centre de la Finlande.
Uusorg, 26 ans, a parcouru les 250 mètres de la piste jalonnée de haies et de bassins en 56,9 secondes, établissant ainsi un nouveau record du monde. Kullas, 19 ans, était cramponnée les jambes autour du cou de son partenaire.
Il s'agit de la cinquième victoire consécutive de Uusorg qui a déclaré que cette course pourrait être la dernière.
Ils ont gagné des ordinateurs portables et l'équivalent de 49 kg, le poids de Kullas, en bière.
Ces championnats sont un clin d'oeil à la légende de Rosvo-Ronkainen, un bandit qui obligeait ceux qui voulaient rejoindre son clan à porter de gros sacs à travers la forêt.
Sous le bitume de Los Angeles, un incroyable gisement de fossiles
Par Zachary SLOBIG
LOS ANGELES (AFP) - A proximité de l'agitation des grands boulevards de Los Angeles, des paléontologues extraient de leur gangue de bitume des fossiles datant de quelque 40.000 ans, au rythme de plusieurs dizaines de pièces par jour.
Unique au monde dans un environnement urbain, le site d'excavation de La Brea est le résultat d'un phénomène naturel d'affleurement d'hydrocarbures dans lequel d'innombrables animaux ont été pris au piège, bien avant que l'endroit ne se retrouve au milieu de la deuxième ville des Etats-Unis.
agrandir la photo
Depuis 1969, les scientifiques ont exploré ce gisement, en sortant pas moins de quatre millions de pièces, ossements et dents parfaitement conservés par leur séjour dans le goudron.
"C'est le gisement datant de la dernière glaciation le plus riche au monde", affirme le conservateur en chef du site, John Harris, assurant que "nous extrairons encore des os dans 20 ans".
agrandir la photo
Rien que pendant la saison de fouilles de l'été 2005, les paléontologues ont récolté 3.000 os, de mâchoires de souris aux tibias de mammouths, tombés dans des mares de goudron alors qu'ils traversaient la plaine entre l'océan Pacifique et les montagnes entourant ce qui est aujourd'hui une mégalopole de 17 millions d'habitants.
La richesse du gisement laisse parfois pantois les opérateurs des fouilles eux-mêmes. "Où que l'on regarde, il y a des os", constate une de ces volontaires, Jean Moore, ancienne professeur d'anatomie. "Depuis 12 ans que je fouille dans ce trou, j'ai sans doute traversé 5.000 années d'histoire naturelle", explique-t-elle en cueillant l'os du bassin d'un félin préhistorique.
agrandir la photo
Avec l'avancée du débat sur le réchauffement climatique, les paléontologues de La Brea assurent que l'endroit va attirer de plus en plus l'intérêt. Aujourd'hui, la plupart des habitants de Los Angeles ignorent l'existence du site, au milieu du quartier des musées entre le centre-ville historique et Beverly Hills, la ville des vedettes de cinéma dans l'ouest de l'agglomération.
"Plus nous en saurons sur les changements de climat pendant la Préhistoire, plus nous apprendrons sur ce qui se passe à l'heure actuelle", assure la responsable des fouilles, Kristen Vowells.
En attendant, leur récolte est tellement bonne que l'équipe chargée de classer et ranger les trouvailles peine à suivre. "Nous manquons de place", se plaint Shelley Cox, chef du laboratoire du musée attenant, montrant des empilements de boîtes marquées "a classer" et "à nettoyer".
Toute découverte importante sera bien sûr traitée en priorité, comme ce squelette complet de félin aux dents de sabre, mort il y a 30.000 ans dans la mare d'hydrocarbures, ou un mammouth complet, de la taille d'un petit autobus, découvert lors de l'aménagement d'un parc de stationnement pour le musée d'art moderne voisin.
Par Zachary SLOBIG
LOS ANGELES (AFP) - A proximité de l'agitation des grands boulevards de Los Angeles, des paléontologues extraient de leur gangue de bitume des fossiles datant de quelque 40.000 ans, au rythme de plusieurs dizaines de pièces par jour.
Unique au monde dans un environnement urbain, le site d'excavation de La Brea est le résultat d'un phénomène naturel d'affleurement d'hydrocarbures dans lequel d'innombrables animaux ont été pris au piège, bien avant que l'endroit ne se retrouve au milieu de la deuxième ville des Etats-Unis.
agrandir la photo
Depuis 1969, les scientifiques ont exploré ce gisement, en sortant pas moins de quatre millions de pièces, ossements et dents parfaitement conservés par leur séjour dans le goudron.
"C'est le gisement datant de la dernière glaciation le plus riche au monde", affirme le conservateur en chef du site, John Harris, assurant que "nous extrairons encore des os dans 20 ans".
agrandir la photo
Rien que pendant la saison de fouilles de l'été 2005, les paléontologues ont récolté 3.000 os, de mâchoires de souris aux tibias de mammouths, tombés dans des mares de goudron alors qu'ils traversaient la plaine entre l'océan Pacifique et les montagnes entourant ce qui est aujourd'hui une mégalopole de 17 millions d'habitants.
