Sortie d'un documentaire critique sur Wal-Mart
Sortie d'un documentaire critique sur Wal-Mart
Caroline Touzin
La Presse
Un documentaire sur la multinationale Wal-Mart pourrait décourager bien des consommateurs québécois d'y faire leurs emplettes de Noël.
Wal-Mart: The High Cost of Low Price (que l'on pourrait traduire par Wal-Mart: le coût élevé des bas prix), du cinéaste américain Robert Greenwald, a donné des maux de tête au géant du commerce de détail lors de sa sortie aux États-Unis, début novembre.
La multinationale a même mis en place une cellule de crise à son siège social à Bentonville en Arkansas pour répondre aux critiques. Demain, le DVD de ce documentaire-choc sera en vente au Québec.
Tout y passe: les pratiques antisyndicales de l'entreprise, des conditions de travail inacceptables en Asie, mais aussi en Amérique, et des actes de discrimination basés sur le sexe et la race envers des employés.
Joint par La Presse à son bureau en Californie, Robert Greenwald souhaite que son film devienne un «élément clé pour forcer Wal-Mart à changer ses pratiques». Il est confiant que son réseau Internet composé d'une centaine d'organisations et de centaines de milliers de personnes dans le monde puisse faire évoluer le Goliath.
Le réalisateur a inclus dans le DVD (en anglais sous-titré en français) un supplément vidéo sur la syndicalisation des employés, suivie de la fermeture de la succursale de Jonquière. «C'est vraiment atroce de fermer un magasin parce que les travailleurs veulent se syndiquer», affirme-t-il.
Pas de militants vedettes
Les témoignages ne proviennent pas de militants vedettes. Ce sont des employés ou d'ex-employés qui en ont gros sur le coeur. Aux États-Unis, les «associés» gagnent en moyenne 14 000 $US par an. Ils font des heures supplémentaires sans avoir le droit de les réclamer. Ils n'ont même pas les moyens de se payer l'assurance maladie vendue par leur employeur, rapporte le documentaire.
Et les «associés» se rendent compte que la multinationale fait fermer les commerces locaux de leurs frères, de leurs oncles, de leurs amis. Un ancien gérant avec 17 ans d'expérience raconte qu'à l'arrivée de Wal-Mart dans une nouvelle ville, l'équipe de gestion s'amuse à prédire dans combien de temps chaque commerce de la rue principale va mourir.
Ici, comme aux États-Unis, la direction de Wal-Mart a envoyé une note de service à tous ses gérants pour les mettre en garde contre cet «outil de propagande». La multinationale se bat contre un film aux critiques élogieuses. «À couper le souffle», a dit le New York Times. «Deux pouces en l'air», selon Ebert et Roeper.
Ces critiques ont eu des échos au pays. «On a 70 000 personnes qui travaillent chez Wal-Mart au Canada, dont 12 000 au Québec. C'est évident que ces gens-là nous posent des questions. Il faut que les gérants soient en mesure de répondre», explique le porte-parole de la multinationale au Canada, Yanik Deschênes.
M. Deschênes dit ne pas avoir vu le film. Mais selon les informations qu'on lui a transmises, il serait «truffé d'erreurs». Son entreprise a publié une liste d'«erreurs de faits» sur son site Internet. Elle accuse aussi le réalisateur - «contrairement à un autre réalisateur engagé, Michael Moore» - de ne jamais avoir tenté de recueillir le point de vue des principaux visés. «C'est complètement faux. Et je peux le prouver», répond M. Greenwald.
Zone libre enquête aussi
Deux journalistes de Zone libre ont aussi enquêté sur les façons de travailler du géant du commerce au détail. Luc Chartrand s'est infiltré dans des ateliers du Bangladesh, où des vêtements étaient fabriqués pour les marques maison de Wal-Mart Canada. Il a découvert des enfants au travail dans des conditions misérables. La compagnie a nié faire affaire directement avec ces fabricants. Elle a aussi promis de mettre fin au contrat.
Sa collègue Anne Panasuk, elle, s'est penchée sur le cas de la fermeture de la succursale de Jonquière. Elle a trouvé des employés d'une agence privée que Wal-Mart a embauchés pour surveiller les responsables et militants syndicaux. Les résultats de leur enquête seront diffusés vendredi à 21 h, à la télévision de Radio-Canada.
