LE DOMAINE BLEU

Krysantheme a écrit : [...]


Ce sont eux qui on décidé de les suspendre. Ils revendique le droit a la CLASSÉ d'y participer selon mon FB

Anya a écrit : [...]

Je voulais dire que se sont la FEUQ et la FECQ qui suspendent la discussion.

La Fédération universitaire du Québec (FEUQ) et la Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) suspendent les discussions avec le gouvernement en réaction à l'exclusion de la CLASSE.
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Krysantheme a écrit : Non mais yé bon pareille pour répondre faut lui donner ca...

Les élèves de deux écoles secondaires de Montréal, âgés entre 12 et 17 ans, boycottent leurs cours, avec la bénédiction de la direction et des enseignants.

Pincez-moi! Il a suffi que les élèves de l’école Joseph-François-Perreault, dans le quartier Saint-Michel, se réunissent en assemblée générale, se votent à 91 % un congé de trois jours, épinglent un carré rouge à leur manteau, et c’est parti mon kiki! Quelqu’un pouvait-il douter un instant que le OUI au boycott ne l’emporterait pas?

Les enseignants sont évidemment à leurs côtés pour plaider que tout est très démocratique et que les adolescents sont bien au fait des enjeux. Le directeur de cette école, Éric Dionne, se disait même fier de les voir exprimer ainsi leur opinion.

Mais restons positifs ! De toutes les propositions de règlement ayant circulé, la plus ingénieuse est sûrement celle de l’ancien secrétaire général du gouvernement Lévesque et péquiste respecté, Louis Bernard.

La « proposition Bernard » réussit l’exploit d’être gagnante pour toutes les parties, en tenant compte des « fondamentaux » du dossier.

À cause des récents actes de vandalisme qui ont ponctué le boycott étudiant, l’aspect économique du débat sur les hausses des frais de scolarité a pris le bord.

PAS DANS MA POCHE

Pourtant, c’est le nerf de la guerre. C’est une question d’argent qui a poussé certains étudiants à descendre dans la rue, pas une soudaine envie d’en découdre avec le capitalisme, le néolibéralisme, et j’en passe.

Si le gouvernement Charest n’avait pas annoncé qu’il allait piger des dollars supplémentaires dans les poches des étudiants, ceux-ci auraient continué d’étudier comme si de rien n’était, en se foutant de ce qui se passe en dehors de leur cégep ou de leur université.

C’est quand l’État a menacé de toucher à LEUR portefeuille que nos valeureux étudiants se sont découvert une solidarité idéologique avec « les travailleurs d’Aveos, de Rio Tinto Alcan et de Couche-Tard », pour reprendre l’envolée lyrique de Gabriel Nadeau-Dubois.

Grain de sel a écrit : [...]


Je ne sais pas qui lui a montré à patiner, mais il sait très bien patiner. A l'entendre parler ils n'ont pas le contrôle sur rien, il est un porte parole sans pouvoir, ils ne sont pas responsables du contenu de leur site, ils peuvent accepter n'importe quel jos bleau qui appelle à la violence en autant qu'ils s'en dissocie.

Ce sont les dirigeants de demain, est-ce ça leur image d'une société libre, leur définition de la non violence, si c'est ça, si le monde d'aujourd'hui n'est pas jojo, que sera le monde de demain ?

Grain de sel a écrit : [...]


J'ai peut-être mal interprété ses paroles, mais pour moi, la violence qu'on a vu hier encore une fois faisait partie des détails dont nous parlions ici puisque nous parlions de la publicité qu'on en avait fait sur le site de la CLASSE.

myosotis a écrit : Elle a bien appris son texte elle se répète depuis le début de la conférence