La richesse du gisement laisse parfois pantois les opérateurs des fouilles eux-mêmes. "Où que l'on regarde, il y a des os", constate une de ces volontaires, Jean Moore, ancienne professeur d'anatomie. "Depuis 12 ans que je fouille dans ce trou, j'ai sans doute traversé 5.000 années d'histoire naturelle", explique-t-elle en cueillant l'os du bassin d'un félin préhistorique.
agrandir la photo
Avec l'avancée du débat sur le réchauffement climatique, les paléontologues de La Brea assurent que l'endroit va attirer de plus en plus l'intérêt. Aujourd'hui, la plupart des habitants de Los Angeles ignorent l'existence du site, au milieu du quartier des musées entre le centre-ville historique et Beverly Hills, la ville des vedettes de cinéma dans l'ouest de l'agglomération.
"Plus nous en saurons sur les changements de climat pendant la Préhistoire, plus nous apprendrons sur ce qui se passe à l'heure actuelle", assure la responsable des fouilles, Kristen Vowells.
En attendant, leur récolte est tellement bonne que l'équipe chargée de classer et ranger les trouvailles peine à suivre. "Nous manquons de place", se plaint Shelley Cox, chef du laboratoire du musée attenant, montrant des empilements de boîtes marquées "a classer" et "à nettoyer".
Toute découverte importante sera bien sûr traitée en priorité, comme ce squelette complet de félin aux dents de sabre, mort il y a 30.000 ans dans la mare d'hydrocarbures, ou un mammouth complet, de la taille d'un petit autobus, découvert lors de l'aménagement d'un parc de stationnement pour le musée d'art moderne voisin.
Drôle de planète...
Quand la nudité française met une épine dans le pied américain
LA CROSSE, Winconsin (AP) -- Lorsqu'Epinal a offert une statue à La Crosse, bourgade du Wisconsin à laquelle elle est jumelée, elle ne se doutait pas que la nudité du garçon sculpté embarrasserait à ce point les Américains.
Oeuvre réalisée en 1825 par l'artiste Laurent, "Le Pinau" représente un garçon assis en train de se tirer une épine du pied. Un concitoyen de la Crosse a noté qu'une fois la statue installée sur le piédestal prévu, on pourrait entrevoir la virilité du jeune homme.
La commission municipale des contributions a donc adopté il y a plusieurs mois une résolution pour que soient cachés ces organes génitaux que l'on ne saurait voir.
Le sculpteur local Elmer Peterson confirme avoir été contacté pour "recouvrir discrètement" l'intimité du jeune personnage, de préférence avec une sorte de drapé de bronze. "Pas avec une feuille de vigne, ce serait risible", a-t-il reconnu.
Cependant, il n'aura pas à faire oeuvre de pudibonderie.
Des membres du conseil municipal ont vu la statue mercredi et ont finalement décidé de la laisser dans sa nudité originelle, rapporte la "La Crosse Tribune".
"Je ne veux pas changer quelque chose qui existe depuis toujours", a expliqué la conseillère municipale Dorothy Lenard, en rappelant que le cadeau français s'inspirait d'une statue grecque. "Quand vous voyagez, vous voyez qu'il y a de la nudité dans l'art et que les gens n'y font plus attention."
Une autre élue municipale, Audrey Kader, a souligné que l'ajout d'un cache-sexe serait un geste peu diplomate vis-à-vis d'Epinal. "Je ne trouve pas ça pornographique ou explicite. Epinal nous a donné la statue sans qu'elle soit couverte."
"Si nous la recouvrons, les gens voudrons voir ce que nous cachons", a remarqué un troisième conseiller municipal, Bruce Ranis.
"Le Pinau" sera inauguré lundi après-midi à la fontaine de La Crosse en présence d'une délégation d'Epinal. En contrepartie, la bourgade du Wisconsin enverra à la ville des Vosges une reproduction de sa statue "Lacrosse Players", qui représente trois autochtones en train de jouer à la crosse, un jeu d'équipe ressemblant au hockey. Les trois personnages sont habillés.
-0-0-0-
Lady Liberty en croisade
MEMPHIS, Tennessee (AP) -- Une église de Memphis (Tennessee) a revisité une autre oeuvre offerte par la France aux Etats-Unis, bien plus célèbre: la Statue de la Liberté, de Frédéric Auguste Bartholdi, inaugurée en 1886 dans la baie de New York.
Alors que l'originale tient une torche dans sa main droite, "La Statue de la Libération", qui doit être dévoilée le 4 juillet prochain, brandit une croix. Et une larme coule sur son visage parce qu'elle se préoccupe de l'état spirituel des Etats-Unis.
"Les gens ne parlent plus du Christ et notre moralité s'est évanouie", s'inquiète le pasteur Alton Williams. "Les automobilistes ne peuvent pas passer devant notre statue sans penser à leur relation avec Dieu".
La statue de 22m de haut, qui a coûté 260.000 dollars (208.000 euros) ne plaît pas à tout le monde. Quand elle rentre de l'école, Evelyn Douglass, 11 ans, fait un détour pour ne pas voir "le grand machin vert".
"La Statue de la Liberté est l'un des symboles des Etats-Unis d'Amérique. La croix représente une religion spécifique", souligne la pré-adolescente. "Ce n'est pas bien qu'ils aient mélangé les deux. Cette église oublie ce que signifie l'Amérique."
-0-0-0-
Charité bien ordonnée...
OMAHA, Nebraska (AP) -- Une religieuse américaine de 71 ans a été inculpée cette semaine pour avoir volé plus de 300.000 dollars (240.000 euros).
