LE DOMAINE BLEU

Ayoye. C'est ça qui est poche dans le fait que ça soit sa profession

Bien c'est son travail, même si c'est un travail singulier. Jouer au hockey c'est un sport mais aussi un travail pour certains et les joueurs paient des impôts. Donc je trouve ca normal pour ma part.

Je suis très, très surpris qu'il va payer des impôts canadiens sur son gain. Peu importe qu'il soit un "joueur professionnel" (c'est une simple appellation pompeuse pour dire que le gars a du talent et participe à des tournois, on pourrait tout autant dire que c'est son hobby et qu'il n'a pas d'emploi), la loi est très claire que les gains de loterie ne sont pas imposés au Canada. On peut pas comparer à un sportif puisque les sports ne sont pas de la loterie. Faut pas oublier qu'il va payer des impôts sur les intérêts de ses gains!!!

C'est que le gouvernement est pas con. Ils savent bien que le gars ne va pas contester la décision vu que ça lui donnerait une mauvaise image dans les médias.

Si un Monsieur passe ses journées à acheter des gratteux et que dû à une super chance, il gagne en moyenne 50 000$ par an, est-ce que c'est à ce moment-là un gratteur professionnel qui devrait payer de l'impôt? C'est un peu ridicule. On taxe les gains de loterie à tout le monde ou on les taxe pas.

Beppo a écrit : Le mardi 9 novembre 2010

Jonathan Duhamel devra partager ses millions

9 novembre 2010 | 16h11
Carl Renaud
Argent

Le champion de poker Jonathan Duhamel sera contraint de partager les 9M$ qu’il a empoché lundi soir aux États-Unis. Le nouveau champion mondial devra céder près de la moitié de son prix au trésor public américain ainsi qu’aux gouvernements fédéral et provincial même si les gains de loterie et de jeux ne sont pas imposés au Canada.

Quelques fiscalistes ont accepté de partager leur savoir avec Argent pour établir le montant réel que pourra ultimement conserver la nouvelle vedette du poker. Le fisc américain est le premier à piger dans la cagnotte de Jonathan Duhamel.

Avant même de toucher son chèque, le joueur vedette a vu son gain amputer de 30%. La fiscalité américaine prévoit que les gains de loterie récoltés par les étrangers sont assujettis à l’impôt au taux de 30%. Les 8,9 M$ remportés par le Québécois de 23 ans ont donc fondu à 6,23 M$ en vertu de cette règle fiscale.

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En guise de complément d'information :

La fiscalité américaine prévoit que les gains de loterie récoltés par des étrangers ou des citoyens américains sont assujettis à l’impôt au taux de 30%.

Les 8,9 millions $ remportés par le vainqueur auront donc fondu à 6,23 millions $ avant son départ des États-Unis.

«Un joueur qui a subi des pertes de jeu au cours de l’année aux États-Unis pourrait par contre déduire les pertes de son gain pour diminuer cette retenue à la source de 30%», a précisé à Argent la fiscaliste Caroline Réhaume.

Malheureusement pour Duhamel, l’appétit des gouvernements ne s’arrête pas aux 2,67 millions $ prélevés par le fisc américain. L’Agence du revenu du Canada et Revenu Québec s’attaqueront à son butin lorsqu’il complètera ses déclarations de revenu 2010.

«Les gains de loterie ne sont en théorie pas imposés au Canada mais M. Duhamel est un joueur professionnel. Il est un travailleur autonome qui gagne sa vie en participant à des tournois de poker», a expliqué le fiscaliste Michel Lavoie.

Le taux d’imposition du Bouchervillois sera fixé à 48,2% (le plus élevé des taux d’imposition) puisque son revenu se chiffre à près de 9 millions $. Un bref calcul (48,2% x 8,9 millions $) nous permet d’établir que la part du gouvernement fédéral et provincial s’établit à 4,29 millions $.

Heureusement pour le champion québécois, les 2,67 millions $ d’impôt payés aux États-Unis seront déduits des 4,29 millions $ en vertu d’une convention fiscale conclue entre le Canada et les États-Unis. Duhamel versera donc 1,62 million $ à Ottawa et Québec, lui laissant environ 4,61 millions $ en poche.

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Merci pour l'article. Je me posais justement la question hier à savoir combien d'argent le fisc américain retenait, me rappelant que des Québécois qui avaient gagné à The Price Is Right avaient dû également payer un fort pourcentage sur leurs gains.

