Page 1 sur 3

Publié : mar. nov. 01, 2005 4:09 am
par tuberale
À partir de 10 heures ce matin, l'embargo journalistique va cesser et nous pourrons en apprendre plus sur le contenu du rapport et sur ses premières conclusions.

Je vous invite donc, par cette journée pluvieuse à synthoniser les différents postes de médias où on pourra voir tout au long de la journée entre autre le juge Gomery commenter son rapport, Martin, les partis de l'Opposition, etc........


le rapport va être disponible sur le site de la commission

www.gomery.ca --Message edité par tuberale le 2005-11-12 10:20:33--

Publié : mar. nov. 01, 2005 4:25 am
par tuberale
Rapport Gomery: le PLC s'attend à être blâmé
Alec Castonguay
Édition du mardi 1er novembre 2005




Ottawa -- Le Parti libéral du Canada dirigé par Paul Martin a de fortes chances de payer dès aujourd'hui le prix de son laxisme et de ses pratiques électorales illégales liées au scandale des commandites puisque le PLC a reçu un avis de blâme du juge Gomery, a appris Le Devoir de sources sûres. C'est donc dire que cette réprimande à l'endroit de la formation politique au pouvoir pourrait être la partie la plus explosive du rapport dévoilé ce matin à Ottawa.


Le premier ministre Paul Martin a catégoriquement refusé de satisfaire à la demande de l’opposition qui a réclamé hier, aux Communes, des copies du rapport Gomery à la veille de son dévoilement, aujourd’hui. Le rapport devrait comporter un blâme à l’endroit du Parti libéral.  

 
Au milieu du mois de mai dernier, alors que les audiences tiraient à leur fin à Montréal, la commission Gomery a fait parvenir un préavis de blâme à plusieurs acteurs du scandale des commandites. En vertu de l'article 13 de la Loi sur les enquêtes, le juge doit prévenir au préalable toutes les personnes ou organismes qui pourraient être incriminés dans le rapport pour qu'ils puissent préparer une défense et s'expliquer.

Un haut responsable du PLC a confirmé au Devoir que cet avis de blâme avait bel et bien été envoyé à la formation politique. «Oui, nous avons reçu un avis en vertu de l'article 13. Reste à voir ce que le juge mettra sur papier», a soutenu une source qui a requis l'anonymat. Le juge Gomery n'est toutefois pas tenu de suivre à la lettre les préavis qu'il a envoyés au début de l'été. En épluchant la volumineuse preuve déposée devant lui, John Gomery a pu changer son fusil d'épaule lors de la rédaction de son document final et décidé de ne pas pointer du doigt les personnes ou organismes qu'il voulait incriminer au départ.

Mais selon nos informations, peu importe l'ampleur de la faute imputée au PLC, la formation politique sera malgré tout directement interpellée par le juge, ce qui laisse croire qu'il n'a pas changé d'avis dans les derniers mois. Reste à voir ce matin avec quelle force le commissaire frappera le PLC.


Tout indique que le juge mettra au banc des accusés plusieurs acteurs clés du scandale qui ne sont plus dans le giron politique, que ce soit des anciens politiciens ou encore des hauts fonctionnaires.


Le juge John Gomery quittant hier soir le pavillon Bytown, à Ottawa, où les journalistes pourront prendre connaissance ce matin du rapport de l’enquête publique sur le scandale des commandites.chris wattie reuters Le juge John Gomery quittant hier soir le pavillon Bytown, à Ottawa, où les journalistes pourront prendre connaissance ce matin du rapport de l’enquête publique sur le scandale des commandites.
Agence Reuters

Par contre, le PLC est toujours au pouvoir et, s'il écope, les partis d'opposition ne se priveront pas pour mettre l'emphase sur les irrégularités et pratiques douteuses de la formation de Paul Martin. Cela en ferait une cible de choix et un des liens les plus solides entre le premier ministre et le scandale, puisque le rapport a peu de chances d'impliquer personnellement Paul Martin, si on se fie aux informations rendues publiques tout au long des audiences de la commission d'enquête sur le programme des commandites.


Dans le quartier général du Parti libéral du Canada, à Ottawa, on se prépare d'ailleurs activement à la journée d'aujourd'hui. Le PLC répondra au rapport peu après le premier ministre Martin, qui lui doit faire ses premiers commentaires à 13h, lors d'une conférence de presse. «On sait qu'on a des responsabilités à prendre et même si on ne sait pas ce que va dire le rapport, on se prépare à donner une réponse assez exhaustive demain [aujourd'hui]», a soutenu au Devoir le directeur général du parti, Steven MacKinnon.