La soeur Barbara Markey avait été renvoyée en janvier de ses fonctions de directrice du bureau vue familiale de l'archevêché d'Omaha. Elle s'est rendue à la police mercredi mais a été laissée en liberté.
La nonne avait travaillé sur le programme FOCCUS de préparation au mariage, très utilisé dans l'Eglise catholique romaine.
Elle est soupçonnée d'avoir dépensé 307.545 dollars (245.466 euros) pour son usage personnel ou sans pouvoir produire de justificatif. D'après un audit, une partie de cette somme a servi à acheter des cadeaux et des billets d'avion. Une autre partie a été jouée au casino.
-0-0-0-
Des clous!
HANOI (AP) -- Peut-être avait-elle peur de manquer de fer. Une Vietnamienne de 43 ans a avalé... 119 clous.
Les médecins de l'hôpital 121 de Can Tho-Ville, dans le sud du pays, ont extrait cette quincaillerie de l'estomac de la patiente qui se plaignait de violents maux de ventre.
"Après une radio et un scanner, nous avons découvert un amas d'objets étranges et nous avons décidé d'opérer dès que possible", explique le Dr Tran Van Nam.
Durant l'intervention, 119 clous mesurant entre 7 et 8cm ont été retirés. Certains étaient rouillés, ce qui suggère qu'ils pouvaient se trouver là depuis un certain temps, a souligné le Dr Nam.
Les clous ont éraflé les parois de l'estomac mais la patiente, atteinte d'une maladie mentale, ne présente pas de blessure grave. "Sa vie n'est pas en danger à présent et elle est en train de se remettre", assuré le médecin, en ajoutant qu'elle pourrait probablement quitter l'hôpital bientôt. AP
cb/v/tl
Quand la nudité française met une épine dans le pied américain
LA CROSSE, Winconsin (AP) -- Lorsqu'Epinal a offert une statue à La Crosse, bourgade du Wisconsin à laquelle elle est jumelée, elle ne se doutait pas que la nudité du garçon sculpté embarrasserait à ce point les Américains.
Oeuvre réalisée en 1825 par l'artiste Laurent, "Le Pinau" représente un garçon assis en train de se tirer une épine du pied. Un concitoyen de la Crosse a noté qu'une fois la statue installée sur le piédestal prévu, on pourrait entrevoir la virilité du jeune homme.
La commission municipale des contributions a donc adopté il y a plusieurs mois une résolution pour que soient cachés ces organes génitaux que l'on ne saurait voir.
Le sculpteur local Elmer Peterson confirme avoir été contacté pour "recouvrir discrètement" l'intimité du jeune personnage, de préférence avec une sorte de drapé de bronze. "Pas avec une feuille de vigne, ce serait risible", a-t-il reconnu.
Cependant, il n'aura pas à faire oeuvre de pudibonderie.
Des membres du conseil municipal ont vu la statue mercredi et ont finalement décidé de la laisser dans sa nudité originelle, rapporte la "La Crosse Tribune".
"Je ne veux pas changer quelque chose qui existe depuis toujours", a expliqué la conseillère municipale Dorothy Lenard, en rappelant que le cadeau français s'inspirait d'une statue grecque. "Quand vous voyagez, vous voyez qu'il y a de la nudité dans l'art et que les gens n'y font plus attention."
Une autre élue municipale, Audrey Kader, a souligné que l'ajout d'un cache-sexe serait un geste peu diplomate vis-à-vis d'Epinal. "Je ne trouve pas ça pornographique ou explicite. Epinal nous a donné la statue sans qu'elle soit couverte."
"Si nous la recouvrons, les gens voudrons voir ce que nous cachons", a remarqué un troisième conseiller municipal, Bruce Ranis.
"Le Pinau" sera inauguré lundi après-midi à la fontaine de La Crosse en présence d'une délégation d'Epinal. En contrepartie, la bourgade du Wisconsin enverra à la ville des Vosges une reproduction de sa statue "Lacrosse Players", qui représente trois autochtones en train de jouer à la crosse, un jeu d'équipe ressemblant au hockey. Les trois personnages sont habillés.
-0-0-0-
Lady Liberty en croisade
MEMPHIS, Tennessee (AP) -- Une église de Memphis (Tennessee) a revisité une autre oeuvre offerte par la France aux Etats-Unis, bien plus célèbre: la Statue de la Liberté, de Frédéric Auguste Bartholdi, inaugurée en 1886 dans la baie de New York.
Alors que l'originale tient une torche dans sa main droite, "La Statue de la Libération", qui doit être dévoilée le 4 juillet prochain, brandit une croix. Et une larme coule sur son visage parce qu'elle se préoccupe de l'état spirituel des Etats-Unis.
"Les gens ne parlent plus du Christ et notre moralité s'est évanouie", s'inquiète le pasteur Alton Williams. "Les automobilistes ne peuvent pas passer devant notre statue sans penser à leur relation avec Dieu".
La statue de 22m de haut, qui a coûté 260.000 dollars (208.000 euros) ne plaît pas à tout le monde. Quand elle rentre de l'école, Evelyn Douglass, 11 ans, fait un détour pour ne pas voir "le grand machin vert".
"La Statue de la Liberté est l'un des symboles des Etats-Unis d'Amérique. La croix représente une religion spécifique", souligne la pré-adolescente. "Ce n'est pas bien qu'ils aient mélangé les deux. Cette église oublie ce que signifie l'Amérique."
