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Publié : sam. déc. 06, 2008 7:23 am
par joanna
Ely  a écritCe matin, j'ouvre le publi-sac pour regarder les spéciaux de nowel et que vois-je, un petit pamphlet du parti libéral embalé individuellement dans un grand sac de plastique  

C'est quoi là, s'ils s'occupent de l'économie ils oublient tous les autres domaines? Les enjeux environnementaux ca existe pu ? Je suis en train de douter que Jean Charest voulait vraiment une voiture hybride....  

Dans mon coin, il y avait une petit pamphlet du candidat libéral dans le publi-sac mais pas emballé individuellement. Faut croire qu'on ne met pas la même chose partout.

Publié : sam. déc. 06, 2008 9:54 am
par Red K
joanna  a écrit

Dans mon coin, il y avait une petit pamphlet du candidat libéral dans le publi-sac mais pas emballé individuellement. Faut croire qu'on ne met pas la même chose partout.


C'est parce qu'au prix qu'ils sont payés pour ensacher et passer ça, y'en a probablement un qui a décidé de gagner un peu de temps.

Publié : sam. déc. 06, 2008 10:41 am
par Beppo
Jumbo  a écrit

Tu avais hâte qu'il sorte, maintenant ça veut dire quoi ?
D'après ce qu'on lit ici, le sondage donnerait 32% d'électeurs intelligents et les autres comme Pauline Marois l'a si bien dit, de mettre leurs yeux vis à vis des trous.

Elle se prend pour qui elle? Le bon Dieu au féminin.  


C'est ton interprétation... Si non, donne-moi une seule référence où il est écrit ce que tu avances.



Publié : sam. déc. 06, 2008 11:49 am
par jumbo
Beppo  a écrit

C'est ton interprétation... Si non, donne-moi une seule référence où il est écrit ce que tu avances.



Ça vaux-tu une réponse.    Non.   --Message edité par jumbo le 2008-12-06 16:51:11--

Publié : dim. déc. 07, 2008 2:54 am
par jumbo
Publié le 06 décembre 2008 à 14h24 | Mis à jour le 06 décembre 2008 à 14h27


Duceppe s'en prend à Charest

Photo: PC
Martin Croteau
La Presse


(Compton) Gilles Duceppe a pris Jean Charest à partie, samedi, dénonçant le mutisme du premier ministre sortant face à la crise politique à Ottawa.

Aux côtés de Pauline Marois, qui faisait campagne en Estrie, le chef du Bloc québécois s'est dit étonné d'attitude du chef libéral, qui a soigneusement évité de commenter la formation d'une coalition pour renverser le gouvernement de Stephen Harper. M. Charest ne s'était pas gêné pour intervenir dans la campagne fédérale, souligne M, Duceppe. Il avait en effet critiqué les compressions en culture des conservateurs, de même que la baisse des subventions aux organismes de développement économique et le plan d'imposer des peines plus sévères aux jeunes contrevenants.

«M. Charest a fait beaucoup plus d'interventions dans la campagne fédérale au sujet des intérêts du Québec qu'il l'a fait dans sa propre campagne», a raillé le chef du Bloc québécois, venu prêter main forte à Pauline Marois à deux jours de l'élection provinciale.
Gilles Duceppe somme le chef libéral de se prononcer en faveur d'un éventuel gouvernement de coalition soutenu par le Bloc québécois. «Je le critique, a-t-il déclaré. Qu'il tienne compte de ces critiques et qu'il se tienne debout.»


Jean Charest s'était pourtant porté à la défense du Bloc, jeudi soir, dans les minutes qui ont suivi l'allocution télévisée de Stephen Harper. «Je vis dans une société où les gens peuvent être fédéralistes ou souverainistes, mais ils se respectent, avait-il déclaré. La même chose devrait être vraie dans le parlement fédéral. On n'a pas à faire de procès d'intention à quiconque parce qu'il défend une position ou une autre.»

Interrogé à savoir s'il pourrait de défendre les intérêts du Québec tout en se brouillant avec le premier ministre de la province, M. Duceppe a répondu : «Au-delà des personnalités, il faut avoir le sens des responsabilités.»

«Pas de commentaire»

Gilles Duceppe, qui a mené le Bloc à une récolte de 49 sièges sur 75 le 14 octobre dernier, a refusé d'analyser les problèmes du PQ dans la présente campagne.

