Publié : mar. déc. 04, 2007 10:42 am
lu sur le blogue de choi radio x a quebec : denis gravel animateur de choi.
Ok, je l'avoue, je suis un fan de télé-réalité. J'ai embarqué à fond dès la première saison de Survivor, lorsqu'un homosexuel nudiste, Richard Hatch, avait réussi à manipuler amis et ennemis pour se rendre jusqu'au bout. Et depuis, je n'ai jamais regardé derrière. J'ai embarqué dans les meilleures comme dans les pires, que ce soit Temptation Island, The Biggest Loser, American Idol (pour les chanteurs poches), Beauty and the Geek, Hell's Kitchen et plus récemment... Loft Story. Ca y est, je suis catalogué. Je suis un imbécile, un taré, un épais. Avouer aimer la télé-réalité est probablement un des pires péchés au Québec présentement. Loin devant la violence aux femmes, la pédophilie, et les juges qui chauffent chaud. Pas grave. Je plaide coupable. Plus qu'Occupation Double (ou des clones blonds et blondes jouent à la vie des gens riches et célèbres), Loft Story me fascine. Et je crois que le succès de l'émission repose sur la brillance de l'équipe derrière le loft. Les gens qui sélectionnent les rats de laboratoire épilés qui veulent leur quinze minutes de gloire. Ceux qui réussissent à créer un challenge avec un repas poitrine de St-Hubert. Bref, le Maître du Loft et sa gang.
Quand j'ai eu l'opportunité cette semaine d'aller visiter le backstage du Loft et d'assister au gala en direct, je n'ai pas hésité très longtemps. Je pourrais vous raconter tous les petits détails qui m'ont fasciné en tant que groupie de jeunes équipes télé talentueuses qui ne comptent pas les heures et qui travaillent en famille. Je pourrais me péter les bretelles d'avoir placé ma main dans le miroir de la salle de bains du loft, derrière le mur en carton à l'intérieur du studio froid et moche de Ville Lasalle. Mais laissons de côté ces broutilles pour mon party de sous-sol que j'organiserai pour sauver le méchant mono-sourcillé Sébastien de son prochain ballotage. Voici, par contre, quelques vérités incontournables constatées lors de ma visite:
- Vous trouvez que Marie Plourde manque de contenu et qu'elle s'enfarge à tous les deux mots? Sur place, c'est encore pire. Quand on voit ses immenses "cue cards" et le professionalisme de l'équipe autour, on se demande vraiment si Marie a déjà eu une habileté ou un naturel à faire de la télé.
- Virginie Coossa est une machine de guerre. Une shape de panthère. Et en plus, elle est très talentueuse et naturelle. Je vous ai dit qu'elle était belle? Elle devrait animer le gala en direct.
- Beaucoup d'anciens lofteurs des années précédentes errent sur le plateau sans but précis. Ca fait un peu pitié.
- L'évincée de cette semaine, Christelle , a définitivement les plus belles jambes du Loft. Tellement que ça a pris cinq bonnes minutes avant que je remarque qu'elle pleurait alors qu'elle était à deux mètres de distance.
- Les gens de la production de Loft Story ont dû dégonflé la baloune de Yannick lorsqu'il a été évincé. On lui a expliqué qu'il n'était pas une "vedette" et qu'il n'avait pas des "fans"... À le voir se comporter en Eminem des pauvres sur le plateau, on peut croire qu'il n'a rien compris.
- Si on se fie à l'équipe actuelle de réalisation, la légende urbaine de Guy Cloutier qui amenait ses amis reluquer les filles dans les douches la première année... Et bien, c'est pas une légende urbaine. On ne le dira jamais assez, quel charmant bonhomme.
- Les DJ sur le plateau font vraiment semblant de mixer.
- L'éclairage d'un studio télé, c'est chaud. Tous ceux qui avaient des chandails blancs ont regretté leur choix rapidement.
- Un gros barbu louche avec un chandail de Metallica, ça n'attire pas les lentilles de caméra. Heureusement d'ailleurs, ma mère m'aurait déshérité si elle m'avait vu à la télévision applaudir à Loft Story.
