LE DOMAINE BLEU

je trouve telleemnt  ca exagéré franchement

Après Loto-Québec, une joueuse compulsive s'attaque maintenant au gouvernement fédéral.

Clotilde Bérubé poursuit le gouvernement fédéral pour 50 millions et soutient qu'Ottawa a transgressé la loi en cédant sa juridiction sur les loteries.

Madame Bérubé a déjà déposé une poursuite de 10 millions de dollars contre Loto-Québec.

Le débat se poursuivra devant la Cour supérieure le 16 octobre prochain.

L'ancienne avocate de l'Outaouais a tout perdu au Casino du Lac-Leamy, ainsi que dans les appareils de loterie vidéopoker.

Elle aurait développé un problème de jeu compulsif après le suicide de son conjoint.

L'avocate aurait même vendu la dizaine de propriétés qu'elle avait acquises avec son mari pour assouvir son besoin de jouer

Euh... je sais pas trop comment réagir... mais probablement qu'elle devra etre suivi par un psy pour traiter son problème de jeu compulsif... et je trouve ca immense comme montant 50 millions !!

À quand les poursuites contre Humpty-Dumpty parce que les chips font grossir et que les personnes obèses sont à risque de maladies cardiaques?

À quand les poursuites contre Molson parce que l'alcool rend alcoolique?

A quand les poursuites contre les Églises qui font des bingos parce que ça rend dépendant?

Non mais franchement... Ce n'est pas comme si tous n'étaient pas au courant des risques relatifs au jeux de hasard, à la malbouffe ou à l'alcool... Ça en devient franchement ridicule! --Message edité par fourmi le 2008-08-28 12:13:15--

devrais avoir un detecteur a lapproche des machines a sous ou les v300 machine a loto pour ses gens qui transpire la dependance..et des quil y mettrai des sous ben un bon choc electrique ..Je trouve ca tellement ridicule cest comme dire au gouvernement prend moi sous ta tutelle et sois mon pere ma mere pour me taper sur les doigts si je veut jouer..Ya personne qui force ses adultes a jouer cela vient de leur bon vouloir..et il en incomberai a loto quebec et au gouvernement la faute ?

quand on sait pas avoir un certain controle sur sa propre vie cest d'un psy quon a besoin qui nous aideras a mieux la gerer..

De toute façon, ça date pas de Loto-Québec les problèmes de jeux hein .. Si c'est pas au Casino, les gens vont trouver à jouer ailleurs !

On a juste à se souvenir d'Ovila qui avait perdu toute sa paye à jouer aux cartes à l'auberge pendant qu'Émilie accouchait de son 37ème enfant. --Message edité par Mimosa le 2008-08-28 13:08:49--

Cette femme donne des entrevues à la radio à Gatineau.  Elle ne semble pas très équilibrée.

Elle arrivait au Casino Lac-Leamy à l'ouverture à 11hres et repartait à la fermeture à 3hres du matin, comme ça tous les jours.  Elle a vendu ses propriétés pour jouer, elle devait bien se rendre compte qu'elle a un problème.  Elle a même dit que si quelqu'un lui donnait $2000.00 aujourd'hui, elle irait le jouer.

Et si elle aurait gagner le jack pot est-ce qu elle poursuivrais loto-quebec? Ben non elle les frencherais toute la gang de loto-quebec .Un moment donner faut s assumer dans vie .

sawman  a écritEt si elle aurait gagner le jack pot est-ce qu elle poursuivrais loto-quebec? Ben non elle les frencherais toute la gang de loto-quebec .Un moment donner faut s assumer dans vie .  
Il y a une citation qui dit que tant et aussi longtemps qu'il y aura quelqu'un à blâmer à notre place nous ne prendrons pas la responsabilité de nos actes. --Message edité par brunetta le 2008-08-28 14:09:27--

Je trouve que cette dame met ses énergies à la mauvaise place.

Le Droit
Le jeudi 28 août 2008


«Je sais que je vais perdre encore» - Clotilde Bérubé


"Je vais perdre, vous savez comment ça se passe, tout est arrangé d'avance".

