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Publié : ven. mai 11, 2007 1:41 am
par .anthurium.
La pénurie de personnel risque de s'aggraver
Eric Yvan Lemay
Le Journal de Montréal
11/05/2007 07h00
La pénurie de personnel dans le milieu de la santé va aller en s'aggravant si rien n'est fait rapidement, prévient un professeur spécialisé en gestion des ressources humaines. Selon lui, tout le monde doit mettre l'épaule à la roue, y compris les syndicats.
«La population vieillissante demande de plus en plus de soins. En même temps, on note une retraite massive des baby-boomers et il n'y a pas suffisamment de jeunes pour les remplacer», explique le professeur François Villeneuve de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue.
D'ici 2015, on estime que 110 000 emplois devront être comblés dans le réseau, particulièrement chez les infirmières et les inhalothérapeutes.
«Les gens du milieu de la santé sont très dévoués mais ils sont en train de s'épuiser, de se brûler en temps supplémentaire pour ne pas laisser mourir les gens sans soins», dit-il.
Conventions trop rigides
Dans le cadre du congrès de l'Association québécoise des établissements de santé et de services sociaux, il a invité les dirigeants à proposer des solutions pour contrer la pénurie.
Selon lui, les syndicats doivent donner du lest pour créer des postes hybrides, dans deux établissements par exemple.
«Les dirigeants se butent souvent à des conventions très rigides. Il faut les ouvrir. En contrepartie, le gouvernement doit augmenter les sous qu'il verse», dit-il.
Ouverture aux immigrants
Le ministère doit également s'ouvrir davantage aux travailleurs provenant de l'étranger.
L'ouverture de l'immigration et la modification de la pratique pour permettre au personnel d'être plus polyvalent sont une des clés du succès.
Finalement, il croit qu'il faut à tout prix que les établissements se concurrencent pas entre eux pour les futurs candidats.
«Il ne faut plus de compétition, mais plutôt de la collaboration. Par exemple de partager un inhalothérapeute entre deux hôpitaux», conclut-il.
Le ministère estime qu'il faudra au moins de 900 à 1400 infirmières bachelières par année au cours des prochaines années et encore plus d'infirmières provenant du collégial. --Message edité par .anthurium. le 2007-05-29 08:43:26--
Publié : ven. mai 11, 2007 2:50 am
par Rénatane
On est plusieurs a faire du temps supplémentaires , pour permettre a des salles d'opérations de rester ouvertes......Les inhalothérapeute , c'est encore pire....
Imaginez , dans deux ans , il y aura beaucoup de départ a la retraite....j'ose a peine imaginer ce que ça va avoir l'air...
Si ça continue , va falloir fermer la moitié des salles... et c'est partout pareil...
Les listes vont rallonger.......
Publié : ven. mai 11, 2007 3:23 am
par InFoManII
Le nombre de malades ira toujours en augmentant parce que le gouvernement n'essaye pas de prendre des mesures visant à réduire le nombre de malades... pas de programme de lutte à l'obésite, rien pour améliorer la qualité de l'air, etc etc...
Tant que la santé sera envisagée comme les routes du Québec en "patchant" plutôt qu'en construisant à neuf pour réparer une fois pour toute, il y aura toujours des pénuries... et ça va s'aggraver avec le temps jusqu'à accaparer 100% du budget du Québec ?
Ti-Jean s'en va vers l'ouverture de cliniques privées, nous verrons si ce système à deux vitesses permettra de réduire la charge de travail des hôpitaux.
à suivre...
Publié : ven. mai 11, 2007 9:41 am
par .anthurium.
Le ministre de la Santé et des Services sociaux Philippe Couillard
Sans détour, le ministre de la Santé et des Services sociaux Philippe Couillard a carrément invité les hôpitaux à faire leur ménage.
Prononçant l'allocution de clôture, vendredi, dans le cadre d'un congrès de l'Association québécoise des établissements de santé et de services sociaux, à Montréal, le ministre Couillard a avoué s'être fait parler souvent du manque de propreté des hôpitaux durant la campagne électorale.
Il a rappelé aux dirigeants d'établissements de santé que faire le ménage était leur travail et que le prétexte voulant qu'ils n'en avaient pas les moyens financiers ne tenait pas.