Ce dernier s'attend à ce que les pratiques illégales de financement électoral en 1997 et 2000 soit au coeur des «zones de responsabilités» que le parti assume. «On s'attend à ça, absolument», a-t-il dit.

C'est que le juge Gomery a l'embarras du choix dans le cas du PLC, puisque les exemples de financement d'une caisse occulte destinée à payer illégalement des travailleurs d'élections, souvent en argent comptant, sont nombreuses. John Gomery devait par contre décider si les sommes provenaient bel et bien d'un système de ristournes effectué à même l'argent des contribuables provenant des commandites.

Directeur du PLC section Québec entre 1996 et 1998, Michel Béliveau a affirmé devant la commission qu'il avait reçu près de 300 000 $ comptant de la part de Jacques Corriveau. Cet argent, jamais déclaré, a servi à arroser les comtés détenus par le Bloc québécois. Une information corroborée par l'organisateur libéral Marc-Yvan Côté, qui a lui-même redistribué 120 000 $ de cette enveloppe dans l'est du Québec.

Un autre ancien directeur du PLC-Q, Benoît Corbeil, a confirmé sous serment les irrégularités et les tours de passe-passe du parti. Souvent, l'ami personnel de Jean Chrétien, Jacques Corriveau, était au coeur du système. Ce dernier a touché sept millions de dollars provenant des commandites pour très peu de travail effectué. Daniel Dezainde, directeur du PLC-Q entre 2001 et 2003, a affirmé que Jacques Corriveau lui a confessé qu'il avait mis en place un «système de ristournes» permettant au parti de toucher une partie de la manne des commandites pour financer «la cause», soit les activités du PLC au Québec.

Daniel Dezainde a aussi affirmé qu'il n'avait «aucun contrôle» sur le financement du parti, puisqu'un «réseau parallèle» avait été mis en place sous la supervision de Joe Morselli et d'Alfonso Gagliano, alors lieutenant au Québec du premier ministre Chrétien. Le 11 mai dernier, M. Dezainde affirmait au commissaire : «Je me suis retrouvé dans une situation où il y avait des zones très, très grises, des zones sombres». Ce sont ces zones douteuses au sein du PLC que John Gomery pourrait entre autres pointer du doigt dans son rapport aujourd'hui.

Le PLC, et par ricochet le gouvernement, pourrait donc payer un prix fort sur le plan de la réputation si l'avis de blâme du juge s'avère impitoyable. Mais les libéraux pourraient aussi devoir payer un prix financier élevé puisque le juge pourrait déterminer l'ampleur des sommes illégales ou douteuses perçues par le parti dans le cadre de ce scandale. Le PLC a promis de remettre tout l'argent «souillé», selon l'expression du ministre Jean Lapierre. Une fiducie de 750 000 $ a d'ailleurs été mise en place. L'opposition calcule toutefois que la réalité s'approche davantage de deux ou trois millions de dollars, ce qui pourrait grever une partie des finances du PLC, déjà passablement mal en point sur ce plan. Les faits seront connus aujourd'hui.

Une longue journée

Le premier ministre Martin ouvrait les portes du 24 Sussex aux enfants qui passaient l'Halloween hier soir, vers 18h, soit au même moment où le rapport Gomery lui était remis. Il devait espérer, en lisant les premières pages du volumineux document, ne pas y trouver autant d'horreur que sur son perron, où les monstres et sorcières commençaient à défiler.

La soirée d'hier était destinée à préparer la réplique au rapport qui sera servie en début d'après-midi aujourd'hui aux Canadiens. À 13h, le premier ministre tiendra une conférence de presse en compagnie de ses ministres Jean Lapierre et Scott Brison, qui auront, tout comme leur chef, parcouru le rapport la veille dès 18h.

Avec plusieurs personnes en possession du fameux document, les risques de fuites médiatiques augmentent, ce qui a mis la colline parlementaire sur les dents hier en fin de journée. Normalement, les journalistes ont accès au rapport dès 6h ce matin, grâce à un huis clos de quatre heures sous haute sécurité.

À 10h, le premier rapport Gomery sera déposé à la Chambre des communes. Il sera simultanément disponible sur le site Internet officiel de la commission Gomery (www.gomery.ca). Par contre, les Canadiens intéressés à lire la version papier de plusieurs centaines de pages devront sortir de leurs poches 49,95 $, ou encore 14,95 $ pour le résumé exécutif. Il faudra alors appeler au ministère des Travaux publics (1 800 635-7943).

