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Publié : jeu. oct. 02, 2008 5:58 am
par Ely
Acrux a écrit Maitenant? Il a changé de non?
Je sais pas mais c'est ce qui était écris à l'écran hier soir quand il a été présenté
Publié : jeu. oct. 02, 2008 6:00 am
par tipet
Ely a écrit
Je sais pas mais c'est ce qui était écris à l'écran hier soir quand il a été présenté
Ça toujours été ça Je me rapelle que Marc Labrèche l'appellait "Stéphan "pas de E" Bureau" --Message edité par tipet le 2008-10-02 12:40:36--
Publié : jeu. oct. 02, 2008 6:34 am
par Ely
tipet a écrit
Ça toujours été ça Je me rapelle que Marc Labrèche "Stéphan "pas de E" Bureau"
A ouin, je savais pas. C'est drole parreil
Publié : jeu. oct. 02, 2008 8:28 am
par Ely
Un groupe non-partisan demande l'annulation des élections du 14 octobre. La cours devrait entendre leur poursuite la semaine prochaine. Ils disent que Harper n'avait pas le droit de briser la loi sur les élections à date fixe.
Publié : jeu. oct. 02, 2008 8:36 am
par Grisbouille
Ely a écritUn groupe non-partisan demande l'annulation des élections du 14 octobre. La cours devrait entendre leur poursuite la semaine prochaine. Ils disent que Harper n'avait pas le droit de briser la loi sur les élections à date fixe.
J'espère voir le débat de ce soir, j'ai envie de rire un brin en écoutant maintenant Dion parlé en anglais, hier c'était la madame verte qui était drôle et ce soir se sera Dion avec la langue seconde. Pauvre lui, nous autres on le sait qu'il parle très bien le français mais les anglais vont-ils comprendre quelque chose, ça, c'est une bonne question et moi aussi, je vais te suivre dans l'attente des évenements pour la poursuite
Publié : jeu. oct. 02, 2008 9:25 am
par Beppo
Grisbouille a écrit
J'espère voir le débat de ce soir, j'ai envie de rire un brin en écoutant maintenant Dion parlé en anglais, hier c'était la madame verte qui était drôle et ce soir se sera Dion avec la langue seconde. Pauvre lui, nous autres on le sait qu'il parle très bien le français mais les anglais vont-ils comprendre quelque chose, ça, c'est une bonne question et moi aussi, je vais te suivre dans l'attente des évenements pour la poursuite
J'ai lu un article écrit par un journaliste anglophone dans La Presse dernièrement (le nom m'échappe malheureusement) qui avançait que Dion parle mieux anglais que Harper parle français. Je vois le visage de ce journaliste (il porte des lunettes) qui parle très bien le français aussi mais le nom m'échappe complètement.
Publié : jeu. oct. 02, 2008 9:37 am
par Nabila
Subventions dans secteur culturel - Même les bonnes nouvelles sont passées sous silence
Guillaume Bourgault-Côté
Édition du jeudi 02 octobre 2008
Le cabinet Harper a renouvelé le Fonds des nouveaux médias sans en souffler mot à personne, même aux gestionnaires
On supprime en catimini... ou on reconduit en catimini. Le cabinet de Stephen Harper a annoncé hier que le Fonds des nouveaux médias (FNM) aurait finalement été renouvelé «il y a un bon bout de temps», cet été. Le hic: la décision n'a jamais été communiquée à Patrimoine canadien, pas plus qu'au gestionnaire du Fonds, Téléfilm Canada.
Selon Dimitri Soudas, porte-parole et conseiller politique de Stephen Harper, le FNM a donc «été renouvelé» même si «le cabinet a eu une recommandation» suggérant une suppression. Questionné pour savoir quand cette décision a été prise, M. Soudas est resté vague au bout du fil hier matin. «Ça fait un bon bout de temps... c'est bien avant le déclenchement des élections.»
