Publié : ven. mars 16, 2007 6:50 am
de référendum ni de coalition, selon Dumont
Hugo de Grandpré
La Presse
Mirabel
La montée de l’ADQ dans les sondages confirme le fait qu’il n’y aura pas de référendum durant le prochain mandat, selon Mario Dumont. Appelé à commenter les derniers résultats, M. Dumont a aussi exclu la possibilité de former une alliance formelle avec un autre parti pour renverser le gouvernement, si l’ADQ était appelée à siéger dans l’opposition.
À Mirabel vendredi, le chef de l’Action démocratique du Québec a dit préférer l’exemple fédéral, où des alliances temporaires sur des projets de loi précis permettent de gouverner à la Chambre des communes.
« Dans le cas d’absence d’un gouvernement majoritaire, celui qui a le plus de sièges prend les décisions qu’il a à prendre et se cherche, dans chaque dossier, des alliés pour poser des gestes qui sont dans le meilleur intérêt de l’ensemble de la population », a-t-il souligné.
Pas question d’aller contre la volonté populaire, assure-t-il. « Le parti qui a le plus de sièges, c’est ce que le peuple aura décidé. Et toutes les idées de coalition entre le deuxième et le troisième pour supplanter le premier, je ne toucherai jamais à ça. »
Un sondage Léger Marketing place l’ADQ nez à nez avec le Parti québécois dans les intentions de vote des Québécois. Le PLQ est à 33 %, le PQ et l’ADQ à 30 %. Près de 70 % des gens interrogés croient que qu’un gouvernement minoritaire sera élu le 26 mars prochain.
« N’importe qui qui regarde la politique a compris qu’il n’y aura pas de référendum dans le prochain mandat. C’est bien clair », a conclu le chef adéquiste.
Hugo de Grandpré
La Presse
Mirabel
La montée de l’ADQ dans les sondages confirme le fait qu’il n’y aura pas de référendum durant le prochain mandat, selon Mario Dumont. Appelé à commenter les derniers résultats, M. Dumont a aussi exclu la possibilité de former une alliance formelle avec un autre parti pour renverser le gouvernement, si l’ADQ était appelée à siéger dans l’opposition.
À Mirabel vendredi, le chef de l’Action démocratique du Québec a dit préférer l’exemple fédéral, où des alliances temporaires sur des projets de loi précis permettent de gouverner à la Chambre des communes.
« Dans le cas d’absence d’un gouvernement majoritaire, celui qui a le plus de sièges prend les décisions qu’il a à prendre et se cherche, dans chaque dossier, des alliés pour poser des gestes qui sont dans le meilleur intérêt de l’ensemble de la population », a-t-il souligné.
Pas question d’aller contre la volonté populaire, assure-t-il. « Le parti qui a le plus de sièges, c’est ce que le peuple aura décidé. Et toutes les idées de coalition entre le deuxième et le troisième pour supplanter le premier, je ne toucherai jamais à ça. »
Un sondage Léger Marketing place l’ADQ nez à nez avec le Parti québécois dans les intentions de vote des Québécois. Le PLQ est à 33 %, le PQ et l’ADQ à 30 %. Près de 70 % des gens interrogés croient que qu’un gouvernement minoritaire sera élu le 26 mars prochain.
« N’importe qui qui regarde la politique a compris qu’il n’y aura pas de référendum dans le prochain mandat. C’est bien clair », a conclu le chef adéquiste.