Publié : ven. mars 16, 2007 6:40 am
Même minoritaire, le PQ pourrait tenir un référendum
Malorie Beauchemin
La Presse et PC
Cap-Chat
André Boisclair estime avoir la légitimité de tenir un référendum même s’il se retrouve à la tête d’un gouvernement minoritaire.
Le chef du Parti québécois refuse depuis le début de la campagne de spéculer sur la possibilité qu’aucun parti ne détienne une majorité absolue au lendemain du scrutin du 26 mars. Mais lorsqu’un journaliste lui a demandé si le Parti québécois pouvait légitimement penser à tenir un référendum dans un contexte où il n’aurait qu’une faible pluralité des voies, il a répondu : «Bien sûr, bien sûr, bien sûr !»
M. Boisclair a ensuite refusé de s’avancer plus loin, rejetant les questions qu’il juge hypothétiques. «Vous me faites spéculer. Moi, je pense que ça va être un gouvernement péquiste majoritaire», a conclu le chef péquiste.
À égalité virtuelle avec l'Action démocratique (ADQ) et le Parti libéral (PLQ), le chef du Parti québécois (PQ) a promis de mener «une campagne d'enfer» d'ici au scrutin dans l'espoir de distancer Mario Dumont et Jean Charest.
«On accélère le rythme de campagne. Plus d'arrêts, plus de gens que l'on va saluer, plus de présence sur le terrain. La victoire, on la voit, on la sent de plus en plus», a-t-il dit.
Depuis le débat des chefs, M. Boisclair dit ressentir «un enthousiasme» qui ne s'était pas vu depuis longtemps au Parti québécois.
«Il y a des souverainistes de plus en plus qui reviennent au Parti québécois, il y a de moins en mois d'indécis», a évalué le leader du parti.
Malorie Beauchemin
La Presse et PC
Cap-Chat
André Boisclair estime avoir la légitimité de tenir un référendum même s’il se retrouve à la tête d’un gouvernement minoritaire.
Le chef du Parti québécois refuse depuis le début de la campagne de spéculer sur la possibilité qu’aucun parti ne détienne une majorité absolue au lendemain du scrutin du 26 mars. Mais lorsqu’un journaliste lui a demandé si le Parti québécois pouvait légitimement penser à tenir un référendum dans un contexte où il n’aurait qu’une faible pluralité des voies, il a répondu : «Bien sûr, bien sûr, bien sûr !»
M. Boisclair a ensuite refusé de s’avancer plus loin, rejetant les questions qu’il juge hypothétiques. «Vous me faites spéculer. Moi, je pense que ça va être un gouvernement péquiste majoritaire», a conclu le chef péquiste.
À égalité virtuelle avec l'Action démocratique (ADQ) et le Parti libéral (PLQ), le chef du Parti québécois (PQ) a promis de mener «une campagne d'enfer» d'ici au scrutin dans l'espoir de distancer Mario Dumont et Jean Charest.
«On accélère le rythme de campagne. Plus d'arrêts, plus de gens que l'on va saluer, plus de présence sur le terrain. La victoire, on la voit, on la sent de plus en plus», a-t-il dit.
Depuis le débat des chefs, M. Boisclair dit ressentir «un enthousiasme» qui ne s'était pas vu depuis longtemps au Parti québécois.
«Il y a des souverainistes de plus en plus qui reviennent au Parti québécois, il y a de moins en mois d'indécis», a évalué le leader du parti.