-0-0-0-
Charité bien ordonnée...
OMAHA, Nebraska (AP) -- Une religieuse américaine de 71 ans a été inculpée cette semaine pour avoir volé plus de 300.000 dollars (240.000 euros).
La soeur Barbara Markey avait été renvoyée en janvier de ses fonctions de directrice du bureau vue familiale de l'archevêché d'Omaha. Elle s'est rendue à la police mercredi mais a été laissée en liberté.
La nonne avait travaillé sur le programme FOCCUS de préparation au mariage, très utilisé dans l'Eglise catholique romaine.
Elle est soupçonnée d'avoir dépensé 307.545 dollars (245.466 euros) pour son usage personnel ou sans pouvoir produire de justificatif. D'après un audit, une partie de cette somme a servi à acheter des cadeaux et des billets d'avion. Une autre partie a été jouée au casino.
-0-0-0-
Des clous!
HANOI (AP) -- Peut-être avait-elle peur de manquer de fer. Une Vietnamienne de 43 ans a avalé... 119 clous.
Les médecins de l'hôpital 121 de Can Tho-Ville, dans le sud du pays, ont extrait cette quincaillerie de l'estomac de la patiente qui se plaignait de violents maux de ventre.
"Après une radio et un scanner, nous avons découvert un amas d'objets étranges et nous avons décidé d'opérer dès que possible", explique le Dr Tran Van Nam.
Durant l'intervention, 119 clous mesurant entre 7 et 8cm ont été retirés. Certains étaient rouillés, ce qui suggère qu'ils pouvaient se trouver là depuis un certain temps, a souligné le Dr Nam.
Les clous ont éraflé les parois de l'estomac mais la patiente, atteinte d'une maladie mentale, ne présente pas de blessure grave. "Sa vie n'est pas en danger à présent et elle est en train de se remettre", assuré le médecin, en ajoutant qu'elle pourrait probablement quitter l'hôpital bientôt. AP
cb/v/tl
La photo de Brad Pitt n'ouvre pas la caisse
DUBAI (Reuters) - Un vendeur a tenté d'escroquer un bureau de change aux Emirats arabes unis avec une carte d'identité portant la photo de Brad Pitt, rapporte la presse locale.
Le jeune homme, âgé de 29 ans, avait su par son frère employé des lieux à Dubaï, que 23.000 dollars en liquide attendaient leur destinataire depuis trois mois.
Il a donc confectionné une carte d'identité au nom de ce client avec une photo de Brad Pitt. Il espérait que son frère pourrait lui remettre l'argent et garder la photocopie de la pièce d'identité comme preuve du transfert.
Arrêté par la police, l'homme de nationalité jordanienne, a expliqué ignorer quelle image il avait téléchargée sur internet. Il a été inculpé pour contrefaçon et tentative de détournement de fonds.
DUBAI (Reuters) - Un vendeur a tenté d'escroquer un bureau de change aux Emirats arabes unis avec une carte d'identité portant la photo de Brad Pitt, rapporte la presse locale.
Le jeune homme, âgé de 29 ans, avait su par son frère employé des lieux à Dubaï, que 23.000 dollars en liquide attendaient leur destinataire depuis trois mois.
Il a donc confectionné une carte d'identité au nom de ce client avec une photo de Brad Pitt. Il espérait que son frère pourrait lui remettre l'argent et garder la photocopie de la pièce d'identité comme preuve du transfert.
Arrêté par la police, l'homme de nationalité jordanienne, a expliqué ignorer quelle image il avait téléchargée sur internet. Il a été inculpé pour contrefaçon et tentative de détournement de fonds.
Un Britannique sur trois fête l'anniversaire de son chien
LONDRES (AFP) - Un Britannique sur trois fête l'anniversaire de son chien en lui offrant un cadeau ou une attention particulière, selon une étude publiée mardi.
Sur les 1.600 propriétaires de chiens interrogés par Direct Line Pet Insurance, une société britannique d'assurance pour chats et chiens, un sur dix déclare offrir à son chien une carte pour son anniversaire et beaucoup leur offrent un jouet, un vêtement, ou le couvre même de bisous et de calins.
Une précédente étude avait montré que 9 propriétaires de chiens sur 10 en Grande-Bretagne considèrent leur animal comme un membre important de la famille.
LONDRES (AFP) - Un Britannique sur trois fête l'anniversaire de son chien en lui offrant un cadeau ou une attention particulière, selon une étude publiée mardi.
Sur les 1.600 propriétaires de chiens interrogés par Direct Line Pet Insurance, une société britannique d'assurance pour chats et chiens, un sur dix déclare offrir à son chien une carte pour son anniversaire et beaucoup leur offrent un jouet, un vêtement, ou le couvre même de bisous et de calins.
Une précédente étude avait montré que 9 propriétaires de chiens sur 10 en Grande-Bretagne considèrent leur animal comme un membre important de la famille.
Du thé glacé au cannabis arrive dans les magasins britanniques
LONDRES (AFP) - Du thé glacé au cannabis sera bientôt en vente dans les magasins de diététique et bien-être britanniques, a annoncé l'entreprise suisse Thurella qui le commercialise.
