Publié : mer. mars 14, 2007 1:27 pm
Le chef du Parti Québécois est sorti avec fougue du débat qui l’opposait au chef du Parti libéral, Jean Charest et à Mario Dumont, chef de l'Action démocratique du Québec. Le chef connaissait sur le bout des doigts les enjeux du Québec.
En levée de rideau, André Boisclair a clairement mis l’éducation comme priorité pour la formation souverainiste. « Ce soir je veux proposer de faire de l'éducation une priorité! Nous voulons une des sociétés les plus instruites au monde » a ajouté avec vigueur le chef souverainiste.
André Boisclair a posé les questions qui ont su déstabiliser les autres chefs. Le chef du Parti Québécois a notamment questionné Mario Dumont sur la marge de manœuvre dans le budget du Québec. Celui-ci n'a pas réussi à chiffrer cette marge de manoeuvre. Dans le cas de Jean Charest ce dernier a été incapable de défendre le bilan de son gouvernement. André Boisclair a profité de l'occasion pour rappeler que Jean Charest est incapable de défendre le Québec.
Ni Jean Charest, ni Mario Dumont n'ont été en mesure d'attaquer la feuille de route du Parti Québécois.
Le chef souverainiste a aussi ramené à l’ordre le chef de l’Action démocratique du Québec sur la promesse d’abolition des commissions scolaires. « Est-ce que ce que vous proposez c’est donner des écoles riches aux villes riches et des écoles pauvres aux villes pauvres? Les villes n’en veulent même pas de la gestion des écoles. »
En définitive, André Boisclair a porté les meilleurs coups et a gagné le débat des chefs de ce soir. Plusieurs l'affirment également, dont Patrick Lagacé de Cyberpresse.
En levée de rideau, André Boisclair a clairement mis l’éducation comme priorité pour la formation souverainiste. « Ce soir je veux proposer de faire de l'éducation une priorité! Nous voulons une des sociétés les plus instruites au monde » a ajouté avec vigueur le chef souverainiste.
André Boisclair a posé les questions qui ont su déstabiliser les autres chefs. Le chef du Parti Québécois a notamment questionné Mario Dumont sur la marge de manœuvre dans le budget du Québec. Celui-ci n'a pas réussi à chiffrer cette marge de manoeuvre. Dans le cas de Jean Charest ce dernier a été incapable de défendre le bilan de son gouvernement. André Boisclair a profité de l'occasion pour rappeler que Jean Charest est incapable de défendre le Québec.
Ni Jean Charest, ni Mario Dumont n'ont été en mesure d'attaquer la feuille de route du Parti Québécois.
Le chef souverainiste a aussi ramené à l’ordre le chef de l’Action démocratique du Québec sur la promesse d’abolition des commissions scolaires. « Est-ce que ce que vous proposez c’est donner des écoles riches aux villes riches et des écoles pauvres aux villes pauvres? Les villes n’en veulent même pas de la gestion des écoles. »
En définitive, André Boisclair a porté les meilleurs coups et a gagné le débat des chefs de ce soir. Plusieurs l'affirment également, dont Patrick Lagacé de Cyberpresse.