Pour ce qui est de devoir payer de l'impôt au Canada, je suis surpris par contre. Peut-être le fait qu'il soit un joueur commandité et payé par une compagnie de poker en ligne vient en bout de ligne brouiller un peu les cartes dans les lois fiscales ('scusez le jeu de mot).

S'il se fait commandité, j'imagine qu'il paye des taxes là-dessus?

J'ai beau regarder la situation de toutes les côtés, je vois juste pas comment ça peut être considérer comme un travail. Un travail, c'est de faire une ou des taches et de recevoir une compensation en argent (soit un salaire horaire, soit une commission, ou les 2). Le gars entre dans un tournoi, il joue à un jeu et a genre, par exemple, 10% de chance de gagner. Faudrait me trouver le dictionnaire qui décrit ça comme étant un travail, parce que je vois pas pentoute.

Chico_Fan a écrit : S'il se fait commandité, j'imagine qu'il paye des taxes là-dessus?

J'ai beau regarder la situation de toutes les côtés, je vois juste pas comment ça peut être considérer comme un travail. Un travail, c'est de faire une ou des taches et de recevoir une compensation en argent (soit un salaire horaire, soit une commission, ou les 2). Le gars entre dans un tournoi, il joue à un jeu et a genre, par exemple, 10% de chance de gagner. Faudrait me trouver le dictionnaire qui décrit ça comme étant un travail, parce que je vois pas pentoute.

Exactement. C'est pour ça que je disais que j'étais surpris moi aussi. À moins que le poker (Texas hold'em) ne soit pas considéré comme un jeu de hasard? Mais bon, ça n'aurait pas de sens, ce n'est pas comme les échecs.

Chico_Fan a écrit : S'il se fait commandité, j'imagine qu'il paye des taxes là-dessus?

J'ai beau regarder la situation de toutes les côtés, je vois juste pas comment ça peut être considérer comme un travail. Un travail, c'est de faire une ou des taches et de recevoir une compensation en argent (soit un salaire horaire, soit une commission, ou les 2). Le gars entre dans un tournoi, il joue à un jeu et a genre, par exemple, 10% de chance de gagner. Faudrait me trouver le dictionnaire qui décrit ça comme étant un travail, parce que je vois pas pentoute.

J'ai entendu plusieurs fois depuis les dernières semaines qu'on considérait le poker comme un sport. Je cherche toujours le lien mais je ne le trouve pas. Oui, oui, un sport! On le diffuse même au réseau RDS. Ce n'est pas peu dire là...

C'est la moitié de l'argent en impot , c'est ca que je trouve capoté

Liste temporaire..

Cette semaine : Jean Paul Gaultier, Georges St-Pierre, Margaret Trudeau et
Marie-Mai.

Lollita a écrit : C'est la moitié de l'argent en impot , c'est ca que je trouve capoté

Je lisais la réflexion de Réjean Tremblay dans La Presse de ce jour à ce propos et je le cite :

« Le Québec compte un autre champion du monde dans un sport pas tout à fait olympique. Bravo à Jonathan Duhamel. Si le fisc lui arrache la moitié de ses 9 millions, ça veut donc dire que sa profession est très honorable. Autrement dit, dans le gambling, quand tu gagnes, c'est une profession. Et quand tu perds, c'est une maladie. »

Fort juste!

Beppo a écrit : [...]


Je lisais la réflexion de Réjean Tremblay dans La Presse de ce jour à ce propos et je le cite :

« Le Québec compte un autre champion du monde dans un sport pas tout à fait olympique. Bravo à Jonathan Duhamel. Si le fisc lui arrache la moitié de ses 9 millions, ça veut donc dire que sa profession est très honorable. Autrement dit, dans le gambling, quand tu gagnes, c'est une profession. Et quand tu perds, c'est une maladie. »

Fort juste!

C'est bien dit

Si le gars avait décidé de flamber son argent au casino à Las Vegas après son gain à la roulette et aux tables VIP à hautes mises de poker et black jack, est-ce que ça veut dire qu'il aurait été endetté de plusieurs millions envers le gouvernement?

Chico_Fan a écrit : Si le gars avait décidé de flamber son argent au casino à Las Vegas après son gain à la roulette et aux tables VIP à hautes mises de poker et black jack, est-ce que ça veut dire qu'il aurait été endetté de plusieurs millions envers le gouvernement?