Vendu sous le nom de "C-Ice Swiss Cannabis Ice Tea", la boisson contient, outre les ingrédients classiques du thé glacé, du sirop de fleurs de chanvre (5%) et du THC (0,0015%), la substance active du cannabis. Tous les éléments relevant de la catégorie des stupéfiants ont été enlevés, si bien que la boisson n'entraînera pas de dépendance.
Mais pour l'Alliance de prévention contre la drogue du Royaume-Uni, la commercialisation d'un tel produit est néanmoins dangereuse puisqu'elle participe à la banalisation de l'image du cannabis auprès des jeunes.
Le thé glacé au chanvre, lancé en Suisse en 2003, est déjà disponible en Autriche, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Espagne et au Portugal.
LONDRES (AFP) - Du thé glacé au cannabis sera bientôt en vente dans les magasins de diététique et bien-être britanniques, a annoncé l'entreprise suisse Thurella qui le commercialise.
Vendu sous le nom de "C-Ice Swiss Cannabis Ice Tea", la boisson contient, outre les ingrédients classiques du thé glacé, du sirop de fleurs de chanvre (5%) et du THC (0,0015%), la substance active du cannabis. Tous les éléments relevant de la catégorie des stupéfiants ont été enlevés, si bien que la boisson n'entraînera pas de dépendance.
Mais pour l'Alliance de prévention contre la drogue du Royaume-Uni, la commercialisation d'un tel produit est néanmoins dangereuse puisqu'elle participe à la banalisation de l'image du cannabis auprès des jeunes.
Le thé glacé au chanvre, lancé en Suisse en 2003, est déjà disponible en Autriche, en Allemagne, aux Pays-Bas, en Espagne et au Portugal.
Un facteur canadien accusé d'avoir volé 75.000 lettres
MONTREAL (AFP) - Un facteur canadien fait face à des accusations de vol après que la police eut découvert 75.000 lettres non distribuées chez lui.
"Des accusations de vol passibles de 10 ans de prison ont été portées contre cet ex-employé" a déclaré Catherine Lortie, porte-parole de Postes Canada, précisant que tout le courrier retrouvé a été envoyé à ses destinataires.
La direction des postes avait commencé une enquête l'an dernier, à la suite d'un nombre anormalement élevé de plaintes pour courrier non distribué dans le secteur où travaillait l'homme de 31 ans.
"Aucun des envois n'a été ouvert" a précisé Mme Lortie, selon qui le facteur fautif aurait simplement agi par paresse.
L'homme, qui a été licencié, travaillait à Postes Canada depuis 1999 et avait obtenu un poste permanent au sein de l'organisation en 2004.
MONTREAL (AFP) - Un facteur canadien fait face à des accusations de vol après que la police eut découvert 75.000 lettres non distribuées chez lui.
"Des accusations de vol passibles de 10 ans de prison ont été portées contre cet ex-employé" a déclaré Catherine Lortie, porte-parole de Postes Canada, précisant que tout le courrier retrouvé a été envoyé à ses destinataires.
La direction des postes avait commencé une enquête l'an dernier, à la suite d'un nombre anormalement élevé de plaintes pour courrier non distribué dans le secteur où travaillait l'homme de 31 ans.
"Aucun des envois n'a été ouvert" a précisé Mme Lortie, selon qui le facteur fautif aurait simplement agi par paresse.
L'homme, qui a été licencié, travaillait à Postes Canada depuis 1999 et avait obtenu un poste permanent au sein de l'organisation en 2004.
Israël: un chameau suicidaire se jette contre une voiture
JERUSALEM (AFP) - Un chameau, apparemment dépressif, s'est jeté contre une voiture circulant sur une route désertique en Israël, s'écrasant de tout son poids sur l'automobiliste.
Ce fait divers rarissime en Israël, rapporté avec force détails par le quotidien Yédiot Aharonot, est survenu dans le désert du Néguev (sud), près de Beershéva.
"Je l'ai vu et j'ai ralenti. J'ai donné un coup de klaxon, mais il a bondi sur ma voiture", a raconté au journal le conducteur encore choqué par l'irruption du camélidé à l'intérieur de son véhicule. "L'animal s'est alors assis sur ma poitrine et m'a empêché de respirer. Je n'arrivais même pas à crier pour appeler à l'aide", a ajouté Kfir Ohana, 25 ans.
L'Israélien, avec une épaule et des côtes brisées, s'en est tout de même mieux sorti que l'animal infortuné qui est mort après avoir blatéré pendant 40 minutes.
JERUSALEM (AFP) - Un chameau, apparemment dépressif, s'est jeté contre une voiture circulant sur une route désertique en Israël, s'écrasant de tout son poids sur l'automobiliste.
Ce fait divers rarissime en Israël, rapporté avec force détails par le quotidien Yédiot Aharonot, est survenu dans le désert du Néguev (sud), près de Beershéva.
"Je l'ai vu et j'ai ralenti. J'ai donné un coup de klaxon, mais il a bondi sur ma voiture", a raconté au journal le conducteur encore choqué par l'irruption du camélidé à l'intérieur de son véhicule. "L'animal s'est alors assis sur ma poitrine et m'a empêché de respirer. Je n'arrivais même pas à crier pour appeler à l'aide", a ajouté Kfir Ohana, 25 ans.
L'Israélien, avec une épaule et des côtes brisées, s'en est tout de même mieux sorti que l'animal infortuné qui est mort après avoir blatéré pendant 40 minutes.
