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Publié : lun. mai 15, 2006 10:53 am
par tuberale
Voilà un topic pour les faits divers.....comme vous le verrez sur les liens suivants...le fait divers peut être varié....on ne s,embarquera pas à en donner une définition serrée...je fais appel à votre gros bon sens pour démêler ce qui est un fait divers de ce qui ne l'est pas..... , veuillez juste mettre une référence quelconque se reportant à l'origine de votre nouvelle..... c,est le moins que l'on peut faire en respect aux journalistes qui les écrivent...
http://www.canoe.com/infos/societe/
http://lcn.canoe.com/faitsdivers/
Ah oui....vous pouvez commenter à même le topic sans problème... --Message edité par NetRoll le 2007-03-21 19:54:13--
Publié : lun. mai 15, 2006 10:55 am
par tuberale
LCN
16e meurtre en 2006 à Montréal
Un homme agressé mortellement au centre-ville
La fin de semaine s'est avérée passablement violente à Montréal. La dernière agression est survenue vers 19h dimanche soir, rue Clark, entre Sainte-Catherine et René-Lévesque.
Un homme âgé de 49 ans a été victime d'un meurtre. Il aurait eu la gorge tranchée. L'agresseur aurait utilisé une bouteille fracassée pour l'attaquer.
Des témoins ont rapporté avoir vu une femme fuir les lieux.
L'identité de la victime n'a pas encore été dévoilée par les policiers.
Il s'agit du 16e homicide à survenir sur le territoire de la ville de Montréal.
Publié : lun. mai 15, 2006 10:56 am
par tuberale
LCN
Québec
Une vieille école de rang ravagée par les flammes
Une des plus vieilles écoles de rang de la ville de Québec a été complètement ravagée par les flammes, en fin d'après-midi dimanche.
L'édifice était abandonné depuis belle lurette. On ignore pour le moment si l'incendie est d'origine criminelle.
La petite école située dans le quartier Saint-Jacques se trouvait au centre d'une polémique depuis plusieurs années.
En effet, certains résidants de l'endroit militaient pour que le bâtiment soit préservé, pour des raisons patrimoniales.
D'autres, toutefois, espéraient sa destruction pour récupérer le terrain
Publié : lun. mai 15, 2006 10:57 am
par tuberale
Fusillade en pleine rue
«On n'est pas au Far West»
Jean-Philippe Pineault
Le Journal de Montréal
15/05/2006 05h36
«On n'est pas au Far West. C'est pas normal que les jeunes soient armés comme ça et qu'ils tirent sur n'importe qui sans raison.»
La mère du jeune de 23 ans qui a essuyé plusieurs coups de feu demande aux autorités de réagir sans délai à ce phénomène.
«Il faut qu'on arrête de dire que ça n'a pas de sens que des jeunes soient armés dans la rue et il faut faire quelque chose de concret», affirme celle-ci, qui réclame des peines plus sévères pour les contrevenants et les récidivistes.
«Il faut faire de la prévention au départ ; dans les familles et à l'école. C'est là que ça commence», pense la maman, qui ne s'attendait pas à célébrer la fête des Mères ainsi.
Pas un accident
La soeur de la victime Kostas Pousoulidis, Leeza, pense quant à elle qu'on ne «doit pas attendre d'être devenu comme à Manhattan».
«Seuls les policiers devraient avoir une arme. Ce qui est arrivé n'est pas un accident, c'est un meurtre. On doit faire quelque chose avant que ça ne devienne hors de contrôle.»