«Je ne suis pas pour commenter les résultats avant qu'ils n'arrivent, pas plus que je vais faire de prédictions pour l'avenir», a-t-il déclaré, interrogé sur un deuxième sondage en autant de jours qui place Pauline Marois loin derrière son rival libéral.

Chef d'un Parti Fédéraliste faisant campagne main dans la main avec un Parti Provincial, et en plus le monsieur(duceppe) est pas content. M.Charest n'a pas embarqué dans leur piège.   --Message edité par jumbo le 2008-12-07 07:58:24--

Publié : dim. déc. 07, 2008 3:45 am
par Beppo
Jumbo  a écritPublié le 06 décembre 2008 à 14h24 | Mis à jour le 06 décembre 2008 à 14h27


Duceppe s'en prend à Charest

Photo: PC
Martin Croteau
La Presse


(Compton) Gilles Duceppe a pris Jean Charest à partie, samedi, dénonçant le mutisme du premier ministre sortant face à la crise politique à Ottawa.

Aux côtés de Pauline Marois, qui faisait campagne en Estrie, le chef du Bloc québécois s'est dit étonné d'attitude du chef libéral, qui a soigneusement évité de commenter la formation d'une coalition pour renverser le gouvernement de Stephen Harper. M. Charest ne s'était pas gêné pour intervenir dans la campagne fédérale, souligne M, Duceppe. Il avait en effet critiqué les compressions en culture des conservateurs, de même que la baisse des subventions aux organismes de développement économique et le plan d'imposer des peines plus sévères aux jeunes contrevenants.

«M. Charest a fait beaucoup plus d'interventions dans la campagne fédérale au sujet des intérêts du Québec qu'il l'a fait dans sa propre campagne», a raillé le chef du Bloc québécois, venu prêter main forte à Pauline Marois à deux jours de l'élection provinciale.
Gilles Duceppe somme le chef libéral de se prononcer en faveur d'un éventuel gouvernement de coalition soutenu par le Bloc québécois. «Je le critique, a-t-il déclaré. Qu'il tienne compte de ces critiques et qu'il se tienne debout.»


Jean Charest s'était pourtant porté à la défense du Bloc, jeudi soir, dans les minutes qui ont suivi l'allocution télévisée de Stephen Harper. «Je vis dans une société où les gens peuvent être fédéralistes ou souverainistes, mais ils se respectent, avait-il déclaré. La même chose devrait être vraie dans le parlement fédéral. On n'a pas à faire de procès d'intention à quiconque parce qu'il défend une position ou une autre.»

Interrogé à savoir s'il pourrait de défendre les intérêts du Québec tout en se brouillant avec le premier ministre de la province, M. Duceppe a répondu : «Au-delà des personnalités, il faut avoir le sens des responsabilités.»

«Pas de commentaire»

Gilles Duceppe, qui a mené le Bloc à une récolte de 49 sièges sur 75 le 14 octobre dernier, a refusé d'analyser les problèmes du PQ dans la présente campagne.

«Je ne suis pas pour commenter les résultats avant qu'ils n'arrivent, pas plus que je vais faire de prédictions pour l'avenir», a-t-il déclaré, interrogé sur un deuxième sondage en autant de jours qui place Pauline Marois loin derrière son rival libéral.

Chef d'un Parti Fédéraliste faisant campagne main dans la main avec un Parti Provincial, et en plus le monsieur(duceppe) est pas content. M.Charest n'a pas embarqué dans leur piège.    

Je vais t'apprendre une grande nouvelle. Le BQ est un parti souverainiste...

 

Publié : dim. déc. 07, 2008 4:01 am
par tipet
Beppo  a écrit

Je vais t'apprendre une grande nouvelle. Le BQ est un parti souverainiste...

 


Ben oui toi big news, on est tous étonnés Duceppe et Marois=même combat! J'en reviens pas!



Publié : dim. déc. 07, 2008 4:57 am
par jumbo
Beppo  a écrit

Je vais t'apprendre une grande nouvelle. Le BQ est un parti souverainiste...