Dans son cas, ses pertes au POKER doivent sûrement passer dans ses dépenses (inscriptions aux tournois, frais de voyages, etc.) et en fin d'année fiscale, s'il a un profit, il doit payer de l'impôt là-dessus. Par la même logique, j'imagine que si il perd son fric à la roulette entre-temps, c'est autre chose. C'est comme un travailleur "ordinaire" qui perdrait beaucoup d'argent au casino et qui devrait payer quand même de l'impôt sur ses revenus à la fin de l'année.

Mais bon, ce ne sont que des suppositions de ma part, je ne savais même pas avant cette semaine qu'un joueur de poker professionnel devait payer de l'impôt sur ses gains.

ÉMISSION DU DIMANCHE 14 NOVEMBRE 2010
LE GRAND MÉRITE

Remplir le Centre Bell pour la quatrième fois, chanter en duo avec Elvis, être élue la chanteuse la plus populaire du Québec à l’ADISQ… Marie-Mai n’a pas volé sa place et a travaillé très fort pour ce succès tant espéré. L’ex-académicienne croit fermement que c’est l’authenticité de son rock, et non les médias sociaux, qui lui a valu cet honneur.


L’ENTREPRENEUR QUI A LA SANTÉ À COEUR

Synonyme de pharmacie et de success-story, Jean Coutu a réussi à se faire un nom! Le célèbre pharmacien publie l’histoire de son parcours pour encourager les jeunes à foncer à leur tour et à oser pour réussir. De l’expansion de sa franchise jusqu’à la tumultueuse aventure américaine, il ne regrette rien, si ce n’est qu’il est grand temps de donner plus de pouvoir aux pharmaciens.


INDÉMODABLE

L’enfant terrible de la mode, Jean Paul Gaultier, débarque en ville et au musée. C’est en terre montréalaise que le grand couturier se verra consacrer sa toute première rétrospective internationale. Celui qui, tout jeune, habillait son ours en peluche a vêtu les plus grandes stars, de Madonna à Lady Gaga. Si le créateur confirme que la mode est devenue un spectacle, il croit qu’il demeure essentiel d’y mettre à bas les diktats.

COPIER, C’EST VOLER

Sauriez-vous déterminer le vrai du faux? Alain Lacoursière, oui! L’ex-sergent-détective de la police de Montréal connaît ses beaux-arts et s’est spécialisé dans le vaste trafic des faux tableaux, devenant le « Columbo de l’art ». Tournant le dos à sa jeunesse délinquante, il a choisi les forces de l’ordre pour faire la lumière sur le monde des faussaires.

PHYSIQUE, TECHNIQUE, TACTIQUE

Le timide Georges St-Pierre se dit bien calme dans la vie de tous les jours. Dans l’arène, ce champion du monde des mi-moyens de combat ultime se transforme pourtant en véritable gladiateur. Fin prêt pour le prochain match qu’il disputera à Montréal, la star internationale affirme que sa plus grande peur n’est ni de mourir, ni de tuer, mais bien de décevoir son public.


LE QUÉBEC PARTOUT EN FRANCE

Le correspondant de La Presse à Paris l’avoue : la relation entre la France et le Québec est des plus particulières. Le journaliste Louis-Bernard Robitaille, qui habite la Ville Lumière depuis 38 ans, commente les hauts et les bas des artistes québécois qui y ont tenté leur chance. De Félix Leclerc à Xavier Dolan, l’auteur soutient qu’au-delà du talent, être insupportable reste la meilleure façon d’avoir du succès auprès des Français…


MUSIQUE POLÉMIQUE

Le groupe Karkwa ne pensait pas que gagner ou perdre un prix susciterait autant de débats. Qu’ils remportent le prestigieux prix Polaris ou échappent le Félix du groupe de l’année au Gala de l’ADISQ, les musiciens tombent malgré eux dans la controverse. En 12 ans de carrière, ils ont quand même obtenu la vitrine qu’il fallait pour exposer leur musique comme langage universel.

C'était vraiment une bonne émission ce soir. J'ai écouté les entrevues de Marie-Mai, Jean Coutu, Jean-Paul Gaultier, Karkwa..

Les trois autres, j'ai écouté des petits bouts.

J'ai été impressionné par M. Gaultier. Je trouve qu'il était très sympa et je ne l'imaginais pas ainsi..

