Publié : ven. mars 09, 2007 11:00 am
À l’ADQ, les enfants, c’est notre première priorité » - Mario Dumont
2007.03.09
(Sainte-Thérèse, le 9 mars 2007) –« Pour nous, les enfants sont notre première priorité. C’est ce que nous avons de plus précieux. C’est notre plus belle richesse. Ils sont notre espoir, notre avenir comme société. C’est donc notre devoir d’investir dans notre avenir, de tout mettre œuvre pour que toutes les familles soient véritablement soutenues et qu’à terme le Québec compte plus d’enfants. Parce qu’à l’ADQ, les enfants, c’est notre première priorité ». C’est en ces termes que le chef de l’ADQ a présenté la vision d’avenir de l’ADQ pour la famille. Pour cela, l’ADQ s’engage à mettre en place une véritable politique familiale qui comporte une série de mesures capables de répondre aux besoins actuels des familles québécoises. La mise en place des éléments de cette politique familiale nécessitera un investissement annuel de 875 millions de dollars. Fait à souligner, il s’agit du plus important engagement financier de l’ADQ dans la présente campagne.
100$ par semaine par enfant
« À L’ADQ, on veut aider les familles, toutes les familles du Québec. À cet égard, nous nous engageons à verser une allocation familiale non imposable de 100 $ par semaine pour chaque enfant d’âge préscolaire qui ne fréquente pas une garderie subventionnée », a déclaré le chef de l’ADQ. Par cette mesure, l’ADQ vient corriger l’iniquité de la politique actuelle qui ne s’adresse qu’aux familles qui choisissent la garderie subventionnée pour les enfants. Ce faisant, le gouvernement libéral laisse littéralement tomber la moitié des familles du Québec. « Pour nous, c’est aux familles de décider ce qui est bon pour leurs enfants, pas à l’État, C’est pourquoi, nous nous engageons à mettre en place une allocation familiale de 100 $ par semaine pour chaque enfant d’âge préscolaire qui ne fréquente pas une garderie subventionnée tout en continuant à soutenir l’actuel réseau de garderies », a déclaré Monsieur Dumont.
Une allocation de 5 000 $ à partir d’un 3e enfant
Tout en respectant l’autonomie et les choix de vie des citoyens, l’ADQ estime qu’il est essentiel de soutenir les parents qui désirent agrandir leur famille. Reconnaissant le succès d’une pareille mesure instituée entre les années 1988 et 1996, l’ADQ versera une allocation à la naissance de 5 000 $ lors de la naissance ou l’adoption d’un 3e enfant et pour les suivants.
Faciliter l’adoption
Reconnaissant que de plus en plus de couples font des efforts importants et assument de lourdes dépenses pour accueillir des enfants venant d’autres pays, l’ADQ s’engage à alléger les mécanismes d’adoption au Québec et à soutenir financièrement les parents qui adoptent à l’étranger.
Reconnaître l’infertilité comme une condition médicale
Alors que la RAMQ paie pour les avortements, la ligature des trompes, la vasectomie et le renversement de ces processus, les couples infertiles doivent s’en remettre à eux-mêmes et à leurs propres deniers. À l’ADQ, nous croyons que la cohérence impose que l’on soutienne également les couples qui éprouvent des problèmes d’infertilité. Par conséquent, l’ADQ reconnaîtra l’infertilité comme une condition médicale et soutiendra des coûts raisonnables pour le traitement de l’infertilité ou des méthodes alternatives de procréation.
« Depuis trop longtemps, les familles du Québec ont été négligées par des gouvernements sans vision d’avenir. Il est temps de mettre fin à cela et de recommencer à investir dans nos enfants, dans nos familles. C’est une question d’avenir pour le Québec », a conclu le chef de l’ADQ
2007.03.09
(Sainte-Thérèse, le 9 mars 2007) –« Pour nous, les enfants sont notre première priorité. C’est ce que nous avons de plus précieux. C’est notre plus belle richesse. Ils sont notre espoir, notre avenir comme société. C’est donc notre devoir d’investir dans notre avenir, de tout mettre œuvre pour que toutes les familles soient véritablement soutenues et qu’à terme le Québec compte plus d’enfants. Parce qu’à l’ADQ, les enfants, c’est notre première priorité ». C’est en ces termes que le chef de l’ADQ a présenté la vision d’avenir de l’ADQ pour la famille. Pour cela, l’ADQ s’engage à mettre en place une véritable politique familiale qui comporte une série de mesures capables de répondre aux besoins actuels des familles québécoises. La mise en place des éléments de cette politique familiale nécessitera un investissement annuel de 875 millions de dollars. Fait à souligner, il s’agit du plus important engagement financier de l’ADQ dans la présente campagne.
100$ par semaine par enfant
« À L’ADQ, on veut aider les familles, toutes les familles du Québec. À cet égard, nous nous engageons à verser une allocation familiale non imposable de 100 $ par semaine pour chaque enfant d’âge préscolaire qui ne fréquente pas une garderie subventionnée », a déclaré le chef de l’ADQ. Par cette mesure, l’ADQ vient corriger l’iniquité de la politique actuelle qui ne s’adresse qu’aux familles qui choisissent la garderie subventionnée pour les enfants. Ce faisant, le gouvernement libéral laisse littéralement tomber la moitié des familles du Québec. « Pour nous, c’est aux familles de décider ce qui est bon pour leurs enfants, pas à l’État, C’est pourquoi, nous nous engageons à mettre en place une allocation familiale de 100 $ par semaine pour chaque enfant d’âge préscolaire qui ne fréquente pas une garderie subventionnée tout en continuant à soutenir l’actuel réseau de garderies », a déclaré Monsieur Dumont.
Une allocation de 5 000 $ à partir d’un 3e enfant
Tout en respectant l’autonomie et les choix de vie des citoyens, l’ADQ estime qu’il est essentiel de soutenir les parents qui désirent agrandir leur famille. Reconnaissant le succès d’une pareille mesure instituée entre les années 1988 et 1996, l’ADQ versera une allocation à la naissance de 5 000 $ lors de la naissance ou l’adoption d’un 3e enfant et pour les suivants.
Faciliter l’adoption
Reconnaissant que de plus en plus de couples font des efforts importants et assument de lourdes dépenses pour accueillir des enfants venant d’autres pays, l’ADQ s’engage à alléger les mécanismes d’adoption au Québec et à soutenir financièrement les parents qui adoptent à l’étranger.
Reconnaître l’infertilité comme une condition médicale
Alors que la RAMQ paie pour les avortements, la ligature des trompes, la vasectomie et le renversement de ces processus, les couples infertiles doivent s’en remettre à eux-mêmes et à leurs propres deniers. À l’ADQ, nous croyons que la cohérence impose que l’on soutienne également les couples qui éprouvent des problèmes d’infertilité. Par conséquent, l’ADQ reconnaîtra l’infertilité comme une condition médicale et soutiendra des coûts raisonnables pour le traitement de l’infertilité ou des méthodes alternatives de procréation.
« Depuis trop longtemps, les familles du Québec ont été négligées par des gouvernements sans vision d’avenir. Il est temps de mettre fin à cela et de recommencer à investir dans nos enfants, dans nos familles. C’est une question d’avenir pour le Québec », a conclu le chef de l’ADQ