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Publié : jeu. sept. 21, 2006 12:50 am
par Slenderframe
EMISSIONS LA MÉTHODE CAUET Prochaine diffusion : jeudi 21 septembre 2006 à 22h35
Présenté par Cauet Avec Cécile de Ménibus et Cartman et Miko
Invités : Benjamin Castaldi, Victoria Abril, Daniel Russo, Faudel, Claire Nebout et Laurent, le premier sortant de la Star Academy



source TF1

Publié : jeu. sept. 21, 2006 12:51 am
par Slenderframe
Les nouvelles ambitions du très secret président d'Endemol France

RÉMI GODEAU et PHILIPPE LARROQUE.

Publié le 20 septembre 2006Actualisé le 20 septembre 2006 : 09h18


Le patron d'Endemol France est prêt à débourser plus de 800 millions d'euros pour acquérir Sportfive.
(DR)

Candidat au rachat de Sportfive, Stéphane Courbit, le producteur de la « Star Ac », veut créer un vrai groupe.

STÉPHANE COURBIT ne veut plus se résumer à Endemol France. Toujours président de la plus grosse société de production audiovisuelle française, connue pour « Star Academy », « Les Enfants de la télé », « À prendre ou à laisser » et autres « Miss France », il a franchi un pas qui en dit long. Aux côtés de Lagardère, Cinven ou IMG, il fait partie des candidats au rachat de la société de marketing sportif Sportfive, valorisée plus de 800 millions d'euros.

Ses concurrents sont des poids lourds, mais qu'importe. Le signal est clair. Un mois à peine après avoir trouvé une issue au différend financier qui l'opposait à son actionnaire Telefonica, Stéphane Courbit ambitionne sans le dire de créer un groupe médias. Un homme du sérail témoigne : « Être un simple gestionnaire, ça ne l'intéresse pas. Il veut créer et être libre. »

Mieux vaut ne pas se fier à son physique de jeune homme sage. À 41 ans, Stéphane Courbit a déjà une carrière de vieux briscard du PAF, avec ses inimitiés solides et ses soutiens enthousiastes. Le succès de son ami Arthur, c'est lui. L'irruption de la téléréalité dans l'Hexagone, avec « Loft Story », c'est toujours lui. Le rachat de tout ou partie des sociétés de Marc-Olivier Fogiel ou de Karl Zéro, c'est encore lui. Discret à l'extrême, il dit ne pas avoir d'ego dans un milieu qui n'en manque pas. « Un Robocop sans humanité », selon un de ses détracteurs, qui réclame comme les autres l'anonymat. En toutes circonstances, son sang-froid étonne, reconnaît Nicolas de Tavernost : « Derrière son apparence juvénile, il fait preuve d'une très grande maturité dans les affaires. » Le président de M6 assure être très attentif lors de la relecture des contrats... Étienne Mougeotte, le vice-président de TF1, est sur la même ligne : « Dur en négociations, il gère au plus serré, mais il respecte la parole donnée. »

Versement d'un complément
Du sang-froid, il en a fallu à Stéphane Courbit pour trouver un compromis avec Telefonica, le propriétaire d'Endemol Monde. Depuis plus de deux ans, le géant espagnol des télécoms cherche à céder cette diversification malheureuse. Achetée 5,5 milliards d'euros en 2000 à John de Mol, l'inventeur de la téléréalité, la société a vu sa valeur divisée par deux après l'éclatement de la bulle Internet.

Née du rachat de la société d'Arthur et de Stéphane Courbit (ASP), la filiale française est un obstacle dans cette stratégie de recentrage. Avec un chiffre d'affaires de 200 millions d'euros, elle pèse 20 % des revenus du numéro un mondial du divertissement télévisuel. Une affaire en or non sans contrepartie : une clause dite d'earn-out prévoit le versement d'un complément de prix aux deux hommes à l'échéance de leur contrat, en 2007. Or, l'exploitation du catalogue Endemol a été un tel succès en France que la prime liée au résultat s'avère extravagante - des centaines de millions d'euros. Pour Telefonica, régler pareil montant à des individus, ce serait ajouter le scandale au scandale.

