Publié : sam. avr. 08, 2006 2:32 am
Le 7 avril 2006 - 15:58
Une femme ayant coupé les bras de son bébé échappe à la peine de mort
Presse Canadienne
Une femme accusée d'avoir tué sa fillette de dix mois en lui coupant les bras a été déclarée non coupable de meurtre passible de la peine de mort en raison de son état mental. Elle a été envoyée dans un hôpital psychiatrique de haute sécurité aujourd'hui (vendredi) à McKinney, au Texas.
La police avait arrêté Dena Schlosser, 38 ans, en novembre 2004 après avoir trouvé son bébé, Margaret, agonisant dans son lit, et sa mère tenant un couteau en écoutant un chant.
Les avocats de la défense et le parquet avaient accepté la semaine dernière que le juge Chris Oldner rende la décision dans ce cas étant donné qu'en février un jury n'avait pas réussi à s'entendre sur un verdict.
Toute la question consistait à déterminer si l'accusée était responsable de ses actes. On a appris la semaine dernière qu'elle souffrait d'une tumeur cérébrale qui, selon ses conseils, pourrait avoir provoqué des hallucinations avant le meurtre, mais cela n'a pas été discuté vendredi et le magistrat s'est fondé sur le dossier du premier procès.
L'époux de l'accusée, John Schlosser, a demandé le divorce et obtenu la garde des deux autres filles du couple.
Une femme ayant coupé les bras de son bébé échappe à la peine de mort
Presse Canadienne
Une femme accusée d'avoir tué sa fillette de dix mois en lui coupant les bras a été déclarée non coupable de meurtre passible de la peine de mort en raison de son état mental. Elle a été envoyée dans un hôpital psychiatrique de haute sécurité aujourd'hui (vendredi) à McKinney, au Texas.
La police avait arrêté Dena Schlosser, 38 ans, en novembre 2004 après avoir trouvé son bébé, Margaret, agonisant dans son lit, et sa mère tenant un couteau en écoutant un chant.
Les avocats de la défense et le parquet avaient accepté la semaine dernière que le juge Chris Oldner rende la décision dans ce cas étant donné qu'en février un jury n'avait pas réussi à s'entendre sur un verdict.
Toute la question consistait à déterminer si l'accusée était responsable de ses actes. On a appris la semaine dernière qu'elle souffrait d'une tumeur cérébrale qui, selon ses conseils, pourrait avoir provoqué des hallucinations avant le meurtre, mais cela n'a pas été discuté vendredi et le magistrat s'est fondé sur le dossier du premier procès.
L'époux de l'accusée, John Schlosser, a demandé le divorce et obtenu la garde des deux autres filles du couple.