Pourtant, personne ne semble être au courant de cette décision. Hier, Le Devoir indiquait dans ses pages que le Fonds, d'une valeur de 14,5 millions, ne serait pas reconduit après son échéance du 31 mars 2009. À Téléfilm Canada, on mentionnait que le FNM «n'a pas été renouvelé [à ce jour] et ne reçoit plus aucune demande d'aide de la part des producteurs».
Du côté du ministère, un communiqué envoyé hier aux médias démentait les informations du Devoir, tout en restant muet sur l'avenir précis du FNM. «Le financement de ce fonds a été renouvelé en juin 2007, et ce [...] jusqu'au 31 mars 2009. Aucune décision n'a été prise d'éliminer le FNM», indique-t-on avant de réitérer que «le ministère entend continuer à appuyer le secteur des nouveaux médias de la manière la plus efficace possible» dans le contexte actuel.
En pleine préparation pour l'important débat d'hier soir, Dimitri Soudas n'a pas expliqué au Devoir pourquoi le gouvernement n'a pas confirmé plus tôt le renouvellement du FNM. Les médias ont publié plusieurs articles depuis la fin d'août concernant la disparition appréhendée -- et jamais démentie -- de ce fonds, et les protestations ont été nombreuses de la part des intervenants du milieu (notamment de la part du Regroupement des producteurs multimédias -- RPM). «Je n'ai jamais eu de demande d'information personnellement là-dessus», a indiqué M. Soudas.
Scepticisme
Les rebondissements dans cette histoire en ont laissé plusieurs pantois hier. «Tout ça est cousu de fil blanc, a lancé Denis Coderre, porte-parole des libéraux en matière de culture. C'est pathétique, c'est de la diversion, de la gestion de crise. [...] On tente de gagner du temps [avant le débat et les élections] parce qu'on craint que ça puisse démontrer encore que M. Harper ne croit pas à la culture.»
Le scepticisme était aussi de mise chez des intervenants du milieu culturel. C'est que les explications de M. Soudas ne cadrent pas avec la chronologie des événements tels que vécus par certains employés de Téléfilm Canada.
En effet, selon ce que Le Devoir a pu apprendre hier, des employés responsables de la gestion du FNM à Téléfilm ont reçu au mois d'août un avis de fin de contrat prenant effet le 31 mars 2009, date prévue de la fin du programme s'il n'était pas reconduit. L'avis spécifiait que leurs services n'étaient plus requis puisque le programme était aboli.
Or la consigne a changé au moment du déclenchement des élections, début septembre. Les avis ont alors été suspendus et le personnel a reçu instruction d'indiquer aux demandeurs que le programme prenait fin en mars 2009, sans préciser si celui-ci serait renouvelé ou non. On leur demandait en même temps d'inciter tous les bénéficiaires à terminer leurs projets pour cette même date.
Hier, Téléfilm Canada référait toutes les questions concernant le Fonds des nouveaux médias vers Patrimoine canadien.
Le FNM sert à financer des projets de contenu «numérique interactif culturel» offert sur des plates-formes variées, allant du cédérom au site Web, du support DVD à la technologie sans fil. Le programme est le seul à permettre aux producteurs de développer des produits qui ne sont pas liés à des émissions de télévision, indique le RPM.
Publié : jeu. oct. 02, 2008 9:41 am
par Nabila
2 octobre 2008
Lendemains de débat
Michel C Auger
Ç'a été un débat sans moment décisif, sans le genre d'incident qui peut changer le cours d'une campagne. Un débat qui ne fera sans doute pas changer d'idée ceux qui ont déjà choisi leur camp.
Ce qui ne veut pas dire que les chefs sortent tous de ce débat avec les mêmes perspectives pour le reste de la campagne.
Stephen Harper
Pour Stephen Harper, il était prévisible que la soirée allait être difficile, puisque les quatre autres chefs allaient nécessairement se liguer contre lui. Il a joué non pas à la défense, mais carrément à la position de gardien de but. Il s'en est tiré plutôt bien pour ce qui est d'arrêter la plupart des lancers dirigés vers lui.