 


C'est ben vrai, moi qui pensait que le Bloc était un Parti Fédéraliste, mais non, c'est un parti souverainiste fédéralistes.   --Message edité par jumbo le 2008-12-07 10:04:02--

Publié : dim. déc. 07, 2008 5:04 am
par jumbo
Des partis «purs et durs» dans l'ombre du PQ

L'ex-bloquiste Ghislain Lebel est candidat du Parti indépendantiste dans Chambly.

Photo: Archives La Presse
Jean-Christophe Laurence
La Presse


La flamme souverainiste change de mains. Déçus par la mollesse du PQ, de nouveaux partis politiques jouent du coude pour offrir une alternative aux indépendantistes purs et durs. Bien en avant, le Parti indépendantiste participe demain à ses premières élections.

Fondé en février 2008, le Parti indépendantiste compte déjà 19 candidats, dont l'ex-bloquiste Ghislain Lebel (Chambly) et l'ancien sondeur officiel du PQ, Michel Lepage (Borduas). Son chef, Éric Tremblay (Taillon), affirme qu'il en avait assez des détours empruntés par le Parti québécois, devenu selon lui un «parti provincialiste comme les autres».



M. Tremblay accuse ni plus ni moins le PQ d'avoir abandonné la cause souverainiste. «Ça fait 13 ans que le PQ ne mène plus de combat actif pour faire du Québec un pays libre et indépendant, indique M. Tremblay. Moi je dis que si le peuple québécois veut reprendre sa destinée en main, il ne peut plus attendre après le PQ. Tout ce qui intéresse ce parti, c'est de prendre le pouvoir pour gérer la province à la petite semaine.»


Se présentant comme la seule alternative valable au PQ, le PI entend déclarer unilatéralement l'indépendance du Québec advenant une majorité à l'Assemblée nationale. Son programme inclut entre autres un renforcement de la loi 101 et une sélection de l'immigration basée sur la connaissance du français.

M. Tremblay le répète sans cesse: sa formation est actuellement «la seule à offrir un plan concret pour l'indépendance».

Mais l'est-elle vraiment?

Outre Québec solidaire, d'autres petits partis ont décidé de remettre la cause souverainiste à l'avant-plan. Partisan d'une «association confédérative» avec le Canada, le Parti République du Québec présente cette année un candidat dans Vaudreuil, soit l'ancien péquiste Gilles Paquette. Deux formations ouvertement indépendantistes - le Parti Jeanne du Lys et l'Union démocratique pour l'indépendance du Québec (UDIQ) - ont par ailleurs réservé leur nom auprès du DGE, en vue d'un scrutin ultérieur.

Pour Éric Montpetit, professeur au département de politique de l'Université de Montréal, cette tendance à la multiplication trahit avant tout une grande impatience dans les rangs souverainistes. «Ces partis sont composés d'indépendantistes un peu pressés, lance M. Montpetit. Ils ont un sentiment d'urgence que le PQ n'a pas, parce qu'il a épousé le rythme de l'électorat qui ne voit pas la nécessité urgente de faire l'indépendance.»

Fort de ses 19 candidats, Éric Tremblay invite tous les indépendantistes déçus à se grouper sous la bannière du PI. Mais il semble déjà évident qu'au delà de la cause commune, ces nouvelles formations ne partagent pas la même philosophie. Sylvie R. Tremblay, du parti Jeanne du Lys, affirme ne pas adhérer à certaines idées «d'extrême droite» du Parti indépendantiste, alors que Gilles Paquette, du PRQ, l'accuse tout simplement de «plagiat». Il y a deux mois, des problèmes à l'interne ont en outre mené à l'expulsion de trois membres de l'exécutif du Parti indépendantiste, qui avaient réclamé la tête de leur chef.

Désunie dans la marge, la relève souverainiste a encore beaucoup à faire pour offrir une véritable alternative au Parti québécois, estime Éric Montpetit. «À mon sens, ça reste des mouvements minoritaires. Dans ce contexte, je ne suis pas certain que ces partis soient menaçants pour le PQ. La majorité des souverainistes se sent à l'aise avec la position plutôt centriste du Parti québécois et une démarche pour la souveraineté qui est plus lente.»


