Publié : jeu. juil. 03, 2008 5:20 am
Le conflit est terminé au Journal de Québec
Le 2 juillet 2008 - 23:59 | Olivier Caron
Le conflit de travail qui a duré 14 mois est terminé au Journal de Québec. Réunis en assemblée générale, les employés en lock-out ont approuvé ce mercredi après-midi l'entente de principe intervenue la nuit dernière.
C'est dans une forte proportion que les employés ont entériné cette entente. Les employés de bureau, les journalistes et les photographes ont voté à 98% pour l'offre patronale de Quebecor, tandis que 85% des employés d'imprimerie l'ont approuvé.
La convention collective prévoit des augmentations de 2,5 % par an et une semaine de vacances supplémentaire pour les employés temporaires. Les employés ont réussi à conserver la semaine de quatre jours, mais travailleront 37.5 heures par semaine au lieu de 32 heures.
De plus, le service des petites annonces sera maintenu, tout comme le plancher d'emploi pour les photographes et journalistes.
Rappelons que le quotidien était en lock-out depuis le 22 avril 2007, soit depuis plus de 14 mois. Il s'agit du conflit de travail le plus long dans un quotidien francophone du Canada.
Ce conflit touchait 252 travailleurs, soit les journalistes et photographes, les employés de bureau et les employés de l'imprimerie. Ces derniers avaient déclenché la grève par solidarité avec leurs collègues.
Le 2 juillet 2008 - 23:59 | Olivier Caron
Le conflit de travail qui a duré 14 mois est terminé au Journal de Québec. Réunis en assemblée générale, les employés en lock-out ont approuvé ce mercredi après-midi l'entente de principe intervenue la nuit dernière.
C'est dans une forte proportion que les employés ont entériné cette entente. Les employés de bureau, les journalistes et les photographes ont voté à 98% pour l'offre patronale de Quebecor, tandis que 85% des employés d'imprimerie l'ont approuvé.
La convention collective prévoit des augmentations de 2,5 % par an et une semaine de vacances supplémentaire pour les employés temporaires. Les employés ont réussi à conserver la semaine de quatre jours, mais travailleront 37.5 heures par semaine au lieu de 32 heures.
De plus, le service des petites annonces sera maintenu, tout comme le plancher d'emploi pour les photographes et journalistes.
Rappelons que le quotidien était en lock-out depuis le 22 avril 2007, soit depuis plus de 14 mois. Il s'agit du conflit de travail le plus long dans un quotidien francophone du Canada.
Ce conflit touchait 252 travailleurs, soit les journalistes et photographes, les employés de bureau et les employés de l'imprimerie. Ces derniers avaient déclenché la grève par solidarité avec leurs collègues.