jppineault@journalmtl.com
Publié : lun. mai 15, 2006 1:03 pm
par rachel
pour ce qui est du petit garcon de 4 ans, n'avait-il pas ete reanime par les ambulanciers meme si son etat etait juge critique mais stable a l'hopital, de ce que j'ai entendu aux nouvelles hier en tout cas, a moins qu'il y est eu des changements dont je ne sais pas --Message edité par rachel le 2006-05-15 19:05:35--
Publié : mar. mai 16, 2006 1:15 pm
par capucine243
rachel a écritpour ce qui est du petit garcon de 4 ans, n'avait-il pas ete reanime par les ambulanciers meme si son etat etait juge critique mais stable a l'hopital, de ce que j'ai entendu aux nouvelles hier en tout cas, a moins qu'il y est eu des changements dont je ne sais pas
Il était maintenu en vie artificiellement ,ils l ont débranché,malheureusement
Publié : mar. mai 16, 2006 6:01 pm
par tuberale
Explosion à Québec
Un militaire et son colocataire recherchés
La police de Québec recherche un militaire et son colocataire relativement à l'explosion qui a secoué un immeuble de 70 logements, vendredi soir.
Le soldat de la base militaire de Valcartier aurait entreposé chez lui un engin pyrotechnique d'entraînement.
C'est ce qui aurait, selon toute vraisemblance, provoqué la déflagration dans son logement du cinquième étage.
L'explosion est survenue dans un appartement situé au cinquième étage de l'immeuble, sur le chemin Sainte-Foy.
Les vitres du logement ont volé en éclats. La déflagration s'est limitée à l'appartement, mais des dizaines de locataires ont été évacués.
Heureusement, personne n'a été blessé.
Des artificiers de la Sûreté du Québec ont recueilli les pièces pour fins d'analyse.
De son côté, la Base militaire de Valcartier attend la conclusion de l'enquête avant de commenter.
En vidéo 1, écoutez les explications de Réjean Léveillé.
En vidéo 2, regardez le reportage de Jean-Raphaël Drolet.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/faitsdiv ... 81846.html
Publié : mer. mai 17, 2006 4:22 pm
par LeeLou
Gatineau
Un enfant aurait été battu à la garderie
Un bambin de trois ans aurait été brutalisé dans une garderie de Gatineau.
Le conjoint de la propriétaire de la garderie, un ex-policier, aurait battu l'enfant vendredi dernier.
La mère a remarqué de nombreuses marques au visage de son bambin lorsqu'elle est allée le chercher à la garderie. Elle l’a immédiatement conduit à l'hôpital.
C'est le jumeau du bambin blessé, qui se trouvait aussi à la garderie, qui aurait identifié celui qui a frappé son frère.
De son côté, la responsable de la garderie prétend que le jeune s'est blessé accidentellement.
La mère a porté plainte à la police.
http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional ... 71813.html
Publié : jeu. mai 18, 2006 3:39 pm
par rachel
capucine243 a écrit
Il était maintenu en vie artificiellement ,ils l ont débranché,malheureusement
je l'ai su que quelques jours plus tard mais je te remercie, c'est vraiment triste
Publié : ven. mai 19, 2006 2:40 am
par tuberale
UN HANDICAPÉ ET SA VIEILLE MÈRE EXPULSÉS
«C'est pratiquement la peine de mort pour eux»
Katia Gagnon
La Presse
Elena Gouseva en est bien consciente: elle demande une faveur au gouvernement du Canada. Elle lui demande d'accepter qu'une vieille dame de 70 ans, sa mère, et un monsieur de 45 ans qui joue encore avec des petits camions, son frère gravement handicapé, puissent vivre avec elle, ici, à Montréal.
Tous les trois, ils attendent une réponse depuis maintenant six ans. Le 9 mai dernier, Immigration Canada a fait tomber le couperet. C'est non. Expulsion dans trois semaines pour la vieille dame, le monsieur et ses petits camions.
«Comment vais-je pouvoir dire à mon fils que le Canada ne veut pas de sa grand-mère et de son oncle?» se demande Mme Gouseva.
Une femme effondrée
Elena Gouseva, jeune femme élégante qui vit dans un appartement coquet de Verdun, s'effondre lorsqu'elle pense au 31 mai prochain, date à laquelle sa mère, Alla, et son frère, Vladislav, devront s'envoler pour Moscou.