Un Japonais ingurgite 53 hot-dogs en 12 minutes
NEW YORK (Reuters) - Un Japonais de 27 ans a dévoré 53 hot-dogs trois quarts en douze minutes, battant ainsi son propre record du monde.
Plus de 25.000 personnes ont assisté mardi au sixième sacre de Takeru Kobayashi à Coney Island, dans le quartier new-yorkais de Brooklyn. Malgré le soutien du public, le Californien Joey Chestnut, principal adversaire du Japonais, n'est parvenu à avaler "que" 52 hot-dogs.
"Je ne suis pas content du résultat, je reviendrai", a prévenu Kobayashi, ajoutant qu'il préférait le tofu.
Avec son mètre 68 et ses 77 kilos - avant le concours - le champion montre ainsi que la masse corporelle n'est pas gage de réussite dans ces compétitions.
Sous la pression du jeune Chestnut, 22 ans et 102 kilos, Kobayashi est resté calme et a maintenu un rythme régulier. Son concurrent, auréolé du titre de plus gros mangeur d'asperges frites, semblait plus nerveux, mais aussi de plus en plus rouge à mesure qu'il engloutissait des hot-dogs.
Plus de 20 personnes, dont une femme, ont participé à ce concours, validé par des juges.
Les concours à base de nourriture sont très populaires aux Etats-Unis.
NEW YORK (Reuters) - Un Japonais de 27 ans a dévoré 53 hot-dogs trois quarts en douze minutes, battant ainsi son propre record du monde.
Plus de 25.000 personnes ont assisté mardi au sixième sacre de Takeru Kobayashi à Coney Island, dans le quartier new-yorkais de Brooklyn. Malgré le soutien du public, le Californien Joey Chestnut, principal adversaire du Japonais, n'est parvenu à avaler "que" 52 hot-dogs.
"Je ne suis pas content du résultat, je reviendrai", a prévenu Kobayashi, ajoutant qu'il préférait le tofu.
Avec son mètre 68 et ses 77 kilos - avant le concours - le champion montre ainsi que la masse corporelle n'est pas gage de réussite dans ces compétitions.
Sous la pression du jeune Chestnut, 22 ans et 102 kilos, Kobayashi est resté calme et a maintenu un rythme régulier. Son concurrent, auréolé du titre de plus gros mangeur d'asperges frites, semblait plus nerveux, mais aussi de plus en plus rouge à mesure qu'il engloutissait des hot-dogs.
Plus de 20 personnes, dont une femme, ont participé à ce concours, validé par des juges.
Les concours à base de nourriture sont très populaires aux Etats-Unis.
Après une attaque, une Britannique se réveille avec l'accent jamaïcain
LONDRES (AFP) - Après une attaque cérébrale, une femme de Newcastle (nord-est de l'Angleterre) s'est réveillée avec l'accent de la Jamaïque.
Linda Walker, 60 ans, une ancienne administratrice d'université, ne s'en est pas rendu compte tout de suite. Il a fallu que son thérapeute l'enregistre pour qu'elle constate que son accent nasillard de la région de Newcastle avait disparu.
"J'étais accablée", a-t-elle déclaré au journal local Evening Chronicle. "Maintenant, j'ai l'impression d'être quelqu'un d'autre".
Au téléphone, elle a selon la majorité de ses interlocuteurs l'accent jamaïcain. "Mais ma belle-soeur trouve que j'ai l'accent italien et mon frère dit que je parle comme une Slovaque", a-t-elle confié, perplexe.
Cette Britannique qui a toujours habité dans la même région souffre en fait d'un "syndrome de l'accent étranger": des chercheurs de l'université d'Oxford ont observé ce phénomène lorsque les parties du cerveau liées au langage étaient altérées.
Ce syndrome relativement rare a été pour la première fois identifié durant la deuxième guerre mondiale chez une Norvégienne blessée à la tête lors d'un raid aérien, et qui s'était ensuite mise à parler avec un accent allemand, selon les spécialistes.
LONDRES (AFP) - Après une attaque cérébrale, une femme de Newcastle (nord-est de l'Angleterre) s'est réveillée avec l'accent de la Jamaïque.
Linda Walker, 60 ans, une ancienne administratrice d'université, ne s'en est pas rendu compte tout de suite. Il a fallu que son thérapeute l'enregistre pour qu'elle constate que son accent nasillard de la région de Newcastle avait disparu.
"J'étais accablée", a-t-elle déclaré au journal local Evening Chronicle. "Maintenant, j'ai l'impression d'être quelqu'un d'autre".
Au téléphone, elle a selon la majorité de ses interlocuteurs l'accent jamaïcain. "Mais ma belle-soeur trouve que j'ai l'accent italien et mon frère dit que je parle comme une Slovaque", a-t-elle confié, perplexe.
Cette Britannique qui a toujours habité dans la même région souffre en fait d'un "syndrome de l'accent étranger": des chercheurs de l'université d'Oxford ont observé ce phénomène lorsque les parties du cerveau liées au langage étaient altérées.
Ce syndrome relativement rare a été pour la première fois identifié durant la deuxième guerre mondiale chez une Norvégienne blessée à la tête lors d'un raid aérien, et qui s'était ensuite mise à parler avec un accent allemand, selon les spécialistes.