Publié : dim. déc. 07, 2008 5:07 am
par jumbo
Publié le 07 décembre 2008 à 09h37 | Mis à jour à 09h42


Blanchet aurait été victime d'un piège, selon Marois

Le candidat du Parti québécois dans Drummond, Yves-François Blanchet

Photothèque Le Soleil
Martin Croteau
La Presse


(Acton Vale) Pauline Marois s'est de nouveau portée à la défense d'Yves-François Blanchet, arrêté cette semaine en état d'ébriété dans sa voiture. La chef du PQ a soutenu hier que son candidat dans Drummond a été victime d'un piège.

«Je crois qu'on a voulu le piéger, a-t-elle déclaré en entrevue à Radio-Acton. J'ai ce sentiment-là.»

M. Blanchet, ex-président de l'ADISQ et agent du rocker Éric Lapointe, a été cueilli par des agents de la Sûreté du Québec à 3h25 dans la nuit de jeudi à vendredi. Il était assis dans le siège du conducteur de sa voiture, garée dans une zone interdite. Il a échoué à un alcootest à son arrivée au poste de Drummondville.

Le candidat a confirmé ces faits. Mais il soutient n'avoir jamais eu l'intention de prendre le volant ce soir-là. Il affirme que le contact était coupé lorsque les policiers se sont approchés de son véhicule, ce que la SQ a contredit.

Aucune accusation n'a encore été portée contre Yves-François Blanchet. Voilà pourquoi la SQ n'a jamais formellement identifié le candidat péquiste. Si la Couronne décide de l'inculper, l'ex-impresario entend plaider non coupable.

Dans l'entourage de Pauline Marois, on s'étonne que les médias aient eu vent de l'arrestation alors que la SQ n'a jamais divulgué l'identité de M. Blanchet. On soupçonne qu'un adversaire a fourni l'information aux médias.

La chef du PQ a réitéré sa confiance en son candidat. «Il a expliqué les circonstances dans lesquelles il a été interpellé, a-t-elle affirmé. Il n'était pas sur la route en train de conduire.»

Mme Marois devait faire campagne à Drummondville vendredi soir. Mais la veille, quelques heures après l'arrestation de M, Blanchet, son itinéraire a été modifié. La caravane a finalement pris le chemin de Sherbrooke.

Publié : dim. déc. 07, 2008 6:15 am
par tuberale
Oubliez pas d'aller voter demain....  


Moi-même j'avoue que je vais devoir me donner un coup de pied quelque part pour y aller tant cete campagne non désirée a été plate et incongrue mais faut c'qui faut hein...

Publié : dim. déc. 07, 2008 6:36 am
par Beppo
Jumbo  a écrit

C'est ben vrai, moi qui pensait que le Bloc était un Parti Fédéraliste, mais non, c'est un parti souverainiste fédéralistes.    

Il prône la souveraineté. Comment peut-il être fédéraliste? Il ne faut quand même pas déformer une réalité qui existe depuis d'une quinzaine d'années. Jamais le Bloc n'a prôné l'avancement du fédéralisme. Cette vocation lui serait bien nouvelle et très contradictoire.



Publié : dim. déc. 07, 2008 7:33 am
par jumbo
Beppo  a écrit

Il prône la souveraineté. Comment peut-il être fédéraliste? Il ne faut quand même pas déformer une réalité qui existe depuis d'une quinzaine d'années. Jamais le Bloc n'a prôné l'avancement du fédéralisme. Cette vocation lui serait bien nouvelle et très contradictoire.




Au début, je voulais surtout dire, un Parti faisant parti du Fédéral.  

C'est vrai qu'il n'est pas un Parti fédéraliste au Fédéral, mais plûtot un Parti Souverainiste au Fédéral.  

Donc comment peut-on chialer après M.Harper qui ne veut que discuter avec les Partis Fédéralistes quand viendra le temps de discuter du bien-être du Canada et de l'unité canadienne.  

Publié : dim. déc. 07, 2008 8:04 am
par tipet
Suis-je la seule à trouver que l'environnement a carrément été oublié durant cette campagne

Publié : dim. déc. 07, 2008 8:57 am
par Beppo
Jumbo  a écrit

Au début, je voulais surtout dire, un Parti faisant parti du Fédéral.  

C'est vrai qu'il n'est pas un Parti fédéraliste au Fédéral, mais plûtot un Parti Souverainiste au Fédéral.  