Mme Gouseva a immigré au Canada il y a 15 ans. Elle a fait nombre de petits boulots, puis des études en dessin de mode, et travaille maintenant pour une entreprise de fourrure. En 2000, elle a fait venir sa mère, âgée de 65 ans à l'époque, et son frère, lourdement handicapé. Vladislav ne parle pas, et est incapable de manger, de marcher ou d'aller aux toilettes seul.
En sol canadien, la mère et le fils présentent une demande de statut de réfugié. Rejetée. C'est la seconde demande, présentée en vertu de motifs humanitaires, qu'Immigration Canada vient de refuser. Il aura donc fallu six ans pour qu'ils obtiennent un non ferme.
«Oui, ma mère est vieille. Oui, mon frère est handicapé. Oui, ils seront un poids pour la société. Je ne sais pas combien de temps il leur reste à vivre. Je veux seulement qu'ils puissent finir leur vie ici, avec moi. Cette décision, c'est pratiquement la peine de mort pour eux», plaide Mme Gouseva.
Lorsqu'il voit sa soeur éclater en sanglots, Vladislav, assis calmement dans un fauteuil de la salle à manger, commence à s'agiter. Il prend la main de sa mère, la caresse. Elle lui chuchote quelques mots en russe. Dans la maison, la grande bibliothèque est tapissée de photographies de la petite famille. Grand-maman Alla qui porte à bout de bras le petit Anthony. Vladislav à 5 ans, petit blond aux cheveux sagement lissés. C'est évident: les Gouseva forment une famille unie.
Et pourtant, le fonctionnaire d'Immigration Canada qui a tranché leur cas, estime «qu'il n'y pas de lien émotionnel significatif» entre Vladislav, sa soeur et son neveu. En conséquence, poursuit-il, «une séparation de la famille sera peut-être difficile, mais ne serait pas une mesure excessive».
Cet extrait du jugement a révolté Mme Gouseva. «C'est dur et c'est injuste. On ne peut pas dire une chose comme ça sans avoir jamais rencontré les personnes en cause. Au moins, rencontrez-moi, regardez-moi dans les yeux, voyez qui je suis. Non. Pas d'entrevue. Et ça tombe, comme ça: nous pensons que les membres de votre famille ne sont pas assez proches.»
Son avocat, Peter Schamps, avait pourtant plaidé pour une rencontre avec les autorités, ce qui se produit rarement dans le cas de demandeurs de statut de réfugié. Immigration Canada a refusé. «Souvent, ce genre de décision est pris en ne regardant que du papier. C'est difficile de saisir les liens émotionnels avec du papier», commente-t-il.
Et ce jugement est d'autant plus dur, estime Mme Gouseva, qu'il minimise le sort qui attend Alla et Vladislav en Russie. «Les handicapés, en Russie, sont vus comme des parasites de la société. Et les soins qu'on leur prodigue sont en fonction de ça. Si ma mère meurt, et que mon frère se retrouve en institution, il en mourra. Nous avons visité une fois une institution. Cette image ne m'a jamais quittée. Jamais nous n'avons voulu le placer», croit-elle.
Pour appuyer cet aspect de la cause, son avocat a documenté les atteintes aux droits des personnes handicapées en sol russe. Des rapports récents d'Amnistie internationale, du groupe Human Rights Watch, ainsi que de divers médias démontraient que cette situation était extrêmement préoccupante. Les orphelinats russes où sont notamment hébergés les enfants handicapés présentent «un degré choquant de cruauté et de négligence», soulignait notamment un document de Human Rights Watch.
Réponse des autorités: «Le traitement réservé à une personne handicapée n'est pas considéré comme une atteinte sérieuse aux droits de la personne.» Nous avons contacté les autorités d'Immigration Canada, qui se sont refusées à tout commentaire sur le cas des Gouseva.