Ce n'est pas assez. M. Harper devait aussi rassurer nombre d'électeurs québécois qui craignent de le voir à la tête d'un gouvernement majoritaire. Il a bien réussi à mettre fin à certains débats qui ne résistaient pas à l'épreuve des faits. Comme l'affirmation de Gilles Duceppe sur l'envoi des jeunes dans des prisons d'adultes.
Mais il ne suffisait pas à M. Harper de garder son calme pour rassurer les électeurs. Il n'a toujours rien dit sur la crise économique qui frappe notre voisin et principal partenaire commercial. Alors que les gens sont inquiets – à bon droit – de la situation et qu'ils voient le monde entier, de George Bush à Nicolas Sarkozy, s'activer, ils ont encore entendu Stephen Harper dire qu'il n'y avait rien à craindre pour la santé de l'économie canadienne.
De même, M. Harper a plutôt mal paru quand il s'est agi d'attaques sur son style de leadership. Sur cette façon de tout contrôler. De diaboliser tous ses adversaires. Que ce soit les artistes qui protestent contre des compressions dans les subventions, ou des scientifiques qui remettent en question les politiques de son gouvernement.
Pour ce qui est de rassurer les électeurs hésitants, M. Harper devra donc se reprendre.
Gilles Duceppe
Gilles Duceppe a non seulement l'habitude de ces débats, il a l'habitude de les gagner. Il a été efficace, bien au courant de ses dossiers, mais il n'a pas dominé ce débat. Il a réussi à passer ses messages, mais on a constaté que certaines de ses attaques contre le gouvernement sont nettement exagérées. Des enfants de 16 ans dans les prisons d'adultes – c'est possible, mais ça ne se produit pratiquement jamais – à la possibilité qu'Ottawa veuille nationaliser Hydro-Québec. Jamais n'a-t-on vu des souverainistes se lancer dans une telle campagne de peur.
Reste que ça semble marcher. M. Duceppe sème dans un terreau fertile quand il dit que les Québécois devraient craindre un gouvernement Harper majoritaire. Et rien dans ce débat ne devrait faire changer d'idée ceux qui croient déjà cela.
Stéphane Dion
Stéphane Dion a eu un bon débat. Au jeu des attentes, c'est lui qui a gagné en excédant toutes les attentes à son égard. Le seul ennui, c'est que lorsqu'on part de trop loin, on ne peut pas rattraper les autres.
Le chef libéral a été bon, mais pas étincelant. Pas assez pour dire qu'à partir de maintenant, la lutte au Québec n'est plus simplement entre bloquistes et conservateurs, mais qu'il y a désormais un troisième joueur dans le match.
M. Dion a gagné beaucoup de sympathie dans ce débat. Malheureusement, ça ne se traduira pas en sièges aux Communes.
Jack Layton
Jack Layton a sans doute perdu quelques plumes au Québec. Sa commande était un peu la même que celle de M. Dion: convaincre les Québécois qu'il était le troisième homme de la course. Mais il n'a réussi qu'à être un joueur de plus à attaquer Stephen Harper. Sans efficacité particulière et surtout, sans donner aux électeurs tentés par un vote stratégique une raison substantive de voter pour le NPD.
Elizabeth May
Elizabeth May a dépassé les attentes elle aussi. Mais c'est surtout parce qu'elles étaient très basses.
Elle aura montré qu'elle n'avait pas nécessairement sa place dans ce débat. En passant beaucoup plus de temps à attaquer Stephen Harper qu'à présenter le programme du Parti vert, elle n'a pas forcément gagné une invitation à un prochain débat.
Publié : jeu. oct. 02, 2008 9:54 am
par Mimosa
Dion parle quand même assez bien l'anglais .. Bon, c'est pas parfait, mais il se débrouille ..
Et les Anglais sont beaucoup moins tatillons que nous, quand quelqu'un baragouine l'anglais, ils font l'effort pour comprendre, pour aider.. Nous, quand quelqu'un parle mal le français, on rit et on souligne chaque petit mot mal dit .. J'ai toujours trouvé ça ben dommage..
