Publié : jeu. mai 03, 2007 9:12 am
Agence France-Presse
Ottawa
Le légendaire «Bigfoot», équivalent nord-américain du Yéti, est menacé d'exctinction et doit bénéficier de la protection de la loi sur les espèces en péril, comme la baleine bleue, la grue blanche ou le renard véloce, plaide un parlementaire canadien.
Le député conservateur Mike Lake a soumis récemment au parlement une pétition dans ce sens, sur laquelle la Chambre des Communes doit se prononcer d'ici le 11 mai.
Son texte, signé par quelque 500 des administrés de sa circonscrïption d'Edmonton, capitale de la province d'Alberta, souligne qu'au regard des menaces pesant sur cette créature, le débat sur son existence éventuelle est secondaire.
«En conséquence les signataires demandent à la Chambre des Communes de mettre en place immédiatement des dispositions législatives pour protéger Bigfoot», précise le texte.
Un appel similaire a été présenté au Congrès américain.
Les histoires sur l'existence d'un grand bipède poilu, également appelé Sasquatch, hantant les montagnes de l'ouest du Canada et des États-Unis refont surface de temps à autre et ne datent pas d'hier.
Le nom Sasquatch est d'ailleurs dérivé de celui que lui donnaient les amérindiens avant l'arrivée des Européens sur le continent nord-américain.
Le promoteur de la pétition et spécialiste de Bigfoot, Tom Standing, affirme avoir des preuves de l'existence de l'humanoïde mythique.
«Quand nous aurons obtenu la protection de la loi sur les espèces en péril, Je rendrai publiques mes découvertes et ferai sortir Bigfoot du domaine de la mythologie. Il existe», a-t-il déclaré au réseau de télévision Global.
Tom Standing affirme avoir une vidéo de 12 secondes montrant une de ces créatures dans les Montagnes Rocheuses dans l'ouest du Canada, dans un documentaire consacré à Bigfoot. Ses détracteurs affirment toutefois qu'il s'agit d'une mise en scène.
Ceux qui croient au Sasquatch avaient été déçus en 2005 lorsqu'un chercheur avait déterminé qu'un échantillon de poils découvert dans le Yukon et censé venir de la bête légendaire appartenait en fait à un bison.
Ottawa
Le légendaire «Bigfoot», équivalent nord-américain du Yéti, est menacé d'exctinction et doit bénéficier de la protection de la loi sur les espèces en péril, comme la baleine bleue, la grue blanche ou le renard véloce, plaide un parlementaire canadien.
Le député conservateur Mike Lake a soumis récemment au parlement une pétition dans ce sens, sur laquelle la Chambre des Communes doit se prononcer d'ici le 11 mai.
Son texte, signé par quelque 500 des administrés de sa circonscrïption d'Edmonton, capitale de la province d'Alberta, souligne qu'au regard des menaces pesant sur cette créature, le débat sur son existence éventuelle est secondaire.
«En conséquence les signataires demandent à la Chambre des Communes de mettre en place immédiatement des dispositions législatives pour protéger Bigfoot», précise le texte.
Un appel similaire a été présenté au Congrès américain.
Les histoires sur l'existence d'un grand bipède poilu, également appelé Sasquatch, hantant les montagnes de l'ouest du Canada et des États-Unis refont surface de temps à autre et ne datent pas d'hier.
Le nom Sasquatch est d'ailleurs dérivé de celui que lui donnaient les amérindiens avant l'arrivée des Européens sur le continent nord-américain.
Le promoteur de la pétition et spécialiste de Bigfoot, Tom Standing, affirme avoir des preuves de l'existence de l'humanoïde mythique.
«Quand nous aurons obtenu la protection de la loi sur les espèces en péril, Je rendrai publiques mes découvertes et ferai sortir Bigfoot du domaine de la mythologie. Il existe», a-t-il déclaré au réseau de télévision Global.
Tom Standing affirme avoir une vidéo de 12 secondes montrant une de ces créatures dans les Montagnes Rocheuses dans l'ouest du Canada, dans un documentaire consacré à Bigfoot. Ses détracteurs affirment toutefois qu'il s'agit d'une mise en scène.
Ceux qui croient au Sasquatch avaient été déçus en 2005 lorsqu'un chercheur avait déterminé qu'un échantillon de poils découvert dans le Yukon et censé venir de la bête légendaire appartenait en fait à un bison.