À 10h20, le juge Gomery s'adressera aux médias, sans toutefois répondre aux questions. Puis, les réactions des partis d'opposition s'enchaîneront, en commençant par le Bloc québécois dès 10h45. Pendant ce temps, le conseil des ministres sera en réunion spéciale depuis 8h. Le but étant de parler du rapport aux ministres et d'assurer la cohérence du message à livrer aux Canadiens.





Publié : mar. nov. 01, 2005 4:28 am
par nicki
Je suis devant mon écran depuis 8 heures ce matin et j'attends avec impatience de connaître les résultats de cette longue enquête.

J'espère tellement que ça fasse mal!



Publié : mar. nov. 01, 2005 4:34 am
par tuberale
nicki  a écritJe suis devant mon écran depuis 8 heures ce matin et j'attends avec impatience de connaître les résultats de cette longue enquête.

J'espère tellement que ça fasse mal!






J'entends bien faire une exception aujourd'hui et ouvrir la télé à 10 hres, chose que je ne fais jamais d'habitude......  



Faut que ça fasse mal, pour avoir écouté assez longuement les auditions de la commission et tout ce qu'il s,en dit depuis les dernières années, me semble qu'il avait de la matière en masse pour porter un grand coup.

Publié : mar. nov. 01, 2005 4:35 am
par tuberale
nicki  a écritJe suis devant mon écran depuis 8 heures ce matin et j'attends avec impatience de connaître les résultats de cette longue enquête.

J'espère tellement que ça fasse mal!






..vas-tu nous faire des petits tableaux Nicki?  

Publié : mar. nov. 01, 2005 4:46 am
par nicki
tuberale  a écrit



..vas-tu nous faire des petits tableaux Nicki?  


Je ne pense pas, non...  Je n'ai pas le goût de travailler fort ce matin, je me sens paresseuse.




Publié : mar. nov. 01, 2005 5:07 am
par nicki
D'après le rapport, Paul Martin est complètement exonéré.  Ça me déçoit parce qu'il ne pouvait être ignorant de ce qui se passait.


Publié : mar. nov. 01, 2005 5:24 am
par tuberale
jean Pelletier sembleraît être la principale cible de ce rapport, ses actions de rencontrer Guité sans la présence du sous-ministre pour décider à quelles agences seraient confié le dossier des commandites dit au juge que le politique a outrageusement outrepassé ses droits sur la machine gouvernementale et a causé un dangeureux précédent. Par ricochet on blâme Chrétien, en soulignant toutefois qu,il ne semblait pas être au courant des malversations générés par Guité et les agences.

Publié : mar. nov. 01, 2005 5:46 am
par tuberale
Scandale des commandites

Le juge Gomery blâme sévèrement Jean Chrétien



Le juge Gomery blâme sévèrement l'ancien premier ministre Jean Chrétien pour le rôle qu'il a joué dans le scandale des commandites.
Dans son rapport préliminaire déposé ce matin, le juge mandaté par la Commission d'enquête sur le programme des commandites conclut à une ingérence politique de la garde rapprochée de jean Chrétien dans la gestion du programme.

Selon lui, le programme des commandites a servi à alimenter un système complexe de pots-de-vin bénéficiant au Parti libéral du Canada.

Le commissaire ne jette pas le blâme que sur Jean Chrétien. Il écorche aussi son chef de cabinet, Jean Pelletier; l'ex-ministre des Travaux publics et responsable du programme, Alfonso Gagliano; l'ancien grand patron du programme, Charles Guité; l'organisateur libéral Jacques Corriveau (petite photo); ainsi qu'une poignée de hauts fonctionnaires, dirigeants d'agences de publicité et autres organisateurs libéraux.

Le premier ministre Paul Martin est pour sa part exonéré de tout blâme.

Le rapport critique par ailleurs l'ex-ministre provincial et organisateur libéral Marc-Yvan Côté, qui a reçu et distribué des sommes obtenues de façon illicite, de même que deux anciens directeurs du PLC, Benoît Corbeil et Michel Béliveau, tout comme Joseph Morselli, un collecteur de fonds du parti.

À propos du président de la firme PluriDesign, Jacques Corriveau, John Gomery note qu'il a contredit deux fois son propre témoignage dans le but d'induire la Commission en erreur. Il ajoute que bon nombre de témoins qu'il a entendus lui ont menti effrontément.