Publié : jeu. oct. 02, 2008 9:55 am
par Nabila
Quelques instants après le débat, les chefs ont fait le point.
Cible première des attaques, le chef conservateur Stephen Harper a reconnu la difficulté de l'exercice: « Ce n'est pas facile de se retrouver à un contre quatre », a-t-il déclaré.
Je dois vous avouer, j'ai tenté d'avoir un peu de fun, c'est difficile quand c'est quatre contre un. — Stephen Harper
Le chef conservateur a affirmé que l'exercice lui a permis de bien présenter les politiques de son gouvernement. Selon lui, les quatre autres chefs n'ont fait que s'opposer et n'ont présenté aucune solution pour améliorer les choses au pays.
Il en a profité pour critiquer le plan du chef libéral pour prévenir une crise financière au pays. Selon lui, la ronde de réunions que proposent M. Dion a déjà eu lieu et que cela a permis de sécuriser l'économie. Il estime qu'en proposant ce plan en pleine campagne, M. Dion n'a pas confiance en sa propre plateforme.
Élevé comme cela
Stéphane Dion à la fin du débat
Photo: La Presse Canadienne /Fred Chartrand
Stéphane Dion à la fin du débat
Stéphane Dion, au sortir du débat, s'est dit satisfait de sa performance. Il estime avoir réussi à bien expliquer son programme et à mettre en évidence les différences profondes qui l'opposent à M. Harper.
« M. Harper c'est la passivité au pouvoir. Nous, ce sera l'action au pouvoir. » — Stéphane Dion
Un journaliste lui demandant s'il n'aurait pas dû être plus agressif, Stéphane Dion a déclaré que jamais il ne commencerait à calomnier les gens, « ce n'est pas mon style », et qu'il resterait poli, précisant que sa maman l'a élevé comme cela.
Au sujet de son plan pour prévenir le pays d'une crise financière, M. Dion soutient que les récents événements aux États-Unis l'imposaient.
Duceppe est satisfait
Gilles Duceppe commente le débat en français
Photo: La Presse Canadienne /Fred Chartrand
Gilles Duceppe commente le débat en français
Le chef bloquiste estime que son objectif a été atteint. « J'ai démontré que M. Harper était loin du Québec », a-t-il déclaré en point de presse, à la suite du débat des chefs.
Il s'est dit d'accord avec les autres partis d'opposition sur les critiques du gouvernement conservateur, mais il considère que des désaccords fondamentaux persistent. Il a déploré notamment le fait que les partis « ne sont pas clairs » au sujet des demandes de retrait sans condition de programmes fédéraux et avec pleine compensation financière.
Le seul parti capable d'empêcher les conservateurs d'avoir une majorité au Québec, c'est le Bloc québécois. — Gilles Duceppe
Il a ajouté que M. Harper était proche de son homologue américain George Bush. Il lui a aussi reproché d'avoir déclenché des élections afin d'éviter d'affronter la crise économique.
M. Duceppe croit aussi que la reconnaissance de la nation québécoise ne s'est pas traduite en acte. « Quand [M. Harper] nous dit que le Québec est debout à l'UNESCO, c'est vrai. Il n'a pas de siège », a-t-il déclaré.
Harper n'avait pas de réponse, dit Layton
Jack Layton à la fin du débat
Le chef néo-démocrate s'est montré satisfait de sa prestation au premier débat. Il s'est notamment réjoui d'avoir opposé les visions de son parti à celles des conservateurs.
Il s'est aussi félicité d'avoir mis au défi Stephen Harper de répondre à certaines questions cruciales, comme celle de traduire sa déclaration faire en anglais sur les artistes, qu'il a accusés de se plaindre la bouche pleine.
M. Layton s'est dit satisfait de la nouvelle formule du débat. Il a en outre fait remarquer que sur bien des thèmes M. Harper n'avait pas de réponse.