Pendant dix-huit mois, six auditeurs dépêchés par l'opérateur espagnol épluchent notes de frais, factures et bons de commandes à la recherche d'un abus de bien social. En vain. En novembre, nouveau coup de force : Telefonica introduit en Bourse une partie d'Endemol Monde... sans y inclure sa branche française. « Courbit s'est alors dit que Telefonica n'avait plus rien à perdre, raconte un proche du dossier. Il s'est ensuite rendu compte qu'il avait sous-estimé son pouvoir de nuisance : l'Espagnol ne voulait pas d'un nouvel esclandre... »

Fin juillet, de nouvelles négociations s'ouvrent. Les dernières : début septembre, l'accord est bouclé. Telefonica aurait versé 400 millions d'euros aux deux hommes. Arthur voulait se ­consacrer à la scène et à la production cinématographique : il quitte la vice-présidence, mais reste administrateur et animateur maison. Stéphane Courbit souhaitait continuer : il garde la présidence d'Endemol France. Jusqu'en 2010 au moins. Avec l'intention de développer le numérique, de procéder à de nouvelles acquisitions et d'investir un nouveau secteur, la fiction.

Une option sur la reprise
Toutefois, l'accord ne s'arrête pas là. Il contient deux autres points cruciaux pour l'avenir du jeune loup des médias. Premier point : en cas de vente d'Endemol Monde, Stéphane Courbit peut s'inviter au processus de reprise. C'est-à-dire devenir un homme clé aux côtés de fonds KKR, Cinven, Apax, Sony ou pourquoi pas Time Warner. Or il n'a jamais caché son intérêt pour la multinationale. À deux reprises au moins, il a tenté de rassembler des investisseurs dans un tour de table.

Une autre clause autorise Stéphane Courbit, désormais riche, à investir à titre personnel, partout sauf dans la production audiovisuelle. Son intérêt surprise pour Sportfive montre que le jeune entrepreneur veut aller vite. Décidément éclectique, il a aussi un temps travaillé sur un hebdomadaire pour les jeunes avec Gérard Ponson, l'éditeur d'Entrevue et de Choc.

Persuadé que son ambition est de bâtir un groupe, Alain Minc analyse : « Pour lui, l'acte un est terminé ; maintenant, la partie commence. Volonté, imagination, fermeté... Il a la trempe des plus grands. » Stéphane Courbit assure n'apprécier ni les dîners en ville, ni les réseaux. Il n'empêche. Son ami ­Denis Olivennes, le président de la Fnac, l'a introduit au Siècle, club de réflexion très sélect. Vincent Bolloré ou Bernard Arnault, le président de LVMH, font partie des patrons qu'il consulte. Il cite Claude Bébéar ou François Pinault comme des modèles. « Il est ce que j'appelle un entrepreneur moderne », avance Étienne Mougeotte. Moderne et pressé.

source :le figaro


Publié : jeu. sept. 21, 2006 1:12 am
par Slenderframe
L'avis d'Isabelle Charles, l'insupportable prof de chant de la SA4

Bonjour à vous tous,

Eh oui, ça y est Star Académy a repris du service !

Notre merveilleux …Juke-box est en marche.
Et quelle machinerie !
Il faut bien dire que cette fois, ils ont mis les petits plats dans les grands.
Toujours plus grand, toujours plus haut nous annonce Nikos au moment même ou je me faisais cette réflexion.
Un studio d’enregistrement « le plus grand d’Europe » digne d’un zénith ou d’une grande salle de concert ! : Très professionnel.
Et surtout un casting qui, cette fois, tient vraiment bien la route.
Je suis très heureuse de constater qu’enfin il va y avoir des personnalités qui chantent VRAIMENT.