J'ai aimé le discours de Jean-Paul Gauthier.
Mais Marie-Mai m'a tellement tapé sur les nerfs ce soir.

Mortine a écrit : J'ai aimé le discours de Jean-Paul Gauthier.
Mais Marie-Mai m'a tellement tapé sur les nerfs ce soir.

En tout cas.. j'ai compris le sens de : Rire a gorge déployé

2010-11-14 23:30:50
«Tout le monde en parle»: Xavier Dolan est insupportable

Ce dimanche, à «Tout le monde en parle», on aurait eu droit à une émission pas mal plus banale sans la présence du journaliste culturel Louis-Bernard Robitaille, qui a notamment qualifié Xavier Dolan «d'insupportable» et Linda Lemay de «Soeur sourire».

Correspondant de La Presse à Paris, Louis-Bernard Robitaille habite dans la Ville Lumière depuis 38 ans. Il est l'auteur du livre «La conquête de Paris: la saga des artistes québécois en France». Lors de son apparition au talk-show, il est revenu sur le succès de nombreux artistes québécois de l'autre côté de l'Atlantique.

Félix Leclerc, qui a fait un véritable tabac dans l'Hexagone, a notamment ouvert la voie à Georges Brassens et Barbara, croit-il.

L'animateur Guy A. Lepage est revenu sur les frasques de Robert Charlebois chez nos Cousins. Le journaliste a ensuite abordé l'apparition du chanteur au talk-show de Thierry Ardisson en 1992. «La meilleure façon de se comporter avec des Français, c'est d'être insupportable», a-t-il dit au sujet du passage du musicien à cette émission.

Louis-Bernard Robitaille a également qualifié Xavier Dolan, qui connaît aussi le succès en France, «d'insupportable». «Il va finir par remplacer Ardisson», a-t-il dit au sujet du jeune cinéaste.

«C'est presque Soeur Sourire», a-t-il lancé au sujet de Linda Lemay, autre artiste québécoise populaire dans l'Hexagone! Elle lui rappelle les chanteuses à texte des années 60.

Quel est le plus gros bide québécois, a demandé Lepage? La comédien musicale «Cindy» de Luc Plamondon, selon Robitaille: un flop «assez gros».

Karkwa

Karkwa a remporté le Félix de l'Album alternatif de l'année au dernier Gala de l'ADISQ pour «Les chemins de verre». La formation était en lice pour le prix du Groupe de l'année, décerné par le public, mais a perdu. Mes Aïeux l'a plutôt emporté. Les trois membres du groupe présents sur le plateau, Louis-Jean Cormier, François Lafontaine et Stéphane Bergeron, ne semblaient pas trop s'en faire avec l'honneur qui leur ont échappé.

Le dernier opus a valu à Karkwa le Prix Polaris du Meilleur album canadien de la dernière année. Ce prix lui a valu l'attention des médias anglophones. Un journaliste torontois avait toutefois questionné la légitimité de cet honneur puisque des Québécois faisaient partie du jury. Les musiciens ne s'en font pas trop? En autant qu'on parle d'eux!

Jean Paul Gaultier

En juin prochain, «La planète mode de Jean Paul Gaultier. De la rue aux étoiles» prendra l'affiche au Musée des beaux-arts de Montréal. Il s'agit de la toute première rétrospective internationale consacrée au designer. «Je suis étonnement surpris? Quand j'ai commencé, c'était quand on était mort qu'on avait droit à ce genre de choses», a dit le créateur, flatté par cette exposition.

Le créateur a notamment eu comme muses les mannequins québécois Ève Salvail et Francisco Randez. Quel est son rapport avec le Québec, a demandé Lepage? «Je crois qu'il est meilleur avec Paris et le reste du monde (?). On fait partie de la même famille? Et vous êtes moins snobs que les Parisiens», a répliqué Jean Paul Gautier.

La question des vêtements griffés portés par les célébrités a été abordée. Au départ, les créateurs en prêtaient pour certaines occasions, a expliqué Gaultier, tandis que les rock stars achetaient généralement leurs fringues. En Italie, on a ensuite pris l'habitude d'envoyer des vêtements gratuits aux peoples. Elles se sont depuis habituées à ce traitement de faveur. Certains designers doivent même payer les vedettes pour qu'elles portent leurs création, a dénoncé l'enfant terrible de la mode français. Pour lui, c'est comme acheter l'amour. Il a donc choisi de ne pas embarquer dans ce jeu.