_____________________________________________
WAL-MART: THE HIGH COST OF LOW PRICE sera en vente à partir de demain dans plusieurs magasins, dont Future Shop, HMV et Archambault. Il peut aussi être commandé aujourd'hui sur le site Internet de Best Buy Canada, au coût de 12,99 $, livraison incluse.
Caroline Touzin
La Presse
Un documentaire sur la multinationale Wal-Mart pourrait décourager bien des consommateurs québécois d'y faire leurs emplettes de Noël.
Wal-Mart: The High Cost of Low Price (que l'on pourrait traduire par Wal-Mart: le coût élevé des bas prix), du cinéaste américain Robert Greenwald, a donné des maux de tête au géant du commerce de détail lors de sa sortie aux États-Unis, début novembre.
La multinationale a même mis en place une cellule de crise à son siège social à Bentonville en Arkansas pour répondre aux critiques. Demain, le DVD de ce documentaire-choc sera en vente au Québec.
Tout y passe: les pratiques antisyndicales de l'entreprise, des conditions de travail inacceptables en Asie, mais aussi en Amérique, et des actes de discrimination basés sur le sexe et la race envers des employés.
Joint par La Presse à son bureau en Californie, Robert Greenwald souhaite que son film devienne un «élément clé pour forcer Wal-Mart à changer ses pratiques». Il est confiant que son réseau Internet composé d'une centaine d'organisations et de centaines de milliers de personnes dans le monde puisse faire évoluer le Goliath.
Le réalisateur a inclus dans le DVD (en anglais sous-titré en français) un supplément vidéo sur la syndicalisation des employés, suivie de la fermeture de la succursale de Jonquière. «C'est vraiment atroce de fermer un magasin parce que les travailleurs veulent se syndiquer», affirme-t-il.
Pas de militants vedettes
Les témoignages ne proviennent pas de militants vedettes. Ce sont des employés ou d'ex-employés qui en ont gros sur le coeur. Aux États-Unis, les «associés» gagnent en moyenne 14 000 $US par an. Ils font des heures supplémentaires sans avoir le droit de les réclamer. Ils n'ont même pas les moyens de se payer l'assurance maladie vendue par leur employeur, rapporte le documentaire.
Et les «associés» se rendent compte que la multinationale fait fermer les commerces locaux de leurs frères, de leurs oncles, de leurs amis. Un ancien gérant avec 17 ans d'expérience raconte qu'à l'arrivée de Wal-Mart dans une nouvelle ville, l'équipe de gestion s'amuse à prédire dans combien de temps chaque commerce de la rue principale va mourir.
Ici, comme aux États-Unis, la direction de Wal-Mart a envoyé une note de service à tous ses gérants pour les mettre en garde contre cet «outil de propagande». La multinationale se bat contre un film aux critiques élogieuses. «À couper le souffle», a dit le New York Times. «Deux pouces en l'air», selon Ebert et Roeper.
Ces critiques ont eu des échos au pays. «On a 70 000 personnes qui travaillent chez Wal-Mart au Canada, dont 12 000 au Québec. C'est évident que ces gens-là nous posent des questions. Il faut que les gérants soient en mesure de répondre», explique le porte-parole de la multinationale au Canada, Yanik Deschênes.
M. Deschênes dit ne pas avoir vu le film. Mais selon les informations qu'on lui a transmises, il serait «truffé d'erreurs». Son entreprise a publié une liste d'«erreurs de faits» sur son site Internet. Elle accuse aussi le réalisateur - «contrairement à un autre réalisateur engagé, Michael Moore» - de ne jamais avoir tenté de recueillir le point de vue des principaux visés. «C'est complètement faux. Et je peux le prouver», répond M. Greenwald.
Zone libre enquête aussi
Deux journalistes de Zone libre ont aussi enquêté sur les façons de travailler du géant du commerce au détail. Luc Chartrand s'est infiltré dans des ateliers du Bangladesh, où des vêtements étaient fabriqués pour les marques maison de Wal-Mart Canada. Il a découvert des enfants au travail dans des conditions misérables. La compagnie a nié faire affaire directement avec ces fabricants. Elle a aussi promis de mettre fin au contrat.
Sa collègue Anne Panasuk, elle, s'est penchée sur le cas de la fermeture de la succursale de Jonquière. Elle a trouvé des employés d'une agence privée que Wal-Mart a embauchés pour surveiller les responsables et militants syndicaux. Les résultats de leur enquête seront diffusés vendredi à 21 h, à la télévision de Radio-Canada.
