Page 1 sur 1

Publié : mar. sept. 04, 2007 3:02 am
par tuberale
Droits de scolarité: la FEUQ part au combat presque seule


Martin Croteau

La Presse

Le plus important regroupement étudiant de la province dévoilera, en ce jour de rentrée universitaire, une série de moyens de pression visant à contrer la hausse des droits de scolarité. Mais la FEUQ part au combat presque seule, et plus morcelée que jamais.

 
Trois associations étudiantes songent à quitter les rangs de la Fédération étudiante universitaire (FEUQ), frustrées par des revendications qu'elles jugent trop modérées. L'organisme souhaite rétablir le gel des droits de scolarité. Les autres veulent obtenir une réduction de ces tarifs.

L'Association étudiante de l'Université du Québec en Outaouais décidera l'an prochain de son affiliation par référendum. «Les positions de l'association locale ne sont vraiment pas celles que la FEUQ prône présentement», indique le porte-parole David Clément.

Des processus semblables sont en cours dans deux autres campus de l'Université du Québec, à Trois-Rivières et à Rimouski. «On est affiliés à la FEUQ depuis 1996 et ça engendre des coûts, explique le porte-parole, Samuel Jean Cassou. On souhaite que nos étudiants puissent donner leur avis sur une chose dont ils sont membres.»

Si les projets de désaffiliation devaient aller de l'avant dans les trois cas, la FEUQ perdrait plus de la moitié de ses membres.

La FEUQ et la Fédération étudiante collégiale (FECQ) ont passé l'été à peaufiner leur stratégie contre le dégel des droits, rendu officiel par le gouvernement Charest au printemps. Les deux organisations regroupent 160 000 étudiants. Mais elles ont été incapables de créer une coalition plus large, rassemblant d'autres associations étudiantes.

Début 2005, un regroupement de plus de 200 000 étudiants avait forcé le gouvernement à abandonner son projet de sabrer 103 millions dans les prêts et bourses. La FEUQ avait alors débrayé aux côtés de l'Association pour une solidarité syndicale étudiante (ASSE).

Le gouvernement Charest a reculé, mais certaines associations sont restées insatisfaites. Certaines ont carrément quitté la FEUQ pour devenir indépendantes. C'est notamment le cas des étudiants en sciences de l'UQAM, qui réclament aujourd'hui une baisse, et non une hausse, des frais.

«C'est un peu triste pour moi, estime le président, Patrick Véronneau. J'aurais souhaité que la FEUQ mette davantage ses moyens sur un enjeu comme celui-là. Mais du moment qu'on est dans la même campagne, c'est-à-dire contre le dégel, je n'ai aucun problème.»

De son côté, l'ASSE est résolument engagée sur la voie de la grève. Elle veut convaincre ses 40 000 membres de débrayer dès le mois d'octobre.

Dans son budget déposé en mars, le gouvernement Charest a confirmé l'augmentation des droits de scolarité à l'université de 50$ par semestre sur cinq ans, une hausse totale de 30%.

Les représentants de la FEUQ ont réservé leurs commentaires pour ce matin.


http://www.cyberpresse.ca/article/20070 ... ACTUALITES

Publié : mar. sept. 04, 2007 5:39 am
par Fabine
Et c’est parti…Par contre la FEUQ serait quelque peu délaissé car trop modéré aux yeux d’autres associations. L’ASSE voudrait une grève mais faudrait voir du côté de la FECQ qui peuvent compter à coup sûr sur l’AGECVM ou l’AGECEM mais sans la CVE-ENA qu’ils ont dans les pattes. Par contre cette fois-ci le RSOGÉÉCOM et la REECLJ voudront être bien entendu. Nous éliminons d’avance l’AGEB étant donné que leurs membres ont en moyenne 50$ de petites dépenses quotidienne et l’AGEEITHQ qui sont trop occupé à surveiller que la pâte lève.

Bon il n’y a pas que le CEGEG maintenant que l’AEESPUL est affilié au FRAEC ça brassera plus sans compter sur l’AFESPED de l’UQAM qui se feront modérer par la DASPE mais ne sera pas nécessaire pour l’ADEESE à moins que le SCCUQ embarque. Sans compter qu’un grève pourrait mettre en péril l’obtention d’une bourse du MSSS pour l’obtention d’un IPS ce que l’OIIQ ne voudrait pas, le CHUM étant déjà en manque de personnel.

J’espère que je n’aurai pas payé une TRAM inutilement à la STL et la STM à moins que ce soit à l’AMT. En tout cas je sens que je commence à avoir un mal de bloc et que je serais mieux de passer au CLSC avant de me retrouver dans un CHSLD ou un CHSGS ce qui ne serait pas heureux sachant comment c’est gérer par les CSSS ayant pourtant beaucoup de personnel détenteur de MBA. Ça me fait penser que je ne sais pas si je ne suis  règle avec la RAMQ. Aussi bien me rendre à la SAQ mais à pied car j’ai bien entendu les messages de la SAAQ. Oups, il faut que je passe à un guichet payer mon immatriculation mais pas un AMT trop cher je vais aller à celui de la CIBC de la TD à moins que j’en trouve de la HSBC ou de ING. J’espère me souvenir de mon NIP qui est quand même moins long que mon NAS.

En tout cas peu importe, je paye les frais de scolarité des sessions réussies. Alors mon étudiante pourra bien grever illimité si ça lui chante en autant qu’elle se souvienne de son NIP pour faire éventuellement un DPA à mon compte.

Scuzez-là, je suis en vacances et je me paye le luxe de perdre mon temps.