Marie-Mai

Marie-Mai, la première invitée de la soirée, a remporté deux prix au dernier Gala de l'ADISQ. Élue Interprète féminine de l'année grâce au vote du public, elle croit avoir reçu plus «qu'un petit coup de pouce de ses amis Facebook» pour mériter ce prix, a-t-elle dit en réaction à certaines critiques.

On l'entendra sur la version canadienne de l'album «Viva Elvis». Elle y interprète «Love Me Tender» en duo virtuel avec le King.

Georges St-Pierre

Georges St-Pierre est l'athlète canadien le plus populaire à l'étranger, a fait remarquer Lepage. Les combats extrêmes sont beaucoup plus connus à l'international que le hockey, par exemple.

On a appris qu'il priait pour son adversaire avant chaque combat. C'est une question de respect, selon lui.

Les insultes gratuites entre combattants nuisent-elles au sport? St-Pierre le croit. Il tente d'ailleurs de redorer l'image de son sport. Plusieurs champions se comportent comme des gentlemen, affirme ce passionné de philosophie et de dinosaures.

Le 11 décembre, St-Pierre affrontera Josh Koscheck au Centre Bell. Ce dernier l'a déjà accusé de prendre des stéroïdes. «Je prends ça comme une insulte personnelle» car son rival l'accusait «d'être un tricheur». Les athlètes sont testés pour l'usage de stéroïdes, dit-il, sauf qu'il ne croit pas que tout le monde «soit clean» dans son sport.

Jean Coutu

Le célèbre pharmacien Jean Coutu a habité la même maison que Lepage pendant 13 ans, a-t-on appris. Ce dernier l'a d'ailleurs invité à venir visiter son ancien domicile.

Ses pharmacies s'étaient attirées les foudres car elles vendaient des cigarettes. Il trouve dommage qu'on se soit attardé à sa compagnie alors que son compétiteur principal, Pharmaprix, appartenait à un grand manufacturier de tabac, a-t-il affirmé.

Paie-t-on trop cher pour les médicaments au Québec, a demandé l'animateur? Les pharmaciens sont au service à la clientèle le soir et les fins de semaine. On pourrait leur confier un rôle plus important dans notre système de santé, a-t-il d'abord affirmé. «Je pense qu'on pourrait faire quelque chose d'extraordinaire si on était un peu payés», a ensuite ajouté M. Coutu en évitant de répondre directement à la question.

Alain Lacoursière

Alain Lacoursière est un ex-enquêteur de la police de Montréal spécialisé dans les crimes liés aux oeuvres d'art. Les grands vols d'oeuvres d'art sont réalisés sur commande à l'initiative du crime organisé, a-t-il indiqué. On revoit peu fréquemment ces oeuvres dérobées, précise-t-il.

Au départ, les crimes liés à l'art étaient perçus par la police comme des «crimes de riches» qui ne faisaient pas de réelles victimes. Il a ensuite convaincu ses collègues des liens qui existaient entre ces vols et le crime organisé.

Il fait l'objet d'un livre intitulé «Alain Lacoursière, le Columbo de l'art» de Sylvain Larocque, paru chez Flammarion Québec.

Margaret Trudeau devait être de l'émission mais a annulé sa participation. Elle souffrait d'épuisement, a dit Lepage.

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Zarmela a écrit : [...]


Exactement. C'est pour ça que je disais que j'étais surpris moi aussi. À moins que le poker (Texas hold'em) ne soit pas considéré comme un jeu de hasard? Mais bon, ça n'aurait pas de sens, ce n'est pas comme les échecs.

Au Texas hold'em, je dirais que ça prend environ 25% de chance et 75% de talent. Perso je n'ai jamais considéré ça comme un jeu de hasard à part entière, il y a énormément de stratégie aussi.

Beppo a écrit : [...]


Je lisais la réflexion de Réjean Tremblay dans La Presse de ce jour à ce propos et je le cite :

« Le Québec compte un autre champion du monde dans un sport pas tout à fait olympique. Bravo à Jonathan Duhamel. Si le fisc lui arrache la moitié de ses 9 millions, ça veut donc dire que sa profession est très honorable. Autrement dit, dans le gambling, quand tu gagnes, c'est une profession. Et quand tu perds, c'est une maladie. »

Fort juste!

Wow Réjean Tremblay vient de prouver qu'il ne connais vraiment rien au poker