Il a noté qu'un des hôpitaux universitaires du Québec avait réussi à faire tout son grand ménage jusqu'au plafond avec 26 000 $.
La propreté, a-t-il rappelé, est liée à la propagation des infections nosocomiales.
Il s'agissait du premier discours public du ministre Couillard sur un dossier relié à la santé depuis sa réélection, le 26 mars dernier.
Une solution c'est (comme disait le premier texte )Que les syndicats fassent leur pars. QU,ils arrêtent de mettre des bâton dans les roues a ceux qui veulent faire du ménage. (mon maris ne pouvais même pas faire le ménage dans son bureau a l'hôpital ou ils travaille. Et lui n'est même pas syndiqué. Si il arrive un dégâts il faut faire venir le gars de l'entretiens. Et il ne faut pas tomber sur sa pause ou 20 minutes avant la fin de son travail.
Publié : mer. mai 16, 2007 9:58 am
par .anthurium.
Claude Castonguay propose une réforme en profondeur du système de santé
Le 16 mai 2007 - 14:35 | Presse Canadienne
Une refonte de la Régie de l'assurance-maladie du Québec, le développement accéléré des cliniques médicales, une optimisation de l'utilisation des équipements hospitaliers, la coexistence des services publics et privés ainsi qu'une modification de la Loi canadienne sur la santé sont au nombre des réformes proposées, mercredi, par l'ancien ministre des Affaires sociales du Québec, Claude Castonguay, lors d'une allocution devant l'Institut économique de Montréal.
"Il faut aller au-delà des solutions ponctuelles et du colmatage en réponse aux problèmes qui ne cessent de faire surface, a dit M. Castonguay. Depuis trop longtemps, les correctifs apportés ont toujours visé à combler à coups de milliards les brèches dans le système. Des changements fondamentaux s'imposent."
Il propose dans un premier temps de s'attaquer à la gouvernance du système, notamment en s'inspirant de l'exemple de l'Europe où "le système de remboursement des coûts, qui encourage l'inefficience, a été remplacé par un système de tarification à l'activité ou d'achat de services qui encourage la productivité".
Dans cette optique, M. Castonguay suggère une refonte de la Régie de l'assurance-maladie du Québec pour en faire un agent ayant comme mission de dynamiser le système. La nouvelle régie conclurait des ententes d'achat et de financement des soins en plus d'avoir la responsabilité d'évaluer la performance du système de santé.
"Les hauts fonctionnaires du ministère de la Santé ont transformé notre système (...) en une bureaucratie inefficace et coûteuse, a-t-il lancé. Le pouvoir est totalement centralisé entre leurs mains à Québec et ne laisse aucune initiative aux responsables des services. Protégés par leur anonymat, ils demeurent insensibles face aux souhaits des citoyens (...). Ce qui leur importe avant tout, c'est de garder un contrôle rigide sur le système."
M. Castonguay propose aussi que la nouvelle régie ait comme mission de développer des réseaux de cliniques "dotées des meilleurs équipements en termes de soins et de gestion administrative". Ces réseaux permettraient de "désengorger les hôpitaux et (de) les recentrer sur leurs missions premières".
De même, M. Castonguay déplore la sous-utilisation des ressources hospitalières que sont les blocs opératoires et les équipements de laboratoire et de radiologie. Il suggère de les rendre "accessibles à la pratique privée le soir et les fins de semaine" afin de "générer des revenus additionnels pour le système public et, ce faisant, réduire la demande de soins et les temps d'attente".
M. Castonguay souligne d'ailleurs que la coexistence de services publics et privés dans les pays de l'Organisation de coopération et de développement économiques "démontre qu'il est possible d'établir un sain équilibre entre les deux au moyen d'un encadrement approprié". Dans ces systèmes, précise-t-il, les médecins doivent s'acquitter d'obligations bien définies dans le cadre du système public comme prérequis pour dispenser des soins privés.
M. Castonguay demande également une refonte de la Loi canadienne sur la santé, dont la formulation actuelle bloque, selon lui, les changements qui s'imposent.
"Le caractère punitif de la loi est tout à fait contraire à l'esprit de coopération qui devrait exister entre les niveaux de gouvernement dans un domaine si crucial", a-t-il dit.
