Publié : mer. déc. 12, 2007 4:57 am
Lisez bien ce qui suit....Personnellement je trouve ça AFFREUX...Il y a des salauds plus qu'on ne peut le penser...
Un homme sans scrupule du Lac-Saint- Jean vient d'être condamné à 42 mois de prison pour avoir agressé sexuellement sa conjointe qui venait de subir une chirurgie majeure. Ce geste crapuleux a valu à la pauvre une semaine à l'hôpital.
L'homme de 28 ans, qu'on ne peut nommer pour ne pas identifier sa victime, attend même de subir un procès pour bestialité, devant le tribunal de la jeunesse.
Le 25 novembre 2006, il s'est complètement fichu de l'état de santé précaire de sa conjointe pour assouvir ses bas instincts.
Elle avait reçu le jour même son congé de l'hôpital après une chirurgie digestive majeure subie le 17 novembre.
Cicatrice de 20 cm
Elle portait une cicatrice toute fraîche de 20 centimètres à l'abdomen et portait en elle plusieurs agrafes de métal.
En soirée, son conjoint la caresse et insiste pour avoir une relation sexuelle. Elle lui fait comprendre qu'elle ne peut pas.
«Ses gestes sont devenus brusques et il l'a pénétrée. Elle lui répétait que cela lui faisait très mal et lui demandait d'arrêter. Il continuait de plus en plus fort (en lui disant) tu es à moi», écrit la juge Micheline Paradis, de Roberval, qui a résumé l'événement en rendant sentence récemment.
Retour à l'hôpital
Cette agression ayant décuplé sa douleur, la jeune femme se rend à l'hôpital, en piètre état, où elle a dû passer une semaine.
«Elle est en état de choc post-traumatique, a l'estomac enflé, dilaté, ballonné et une enflure à la paroi abdominale ; sa peau est gonflée. Elle est souffrante et a des ecchymoses sur les bras et des lésions multiples à différents endroits. Elle avait supporté également un poids excessif», écrit la juge Paradis dans sa décision.
Au début les médecins craignaient même que le viol n'ait causé une péritonite, une infection grave du système digestif.
Plaidoyer de culpabilité
Le conjoint fut accusé et après le début du procès, il plaidait coupable.
La juge note dans sa décision qu'il dénigre sa victime et que ses relations affectives ne sont centrées que sur la sexualité, la preuve étant qu'il exige entre 25 et 30 relations sexuelles par semaine en plus de regarder des films pornographiques.
Il a un casier judiciaire long comme le bras, a un antécédent d'agression sexuelle et attend son procès pour bestialité.
Son «potentiel de dangerosité est très présent», résume-t-elle de diverses expertises réalisées sur l'accusé.
Un homme sans scrupule du Lac-Saint- Jean vient d'être condamné à 42 mois de prison pour avoir agressé sexuellement sa conjointe qui venait de subir une chirurgie majeure. Ce geste crapuleux a valu à la pauvre une semaine à l'hôpital.
L'homme de 28 ans, qu'on ne peut nommer pour ne pas identifier sa victime, attend même de subir un procès pour bestialité, devant le tribunal de la jeunesse.
Le 25 novembre 2006, il s'est complètement fichu de l'état de santé précaire de sa conjointe pour assouvir ses bas instincts.
Elle avait reçu le jour même son congé de l'hôpital après une chirurgie digestive majeure subie le 17 novembre.
Cicatrice de 20 cm
Elle portait une cicatrice toute fraîche de 20 centimètres à l'abdomen et portait en elle plusieurs agrafes de métal.
En soirée, son conjoint la caresse et insiste pour avoir une relation sexuelle. Elle lui fait comprendre qu'elle ne peut pas.
«Ses gestes sont devenus brusques et il l'a pénétrée. Elle lui répétait que cela lui faisait très mal et lui demandait d'arrêter. Il continuait de plus en plus fort (en lui disant) tu es à moi», écrit la juge Micheline Paradis, de Roberval, qui a résumé l'événement en rendant sentence récemment.
Retour à l'hôpital
Cette agression ayant décuplé sa douleur, la jeune femme se rend à l'hôpital, en piètre état, où elle a dû passer une semaine.
«Elle est en état de choc post-traumatique, a l'estomac enflé, dilaté, ballonné et une enflure à la paroi abdominale ; sa peau est gonflée. Elle est souffrante et a des ecchymoses sur les bras et des lésions multiples à différents endroits. Elle avait supporté également un poids excessif», écrit la juge Paradis dans sa décision.
Au début les médecins craignaient même que le viol n'ait causé une péritonite, une infection grave du système digestif.
Plaidoyer de culpabilité
Le conjoint fut accusé et après le début du procès, il plaidait coupable.
La juge note dans sa décision qu'il dénigre sa victime et que ses relations affectives ne sont centrées que sur la sexualité, la preuve étant qu'il exige entre 25 et 30 relations sexuelles par semaine en plus de regarder des films pornographiques.
Il a un casier judiciaire long comme le bras, a un antécédent d'agression sexuelle et attend son procès pour bestialité.
Son «potentiel de dangerosité est très présent», résume-t-elle de diverses expertises réalisées sur l'accusé.