Michigan: 21.000 foyers réveillés de nuit par erreur
ANN ARBOR, Michigan (AP) - Pas moins de 20.995 foyers de la ville d'Ann Arbor, dans le Michigan, ont été réveillés par erreur par un appel nocturne leur signalant le départ de chez lui d'un homme de 94 ans souffrant de la maladie d'Alzheimer, rapporte le journal "Ann Arbor News" de mardi.
Cette ville de 113.271 âmes du nord-est des Etats-Unis n'est dotée du système d'alerte CodeRed que depuis le 7 septembre 2005, et l'employé de service dimanche soir ignorait comment limiter le périmètre d'envoi du message.
L'alerte a été lancée à 23h47 (lundi 03h47 GMT, 05h47 à Paris) puis annulée dans la demi-heure suivante, le vieillard ayant été retrouvé en bonne santé, mais la police a reçu une centaine d'appels d'habitants furieux.
"J'ai eu peur. C'est vraiment tard pour un coup de fil normal. Les alarmes se sont immédiatement déclenchées et j'ai eu du mal à me rendormir", explique Patricia Mitchell au "Ann Arbor News".
Selon le shérif adjoint Greg O'Dell, CodeRed a été utilisé onze fois depuis janvier à Ann Arbor, notamment pour des personnes portées disparues et un forcené armé qui s'était barricadé près d'une école, mais l'alerte de dimanche était la première de nuit. AP
st/v506
ANN ARBOR, Michigan (AP) - Pas moins de 20.995 foyers de la ville d'Ann Arbor, dans le Michigan, ont été réveillés par erreur par un appel nocturne leur signalant le départ de chez lui d'un homme de 94 ans souffrant de la maladie d'Alzheimer, rapporte le journal "Ann Arbor News" de mardi.
Cette ville de 113.271 âmes du nord-est des Etats-Unis n'est dotée du système d'alerte CodeRed que depuis le 7 septembre 2005, et l'employé de service dimanche soir ignorait comment limiter le périmètre d'envoi du message.
L'alerte a été lancée à 23h47 (lundi 03h47 GMT, 05h47 à Paris) puis annulée dans la demi-heure suivante, le vieillard ayant été retrouvé en bonne santé, mais la police a reçu une centaine d'appels d'habitants furieux.
"J'ai eu peur. C'est vraiment tard pour un coup de fil normal. Les alarmes se sont immédiatement déclenchées et j'ai eu du mal à me rendormir", explique Patricia Mitchell au "Ann Arbor News".
Selon le shérif adjoint Greg O'Dell, CodeRed a été utilisé onze fois depuis janvier à Ann Arbor, notamment pour des personnes portées disparues et un forcené armé qui s'était barricadé près d'une école, mais l'alerte de dimanche était la première de nuit. AP
st/v506
Cuisses et décolletés, nouveaux supports publicitaires
AMSTERDAM (Reuters) - Un étudiant néerlandais en design, fatigué de la publicité conventionnelle, a créé une fausse agence de publicité en ligne proposant d'utiliser les cuisses et les décolletés des prostituées comme support publicitaire.
Sur son site web www.instoresnow.nl, Raoul Balai propose également de peindre des noms de marque sur des animaux de zoo et sur des panneaux flottants disposés au large de plages célèbres afin d'attirer l'attention des vacanciers.
"J'en avais plus qu'assez de voir la publicité partout", a déclaré à la presse Balai. "Mais comme je ne voulais donner de leçon à personne, j'ai pensé que la satire serait mieux", a-t-il ajouté.
Loin de considérer les idées de Balai comme une plaisanterie, l'avocat d'un zoo d'Amsterdam a menacé d'attaquer l'étudiant pour diffamation, après que le site web de Balai a montré un poisson du zoo portant le nom d'une marque de poissonnerie.
Les annonceurs potentiels qui se renseignent par téléphone sont bombardés de slogans publicitaires jusqu'à ce que, lassés de ce feu nourri, ils renoncent.
AMSTERDAM (Reuters) - Un étudiant néerlandais en design, fatigué de la publicité conventionnelle, a créé une fausse agence de publicité en ligne proposant d'utiliser les cuisses et les décolletés des prostituées comme support publicitaire.
Sur son site web www.instoresnow.nl, Raoul Balai propose également de peindre des noms de marque sur des animaux de zoo et sur des panneaux flottants disposés au large de plages célèbres afin d'attirer l'attention des vacanciers.
"J'en avais plus qu'assez de voir la publicité partout", a déclaré à la presse Balai. "Mais comme je ne voulais donner de leçon à personne, j'ai pensé que la satire serait mieux", a-t-il ajouté.
Loin de considérer les idées de Balai comme une plaisanterie, l'avocat d'un zoo d'Amsterdam a menacé d'attaquer l'étudiant pour diffamation, après que le site web de Balai a montré un poisson du zoo portant le nom d'une marque de poissonnerie.
Les annonceurs potentiels qui se renseignent par téléphone sont bombardés de slogans publicitaires jusqu'à ce que, lassés de ce feu nourri, ils renoncent.
Canicule en Angleterre: les avocats autorisés à retirer leur perruque
LONDRES (AFP) - Des avocats londoniens ont été autorisés lundi à titre exceptionnel à enlever leurs longues perruques en crin blanc en raison de la vague de chaleur qui sévit sur l'Angleterre.
La température dans le sud et le centre et l'Angleterre ont dépassé 3O° lundi, et la météo a déclenché une alerte de niveau trois.