Enfin, s'inspirant de données compilées par l'OCDE, M. Castonguay propose que le Québec mette en place une politique de contribution des usagers et qu'il autorise les assurances maladies privées, qui offrent "un potentiel intéressant pour accroître le financement de la santé et diminuer les pressions sur le système public".
Publié : jeu. mai 17, 2007 1:25 am
par nancy31f
et aussi ceux qui vont a l'hopital pour des ptis bobos ca ca m'enrage
Publié : jeu. mai 17, 2007 1:52 am
par Mimichouette
sauf que les gens qui on des petits bobos on pu ben le choix puisque y a plus de médecin généralistes qui prennent des patients
tsé ma belle soeur a du aller à l'urgence parce qu'elle était enceinte et qu'elle avait personne pour faire son suivi de grossesse
Publié : jeu. mai 17, 2007 6:08 am
par Xardas
InFoManII a écritLe nombre de malades ira toujours en augmentant parce que le gouvernement n'essaye pas de prendre des mesures visant à réduire le nombre de malades... pas de programme de lutte à l'obésite, rien pour améliorer la qualité de l'air, etc etc...
Tant que la santé sera envisagée comme les routes du Québec en "patchant" plutôt qu'en construisant à neuf pour réparer une fois pour toute, il y aura toujours des pénuries... et ça va s'aggraver avec le temps jusqu'à accaparer 100% du budget du Québec ?
Ti-Jean s'en va vers l'ouverture de cliniques privées, nous verrons si ce système à deux vitesses permettra de réduire la charge de travail des hôpitaux.
à suivre...
j'ai un grand espoir dans le système a deux vitesse
mais le seul problème c'est qu'il réglera pas le problème de La pénurie de personnel dans le milieu de la santé --Message edité par Xardas le 2007-05-17 12:09:47--
Publié : jeu. mai 17, 2007 6:14 am
par Xardas
nancy31f a écritet aussi ceux qui vont a l'hopital pour des ptis bobos ca ca m'enrage
justement il faudra aller a l'hôpital pour soigner des petit avant qu'il deviennent des grand bobo et coûter encore plus chére
c'est pas la faute au client que le système de santé et déficient
justement comme il faudra prévenir que guérir
comme InFoManII disais prendre des mesures d'avance
genre a un certaine âge il me semble il faudra pas attendre d'etre malade pour faire des prise de sang etc... --Message edité par Xardas le 2007-05-17 12:16:20--
Publié : jeu. mai 17, 2007 12:13 pm
par brunetta
Je ne suis même pas capable de trouver un pédiatre ou un médecin qui pourrait suivre mon fils de 3 mois sti je me suis fait répondre dans une clinique qu'ils ne prennent pas de bébé qui sont nés ils prennent des bébé qui vont naître en septembre
Le système de santé fait dur, je ne me présente pas à l'urgence quand je n'en ai pas besoin. Je vais attendre dans les cliniques de sans rendez-vous quand j'ai besoin de voir un médecin.
Publié : lun. mai 28, 2007 10:43 am
par .anthurium.
système de santé informatisé déployé à Québec en 2008
Le 28 mai 2007 - 14:18 | Karine Chateauneuf [AgenceNews]
Le ministre de la Santé, Philippe Couillard, a fait le point lundi après-midi sur le déploiement du système informatisé de santé, qui permettra aux médecins d'accéder au dossier médical d'un patient, peu importe l'établissement de santé.
Le nouveau système sera mis en place à Québec en janvier 2008 pour un période d'essai de 9 mois, à la fin de laquelle les ajustements nécessaires seront apportés avant de déployer le système à la grandeur de la province.
Ce nouvel outil devrait permettre d'éviter les examens cliniques en double, et de permettre au médecin de connaître plus rapidement les détails du dossier de santé d'un patient même si celui-ci n'est pas en mesure de les fournir. Les patients devront consentir à ce que leurs résultats d'examens soient rendus accessibles au réseau, et d'imposantes mesures de sécurité sont déployées afin d'assurer la confidentialité des dossiers.
Publié : lun. mai 28, 2007 10:48 am
par .anthurium.
Ca se dirige vers un flop cette affaire, étant donné que les patients devront donner leur consentements.
Si on veux que cette mesure marche il faut modifier la loi a l'accès a l'information et obliger le monde a adhérer au programme.