Adieu Maud et compagnie, voici la nouvelle Star Académy !!!

Alors, juste un petit mot sur mes coups de

En tête, et sans aucun doute : Cyril.
Ce garçon est tout simplement merveilleux de simplicité et le bon Dieu lui a fait cadeau d’une voix sublime. A chaque fois qu’il chante, je suis parcourue de frissons, et ça, c’est la première fois que je le ressens au travers du petit écran ! Franchement, j’espère de tout cœur qu’il ira en finale.
Et puis….Marina !
J’ai eu le plaisir de la rencontrer au concours de chant des Golden Voice au mois de Mai dernier, et déjà, j’avais littéralement craqué.
Cette jeune personne est douée comme le sont les vrais artistes. Ses textes sont à la fois fins, amusants, poétiques et tout à fait perspicaces.
Voici donc mon duo gagnant !
Un clin d’œil pour Ludovic que j’ai eu le plaisir de faire un peu travailler il y a 3 ans et qui est également ultra performant dans son domaine. Epatant, voir hallucinant dans sa gestuelle, une voix de belle qualité et surtout utilisée à bon escient avec une grande intelligence, et la cerise sur le gâteau (mais ça, vous, vous ne pouvez pas encore le savoir) un garçon d’une gentillesse…
Bon, allez je finis avec Cynthia, Nicolas, Gaël, et….Faustine qui sont mes préférés.
Voilà, voilà. J’espère que mon petit topo sur ce nouveau cru vous a satisfait.
En ce qui me concerne, je retourne auprès de mes chers petits (qui ne sont d’ailleurs pas tous si chérubins que ça !!!!!)Car nous avons du pain sur la planche.
J’ai pu constater avec grand plaisir que cette rentrée vous a également conduit à nouveau très nombreux en ces lieux et aussi je vous en remercie très chaleureusement.
Merci de votre fidélité et de vos gentils messages.
C’est ainsi que ma classe aussi se remplit, se remplit, se remplit et que rien ne me fait plus plaisir.
N’hésitez pas à me laisser vos commentaires via le : contact@isabellecharles.com , je vous répondrai dans un délai que j’espère raisonnable.
Pour les cours de chant, la rubrique Inscrïption dans « La Classe de Chant » est à votre disposition, ou bien encore directement le 06 80 83 39 49 ou vous obtiendrez tous les renseignements nécessaires.
Je vous souhaite tout le bonheur possible (j’ai failli écrire « tout le bonheur du monde » !)



Et j’espère à très bientôt.

Source - Site officiel d'Isabelle Charles


Publié : ven. sept. 22, 2006 1:03 am
par Slenderframe
«J'ai été jugée trop vite par les profs»


Images : © DR. Fafa 21 septembre 2006


Fafa, vous étiez l'une des favorites du jury. Comment avez-vous pu être éliminée si tôt?

Je ne l'explique pas! J'ai reçu des compliments de Pascal Nègre lors des castings, je savais que je ne devais en aucun cas le décevoir! Et puis, après deux jours passés au château, les profs ont commencé à me casser! Ils m'ont jugée trop vite.

Alexia a beaucoup hésité sur vos capacités à intégrer la «Star Ac'»...

J'ai 29 ans, je suis mariée, j'ai un univers artistique bien à moi, la world music. En plus, ça ne fait que deux ans que je vis en France. Je n'avais jamais regardé la «Star Ac'» avant d'y entrer! Je comprends qu'elle ait hésité... Cela dit, je sais au fond de moi que j'avais les capacités mentale et physique pour rester plus longtemps.

Aviez-vous des difficultés à cohabiter avec certains candidats?

Oh non! Je suis de nature très zen! J'ai rigolé avec tout le monde sans chercher à savoir si quelqu'un me critiquait derrière mon dos! Cela fait dix ans que j'essaie de percer dans le milieu de la musique! Alors je n'avais pas de temps à perdre avec des ragots!