Que ce soit sur la santé, l'environnement, l'économie, ou la guerre en Afghanistan, le chef néo-démocrate a constaté que le premier ministre était muet et n'avait pas de nouvelles idées à présenter aux Canadiens.
M. Harper n'a aucun plan pour juguler la crise économique, il n'avait rien à offrir. — Jack Layton
A priori, Jack Layton ne pense pas qu'il procédera à des changements dans sa stratégie en prévision du débat de jeudi en anglais, mais il a dit qu'il prendra le temps de visionner la joute oratoire en français pour procéder à d'éventuels réajustements.
Quoi qu'il en soit, et peu importe ce que font miroiter les sondages, le chef néo-démocrate est convaincu que son rêve de succéder à Stephen Harper est toujours à portée de main.
May estime avoir réussi l'examen
Elizabeth May, chef du Parti vert, déclare de son côté avoir atteint ses objectifs, malgré l'obstacle de la langue. Elle estime notamment avoir su expliquer son programme et dénoncer le « plan frauduleux » de Stephen Harper en matière d'émissions polluantes.
Publié : jeu. oct. 02, 2008 10:00 am
par Grisbouille
Beppo a écrit
J'ai lu un article écrit par un journaliste anglophone dans La Presse dernièrement (le nom m'échappe malheureusement) qui avançait que Dion parle mieux anglais que Harper parle français. Je vois le visage de ce journaliste (il porte des lunettes) qui parle très bien le français aussi mais le nom m'échappe complètement.
Il est capable de s'exprimer mais parfois sa manière de dire les choses est tellement drôle, il fait des phrases qui ne se disent pas en anglais, il fait la traduction du français à l'anglais et parfois cela donne place à un rire de ma part. C'est comme hier, la madame verte, elle était tellement drôle, mais au moins, elle faisait un effort mais on comprenait pas grand chose mais ce soir, elle sera très à l'aise, donc on pourra donc mieux comprendre son message.
Duceppe est vraiment bon par exemple, il a de l'expérience et parle très bien les 2 langues mais malheureusement, il ne passe pas dans le reste du Canada, c'est ce qui fait qu'il restera toujours dans l'opposition, donc sa job est pas trop difficile, il a juste à contester le premier ministre qu'il soit conservateur ou libéral et je trouve cela dommage, car probablement qu'il apporterait un vent de fraicheur à l'intérieur de ce Canada anglais.
Publié : jeu. oct. 02, 2008 10:04 am
par Beppo
Grisbouille a écrit
Je suis d'accord sur le fait qu'il se débrouille mais comme je disais dans mon autre message, c'est que parfois il fait de la traduction directe entre le français et l'anglais et il fait des phrases qui ne se disent pas en anglais et c'est ça que je trouve drôle.
Les anglais sont pointilleux aussi sur la langue, il déteste d'être obligés de se forcer pour comprendre, ils ne sont pas si différents de nous sté, ils n'ont pas grand patience avec les gens qui ne parlent pas bien l'anglais et j'en sais quelque chose pour avoir été assez souvent dans tout le Canada anglais et y avoir demeuré.
Cristifie! Ils ont dû manger leurs bas en endurant pendant 13 ou 14 ans Jean Chrétien. Ils ont été très patients, mettons.
mdr
Publié : jeu. oct. 02, 2008 10:05 am
par Grisbouille
Mimosa a écritDion parle quand même assez bien l'anglais .. Bon, c'est pas parfait, mais il se débrouille ..
Et les Anglais sont beaucoup moins tatillons que nous, quand quelqu'un baragouine l'anglais, ils font l'effort pour comprendre, pour aider.. Nous, quand quelqu'un parle mal le français, on rit et on souligne chaque petit mot mal dit .. J'ai toujours trouvé ça ben dommage..
Je suis d'accord sur le fait qu'il se débrouille mais comme je disais dans mon autre message, c'est que parfois il fait de la traduction directe entre le français et l'anglais et il fait des phrases qui ne se disent pas en anglais et c'est ça que je trouve drôle.