Publié : lun. mai 28, 2007 8:21 pm
par sleepy-girl
j'aie rien à cacher,pourtant je suis contre,après tout il ne nous reste tellement si peu de choses privé,on a raison de craindre que nos renseignements confidentiels se retrouvent ensuite entre toutes sortes de mains po toujours respectueuses des lois de confidentialités
Publié : mar. mai 29, 2007 2:35 am
par .anthurium.
Quelque 12 000 personnes sont en attente d'une opération au Québec
Le 29 mai 2007 - 07:17 | Colette Cyr [AgenceNews]
Le temps d'attente pour subir une intervention chirurgicale demeure toujours trop long dans les hôpitaux québécois. En effet, une imposante liste d'attente (de plus de six mois) de 12 000 patients démontre que le problème est loin d'être réglé dans notre système de santé.
Malgré que cette liste soit allégée de 5000 patients de moins qu'à pareille date l'an dernier, il n'en demeure pas moins que la situation est inquiétante. Ce serait l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont qui détiendrait la palme avec ses 1642 cas en attente.
Par ailleurs deux hôpitaux se distinguent dans le contrôle de leur liste d'attente : il s'agit de l'hôpital de Lakeshore avec un mince 3% d'attente de plus de six mois et le Centre hospitalier de Verdun avec aucun cas.
Rappelons qu'il faut éviter en autant que faire se peut l'urgence de l'hôpital Jean-Talon qui est présentement en rénovation.
Publié : mer. juin 20, 2007 7:28 am
par .anthurium.
Groupe Castonguay: la scénariste de L'Illusion tranquille pour l'ADQ
Le 20 juin 2007 - 10:09 | Presse Canadienne
Joanne Marcotte, qui a réalisé et scénarisé le documentaire «L'Illusion tranquille», qui conclut à l'échec du modèle québécois, représentera l'Action démocratique du Québec au sein du groupe de travail chargé de revoir le financement de la santé au Québec.
La ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, a annoncé le 24 mai la création de ce groupe présidé par Claude Castonguay, qui doit faire en décembre des recommandations sur le recours au financement privé pour les services de santé.
Dans une entrevue au quotidien «Le Devoir», Mme Marcotte avance que le monopole public en santé ne livre plus la marchandise. Elle explique qu'il faudra notamment tenir compte du principe d'accès équitable et de la pénurie de main-d'oeuvre qui affecte le réseau. Elle y voit un beau défi.
Dans «L'Illusion tranquille», un documentaire de 72 minutes, Johanne Marcotte tire à boulets rouges sur les politiciens, libéraux ou péquistes, qui perpétuent le mensonge du modèle québécois, un modèle qui serait rongé par un syndicalisme exacerbé et caractérisé par l'uniformité des programmes sociaux universels --Message edité par .anthurium. le 2007-06-20 13:29:09--
Publié : jeu. juin 21, 2007 1:10 am
par .anthurium.
Comité Castonguay: le Parti québécois sera représenté par Michel Venne
Le 20 juin 2007 - 22:09 | Presse Canadienne
Le Parti québécois a choisi Michel Venne pour le représenter à la vice-présidence du groupe de travail chargé d'examiner les moyens d'assurer un financement adéquat du système de santé, groupe présidé par Claude Castonguay.
Longtemps chroniqueur au Devoir, M. Venne est le fondateur et le directeur général de l'Institut du Nouveau Monde. En 2005, l'INM avait tenu un "Rendez-vous stratégique sur la santé" qui portait sur cinq thèmes spécifiques: le rôle de l'État, l'accès aux soins, le financement, le processus décisionnel et l'offre de service dans le réseau de la santé.
Pour le PQ, un débat aussi important doit être balisé par des valeurs et des principes fondamentaux conformes aux aspirations des Québécois: placer au coeur du débat la solidarité entre les personnes mieux nanties et les personnes en situation de pauvreté; prioriser le développement d'un système de santé public fort et de qualité qui fera de l'état de santé d'une personne le premier critère d'accès aux soins de santé; assurer à toutes les personnes, indépendamment de leur condition financière ou de leur statut social, l'accès à des soins de qualité dans des délais médicalement requis; trouver de nouvelles sources de financement afin d'assurer la pérennité du réseau public de santé et de services sociaux.