Publié : ven. mai 19, 2006 6:20 pm
par tuberale
Affaire Sophie Chiasson
Genex Communication interjette appel
La cause de Sophie Chiasson et de l'ancien animateur de CHOI-FM, Jeff Fillion, se retrouve en Cour d'appel jeudi.
Genex Communication, propriétaire de la station de radio, conteste le montant de 340 000 $ accordé à Sophie Chiasson par le juge de première instance.
L'avocat de Genex, Guy Bertrand, soutient que ce montant dépasse largement ce qu'on voit habituellement dans des cas semblables.
Selon l'avocat, la moyenne des sommes accordées dans des cas de dommages à la réputation est d'environ 30 000$.
Genex estime que les dommages à la réputation n'ont pas été démontrés lors du procès parce qu'aucun expert n'est venu témoigner en ce sens.
Les juges pourraient prendre plusieurs semaines avant de rendre leur décision.
Les trois juges - deux femmes et un homme - devront notamment étudier un volumineux mémoire déposé par Me Bertrand.
Publié : sam. mai 20, 2006 12:15 pm
par tuberale
Le 20 mai 2006 - 10:10
L'inquiétude grandit dans une famille de Laval dont la mère est disparue
Presse Canadienne
L'inquiétude grandit dans une famille de Laval dont la mère est portée disparue depuis plus de deux semaines.
La dame de 34 ans, Sabrina Leduc, n'a pas été revue depuis qu'elle a quitté la résidence d'une amie en compagnie d'un individu de race noire, le 5 mai dernier.
C'est l'ex-conjoint de la disparue qui s'occupe actuellement de ses enfants.
Mme Leduc, qui serait dépressive, serait partie avec sa voiture, une Honda Civic beige 1992. Quatre jours plus tard, son téléphone cellulaire a été retrouvé à Québec.
Publié : sam. mai 20, 2006 12:16 pm
par tuberale
Radio
Jeff Fillion veut être indemnisé par Genex
Jeff Fillion, ex-animateur de la station de radio CHOI-FM de Québec, a déposé une plainte pour congédiement injustifié contre son ancien employeur, Genex Communications.
Dans une lettre envoyée à un arbitre nommé par le ministère fédéral du Travail, M. Fillion exige d'être réembauché avec tous ses droits et privilèges, et demande le versement de son salaire perdu avec intérêts. À défaut de quoi, il réclame une indemnité de départ de 18 mois de salaire, soit un montant de 502 000 $.
L'animateur demande aussi à l'arbitre de forcer Genex Communications à verser 600 000 $ dans un compte en fiducie, au cas où l'entreprise serait obligée, au terme du procès, de lui verser une compensation financière.
Il a présenté cette requête, car il dit craindre que son ancien employeur puisse se soustraire de ses obligations en raison de l'entente conclue la semaine dernière entre Genex et Radio-Nord pour la vente de CHOI-FM.
L'arbitre du ministère fédéral entendra la cause le 5 juin prochain.
Publié : sam. mai 20, 2006 1:59 pm
par geneviève-2
tuberale a écritUN HANDICAPÉ ET SA VIEILLE MÈRE EXPULSÉS
«C'est pratiquement la peine de mort pour eux»
Katia Gagnon
La Presse
Elena Gouseva en est bien consciente: elle demande une faveur au gouvernement du Canada. Elle lui demande d'accepter qu'une vieille dame de 70 ans, sa mère, et un monsieur de 45 ans qui joue encore avec des petits camions, son frère gravement handicapé, puissent vivre avec elle, ici, à Montréal.
Tous les trois, ils attendent une réponse depuis maintenant six ans. Le 9 mai dernier, Immigration Canada a fait tomber le couperet. C'est non. Expulsion dans trois semaines pour la vieille dame, le monsieur et ses petits camions.
«Comment vais-je pouvoir dire à mon fils que le Canada ne veut pas de sa grand-mère et de son oncle?» se demande Mme Gouseva.