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WAL-MART: THE HIGH COST OF LOW PRICE sera en vente à partir de demain dans plusieurs magasins, dont Future Shop, HMV et Archambault. Il peut aussi être commandé aujourd'hui sur le site Internet de Best Buy Canada, au coût de 12,99 $, livraison incluse.
C'est effectivement vrai ce qui se passe. Il n'engage pas des personnes ayant un léger handicap. En plus, la plupart du personnel de Chicoutimi n'ont pas pas beaucoup d'instruction.
Ayant passé une entrevue pour cette entreprise, il y a eu 5 minutes de visionnement de vidéo en nous montrant que tout le monde est heureux de travailler en chantant. C'était la chose plus ridicule que je n'ai jamais vu de ma vie. En plus, la personne responsable m'a suggéré que ce n'était pas ma place quand elle a vu que je portais une prothèse auditive. Ca n'a pas été long. Tant mieux, parce que j'ai vu, ce n'était pas interessant d'y travailler à cet endroit. La plupart des employés ne travaillent jamais à temps plein.
Ayant passé une entrevue pour cette entreprise, il y a eu 5 minutes de visionnement de vidéo en nous montrant que tout le monde est heureux de travailler en chantant. C'était la chose plus ridicule que je n'ai jamais vu de ma vie. En plus, la personne responsable m'a suggéré que ce n'était pas ma place quand elle a vu que je portais une prothèse auditive. Ca n'a pas été long. Tant mieux, parce que j'ai vu, ce n'était pas interessant d'y travailler à cet endroit. La plupart des employés ne travaillent jamais à temps plein.
Auteur: Dufour-Koelbl,S.
Édition: Atmosphère
Thème: Littérature
ISBN: 2-923444-00-0
Prix suggéré: $22.95
148 pages
De quelle façon Wal-Mart arrive-t-il à de si extraordianires résultats? Et si le revers de la médaille était moins brillant? Le témoignage révélateur de l'auteur, ex-gérante du personnel dans un de ces magasin, nous éclaire quant aux côtés sombres des méthodes de gestion du géant du commerce de détail.
Y'a ce livre là qui est sortie y'a pas très longtemps
noiraud a écritC'est effectivement vrai ce qui se passe. Il n'engage pas des personnes ayant un léger handicap. En plus, la plupart du personnel de Chicoutimi n'ont pas pas beaucoup d'instruction.
Ayant passé une entrevue pour cette entreprise, il y a eu 5 minutes de visionnement de vidéo en nous montrant que tout le monde est heureux de travailler en chantant. C'était la chose plus ridicule que je n'ai jamais vu de ma vie. En plus, la personne responsable m'a suggéré que ce n'était pas ma place quand elle a vu que je portais une prothèse auditive. Ca n'a pas été long. Tant mieux, parce que j'ai vu, ce n'était pas interessant d'y travailler à cet endroit. La plupart des employés ne travaillent jamais à temps plein.
chanceux tu as eu le temps de te rendre au vidéo moi après les question style " pierre n'entre pas au travail et n'averti pas son superviseur ... doit ton le congédier sur le champs ? ma réponce non ... pourquoi non dit le superviseur ... ben si il a eu un accident d'auto tu le sais pas faut attendre au moin de savoir pourquoi ... jai pas eu la job
Ayant passé une entrevue pour cette entreprise, il y a eu 5 minutes de visionnement de vidéo en nous montrant que tout le monde est heureux de travailler en chantant. C'était la chose plus ridicule que je n'ai jamais vu de ma vie. En plus, la personne responsable m'a suggéré que ce n'était pas ma place quand elle a vu que je portais une prothèse auditive. Ca n'a pas été long. Tant mieux, parce que j'ai vu, ce n'était pas interessant d'y travailler à cet endroit. La plupart des employés ne travaillent jamais à temps plein.
chanceux tu as eu le temps de te rendre au vidéo moi après les question style " pierre n'entre pas au travail et n'averti pas son superviseur ... doit ton le congédier sur le champs ? ma réponce non ... pourquoi non dit le superviseur ... ben si il a eu un accident d'auto tu le sais pas faut attendre au moin de savoir pourquoi ... jai pas eu la job
bikeuse a écrit
honnêtement, les concernant, rien ne me surprend
Moi non plus ..