Mardi, l'Action démocratique du Québec avait désigné Mme Joanne Marcotte pour la représenter au sein du groupe de travail. Mme Marcotte est la réalisatrice et scénariste de "L'Illusion tranquille", un documentaire qui conclut à l'échec du modèle québécois.
Publié : jeu. juin 21, 2007 1:24 am
par Glugibran
Pourquoi ne pas abolir les maudites régies régionales qui ne servent absolument à rien et engloutissent des millions de $$...
Publié : sam. juin 23, 2007 4:20 pm
par Rénatane
.anthurium. a écritQuelque 12 000 personnes sont en attente d'une opération au Québec
Le 29 mai 2007 - 07:17 | Colette Cyr [AgenceNews]
Le temps d'attente pour subir une intervention chirurgicale demeure toujours trop long dans les hôpitaux québécois. En effet, une imposante liste d'attente (de plus de six mois) de 12 000 patients démontre que le problème est loin d'être réglé dans notre système de santé.
Malgré que cette liste soit allégée de 5000 patients de moins qu'à pareille date l'an dernier, il n'en demeure pas moins que la situation est inquiétante. Ce serait l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont qui détiendrait la palme avec ses 1642 cas en attente.
Par ailleurs deux hôpitaux se distinguent dans le contrôle de leur liste d'attente : il s'agit de l'hôpital de Lakeshore avec un mince 3% d'attente de plus de six mois et le Centre hospitalier de Verdun avec aucun cas.
Rappelons qu'il faut éviter en autant que faire se peut l'urgence de l'hôpital Jean-Talon qui est présentement en rénovation.
Ils me font rire avec leurs statistiques.......comme si tous les hopitaux déservaient le même nombres de personnes
En plus les gros hopitaux font de grosses opérations compliquées qui nécéssite beaucoup plus de temps......
Publié : dim. juin 24, 2007 5:53 am
par Soleil47
.anthurium. a écritsystème de santé informatisé déployé à Québec en 2008
Le 28 mai 2007 - 14:18 | Karine Chateauneuf [AgenceNews]
Le ministre de la Santé, Philippe Couillard, a fait le point lundi après-midi sur le déploiement du système informatisé de santé, qui permettra aux médecins d'accéder au dossier médical d'un patient, peu importe l'établissement de santé.
Le nouveau système sera mis en place à Québec en janvier 2008 pour un période d'essai de 9 mois, à la fin de laquelle les ajustements nécessaires seront apportés avant de déployer le système à la grandeur de la province.
Ce nouvel outil devrait permettre d'éviter les examens cliniques en double, et de permettre au médecin de connaître plus rapidement les détails du dossier de santé d'un patient même si celui-ci n'est pas en mesure de les fournir. Les patients devront consentir à ce que leurs résultats d'examens soient rendus accessibles au réseau, et d'imposantes mesures de sécurité sont déployées afin d'assurer la confidentialité des dossiers.
Je suis pour cela à 100% et même plus.
Je pense que tout ceci pourrait s'avérer très utile pour tous à la condition que, justement, le réseau soit sécuritaire en ce qui concerne les données de renseignements.
Publié : dim. juin 24, 2007 6:12 am
par youppidou
Je trouve qu'il faut pas tout mettre sur la faute du gouvernement qui ne cesse de rajouter de l'argent. Moi, je blâme plutôt la mauvaise gestion des administrateurs des hôpitaux.
J'en reviens pas dans certains hôpitaux de voir les infirmières faire réchauffer les toasts le matin et les porter aux patients. J'en reviens pas de voir les infirmières changer les lits des patients quand ils partent. Ceci devrait être fait par le personnel de soutien. Ça les dégorgerait d'avoir de l'aide.
J'en reviens pas de voir que dans certains hôpitaux, aucune peinture n'a été faite depuis les années 50.
Qu'ils utilisent l'argent du gouvernement pour des côtés plus pratiques au lieu de modifier l'ameublement des bureaux des dirigeants et de s'accorder des bonus.
Les hôpitaux sont sales, pas entretenus et le gouvernement ne cesse de leur fournir de l'argent qu'ils gaspillent effrontément sur le dos des patients et du personnel infirmier.
Je suis parfaitement en accord avec P. Couillard là-dessus.