Une femme effondrée
Elena Gouseva, jeune femme élégante qui vit dans un appartement coquet de Verdun, s'effondre lorsqu'elle pense au 31 mai prochain, date à laquelle sa mère, Alla, et son frère, Vladislav, devront s'envoler pour Moscou.
Mme Gouseva a immigré au Canada il y a 15 ans. Elle a fait nombre de petits boulots, puis des études en dessin de mode, et travaille maintenant pour une entreprise de fourrure. En 2000, elle a fait venir sa mère, âgée de 65 ans à l'époque, et son frère, lourdement handicapé. Vladislav ne parle pas, et est incapable de manger, de marcher ou d'aller aux toilettes seul.
En sol canadien, la mère et le fils présentent une demande de statut de réfugié. Rejetée. C'est la seconde demande, présentée en vertu de motifs humanitaires, qu'Immigration Canada vient de refuser. Il aura donc fallu six ans pour qu'ils obtiennent un non ferme.
«Oui, ma mère est vieille. Oui, mon frère est handicapé. Oui, ils seront un poids pour la société. Je ne sais pas combien de temps il leur reste à vivre. Je veux seulement qu'ils puissent finir leur vie ici, avec moi. Cette décision, c'est pratiquement la peine de mort pour eux», plaide Mme Gouseva.
Lorsqu'il voit sa soeur éclater en sanglots, Vladislav, assis calmement dans un fauteuil de la salle à manger, commence à s'agiter. Il prend la main de sa mère, la caresse. Elle lui chuchote quelques mots en russe. Dans la maison, la grande bibliothèque est tapissée de photographies de la petite famille. Grand-maman Alla qui porte à bout de bras le petit Anthony. Vladislav à 5 ans, petit blond aux cheveux sagement lissés. C'est évident: les Gouseva forment une famille unie.
Et pourtant, le fonctionnaire d'Immigration Canada qui a tranché leur cas, estime «qu'il n'y pas de lien émotionnel significatif» entre Vladislav, sa soeur et son neveu. En conséquence, poursuit-il, «une séparation de la famille sera peut-être difficile, mais ne serait pas une mesure excessive».
Cet extrait du jugement a révolté Mme Gouseva. «C'est dur et c'est injuste. On ne peut pas dire une chose comme ça sans avoir jamais rencontré les personnes en cause. Au moins, rencontrez-moi, regardez-moi dans les yeux, voyez qui je suis. Non. Pas d'entrevue. Et ça tombe, comme ça: nous pensons que les membres de votre famille ne sont pas assez proches.»
Son avocat, Peter Schamps, avait pourtant plaidé pour une rencontre avec les autorités, ce qui se produit rarement dans le cas de demandeurs de statut de réfugié. Immigration Canada a refusé. «Souvent, ce genre de décision est pris en ne regardant que du papier. C'est difficile de saisir les liens émotionnels avec du papier», commente-t-il.
Et ce jugement est d'autant plus dur, estime Mme Gouseva, qu'il minimise le sort qui attend Alla et Vladislav en Russie. «Les handicapés, en Russie, sont vus comme des parasites de la société. Et les soins qu'on leur prodigue sont en fonction de ça. Si ma mère meurt, et que mon frère se retrouve en institution, il en mourra. Nous avons visité une fois une institution. Cette image ne m'a jamais quittée. Jamais nous n'avons voulu le placer», croit-elle.
Pour appuyer cet aspect de la cause, son avocat a documenté les atteintes aux droits des personnes handicapées en sol russe. Des rapports récents d'Amnistie internationale, du groupe Human Rights Watch, ainsi que de divers médias démontraient que cette situation était extrêmement préoccupante. Les orphelinats russes où sont notamment hébergés les enfants handicapés présentent «un degré choquant de cruauté et de négligence», soulignait notamment un document de Human Rights Watch.