Quand allez-vous retrouver vos proches au Bénin?

J'ai déjà retrouvé mon petit mari, qui me soutient depuis mon élimination. Et dès le mois de novembre nous irons retrouver ma famille. Ils sont déçus pour moi, c'est normal. Mais beaucoup d'Africains ont suivi mon parcours et j'ai reçu de nombreux messages. Qu'ils soient fiers de moi me remplit de joie !



source : le matin


Publié : ven. sept. 22, 2006 1:04 am
par Slenderframe
Raphaëlle Ricci : « Je ne vais pas à la Starac pour me faire des amis »





INTERVIEW TV 22 septembre 2006


Pousser les élèves à aller toujours plus loin pour les aider à dévoiler leurs émotions et à découvrir leur personnalité. C'est le défi que relève à chaque édition Raphaëlle Ricci, le professeur d'expression scénique de la Star Academy...

Comment définiriez-vous votre discipline ?

En deux mots, je fais du coaching artistique. Les Academyciens sont, dans l'ensemble, jeunes et encore assez pudiques. Il leur arrive souvent de raconter des histoires très fortes, sans l'émotion adéquate. Mon travail consiste justement à les faire évoluer, à les pousser à aller toujours plus loin et à les aider à découvrir leur personnalité. Je me plais également à trouver la bonne chanson pour la bonne personne. Finalement, ma discipline s'étend sur une large palette...

Pourquoi commencer chacun de vos cours par l'humeur du jour ?

Cela m'aide à savoir dans quel climat je vais travailler. Si je sens que l'ambiance est tendue, je ne vais pas avoir la même approche. C'est indispensable pour moi de capter l'humeur du moment pour adapter mon enseignement. Si les élèves sont fatigués et que je me lance dans un exercice demandant une grande concentration, cela ne pourra pas fonctionner, ce sera deux heures de perdues.

Votre discipline a-t-elle évolué ?

Ce n'est pas ma discipline qui évolue, mais les élèves. Ce qui m'intéresse précisément est de travailler avec des gens tous différents. Chaque année m'apporte son lot de nouveautés. Je change ma façon de procéder très naturellement en fonction de la personne en face de moi, mais je n'ai pas une méthode de travail spécifique et prédéfinie.

Comment rester objective lors des évaluations ?

C'est mon métier de savoir rester objective et j'ai l'impression d'y parvenir. Je suis à la Star Ac' pour travailler et je ne perds jamais de vue cet aspect-là. Je n'y vais pas pour me faire des amis et j'essaie de toujours maintenir un esprit professionnel, même s'il est inévitable de s'attacher à certains des Académyciens ! Le travail en devient d'ailleurs plus agréable.

Quel est selon vous le candidat idéal ?

Il n'y en a pas vraiment. Mais un bon candidat doit absolument avoir de la personnalité, artistique, vocale, physique ou autre, pourvu qu'elle sorte de l'ordinaire. J'aime travailler avec des artistes qui vont se comporter comme tel. Par contre, je prends moins de plaisir à faire cours à quelqu'un de trop rangé, qui va tout faire correctement mais sans âme. En fin de compte, j'aimerais avoir en face de moi un élève pour qui faire ce métier est vital.

Votre plus belle récompense ?

J'ai vécu de très beaux moments depuis le démarrage de l'émission. Je suis toujours ravie quand un élève arrive à donner du plaisir au public lors d'un prime time ou en tournée. Cela signifie qu'il a au moins appris à transmettre son émotion. Quand les élèves arrivent au château, ils sont en général stressés et impressionnés. Alors, quand ils parviennent à se détendre et qu'ils ont les yeux qui brillent en chantant...

Rédigé par Fabrice Staal - fabrice@tuner.be
Photo : ©TF1/Etienne Chognard

source : tuner.be