Donc comment peut-on chialer après M.Harper qui ne veut que discuter avec les Partis Fédéralistes quand viendra le temps de discuter du bien-être du Canada et de l'unité canadienne.    

Si on exclut un parti souverainiste des discussions canadiennes et que ce parti est légitimement élu par des membres de ce pays (à ce que je sache, je ne suis pas un exclus), peut-on aussi soustraire ces mêmes votants de l'impôt que je paie à Tattawa?
Tant que nous ferons parti du Canada et que je paierai des impôts à ce lieu, je suis un citoyen qui a droit de vote, qui à la liberté de voter pour le parti que je veux et qui doit recevoir les mêmes considérations que tout autre citoyen. Agir autrement...



Publié : dim. déc. 07, 2008 9:35 am
par lucide
Dumont: Charest livrerait mandat «ron-ron-ron-petit-patapon»

Vincent Brousseau-Pouliot
La Presse


(Thetford Mines) Mario Dumont dénonce la fin de campagne plutôt tranquille du premier ministre Jean Charest, qui a visité deux fois moins de circonscrïptions que le chef de l'Action démocratique du Québec au cours du dernier week-end de la campagne électorale.

«Les Québécois voient le style de campagne de Jean Charest. Il finit sa campagne sans travailler. Les journalistes appellent ça la campagne «ron-ron-ron-petit-patapon». Les gens doivent regarder le film des derniers jours de campagne comme l'échantillonnage d'un prochain mandat libéral: un gouvernement qui fait le minimum, qui laisse son autobus stationné dans les fonds de cour pour ne pas voir trop de monde. Ça ne fera pas un gouvernement proche du monde», a dit Mario Dumont ce matin.En cette dernière journée de campagne, Mario Dumont appelle les électeurs mécontents du déclenchement des élections par Jean Charest à voter massivement contre les libéraux demain. «Ne pas voter, c’est récompenser celui qui a déclenché l'élection que vous ne vouliez pas, dit le chef de l'ADQ. Il faut être bien sûr qu'on ne récompense pas les gens qu'on croit punir.»

Mario Dumont visite quatre circonscrïptions en cette dernière journée de campagne. L’autobus électoral de l'ADQ est parti de la Beauce ce matin et fera son dernier arrêt de la campagne à Rivière-du-Loup, la circonscrïption que représente Mario Dumont depuis 1994.

Une fin de campagne comme elle a commencé pour Mario Dumont des commentaires enfantins, pas rapport et qui apporte rien.


Publié : dim. déc. 07, 2008 10:37 am
par lolilou
tipet  a écritSuis-je la seule à trouver que l'environnement a carrément été oublié durant cette campagne
non je trouve aussi... pourtant, le PQ a un programme intéressant sur ça...

Publié : dim. déc. 07, 2008 10:47 am
par Soleil47
Ely  a écritCe matin, j'ouvre le publi-sac pour regarder les spéciaux de nowel et que vois-je, un petit pamphlet du parti libéral embalé individuellement dans un grand sac de plastique  

C'est quoi là, s'ils s'occupent de l'économie ils oublient tous les autres domaines? Les enjeux environnementaux ca existe pu ? Je suis en train de douter que Jean Charest voulait vraiment une voiture hybride....  Je ne vois pas pourquoi on attaquerait Jean Charest, le  parti libéral pour ce genre de chose, c'est surement pas eux qui ont demandé cela, en tout cas, ici, nous avons eu le pamphlet, mais avec les autres.

C'est plutôt à la  personne qui les met dans le sac qu'il faut s'adresser et non à un parti politique.

Publié : dim. déc. 07, 2008 10:50 am
par Soleil47
Oui, c'est vrai qu'ils ont complètement oublié l'environnement ou j'en ai sauté des bouts, de toute manière, une campagne comme celle qui a été faite, on peut juste oublier cela.

Je me ferai un devoir d'aller voter demain parce que j'ai pas le choix, mais franchement, la campagne électorale, je considère que c'est de l'argent jeté par les fenêtres et par le fait même les élections aussi.

Sur ce, on verra bien demain soir qui sera notre futur Premier Ministre.

Publié : dim. déc. 07, 2008 11:55 am
par Earendil
amir khadir aurait des chances de gaggné dans mercier et il serait le tout premier candidat de qs élus

meme les pointeurs du pq l'avoue