Réponse des autorités: «Le traitement réservé à une personne handicapée n'est pas considéré comme une atteinte sérieuse aux droits de la personne.» Nous avons contacté les autorités d'Immigration Canada, qui se sont refusées à tout commentaire sur le cas des Gouseva.
C'est dégeulasse de les expulser
Publié : sam. mai 20, 2006 4:50 pm
par Fabine
tuberale a écritLCN
Québec
Une vieille école de rang ravagée par les flammes
Une des plus vieilles écoles de rang de la ville de Québec a été complètement ravagée par les flammes, en fin d'après-midi dimanche.
L'édifice était abandonné depuis belle lurette. On ignore pour le moment si l'incendie est d'origine criminelle.
La petite école située dans le quartier Saint-Jacques se trouvait au centre d'une polémique depuis plusieurs années.
En effet, certains résidants de l'endroit militaient pour que le bâtiment soit préservé, pour des raisons patrimoniales.
D'autres, toutefois, espéraient sa destruction pour récupérer le terrain
Cette nouvelle est à mon avis beaucoup plus importante que l'on pourrait penser. Il y a démonstration ici que la devise du Québec n'est vraiment rien. Je me souviens.
Qui se souvient de l'école de rang. Pourtant ces écoles de rang sont nos racines. Ces maitresses à leur 8ième année qui enseignaintt au canadien français de famille de cultivateur de 10-12 enfants les rudiments du primaire. Tout ce passait dans ces écoles de rang. C'est notre passé, ces écoles de rien qui ont pu faire germer une graine de talent. De moins que rien, certain en sont sortis pour aller ailleurs et sont devenus quelqu'un.
En fait si le Québec francophone vit encore aujourd'hui, c'est grace à ces écoless de rang et leurs pauvres maitresses.
Je me souviens....... Je crois que nous ne nous souvenons de rien dans cette province, je répète, province. Il est là notre problème. Il ne peut avoir de pays sans respect de ses racines. :/
Lorsque j'ai fêté les 80 ans de mon papa, j'ai, par des recherches, retrouvé l'école de rang avec toute la marmaille en photo devant. Tout ces petits pits du début du siècle devant la maitresse m'ont ému. Car ce sont eux qui ont bati la société dans laquelle je vis. Pourtant c'était quelque peu mal parti. Cette gang n'était que de pauvres paysans canadien français....bon pour apprendre à écrire mais pas trop....... --Message edité par fabine le 2006-05-20 22:58:33--
Publié : sam. mai 20, 2006 7:34 pm
par Fabine
Mon lien va probablement mourir ici. Je ne sais où le mettre. Mais voici un exemple d'une devise comme "Je me souviens" nous avons des leçons à prendre. J'ai beaucoup de respect pour ces initiatives. Voilà 61 ans un village c'est fait massacré en France. 640 habitants. Le village est demeuré dans le même état depuis ce temps.
http://oradoursurglane.free.fr/index2.htm
Publié : sam. mai 20, 2006 7:39 pm
par tuberale
Fabine a écritMon lien va probablement mourir ici. Je ne sais où le mettre. Mais voici un exemple d'une devise comme "Je me souviens" nous avons des leçons à prendre. J'ai beaucoup de respect pour ces initiatives. Voilà 61 ans un village c'est fait massacré en France. 640 habitants. Le village est demeuré dans le même état depuis ce temps.
http://oradoursurglane.free.fr/index2.htm
on balance souvent entre le "je me souviens" et le "m'a m'en rappeller ".....ce qui est 2 choses totalement différentes à mon sens...
Publié : sam. mai 20, 2006 8:01 pm
par Fabine
tuberale a écrit
on balance souvent entre le "je me souviens" et le "m'a m'en rappeller ".....ce qui est 2 choses totalement différentes à mon sens...
Tu nous mettras ça à un moment donné comme sujet. Je me souviens. Mais attend un peu car là nous avons pas mal d'ouvrage avec tes débats. Nous sommes rendu à 4.