Les anglais sont pointilleux aussi sur la langue, il déteste d'être obligés de se forcer pour comprendre, ils ne sont pas si différents de nous sté, ils n'ont pas grand patience avec les gens qui ne parlent pas bien l'anglais et j'en sais quelque chose pour avoir été assez souvent dans tout le Canada anglais et y avoir demeuré.
Publié : jeu. oct. 02, 2008 10:13 am
par Grisbouille
Beppo a écrit
Cristifie! Ils ont dû manger leurs bas en endurant pendant 13 ou 14 ans Jean Chrétien. Ils ont été très patients, mettons.
mdr
Oui, j'en ai entendu des commentaires, les gens riaient tellement de lui autant nous qu'eux.
Publié : jeu. oct. 02, 2008 10:13 am
par Grisbouille
Ils parlaient pas très bien même en français
Publié : jeu. oct. 02, 2008 10:16 am
par Nabila
Pourtant, j'ai habité quelques années en Saskatchewan, et le temps que je "pogne le tour" en anglais, je ne me suis pas fais ridiculiser Même qu'au contraire, les gens me félicitaient pour mes efforts, et m'aidaient quand je leurs demandaient de me corriger en cas d'erreur Le commentaire que j'ai eu le plus souvent est: "Hey! Your English is better than my French!!"
Bon, je ne sais pas si le contraire se disait dans mon dos, mais selon mon expérience, de ce côté, les Anlgais que j'ai côtoyé étaient assés tolérants
Publié : jeu. oct. 02, 2008 10:21 am
par Grisbouille
Nabila a écritPourtant, j'ai habité quelques années en Saskatchewan, et le temps que je "pogne le tour" en anglais, je ne me suis pas fais ridiculiser Même qu'au contraire, les gens me félicitaient pour mes efforts, et m'aidaient quand je leurs demandaient de me corriger en cas d'erreur Le commentaire que j'ai eu le plus souvent est: "Hey! Your English is better than my French!!"
Bon, je ne sais pas si le contraire se disait dans mon dos, mais selon mon expérience, de ce côté, les Anlgais que j'ai côtoyé étaient assés tolérants
Tant mieux, car moi, j'ai demeuré en Ontario, à Winnipeg mais je dois avouer que ceux de la Nouvelle-Ecosse sont les mieux sur ce côté, donc j'espère le prochain coup aller en Saskatchewan.
Publié : jeu. oct. 02, 2008 10:31 am
par Nabila
Winter-peg *vieille joke*
C'est une des provinces que je n'ai pas vraiment vu.... est-ce beau??? Les gens y sont comment??
*Nabila, curieuse *
Publié : jeu. oct. 02, 2008 10:37 am
par Grisbouille
Nabila a écritWinter-peg *vieille joke*
C'est une des provinces que je n'ai pas vraiment vu.... est-ce beau??? Les gens y sont comment??
*Nabila, curieuse *
C'est de grand espace, genre vallée, beaucoup d'Indiens, beaucoup de pick-up, chapeau western, c'est bien mais comme dit la chanson, À Winnipeg les nuits sont longues, y'a pas vraiment grand chose surtout dans le coin que je vivais près d'une base militaire, donc c'était peut être mon habit qu'ils n'aiment pas, mais mettons que je ne voudrais pas y retourner, remarque beaucoup me dise du bien de la Saskatchewan mais j'ai jamais vu cette province.
Publié : jeu. oct. 02, 2008 10:44 am
par Nabila
Moi, je restais directement dessus en Saskatchewan
Mais plus sérieusement, j'ai travaillé en ville (la base et son village se nomme "Bushell Park, et la ville Moose Jaw) et je n'ai jamais senti de mépris face à mon accent
Par contre, en ville, il n'aime pas trop les militaires... ce sont des "pilotes qui viennent pour leur voler leurs femmes, leurs soeurs et leurs filles" Et ma foi, ils n'ont pas toujours tord