Moi cela va faire un an que je ne vais plus chez Wal-Mart et je n'ai pas l'intention d'y retourner ;)
honnêtement, les concernant, rien ne me surprend
Moi non plus ..
Moi cela va faire un an que je ne vais plus chez Wal-Mart et je n'ai pas l'intention d'y retourner ;)
C'est drôle que tu me dises que j'ai mauvais caractère parce que si tu parles à ceux qui me traitent avec respect et courtoisie et qui ne me mentent pas et qui ne tentent pas de me f******, ils vont probablement te dire qu'au contraire je suis très gentil- Jean-François Mercier
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 9083
- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
Raven a écritMais si vous avez changer vos habitudes d'achats de Walmart pour une autre multinationale états-unienne dans le style de Sears, qu'en revenant vous gazer au Esso avant d'aller manger au McDo en buvant un Coca-cola. Ça ne change absolument rien de boycotter wallmarde Dans l'ensemble, mon feeling, c'est que Wal-Mart est la pire. Il n'y a pas de commerces aux alentours qui ferment quand un Esso arrive, et je n'ai pas entendu un Sears fermer pour cause de syndicalisation.
Il y aura également un reportage à Zone libre vendredi.
Il y aura également un reportage à Zone libre vendredi.
BouleAMites_ a écrit Dans l'ensemble, mon feeling, c'est que Wal-Mart est la pire. Il n'y a pas de commerces aux alentours qui ferment quand un Esso arrive, et je n'ai pas entendu un Sears fermer pour cause de syndicalisation.
Il y aura également un reportage à Zone libre vendredi.
oui j'ai hate d'écouter ce reportage
Il y aura également un reportage à Zone libre vendredi.
oui j'ai hate d'écouter ce reportage
vivre et laisser vivre
BouleAMites_ a écrit Dans l'ensemble, mon feeling, c'est que Wal-Mart est la pire. Il n'y a pas de commerces aux alentours qui ferment quand un Esso arrive, et je n'ai pas entendu un Sears fermer pour cause de syndicalisation.
Il y aura également un reportage à Zone libre vendredi.
Mais une multinationale comme Sears aussi fait fermer les magasins locaux. Pour Esso/Exxon c'est surtout au niveau de l'environnement. Et ce qui réunit tout ce beau petit monde, c'est que peu importe dans lequel tu vas aller dépenser ton argent, elle sortira du Québec pour aller augmenter encore plus l'économie des États-Unis
Il y aura également un reportage à Zone libre vendredi.
Mais une multinationale comme Sears aussi fait fermer les magasins locaux. Pour Esso/Exxon c'est surtout au niveau de l'environnement. Et ce qui réunit tout ce beau petit monde, c'est que peu importe dans lequel tu vas aller dépenser ton argent, elle sortira du Québec pour aller augmenter encore plus l'économie des États-Unis
pucinette a écrit
Moi non plus ..
Moi cela va faire un an que je ne vais plus chez Wal-Mart et je n'ai pas l'intention d'y retourner ;)
BRA-VO! J'aime ça voir des gens qui vivent leurs convictions! Mon chum et moi aussi avons cessé d'y aller. C'est pas toujours évident parce que dans mon coin, c'est LA place où trouver ce qu'on cherche, mais on cherche ailleurs... ou on s'en passe!
Moi non plus ..
Moi cela va faire un an que je ne vais plus chez Wal-Mart et je n'ai pas l'intention d'y retourner ;)
BRA-VO! J'aime ça voir des gens qui vivent leurs convictions! Mon chum et moi aussi avons cessé d'y aller. C'est pas toujours évident parce que dans mon coin, c'est LA place où trouver ce qu'on cherche, mais on cherche ailleurs... ou on s'en passe!
Raven a écrit
Mais une multinationale comme Sears aussi fait fermer les magasins locaux. Pour Esso/Exxon c'est surtout au niveau de l'environnement. Et ce qui réunit tout ce beau petit monde, c'est que peu importe dans lequel tu vas aller dépenser ton argent, elle sortira du Québec pour aller augmenter encore plus l'économie des États-Unis
Des fois on ne peut que s'attaquer à un ennemi à la fois aussi... S'il fallait que je cesse de fréquenter quoi que ce soit de multinational américain... premièrement faudrait que je lache ma job hahaha!