La joueuse compulsive Clotilde Bérubé qui poursuit Loto-Québec pour une somme de 10 millions $, a avoué ne nourrir aucune illusion à la suite de sa visite de mardi à la Cour supérieure du palais de justice de Montréal.

Aucunement atterrée, Mme Bérubé a même laissé savoir au Droit qu'elle travaillait à la préparation d'une poursuite de 50 millions $, cette fois contre le gouvernement fédéral.

La juge Marie-Christine Laberge devait statuer mardi, sur la demande de réinscrïption de la poursuite de 10 millions $ intentée en décembre 2007 par Mme Bérubé contre Loto-Québec.

L'avocate de Val-des-Bois espérait notamment obtenir un jugement par défaut de la part du tribunal alléguant que la partie adverse n'avait produit aucune défense face à ses allégués qui, en substance, identifient le Casino du Lac-Leamy à Gatineau comme étant à l'origine de tous les déboires financiers et personnels vécus par Mme Bérubé.

La juge Laberge a rayé la réinscrïption présentée par Mme Bérubé et a plutôt confirmé ce que le juge en chef adjoint de la Cour supérieure avait décidé en juin, soit de donner rendez-vous aux parties le 16 octobre prochain.



Quérulente



Avant d'écouter les arguments sur la poursuite de 10 millions $ comme telle, la Cour supérieure entend donc liquider la douzaine de requêtes présentées de part et d'autres et qui vont de l'irrecevabilité à d'autres visant à faire déclarer Mme Bérubé, plaideuse vexatoire et/ou poursuivante quérulente.

Cette mesure touche essentiellement ceux ou celles que l'on identifie comme des personnes abusant des poursuites judiciaires qui ciblent toujours les mêmes personnes, organismes ou entités.

La conséquence immédiate d'une telle identification est que toute nouvelle procédure intentée par un plaideur vexatoire se retrouve automatiquement sur le bureau du juge en chef qui en étudie les détails et décide du sort qui lui sera réservé.

"C'est vrai que je les poursuis mais ils ne veulent pas plaider. La quérulence, c'est une loi que les juges se sont faite. Il n'y a rien dans le code",a dit Mme Bérubé qui n'entend pas cesser là ses poursuites, au contraire.

"Je vais poursuivre le fédéral pour 50 millions $", a annoncé l'avocate qui soutient qu'Ottawa a transgressé la loi en cédant ses pouvoirs sur les maisons de jeux et loteries aux provinces dont le Québec.



"Je vais perdre encore"



"Le 16 octobre, je sais que je vais perdre encore. Tout est arrangé. Ça va encore être la même chose, je vais aller à la Cour d'Appel puis à la Cour Suprême [...] La Cour Suprême n'entend qu'un cas sur 100. Ce n'est plus une Cour Suprême, c'est une cour de publicité", analyse Mme Bérubé.

En février 2006, la Cour suprême du Canada a rejeté la demande d'appel de Mme Bérubé qui alléguait l'illégalité de la présence des casinos en sol québécois, prétextant que le gouvernement fédéral n'avait jamais véritablement transféré sa juridiction à la province.

En première instance et dans une décision validée en appel, la juge Johanne Trudel (aujourd'hui à la Cour d'appel fédérale) avait statué qu'il n'existait aucune assise juridique soutenant les prétentions de Mme Bérubé dont l'argumentation, selon la juge, relevait davantage de motifs sociaux et familiaux.


http://www.cyberpresse.ca/article/20080 ... 90/CPDROIT

Un article paru l'an passé sur la même dame :

17 mars 2007

Valérie Dufour

Le Journal de Montréal



Casinos

Elle flambe un million



Clotilde Bérubé est malade, mais sa maladie ne l'empêche pas de bouger. La dame de 58 ans est une joueuse compulsive et cette pulsion malsaine lui a fait flamber plus d'un million de dollars au Casino du Lac-Leamy.



«Au début, c'était un jeu, mais j'ai fini par perdre le contrôle. Je ne pensais jamais que j'allais devenir une esclave du jeu», raconte Mme Bérubé en entrevue au Journal.



La joueuse compulsive a décidé de parler de son expérience dans les casinos à la suite de la parution du livre de l'ex-croupière Éléonore Mainguy, Les jeux sont faits, qui accuse Loto-Québec d'entraîner ses croupiers à vider les poches de sa clientèle.