Publié : mar. mai 23, 2006 4:58 am
par tuberale
Découverte / Ossements
Sur la trace d'Anne Lapointe
Mélanie Brisson
Le Journal de Montréal
23/05/2006 09h53
Les ossements découverts dans une malle dimanche à Dunham pourraient être ceux d'Anne Lapointe, cette femme tuée par son conjoint il y a deux ans à Marieville et dont le corps caché dans un coffre n'a jamais été retrouvé. La famille de la victime attend avec impatience la confirmation que ce sont ses restes.
«Je souhaite que ce soit elle. Je croise les doigts. Ça va permettre de pouvoir l'enterrer», confie la soeur de la victime, Linda Lapointe, qui avait perdu l'espoir de la retrouver un jour. Pour faire son deuil, la famille avait besoin de récupérer le corps et de lui offrir une sépulture digne de ce nom.
Mais il faudra attendre les résultats de l'autopsie, prévue ce mercredi, afin de confirmer que les ossements retrouvés sont bel et bien ceux d'Anne Lapointe.
«Tant que le coroner n'aura pas fait son rapport, j'aime mieux ne pas penser que c'est elle. Je serais beaucoup trop déçue si ce n'était pas elle», souffle Linda Lapointe.
«Je shake en dedans. C'est probablement elle, la malle était dans le bon coin», ajoute-t-elle, quasiment sûre que c'est sa soeur.
Arrêté peu après la disparition d'Anne Lapointe, Christian Leclaire, son conjoint, a avoué à la police qu'il l'avait tuée.
Il a dit qu'il avait enfermé le corps dans un gros coffre, recouvert d'une couverture verte, qu'il avait ensuite laissé en bordure d'une route secondaire entre Marieville et Abercorn, deux villes séparées par 75 kilomètres.
Leclaire a dit qu'il ne se souvenait plus de l'endroit exact où il l'avait laissé et, comme il n'a jamais mentionné la ville de Dunham, la police n'a pas fait de fouilles à cet endroit précis. Jusqu'ici, toutes les recherches avaient été vaines.
Malle identique
Mais dimanche, vers 14 heures, une personne qui marchait dans un boisé, à une centaine de pieds en bordure du Chemin Robinson, à Dunham, a découvert une malle contenant des ossements et recouverte d'un drap vert. Elle a aussitôt appelé la police.
La malle trouvée est identique à celle décrite par le tueur, ce qui renforce la possibilité que ce soient les os de Mme Lapointe. Le Service des crimes contre la personne de la Sûreté du Québec a pris l'affaire en main.
«En principe, c'est un secteur qui a déjà été fouillé. Mais on m'a dit qu'il fallait vraiment chercher pour la trouver», dit Linda Lapointe, qui a elle-même, mené plusieurs recherches.
Leclaire a dit aux policiers que la victime était tombée sur un haltère lors d'une bousculade. Il l'aurait laissée mourir après lui avoir mis une serviette sur la bouche. Après deux jours, il lui a mis une robe et une perruque et l'a placée dans la malle.
Leclaire a toutefois dit à un codétenu qu'il avait donné à sa victime plusieurs coups d'haltère. La crédibilité du codétenu a été mise en doute et il était impossible de corroborer ses dires sans le cadavre.
Rappel des faits
5 mai 2004 : Disparition d'Anne Lapointe, résidante de Marieville de 47 ans. Son conjoint avait appelé à son travail pour motiver son absence, deux jours d'affilée. Flairant quelque chose d'anormal, sa soeur avait rapporté sa disparition.
10 mai 2004 : Le conjoint d'Anne Lapointe, Christian Leclaire, 42 ans à l'époque, est accusé de meurtre au second degré après avoir été arrêté. La SQ émet un communiqué dans le but de retracer la malle ainsi que les allées et venues du suspect.