Plus de détails dans quelques instants.


En vidéo, écoutez les explications de Sylvain Drapeau et d'Yves Malo


http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national ... 00810.html --Message edité par tuberale  le 2005-11-01 10:47:22--

Publié : mar. nov. 01, 2005 6:10 am
par tuberale
Rapport Gomery: Jacques Corriveau montré du doigt



Selon Le Devoir, le commissaire John Gomery attribuerait à Jacques Corriveau, un ami personnel de l'ex-premier ministre Jean Chrétien, la paternité du système de ristournes au profit du Parti libéral.


Le premier rapport du commissaire John Gomery sur le scandale des commandites devrait paraître seulement mardi, mais il fait déjà des vagues.



Selon Le Devoir, le juge y attribue directement à Jacques Corriveau la paternité du « système de ristournes » au profit du Parti libéral du Canada (PLC).

Jacques Corriveau est un ami personnel de l'ancien premier ministre Jean Chrétien. Il a fondé l'agence Pluri-Design. Selon le rapport, il serait au coeur du système permettant au PLC de récupérer une partie des commissions perçues par des agences de communication et de commandites.


Le commissaire Gomery le désignerait comme l'homme qui a « acheminé une partie des fonds perçus dans les coffres du PLC, section Québec, afin de financer entre autres les campagnes électorales victorieuses de 1997 et 2000 », selon le quotidien.

Dans leurs témoignages, Jean Brault, alors directeur de l'agence Groupaction, et Michel Béliveau et Daniel Dezainde, anciens directeurs généraux du PLC-Québec, l'ont désigné comme « l'argentier occulte du parti ».

De plus, rappelle Le Devoir, Jacques Corriveau « se rendait régulièrement au bureau du fonctionnaire fédéral Charles Guité pour soutirer des commandites au profit de ses clients du monde de la publicité ».

Le journal indique également que Jacques Corriveau « aurait mené des activités de démarchage au ministère des Travaux publics sans s'inscrire au préalable au registre des lobbyistes ». Cette infraction est passible d'une amende maximale de 25 000 $.

Il aurait également usé de son influence dans le but d'obtenir le paiement de commandites pour des agences de publicité et des promoteurs avec lesquels il aurait conclu « des ententes secrètes », pour toucher des commissions. Cet acte pourrait lui coûter 14 ans de prison.

Selon Le Devoir, ces constatations ont été transmises aux avocats de Jacques Corriveau dans un préavis confidentiel, daté du 12 mai dernier. M. Corriveau a ensuite donné des explications complémentaires au juge Gomery, le 27 mai. Ce témoignage pourrait donc avoir modifié les conclusions du juge, qui seront en partie publiées mardi.



Publié : mar. nov. 01, 2005 6:18 am
par nicki
Pots-de-vin et trafic d'influence



En plus de son chef de cabinet, Jean Chrétien voit son grand ami Jacques Corriveau subir les foudres du juge Gomery.

Le juge considère que ce militant libéral, dirigeant de l'entreprise Pluri-Design, a mis sur pied un système de pots-de-vin et de trafic d'influence, grâce auquel il a profité des fonds du programme des commandites pour s'enrichir et contribuer au financement de l'aile québécoise du Parti libéral du Canada (PLCQ).

Le juge Gomery a accordé foi au témoignage de Jean Brault, ex-dirigeant de Groupaction, qui a affirmé que ses dons au PLCQ lui avaient permis d'obtenir des contrats du gouvernement dans le cadre du programme des commandites.

Le juge a cru Jean Brault lorsqu'il a affirmé que Jacques Corriveau et Alain Renault, lui aussi proche du PLCQ, l'ont invité à aider le PLCQ et qu'ils lui ont aussi permis de rencontrer Charles Guité. Les avantages au PLCQ ont notamment consisté en dons d'argent et en salaires payés par Groupaction à des gens qui travaillaient en réalité pour le Parti libéral.

Le juge Gomery considère que plusieurs ténors du PLCQ, « se sont déshonorés et ont déshonoré le parti politique », en contournant les lois sur le financement des partis politiques. Il nomme spécifiquement deux directeurs généraux, Michel Béliveau et Benoît Corbeil, de même que Joseph Morselli, responsable de la collecte de fonds, et Marc-Yvan Côté, organisateur de 21 circonscrïptions électorales, qui a accepté d'importantes sommes d'argent en liquide.


