Publié : dim. avr. 22, 2007 3:56 pm
Le Journal de Québec décrète son 1er Look Out de son Histoire, le journal continura a etre publier se basant sur les nouvelels du
Journal de Montreal
Lock-out au Journal de Québec
Les pressiers déclenchent une grève
La centaine de pressiers du Journal de Québec appuient leurs collègues de la rédaction et de bureau, et ils ont décidé de déclencher une grève.
Quebecor les avait pourtant invités à rentrer au travail, mais ils jugent que le lock-out est injustifié.
Après quatre mois de négociations, la partie patronale a décrété dimanche un lock-out de ses 150 employés de bureau et de la rédaction.
Malgré tout, la partie patronale assure que le quotidien sera publié lundi matin.
Les cadres de l'entreprise pourraient produire Le Journal de Québec. Le syndicat craint plutôt que le quotidien soit imprimé à Toronto.
selon LCN
Radio publie un autre texte:
Journal de Québec
Quebecor décrète un lock-out
Mise à jour le dimanche 22 avril 2007, 17 h 03 .
Le Journal de Québec
Pour la première fois de son histoire, la direction du Journal de Québec a décrété un lock-out, dimanche matin. Les négociations entre le syndicat et la partie patronale sont rompues depuis trois semaines.
La décision de Quebecor touche 140 journalistes et employés de bureau. Lors d'une assemblée spéciale des trois syndicats tenue dimanche soir, les employés de l'imprimerie, qui n'étaient pourtant pas concernés par cet arrêt de travail, ont décidé d'appuyer massivement leurs collègues en lock-out et de déclencher la grève immédiatement.
La direction a exprimé son intention de continuer à publier le Journal de Québec en se servant d'articles du Journal de Montréal et d'une équipe de cadres en place à Québec, selon le porte-parole de Quebecor Média, Luc Lavoie.
Débat autour de la contre-proposition syndicale
Luc Lavoie, vice-président exécutif aux Affaires corporatives de Quebecor
Luc Lavoie, vice-président exécutif aux Affaires corporatives de Quebecor
Quebecor exige des concessions de la part de ses employés. La direction veut répartir les heures de travail hebdomadaire sur cinq jours, au lieu de quatre. Elle veut aussi réduire la main-d'oeuvre en centralisant certains services, comme les annonces classées.
Selon Luc Lavoie, ces mesures sont essentielles dans le cadre de la mutation profonde que traverse l'industrie des journaux, notamment avec le développement de l'Internet. Il souligne que les revenus et les marges de profit des journaux s'écroulent.
Luc Lavoie déplore aussi le fait que le syndicat n'a toujours pas fait de contre-proposition depuis le rejet des offres patronales, en février. Mais les représentants des employés disent qu'ils ont bel et bien présenté une contre-proposition, qui n'a cependant pas satisfait la direction du groupe.
Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction au Journal de Québec
Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction au Journal de Québec
« Il n'y a aucune raison de décréter un lock-out, d'autant plus qu'on ne sent aucune volonté de l'employeur de négocier. Il veut nous imposer des choses, il ne veut rien bouger », a déclaré Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction du Journal de Québec.
Le syndicat estime d'ailleurs que ce conflit a été créé de toutes pièces par la direction. Le lock-out « a été planifié par Quebecor depuis plus de six mois », a indiqué M. Bolduc. Le syndicat est en mesure de le prouver grâce à des notes et photos d'« une salle de presse qui a été montée au troisième étage du Toronto Sun, à Montréal, depuis longtemps », a-t-il ajouté.
Rappelons que les négociations au Journal de Québec ont débuté en décembre 2006. La partie patronale a déposé une offre globale le 20 février dernier. Seul le syndicat des représentants des ventes a accepté la proposition de l'employeur, ce qui a mené à la signature de leur nouvelle convention collective, le 2 mars.
Radio-canada Québec --Message edité par londo33 le 2007-04-23 18:23:42--
Journal de Montreal
Lock-out au Journal de Québec
Les pressiers déclenchent une grève
La centaine de pressiers du Journal de Québec appuient leurs collègues de la rédaction et de bureau, et ils ont décidé de déclencher une grève.
Quebecor les avait pourtant invités à rentrer au travail, mais ils jugent que le lock-out est injustifié.
Après quatre mois de négociations, la partie patronale a décrété dimanche un lock-out de ses 150 employés de bureau et de la rédaction.
Malgré tout, la partie patronale assure que le quotidien sera publié lundi matin.
Les cadres de l'entreprise pourraient produire Le Journal de Québec. Le syndicat craint plutôt que le quotidien soit imprimé à Toronto.
selon LCN
Radio publie un autre texte:
Journal de Québec
Quebecor décrète un lock-out
Mise à jour le dimanche 22 avril 2007, 17 h 03 .
Le Journal de Québec
Pour la première fois de son histoire, la direction du Journal de Québec a décrété un lock-out, dimanche matin. Les négociations entre le syndicat et la partie patronale sont rompues depuis trois semaines.
La décision de Quebecor touche 140 journalistes et employés de bureau. Lors d'une assemblée spéciale des trois syndicats tenue dimanche soir, les employés de l'imprimerie, qui n'étaient pourtant pas concernés par cet arrêt de travail, ont décidé d'appuyer massivement leurs collègues en lock-out et de déclencher la grève immédiatement.
La direction a exprimé son intention de continuer à publier le Journal de Québec en se servant d'articles du Journal de Montréal et d'une équipe de cadres en place à Québec, selon le porte-parole de Quebecor Média, Luc Lavoie.
Débat autour de la contre-proposition syndicale
Luc Lavoie, vice-président exécutif aux Affaires corporatives de Quebecor
Luc Lavoie, vice-président exécutif aux Affaires corporatives de Quebecor
Quebecor exige des concessions de la part de ses employés. La direction veut répartir les heures de travail hebdomadaire sur cinq jours, au lieu de quatre. Elle veut aussi réduire la main-d'oeuvre en centralisant certains services, comme les annonces classées.
Selon Luc Lavoie, ces mesures sont essentielles dans le cadre de la mutation profonde que traverse l'industrie des journaux, notamment avec le développement de l'Internet. Il souligne que les revenus et les marges de profit des journaux s'écroulent.
Luc Lavoie déplore aussi le fait que le syndicat n'a toujours pas fait de contre-proposition depuis le rejet des offres patronales, en février. Mais les représentants des employés disent qu'ils ont bel et bien présenté une contre-proposition, qui n'a cependant pas satisfait la direction du groupe.
Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction au Journal de Québec
Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction au Journal de Québec
« Il n'y a aucune raison de décréter un lock-out, d'autant plus qu'on ne sent aucune volonté de l'employeur de négocier. Il veut nous imposer des choses, il ne veut rien bouger », a déclaré Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction du Journal de Québec.
Le syndicat estime d'ailleurs que ce conflit a été créé de toutes pièces par la direction. Le lock-out « a été planifié par Quebecor depuis plus de six mois », a indiqué M. Bolduc. Le syndicat est en mesure de le prouver grâce à des notes et photos d'« une salle de presse qui a été montée au troisième étage du Toronto Sun, à Montréal, depuis longtemps », a-t-il ajouté.
Rappelons que les négociations au Journal de Québec ont débuté en décembre 2006. La partie patronale a déposé une offre globale le 20 février dernier. Seul le syndicat des représentants des ventes a accepté la proposition de l'employeur, ce qui a mené à la signature de leur nouvelle convention collective, le 2 mars.
Radio-canada Québec --Message edité par londo33 le 2007-04-23 18:23:42--