Les avocats plaidant devant le troisième tribunal des Cours de justice royales à Londres ont eu l'autorisation rare de retirer leurs perruques.
La zoo de Chessington, dans le Surrey (sud de l'Angleterre) a distribué à ses gorilles des glaçons géants et des fruits et noix congelés.
Les deux tigres ont reçu des blocs de glace faits avec du sang.
Les joueurs de tennis de Wimbledon, où la pluie sévit habituellement, ne sont pas épargnés par la canicule. La jeune star du tennis anglais, Andy Murray a suggéré que le règlement prévu en cas de "conditions climatiques extrêmes" pourrait s'appliquer lors de son match sur le court central, où il faisait jusqu'à 40°.
Les joueuses, quant à elles, ont eu 10 minutes supplémentaires pour se rafraîchir entre chaque set.
Mais l'on transpirait aussi sous terre. London Underground a ordonné des limitations de vitesse à 32 kilomètres/heure sur les lignes Metropolitan et District par crainte, comme chaque fois qu'il fait très chaud, que les rails ne fondent avec la canicule.
"Nous arrivons au point où si un train tombe en panne dans ces conditions, il peut avoir de graves pertes humaines", a-t-il averti.
LONDRES (AFP) - Des avocats londoniens ont été autorisés lundi à titre exceptionnel à enlever leurs longues perruques en crin blanc en raison de la vague de chaleur qui sévit sur l'Angleterre.
La température dans le sud et le centre et l'Angleterre ont dépassé 3O° lundi, et la météo a déclenché une alerte de niveau trois.
Les avocats plaidant devant le troisième tribunal des Cours de justice royales à Londres ont eu l'autorisation rare de retirer leurs perruques.
La zoo de Chessington, dans le Surrey (sud de l'Angleterre) a distribué à ses gorilles des glaçons géants et des fruits et noix congelés.
Les deux tigres ont reçu des blocs de glace faits avec du sang.
Les joueurs de tennis de Wimbledon, où la pluie sévit habituellement, ne sont pas épargnés par la canicule. La jeune star du tennis anglais, Andy Murray a suggéré que le règlement prévu en cas de "conditions climatiques extrêmes" pourrait s'appliquer lors de son match sur le court central, où il faisait jusqu'à 40°.
Les joueuses, quant à elles, ont eu 10 minutes supplémentaires pour se rafraîchir entre chaque set.
Mais l'on transpirait aussi sous terre. London Underground a ordonné des limitations de vitesse à 32 kilomètres/heure sur les lignes Metropolitan et District par crainte, comme chaque fois qu'il fait très chaud, que les rails ne fondent avec la canicule.
"Nous arrivons au point où si un train tombe en panne dans ces conditions, il peut avoir de graves pertes humaines", a-t-il averti.
Croatie: Mozart aide un éléphant à surmonter le décès de sa partenaire
ZAGREB (AFP) - Le personnel du zoo de Zagreb est soulagé. Grâce à la musique de Mozart, Suma, un éléphant femmelle âgé de 45 ans a réussi à surmonter la détresse causée par le décès de sa partenaire, Patna, avec laquelle elle avait passé ensemble les dix dernières années de sa vie.
C'est lors de cérémonies organisées récemment pour marquer le 81e anniversaire du zoo de la capitale croate que la direction a constaté que la musique classique faisait du bien à Suma, a expliqué le directeur de l'établissement, Mladen Anic.
"Nous avons organisé un concert juste en face de l'enclos de Suma. Au début, elle était nerveuse et lançait même des cailloux et de la poussière en direction des participants" au spectacle, a-t-il ajouté. Mais dès les premiers accords de Mozart, elle s'est calmée, a fermé les yeux et écouté sans bouger tout le concert. "C'était fascinant. Nous avons tout de suite compris", a poursuivi M. Anic qui a fait aussitôt installer une chaîne hi-fi dans la "maison" de Suma.
Suma, qui depuis la mort de Patna au mois de mai se nourrissait à peine et était en permanence déprimée, a retrouvé son appétit et réussit à se consoler surtout avec du Mozart mais aussi Vivaldi, Bach et Shubert.
ZAGREB (AFP) - Le personnel du zoo de Zagreb est soulagé. Grâce à la musique de Mozart, Suma, un éléphant femmelle âgé de 45 ans a réussi à surmonter la détresse causée par le décès de sa partenaire, Patna, avec laquelle elle avait passé ensemble les dix dernières années de sa vie.
C'est lors de cérémonies organisées récemment pour marquer le 81e anniversaire du zoo de la capitale croate que la direction a constaté que la musique classique faisait du bien à Suma, a expliqué le directeur de l'établissement, Mladen Anic.
"Nous avons organisé un concert juste en face de l'enclos de Suma. Au début, elle était nerveuse et lançait même des cailloux et de la poussière en direction des participants" au spectacle, a-t-il ajouté. Mais dès les premiers accords de Mozart, elle s'est calmée, a fermé les yeux et écouté sans bouger tout le concert. "C'était fascinant. Nous avons tout de suite compris", a poursuivi M. Anic qui a fait aussitôt installer une chaîne hi-fi dans la "maison" de Suma.
Suma, qui depuis la mort de Patna au mois de mai se nourrissait à peine et était en permanence déprimée, a retrouvé son appétit et réussit à se consoler surtout avec du Mozart mais aussi Vivaldi, Bach et Shubert.