Publié : mar. mars 20, 2007 5:56 am
pris sur cyberpresse
Citation :Le mardi 20 mars 2007
Boisclair demande aux Québécois de faire un «ménage» lundi
Patrice Bergeron
Presse Canadienne
Montréal
André Boisclair a appelé les Québécois à faire un vrai «grand ménage du printemps» en chassant le gouvernement libéral lundi prochain.
De passage mardi dans la circonscrïption de Vimont, à Laval, le chef péquiste a demandé aux électeurs de donner à Jean Charest son «4 pour cent», en d'autres mots, son préavis de licenciement.
M. Boisclair a affirmé que le budget fédéral de lundi ne pourra pas faire oublier le bilan libéral, de même que les milliers de pertes d'emploi dans le secteur manufacturier.
Il a ajouté que Jean Charest avait «fait mal» au lien de confiance des Québécois à l'égard de la classe politique.
Enfin, il a réitéré ses appels aux souverainistes et aux progressistes pour qu'ils rentrent au bercail du PQ.
Citation :Boisclair limitera les «bâillons matraques»
Malorie Beauchemin
La Presse
Laval
Élu à la tête du gouvernement du Québec, le chef du Parti québécois restreindra l’utilisation du bâillon pour faire adopter certaines lois controversés, tel qu’utilisé abondamment par les libéraux dans les dernières années
«Jean Charest a fait mal à la confiance à l’égard de la classe politique. Il a gouverné de façon autoritaire, par lois, par décrets, par bâillons. Les Québécois ont vu ça. Ça leur a fait mal, a dit André Boisclair, de passage dans la circonscrïption de Vimont. Quand on va se retrouver à l’Assemblée nationale, on va mettre fin à ces espèces de bâillons matraques que les libéraux ont utilisés pour rentrer dans la gorge des parlementaires.»
Un gouvernement péquiste serait, selon lui, plus responsable, afin de regagner la confiance des Québécois qui ont été choqués par de telles pratiques. «Nous allons revoir les règles pour éviter qu’un gouvernement use d’autorité comme M. Charest l’a fait», a souligné le chef du PQ. «René Lévesque en 1976 était venu assainir les règles de la politique. C’est encore un gouvernement du Parti québécois qui va revoir les façons de faire», a-t-il ajouté.
Historiquement, tous les partis ont déjà utilisé le bâillon lorsqu’ils étaient au pouvoir, incluant les gouvernements péquistes.
Citation :Le mardi 20 mars 2007
Boisclair demande aux Québécois de faire un «ménage» lundi
Patrice Bergeron
Presse Canadienne
Montréal
André Boisclair a appelé les Québécois à faire un vrai «grand ménage du printemps» en chassant le gouvernement libéral lundi prochain.
De passage mardi dans la circonscrïption de Vimont, à Laval, le chef péquiste a demandé aux électeurs de donner à Jean Charest son «4 pour cent», en d'autres mots, son préavis de licenciement.
M. Boisclair a affirmé que le budget fédéral de lundi ne pourra pas faire oublier le bilan libéral, de même que les milliers de pertes d'emploi dans le secteur manufacturier.
Il a ajouté que Jean Charest avait «fait mal» au lien de confiance des Québécois à l'égard de la classe politique.
Enfin, il a réitéré ses appels aux souverainistes et aux progressistes pour qu'ils rentrent au bercail du PQ.
Citation :Boisclair limitera les «bâillons matraques»
Malorie Beauchemin
La Presse
Laval
Élu à la tête du gouvernement du Québec, le chef du Parti québécois restreindra l’utilisation du bâillon pour faire adopter certaines lois controversés, tel qu’utilisé abondamment par les libéraux dans les dernières années
«Jean Charest a fait mal à la confiance à l’égard de la classe politique. Il a gouverné de façon autoritaire, par lois, par décrets, par bâillons. Les Québécois ont vu ça. Ça leur a fait mal, a dit André Boisclair, de passage dans la circonscrïption de Vimont. Quand on va se retrouver à l’Assemblée nationale, on va mettre fin à ces espèces de bâillons matraques que les libéraux ont utilisés pour rentrer dans la gorge des parlementaires.»
Un gouvernement péquiste serait, selon lui, plus responsable, afin de regagner la confiance des Québécois qui ont été choqués par de telles pratiques. «Nous allons revoir les règles pour éviter qu’un gouvernement use d’autorité comme M. Charest l’a fait», a souligné le chef du PQ. «René Lévesque en 1976 était venu assainir les règles de la politique. C’est encore un gouvernement du Parti québécois qui va revoir les façons de faire», a-t-il ajouté.
Historiquement, tous les partis ont déjà utilisé le bâillon lorsqu’ils étaient au pouvoir, incluant les gouvernements péquistes.