11-13 mai 2004 : Plusieurs recherches et opérations de ratissage sont organisées entre Marieville et Abercorn pour retrouver la malle, qui serait recouverte d'une couverture verte.
17 mai 2004 : La famille tient d'autres recherches.
16 octobre 2004 : La famille de la victime et 500 bénévoles ratissent encore des milliers d'hectares de champs et de boisés.
1er novembre 2005 : Christian Leclaire écope de 23 ans de prison après avoir plaidé coupable, le 21 octobre, à une accusation réduite d'homicide involontaire coupable.
21 mai 2006 : Une malle semblable à celle décrite par le meurtrier, portant aussi une couverture verte, est retrouvée à Dunham. Il pourrait s'agir des restes d'Anne Lapointe.
mbrisson@journalmtl.com
http://www.canoe.com/infos/societe/arch ... 95300.html
Publié : mar. mai 23, 2006 6:03 am
par bobépine
JEAN LAFORGE
Un peintre solide comme un chêne s'éteint
Roger Blackburn
Le Quotidien
Sainte-Rose-du-Nord
Le peintre Jean Laforge, l'artiste autodidacte bien connu originaire de Belgique et installé à Sainte-Rose-du-Nord depuis 1972, est décédé à l'hôpital de Chicoutimi, le samedi 20 mai, à l'âge de 92 ans.
Atteint d'un cancer qui s'est déclaré le 8 mai dernier, l'homme, solide comme un chêne, s'est battu jusqu'aux limites de ses forces. "C'est moi qui lui ai annoncé qu'il allait mourir, la veille de son décès. Il m'a regardé longuement, pour être sûr que je ne lui mentais pas. Il a posé sa tête sur l'oreiller et a cessé de se battre", a confié sa fille Christiane, journaliste et chef de la section des arts pour les journaux Progrès-Dimanche et Le Quotidien.
Pour respecter sa volonté, il n'y aura pas de funérailles. Cependant, à l'Anse-d'en-haut de Sainte-Rose-du-Nord, le samedi 3 juin à 13h, sur les lieux de sa résidence, il y aura une cérémonie symbolique et publique au cours de laquelle sera planté un chêne à sa mémoire. "Mon père était un orgueilleux qui ne pliait pas, comme un chêne, cet arbre de son enfance. On retrouve d'ailleurs un arbre dans la plupart de ses toiles", fait remarquer Christiane Laforge pour expliquer la symbolique du chêne. "Cette cérémonie se veut intime, mais déjà plusieurs personnes ont déjà annoncé leur présence", dit-elle.
Né en 1913, à Flamierge en Belgique, Jean Laforge a été officier du Corps les Chasseurs Ardennais, il a combattu et survécu à cinq ans de captivité dans un camp de Stalag en Allemagne lors de la Deuxième guerre mondiale. Il a immigré au Québec, en 1951, où il a finalement pu se consacrer pleinement à son art, la peinture, sur les bords du fjord du Saguenay, dans ce lieu cher à son coeur, Sainte-Rose-du-Nord, où il est resté jusqu'à la fin de ses jours.
Surnommé le Maître du relief par les uns et peintre de la Réalité poétique par les autres, Jean Laforge a été un homme refusant les contraintes. Hors des sentiers battus, bien souvent trop précoce pour son temps, son esprit créateur s'est davantage réalisé dans la peinture. Il a aussi été un visionnaire, développant des projets dont certains ont été réalisés comme celui d'un lac artificiel et centre de villégiature à Saint-Honoré. "Il a été parmi les premiers à parler de développement touristique sur le mont Valin et il a incité un groupe de citoyens à fonder une première Société de développement à l'origine du Centre que nous connaissons aujourd'hui", rappelle la fille du peintre.
Jean Laforge a rêvé de grands projets sans jamais cesser de peindre. Il laisse derrière lui plus de 2000 tableaux.
http://www.cyberpresse.ca/article/20060 ... PQUOTIDIEN