Merci aux gens de la maison de production de Loft Story et à TQS Montréal pour la visite et pour l'accueil. Et vive les mono-sourcils.
je me fout royalement de ce qu'ils dit car ce qui sort de cette radio ne vaut pas cher la livre. --Message edité par scorpy le 2007-12-04 15:43:22--
Ok, je l'avoue, je suis un fan de télé-réalité. J'ai embarqué à fond dès la première saison de Survivor, lorsqu'un homosexuel nudiste, Richard Hatch, avait réussi à manipuler amis et ennemis pour se rendre jusqu'au bout. Et depuis, je n'ai jamais regardé derrière. J'ai embarqué dans les meilleures comme dans les pires, que ce soit Temptation Island, The Biggest Loser, American Idol (pour les chanteurs poches), Beauty and the Geek, Hell's Kitchen et plus récemment... Loft Story. Ca y est, je suis catalogué. Je suis un imbécile, un taré, un épais. Avouer aimer la télé-réalité est probablement un des pires péchés au Québec présentement. Loin devant la violence aux femmes, la pédophilie, et les juges qui chauffent chaud. Pas grave. Je plaide coupable. Plus qu'Occupation Double (ou des clones blonds et blondes jouent à la vie des gens riches et célèbres), Loft Story me fascine. Et je crois que le succès de l'émission repose sur la brillance de l'équipe derrière le loft. Les gens qui sélectionnent les rats de laboratoire épilés qui veulent leur quinze minutes de gloire. Ceux qui réussissent à créer un challenge avec un repas poitrine de St-Hubert. Bref, le Maître du Loft et sa gang.
Quand j'ai eu l'opportunité cette semaine d'aller visiter le backstage du Loft et d'assister au gala en direct, je n'ai pas hésité très longtemps. Je pourrais vous raconter tous les petits détails qui m'ont fasciné en tant que groupie de jeunes équipes télé talentueuses qui ne comptent pas les heures et qui travaillent en famille. Je pourrais me péter les bretelles d'avoir placé ma main dans le miroir de la salle de bains du loft, derrière le mur en carton à l'intérieur du studio froid et moche de Ville Lasalle. Mais laissons de côté ces broutilles pour mon party de sous-sol que j'organiserai pour sauver le méchant mono-sourcillé Sébastien de son prochain ballotage. Voici, par contre, quelques vérités incontournables constatées lors de ma visite:
- Vous trouvez que Marie Plourde manque de contenu et qu'elle s'enfarge à tous les deux mots? Sur place, c'est encore pire. Quand on voit ses immenses "cue cards" et le professionalisme de l'équipe autour, on se demande vraiment si Marie a déjà eu une habileté ou un naturel à faire de la télé.
- Virginie Coossa est une machine de guerre. Une shape de panthère. Et en plus, elle est très talentueuse et naturelle. Je vous ai dit qu'elle était belle? Elle devrait animer le gala en direct.
- Beaucoup d'anciens lofteurs des années précédentes errent sur le plateau sans but précis. Ca fait un peu pitié.
- L'évincée de cette semaine, Christelle , a définitivement les plus belles jambes du Loft. Tellement que ça a pris cinq bonnes minutes avant que je remarque qu'elle pleurait alors qu'elle était à deux mètres de distance.
- Les gens de la production de Loft Story ont dû dégonflé la baloune de Yannick lorsqu'il a été évincé. On lui a expliqué qu'il n'était pas une "vedette" et qu'il n'avait pas des "fans"... À le voir se comporter en Eminem des pauvres sur le plateau, on peut croire qu'il n'a rien compris.
- Si on se fie à l'équipe actuelle de réalisation, la légende urbaine de Guy Cloutier qui amenait ses amis reluquer les filles dans les douches la première année... Et bien, c'est pas une légende urbaine. On ne le dira jamais assez, quel charmant bonhomme.
- Les DJ sur le plateau font vraiment semblant de mixer.
- L'éclairage d'un studio télé, c'est chaud. Tous ceux qui avaient des chandails blancs ont regretté leur choix rapidement.
- Un gros barbu louche avec un chandail de Metallica, ça n'attire pas les lentilles de caméra. Heureusement d'ailleurs, ma mère m'aurait déshérité si elle m'avait vu à la télévision applaudir à Loft Story.
Merci aux gens de la maison de production de Loft Story et à TQS Montréal pour la visite et pour l'accueil. Et vive les mono-sourcils.
je me fout royalement de ce qu'ils dit car ce qui sort de cette radio ne vaut pas cher la livre. --Message edité par scorpy le 2007-12-04 15:43:22--