C'est le décès tragique de son mari qui a fait basculer le destin de cette avocate de formation en 1996. Anéantie par le deuil, la dame a trouvé refuge dans le divertissement et elle a commencé à visiter quotidiennement le casino de l'Outaouais.



«Je me rendais au casino en pleurant. Arrivée là, j'étais une autre personne. J'oubliais tout. Je partais vers 11 h. Je passais l'après-midi et j'allais chercher ma fille vers 17 h. Je soupais et je retournais au casino vers 20 h. J'ai fait ça tous les jours pendant cinq ans. Je ne pensais pas qu'on pouvait tomber malade du jeu, mais le casino était une béquille.»



Personne aisée



Et Mme Bérubé avait les reins financiers assez solides pour miser fort. Le succès professionnel d'elle et de son mari leur avait permis de vivre dans un quartier cossu d'Ottawa et d'acheter huit autres propriétés dans la région de la Capitale nationale.



«Je traînais toujours 20 000 $ ou 25 000 $ d'argent comptant dans ma sacoche. [...] J'ai déjà misé 10 000 $ d'un coup au grand baccara», ajoute Clotilde Bérubé, qui vit maintenant dans un village de l'Outaouais.



Au fil de ses années de jeu, Clotilde Bérubé a perdu toutes ses maisons et épuisé ses économies. Mais elle n'est pas sans le sou puisqu'elle reçoit une pension de veuve.



«Le jeu pathologique est pire que l'alcoolisme. Quand tu bois trop, tu finis par tomber après avoir bu un 40 onces. Le jeu est plus hypocrite, plus sournois. On a toute notre tête -c'est du moins ce que l'on pense- et rien ne nous arrête de jouer. Le corps continue comme une machine.»



Traitement VIP



Ses habitudes de jeu ont également évolué avec le temps. Des jeux de cartes aux tables, elle est passée aux machines à sous. Et comme elle était une bonne cliente, elle avait accès au salon des hautes mises et aux attentions spéciales réservées aux gros joueurs de casinos québécois.



«J'étais une cliente VIP. On payait tous mes repas. J'ai reçu plusieurs week-ends de ski à Mont-Tremblant en cadeau. Loto-Québec a également payé pour célébrer l'anniversaire de mes enfants sur un bateau avec tous leurs amis. On s'est rendus jusqu'à Montebello et on pouvait jouer au golf ou faire de l'équitation.»



Si aujourd'hui, elle ne fréquente plus les casinos québécois, Mme Bérubé n'est pas guérie pour autant.



«J'ai fait trois ou quatre thérapies qui n'ont rien donné. C'est comme une drogue. Ce que j'ai trouvé comme compromis, c'est que je me rends aux États-Unis une fois aux deux mois. Je dépense 500 $ et je joue au poker. Je me déteste de faire ça, mais j'en ai besoin.»



En guerre contre la loterie vidéo



Après avoir tenté sans succès de faire fermer les casinos québécois, Clotilde Bérubé va déposer lundi prochain une injonction réclamant le retrait des 13 500 appareils de loterie vidéo (ALV).



La dame de 58 ans déposera une demande d'injonction en ce sens au Palais de justice de Montréal. Elle soutient avoir perdu 30 000 $ en un an dans ces appareils.



Après son exclusion du casino de Gatineau en 2003, Mme Bérubé s'est mise à jouer sur ces machines. «J'engloutissais des 2 000 $ ou 3 000 $ et ça ne payait pas. J'ai fini par laisser tomber, mais je me suis dit qu'il fallait faire quelque chose.»



Des montants dérisoires



«Les fameux gros lots [...] ne consistent qu'en des montants dérisoires dont le maximum de 500 $ ne rencontre en aucune manière les normes de l'industrie en général», argumente-t-elle dans le document de cour.



Mme Bérubé réclame le retrait des ALV et, par ricochet, l'abandon du projet d'ouverture de quatre salons de jeu. Elle demande également un dédommagement de 99 000 $.



L'avocate n'en est pas à ses premiers affrontements avec Loto-Québec. L'an dernier, la Cour suprême a rejeté sa demande d'appel concernant la légalité des maisons de jeu au Canada.