Mais une multinationale comme Sears aussi fait fermer les magasins locaux. Pour Esso/Exxon c'est surtout au niveau de l'environnement. Et ce qui réunit tout ce beau petit monde, c'est que peu importe dans lequel tu vas aller dépenser ton argent, elle sortira du Québec pour aller augmenter encore plus l'économie des États-Unis
Des fois on ne peut que s'attaquer à un ennemi à la fois aussi... S'il fallait que je cesse de fréquenter quoi que ce soit de multinational américain... premièrement faudrait que je lache ma job hahaha!
Éolianne a écrit
Des fois on ne peut que s'attaquer à un ennemi à la fois aussi... S'il fallait que je cesse de fréquenter quoi que ce soit de multinational américain... premièrement faudrait que je lache ma job hahaha!
Pourtant c'est possible... Il suffit de faire attention et de beaucoup de volonté, et être prêt quelquefois au sacrifice Ce n’est sûrement pas possible à 100%, à moins de vivre isolé comme Thoreau, mais faire plus attention oui... Depuis plus de 2 ans que je fait attention de ne rien consommer de capitaliste états-uniens, et c'est clair que ce n'est pas facile et que parfois je n'ai pas le choix, mais tout de même, tu ne me verras jamais dans un resto des USA comme McShit, BurgerShit et etc, ni dans des magasins à grande surface des États-Unis.
C'est certain que ça demande plus d'attention de regarder la provenance des produits et trouver des alternatives, mais c'est possible
Si jamais vous cherchez une alternative à un produit, je peux peut-être vous aider
Mais bon c'est clair que c'est impossible l'être à 100%. Malgré tout mon boycottage, j'en suis encore loin moi-même
Des fois on ne peut que s'attaquer à un ennemi à la fois aussi... S'il fallait que je cesse de fréquenter quoi que ce soit de multinational américain... premièrement faudrait que je lache ma job hahaha!
Pourtant c'est possible... Il suffit de faire attention et de beaucoup de volonté, et être prêt quelquefois au sacrifice Ce n’est sûrement pas possible à 100%, à moins de vivre isolé comme Thoreau, mais faire plus attention oui... Depuis plus de 2 ans que je fait attention de ne rien consommer de capitaliste états-uniens, et c'est clair que ce n'est pas facile et que parfois je n'ai pas le choix, mais tout de même, tu ne me verras jamais dans un resto des USA comme McShit, BurgerShit et etc, ni dans des magasins à grande surface des États-Unis.
C'est certain que ça demande plus d'attention de regarder la provenance des produits et trouver des alternatives, mais c'est possible
Si jamais vous cherchez une alternative à un produit, je peux peut-être vous aider
Mais bon c'est clair que c'est impossible l'être à 100%. Malgré tout mon boycottage, j'en suis encore loin moi-même
Je suis très heureuse et fière de ne plus fréquenter Wall-Mart depuis plus d'un an même si je n'y allais que rarement auparavant.
Je voudrais rajouter que comparer Sears à Wall-Mart c'est comme comparer des pommes et des tomates.
Sears n'a pas du tout le même système de commercialisation des bas prix à tout prix. Sears ne vent pas le même type de produit, sa commercialisation se rapproche plus d'une chaine comme La Baie, catalogue en prime.
Je voudrais rajouter que comparer Sears à Wall-Mart c'est comme comparer des pommes et des tomates.
Sears n'a pas du tout le même système de commercialisation des bas prix à tout prix. Sears ne vent pas le même type de produit, sa commercialisation se rapproche plus d'une chaine comme La Baie, catalogue en prime.
- NainDeJardin
- Immortel du Domaine
- Messages : 19581
- Inscription : jeu. oct. 30, 2003 1:00 am
Raven a écritMais si vous avez changer vos habitudes d'achats de Walmart pour une autre multinationale états-unienne dans le style de Sears, qu'en revenant vous gazer au Esso avant d'aller manger au McDo en buvant un Coca-cola. Ça ne change absolument rien de boycotter wallmarde
Ben un petit geste, c'est peut-être mieux que rien du tout... Pour ma part, étant à pied, j'encourage naturellement les commerces près de chez moi même s'ils sont plus chers que les grandes surfaces... Je me dis que mes quelques piasses par semaine sauvent des emplois dans mon entourage immédiat...
Ben un petit geste, c'est peut-être mieux que rien du tout... Pour ma part, étant à pied, j'encourage naturellement les commerces près de chez moi même s'ils sont plus chers que les grandes surfaces... Je me dis que mes quelques piasses par semaine sauvent des emplois dans mon entourage immédiat...