Publié : dim. févr. 26, 2006 8:57 pm
Téléréalité
Des évincés qui demeurent dans le loft...
Pascale Lévesque
Le Journal de Montréal
Imaginez si les lofteurs évincés pouvaient demeurer dans le loft et pouvaient voter en faveur des compères de leur choix...
Cette twist n'arrivera peut-être pas dans la version québécoise de Loft Story, mais c'est tout autour de ce principe qu'est bâti le dernier pastiche «foxien» de cette téléréalité.
La semaine dernière, je vous parlais brièvement de la nouvelle invention de FOX, Unan1mous, un genre de Big Brother où les participants votent en faveur de celui qu'ils estiment mériter le plus de gagner le grand prix de 1,5 million de dollars.
Eh bien cette semaine, la chaîne hôtesse d'American Idol a profité du dévoilement officiel des neufs participants pour révéler quelques-unes des croustillantes twists qui les attendent.
Plus juteux
C'est encore plus juteux qu'on ne l'aurait souhaité.
Dès leur entrée dans le loft au tout début du jeu, les candidats devront une première fois voter pour celui ou celle qui, à leur avis, devrait repartir avec le grand prix. Si le vote n'est pas unanime, l'horloge de l'argent se mettra alors en marche. Au fil des secondes, des minutes, des heures et des jours, le montant de 1,5 million diminuera, jusqu'à ce que le prochain vote ait lieu. Plus les colocataires attendent, moins le futur gagnant a d'argent...
Chaque semaine, comme n'importe quel reality show traditionnel, les candidats seront d'abord appelés à voter pour se rejeter du jeu les uns les autres.
Or, les participants éliminés continueront d'habiter avec les «restants» dans le loft. Ces derniers ne seront plus éligibles pour remporter l'argent, mais pourront continuer d'habiter le loft et conserveront leur droit de vote pour choisir un grand gagnant.
Prisonniers
Ils y demeureront «prisonniers» jusqu'à ce qu'ils en viennent à décider unanimement qui mérite vraiment la carotte de 1,5 million de dollars. C'est seulement après en être venu à un consensus que pourra prendre fin le reality show !
On n'aura pas affaire à une bande de jeunots au look uniforme, tous sveltes, surentraînés et ayant un penchant pour l'exhibitionnisme et le port du collier à boules, mais bien à une bande de personnes provenant de différents environnements sociaux, politiques et religieux.
Brochette variée
Chez les hommes, on retrouve un joueur de poker professionnel de 35 ans, barman à ses heures. On a aussi un activiste gai de 38 ans directeur des ressources humaines d'une entreprise. On a aussi un pro-femmes de 30 ans qui travaille en finances, un éditorialiste très opiniâtre de 42 ans et enfin, la cerise sur le sundae, un chauffeur de truck conservateur-chrétien de 43 ans. Ça promet...
Du côté des femmes, la brochette est tout autant variée. Il y a d'abord cette mère de deux enfants âgée de 35 ans, enseignante en première année du primaire, athéiste et libérale. On a ensuite affaire à une jeune républicaine convaincue de 25 ans, à une ministre de l'Église de 49 ans, elle aussi républicaine pure et dure, et enfin, à une chorégraphe de 24 ans qui occupe son temps à la chasse.
Évidemment, les concepteurs et producteurs de la téléréalité doivent avoir bon espoir que l'eau coule sous les ponts avant que leurs candidats en viennent à un consensus. On a déjà hâte de les voir se faire valoir les uns face aux autres ce printemps !
Des évincés qui demeurent dans le loft...
Pascale Lévesque
Le Journal de Montréal
Imaginez si les lofteurs évincés pouvaient demeurer dans le loft et pouvaient voter en faveur des compères de leur choix...
Cette twist n'arrivera peut-être pas dans la version québécoise de Loft Story, mais c'est tout autour de ce principe qu'est bâti le dernier pastiche «foxien» de cette téléréalité.
La semaine dernière, je vous parlais brièvement de la nouvelle invention de FOX, Unan1mous, un genre de Big Brother où les participants votent en faveur de celui qu'ils estiment mériter le plus de gagner le grand prix de 1,5 million de dollars.
Eh bien cette semaine, la chaîne hôtesse d'American Idol a profité du dévoilement officiel des neufs participants pour révéler quelques-unes des croustillantes twists qui les attendent.
Plus juteux
C'est encore plus juteux qu'on ne l'aurait souhaité.
Dès leur entrée dans le loft au tout début du jeu, les candidats devront une première fois voter pour celui ou celle qui, à leur avis, devrait repartir avec le grand prix. Si le vote n'est pas unanime, l'horloge de l'argent se mettra alors en marche. Au fil des secondes, des minutes, des heures et des jours, le montant de 1,5 million diminuera, jusqu'à ce que le prochain vote ait lieu. Plus les colocataires attendent, moins le futur gagnant a d'argent...
Chaque semaine, comme n'importe quel reality show traditionnel, les candidats seront d'abord appelés à voter pour se rejeter du jeu les uns les autres.
Or, les participants éliminés continueront d'habiter avec les «restants» dans le loft. Ces derniers ne seront plus éligibles pour remporter l'argent, mais pourront continuer d'habiter le loft et conserveront leur droit de vote pour choisir un grand gagnant.
Prisonniers
Ils y demeureront «prisonniers» jusqu'à ce qu'ils en viennent à décider unanimement qui mérite vraiment la carotte de 1,5 million de dollars. C'est seulement après en être venu à un consensus que pourra prendre fin le reality show !
On n'aura pas affaire à une bande de jeunots au look uniforme, tous sveltes, surentraînés et ayant un penchant pour l'exhibitionnisme et le port du collier à boules, mais bien à une bande de personnes provenant de différents environnements sociaux, politiques et religieux.
Brochette variée
Chez les hommes, on retrouve un joueur de poker professionnel de 35 ans, barman à ses heures. On a aussi un activiste gai de 38 ans directeur des ressources humaines d'une entreprise. On a aussi un pro-femmes de 30 ans qui travaille en finances, un éditorialiste très opiniâtre de 42 ans et enfin, la cerise sur le sundae, un chauffeur de truck conservateur-chrétien de 43 ans. Ça promet...
Du côté des femmes, la brochette est tout autant variée. Il y a d'abord cette mère de deux enfants âgée de 35 ans, enseignante en première année du primaire, athéiste et libérale. On a ensuite affaire à une jeune républicaine convaincue de 25 ans, à une ministre de l'Église de 49 ans, elle aussi républicaine pure et dure, et enfin, à une chorégraphe de 24 ans qui occupe son temps à la chasse.
Évidemment, les concepteurs et producteurs de la téléréalité doivent avoir bon espoir que l'eau coule sous les ponts avant que leurs candidats en viennent à un consensus. On a déjà hâte de les voir se faire valoir les uns face aux autres ce printemps !