Publié : dim. mars 11, 2007 9:53 pm
Sondage
Les Québécois rejettent la réforme scolaire
La population rejette catégoriquement la réforme de l'éducation mise de l'avant par le précédent gouvernement péquiste, selon un sondage SOM dont le Journal de Montréal a obtenu copie.
Le sondage SOM révèle que plus d'un répondant sur deux, soit 57%, rejette la réforme de l'éducation soutenue par le gouvernement libéral. Seulement 31% se disent d'accord. C'est un résultat qui n'étonne nullement la Fédération autonome de l'enseignement, qui représente le tiers des enseignants au Québec.
Autre donnée révélatrice de ce sondage: trois Québécois sur cinq demeurent convaincus que l'école doit, avant tout, transmettre des connaissances de base tels le calcul, la grammaire et le vocabulaire. Vingt-six pour cent des répondants croient qu'il faut tout de même donner aux élèves le moyen de construire leurs connaissances.
Le mode d'évaluation et le bulletin actuels sont autant d'irritants de cette réforme plutôt méconnue ou mal connue, selon ce sondage. Quant aux commissions scolaires que l'Action démocratique du Québec voudrait voir disparaître, la Fédération autonome de l'enseignement croit plutôt le contraire.
Les Québécois rejettent la réforme scolaire
La population rejette catégoriquement la réforme de l'éducation mise de l'avant par le précédent gouvernement péquiste, selon un sondage SOM dont le Journal de Montréal a obtenu copie.
Le sondage SOM révèle que plus d'un répondant sur deux, soit 57%, rejette la réforme de l'éducation soutenue par le gouvernement libéral. Seulement 31% se disent d'accord. C'est un résultat qui n'étonne nullement la Fédération autonome de l'enseignement, qui représente le tiers des enseignants au Québec.
Autre donnée révélatrice de ce sondage: trois Québécois sur cinq demeurent convaincus que l'école doit, avant tout, transmettre des connaissances de base tels le calcul, la grammaire et le vocabulaire. Vingt-six pour cent des répondants croient qu'il faut tout de même donner aux élèves le moyen de construire leurs connaissances.
Le mode d'évaluation et le bulletin actuels sont autant d'irritants de cette réforme plutôt méconnue ou mal connue, selon ce sondage. Quant aux commissions scolaires que l'Action démocratique du Québec voudrait voir disparaître, la Fédération autonome de l'enseignement croit plutôt le contraire.