Selon le rapport annuel 2006 de Loto-Québec, les ALV lui ont rapporté 860,4 M$ en profits.

«J'étais une cliente VIP. On payait tous mes repas. J'ai reçu plusieurs week-ends de ski à Mont-Tremblant en cadeau. Loto-Québec a également payé pour célébrer l'anniversaire de mes enfants sur un bateau avec tous leurs amis. On s'est rendus jusqu'à Montebello et on pouvait jouer au golf ou faire de l'équitation.»

Débile    

 

c comme qqun qui fume qui pogne le cancer si elle poursuit ben calique a savait dans quoi a s'embarquait j pas trop de pitié

Mais pourquoi les casinos les bannissent pas avant qu'il soit trop tard ces gens là??? Je suis allée 2 fois au Casino de Montréal (avec mes parents en plus, toute seule je trouverais ça plate en chien), et quand mon père m'a dit que certaines personnes se mettaient des couches pour pas avoir à aller aux toilettes (question de pas perdre leur place), je l'ai pas cru au début...   --Message edité par France4 le 2008-08-28 19:27:01--

Beppo  a écritJe sais bien que cette dame est responsable de ses actes et qu'elle n'a pas à blâmer le Casino pour ses pertes monétaires. Mais une question demeure pour moi. Comment se fait-il que le Casino n'ait pas tenté de l'empêcher d'y jouer? Il devait sûrement y avoir des employés qui la voyaient jouer tous les jours ou presque, comment se fait-il qu'on ne l'ait pas expulsée?

Ma question ne rend pas le Casino responsable pour autant mais ça me chicotte car semble-t-il qu'il y a des listes existantes banissant certaines personnes.



Moi je pense que c'est comme la SAQ ou les épiceries pour les alcolos qu'ils voient...  Comment dire à quelqu'un qu'il ne peut acheter d'alcool?...  

À mon avis, s'ils avaient voulu l'empêcher d'aller jouer, elle aurait fait une crise comme quoi elle a le DROIT de jouer ..
C'est comme de vouloir enlever son verre à un alcoolique.. C'est pour son bien qu'on veut le faire, mais s'il n'est pas trop saoul, c'est dangereux de manger une taloche ..

Je sais bien que cette dame est responsable de ses actes et qu'elle n'a pas à blâmer le Casino pour ses pertes monétaires. Mais une question demeure pour moi. Comment se fait-il que le Casino n'ait pas tenté de l'empêcher d'y jouer? Il devait sûrement y avoir des employés qui la voyaient jouer tous les jours ou presque, comment se fait-il qu'on ne l'ait pas expulsée?

Ma question ne rend pas le Casino responsable pour autant mais ça me chicotte car semble-t-il qu'il y a des listes existantes banissant certaines personnes.

Beppo  a écritJe sais bien que cette dame est responsable de ses actes et qu'elle n'a pas à blâmer le Casino pour ses pertes monétaires. Mais une question demeure pour moi. Comment se fait-il que le Casino n'ait pas tenté de l'empêcher d'y jouer? Il devait sûrement y avoir des employés qui la voyaient jouer tous les jours ou presque, comment se fait-il qu'on ne l'ait pas expulsée?

Ma question ne rend pas le Casino responsable pour autant mais ça me chicotte car semble-t-il qu'il y a des listes existantes banissant certaines personnes.



Elle s'était auto-exclue du Casino et elle y retournait.  Les policiers de Gatineau l'ont déjà sorti du Casino et ensuite elle blâmait le Casino qui l'empêchait d'y retourner.

Lison48  a écritCette femme donne des entrevues à la radio à Gatineau. Elle ne semble pas très équilibrée.Elle arrivait au Casino Lac-Leamy à l'ouverture à 11hres et repartait à la fermeture à 3hres du matin, comme ça tous les jours.  Elle a vendu ses propriétés pour jouer, elle devait bien se rendre compte qu'elle a un problème.  Elle a même dit que si quelqu'un lui donnait $2000.00 aujourd'hui, elle irait le jouer.  

C'est un peu normal, c'est une avocate qui sera probablement promue comme JUGE bientôt.