Publié : jeu. févr. 26, 2004 4:24 am
Voici un article pris sur canoe.qc.ca
Trois des ex-lofteuses de Loft Story ont passé une audition pour devenir Miss Météo à TQS.
La popularité mène à tout. Les lofteuses Brigitte, Julie et Léa ont tenté une nouvelle aventure il y a quelques jours. Elles ont joué les météorologues devant la caméra, pour l’équipe du service des nouvelles de TQS, question de voir si elles pourraient éventuellement donner le bulletin de météo.
La direction de TQS voulait ainsi tâter le potentiel de chacune qui s’est déjà fait un prénom auprès du grand public et voir l’image qu’elle offre en screen test. TQS souhaitait aussi vérifier leur capacité à travailler en interaction avec des collègues.
Les filles crèvent toutes trois l’écran. Ça n’est pas une surprise. Par contre, elles n’ont aucune expérience professionnelle en télé. Faire un boulot devant les caméras est très intimidant, même si on leur avait préparé des textes météo.
«Elles manquent un peu d’expérience», a conclu la porte-parole de TQS.
TQS n’a pas de poste à la météo à combler présentement. Ces auditions visaient d’éventuels remplacements futurs. On sait que Marie-Laurence, une autre lofteuse, est chroniqueuse à Caféine depuis plusieurs semaines avec succès. Pourquoi ne pas récupérer les meilleures?
Brigitte se blesse
Brigitte n’a pas été chanceuse pour cette audition. La veille, elle participait à une partie de quilles pour TQS et s’est planté une écharde de deux centimètres sous l’ongle du majeur de la main droite. Il a fallu l’opérer et lui enlever l’ongle jusqu’à la racine. C’est la main enveloppée qu’elle a dû tenir son micro et l’esprit encore sonné par l’événement de la veille qu’elle a passé son audition.
L’ex-lofteuse se porte maintenant bien. Elle a repris à l’école Promedia ses cours de radio et télévision qu’elle poursuivra jusqu’en juin. Sa formation lui permet de toucher à tous les domaines, même au journalisme.
Brigitte se cherche un agent depuis quelques semaines, elle fait beaucoup de démarches, mais se heurte à bien des difficultés. «Ce n’est pas facile», a-t-elle confié au Journal.
Trois des ex-lofteuses de Loft Story ont passé une audition pour devenir Miss Météo à TQS.
La popularité mène à tout. Les lofteuses Brigitte, Julie et Léa ont tenté une nouvelle aventure il y a quelques jours. Elles ont joué les météorologues devant la caméra, pour l’équipe du service des nouvelles de TQS, question de voir si elles pourraient éventuellement donner le bulletin de météo.
La direction de TQS voulait ainsi tâter le potentiel de chacune qui s’est déjà fait un prénom auprès du grand public et voir l’image qu’elle offre en screen test. TQS souhaitait aussi vérifier leur capacité à travailler en interaction avec des collègues.
Les filles crèvent toutes trois l’écran. Ça n’est pas une surprise. Par contre, elles n’ont aucune expérience professionnelle en télé. Faire un boulot devant les caméras est très intimidant, même si on leur avait préparé des textes météo.
«Elles manquent un peu d’expérience», a conclu la porte-parole de TQS.
TQS n’a pas de poste à la météo à combler présentement. Ces auditions visaient d’éventuels remplacements futurs. On sait que Marie-Laurence, une autre lofteuse, est chroniqueuse à Caféine depuis plusieurs semaines avec succès. Pourquoi ne pas récupérer les meilleures?
Brigitte se blesse
Brigitte n’a pas été chanceuse pour cette audition. La veille, elle participait à une partie de quilles pour TQS et s’est planté une écharde de deux centimètres sous l’ongle du majeur de la main droite. Il a fallu l’opérer et lui enlever l’ongle jusqu’à la racine. C’est la main enveloppée qu’elle a dû tenir son micro et l’esprit encore sonné par l’événement de la veille qu’elle a passé son audition.
L’ex-lofteuse se porte maintenant bien. Elle a repris à l’école Promedia ses cours de radio et télévision qu’elle poursuivra jusqu’en juin. Sa formation lui permet de toucher à tous les domaines, même au journalisme.
Brigitte se cherche un agent depuis quelques semaines, elle fait beaucoup de démarches, mais se heurte à bien des difficultés. «Ce n’est pas facile», a-t-elle confié au Journal.