Publié : mar. nov. 01, 2005 6:19 am
par tuberale
Pour ceux et celles qui aiment la lecture

http://www.gomery.ca/fr/phase1report/ffr/

Publié : mar. nov. 01, 2005 6:20 am
par linus611
lES BOUGONS C'EST AUSSI CA LA VIE. Commentaire cité d'un citoyen que je trouvais bien apporprié a toute cette magouille.

Publié : mar. nov. 01, 2005 6:26 am
par tuberale
linus611  a écritlES BOUGONS C'EST AUSSI CA LA VIE. Commentaire cité d'un citoyen que je trouvais bien apporprié a toute cette magouille.



donc devrions-nous en tant que contribuables, adopter le même comportement que ces élus et responsables qui en Bougons qu'ils sont nous démontrent que les lois qu'ils érigent ne les concernent pas.....pourquoi être honnête au Canada aujourd'hui en-dehors de nos considérations personnelles de valeur?   --Message edité par tuberale  le 2005-11-01 11:27:28--

Publié : mar. nov. 01, 2005 6:35 am
par orve
Paul Martin réagit avec quatre mesures
Cyberpresse
Le premier ministre Paul Martin vient d'annoncer quatre mesures pour réagir au rapport Gomery, demandant au Parti libéral de rendre des sommes d'argent à l'État et demandant de punir les personnes impliquées dans le scandale.

En tant que chef du Parti libéral, M. Martin a donné l'instruction au parti de rembourser des sommes d'«argent souillé» à l'État. Il demande aussi au PLC d'expulser à vie les membres impliqués dans le scandale.

En tant que premier ministre, Paul Martin réfère le rapport Gomery à la GRC pour l'aider dans son enquête sur le programme.

Il demande aussi Procureur général du Canada d'ajouter les noms de 12 agences liées au scandale à une poursuite déjà entamée en cour. M. Martin demande par ailleurs à ses ministres de donner des instructions aux sociétés d'État pour prendre des mesures civiles ou administratives contre les employés impliqués dans le scand[g]


Chrétien qui se ferait oter sa petite carte ???

Publié : mar. nov. 01, 2005 6:47 am
par tuberale
Comme si Chrétien avait besoin d'un droit légal pour intervenir en quelque part.......pus de carte, wow.......ça va en changer des trucs dans sa vie ça.....?


méchante poudre aux yeux........les cotoyens voudrainet les voir traduit devant les tribunaux....pis on leur enlève leur petite carte.......sti  

Publié : mar. nov. 01, 2005 7:04 am
par orve
tuberale  a écritComme si Chrétien avait besoin d'un droit légal pour intervenir en quelque part.......pus de carte, wow.......ça va en changer des trucs dans sa vie ça.....?


méchante poudre aux yeux........les cotoyens voudrainet les voir traduit devant les tribunaux....pis on leur enlève leur petite carte.......sti    



Le but de la commission Gomery n'est pas là, mais c'est celui de la GRC qui lui enquête encore en se moment. J'espère bien qu'ils seront traduit en justice mais je crois que le lynchage publique est une plus grosse «punition» pour un politicien qu'une amende car  oubllier ça la prison.

Publié : mar. nov. 01, 2005 7:10 am
par tuberale
orve  a écrit



Le but de la commission Gomery n'est pas là, mais c'est celui de la GRC qui lui enquête encore en se moment. J'espère bien qu'ils seront traduit en justice mais je crois que le lynchage publique est une plus grosse «punition» pour un politicien qu'une amende car  oubllier ça la prison.


je sais , on va remettre le rapport à la GRC....sauf que le rapport en plaçant les pistes d,enquête sur le fait que Paul Martin ne savait pas, et que Chrétien non plus........il ne reste que les sous-chiffres qui vont peut-être payer....

Publié : mar. nov. 01, 2005 7:27 am
par Raven
Comme si le ministre des Finances n'était pas au courant   Les Québécois se font encore rire en pleine figure  

Publié : mar. nov. 01, 2005 7:35 am
par linus611
tuberale  a écrit



donc devrions-nous en tant que contribuables, adopter le même comportement que ces élus et responsables qui en Bougons qu'ils sont nous démontrent que les lois qu'ils érigent ne les concernent pas.....pourquoi être honnête au Canada aujourd'hui en-dehors de nos considérations personnelles de valeur?     Tut tut tut, ce n'est pas nous qui agissons comme des bougons mais bel et bien ces petits connards. La différence est la. Toute cette enquête pour quoi au juste, pas grand chose va changer.