Publié : ven. sept. 16, 2005 8:17 am
À Montréal, le ministère public réclame 15 ans de prison pour Dominic Landry, coupable d'homicide involontaire et de trois accusations de voie de faits.
Les agressions se sont déroulées entre le 8 et le 11 mai 2003.
Celui qu'on surnomme «le vampire du parc Viger» disait à ses victimes, «donne-moi ton âme, j'ai besoin de ta vie» avant de les battre, de les étrangler et de leur insérer ses doigts dans leurs yeux. Certaines de ses victimes étaient des sans-abris qui fréquentaient le parc Viger à Montréal.
Frédéric Legendre, 19 ans, est mort suite aux blessures que Landry lui a infligé. L'avocat de l'accusé, Me Marcel Guérin, a soutenu que vu l'état d'intoxication de son client, qui consommait beaucoup de stupéfiants, une peine de huit ans servirait les intérêts de la justice.
La mère de la victime a été entendue par le juge Robert Sansfaçon. Elle est venue dire que la perte de son fils est toujours douloureuse, malgré les deux années qui se sont écoulées depuis les événements.
Dominic Landry s'est aussi adressé au Tribunal, s'excusant et souhaitant avoir «la chance de faire comme il faut un jour.»
La sentence sera prononcée le 4 octobre prochain.
Les agressions se sont déroulées entre le 8 et le 11 mai 2003.
Celui qu'on surnomme «le vampire du parc Viger» disait à ses victimes, «donne-moi ton âme, j'ai besoin de ta vie» avant de les battre, de les étrangler et de leur insérer ses doigts dans leurs yeux. Certaines de ses victimes étaient des sans-abris qui fréquentaient le parc Viger à Montréal.
Frédéric Legendre, 19 ans, est mort suite aux blessures que Landry lui a infligé. L'avocat de l'accusé, Me Marcel Guérin, a soutenu que vu l'état d'intoxication de son client, qui consommait beaucoup de stupéfiants, une peine de huit ans servirait les intérêts de la justice.
La mère de la victime a été entendue par le juge Robert Sansfaçon. Elle est venue dire que la perte de son fils est toujours douloureuse, malgré les deux années qui se sont écoulées depuis les événements.
Dominic Landry s'est aussi adressé au Tribunal, s'excusant et souhaitant avoir «la chance de faire comme il faut un jour.»
La sentence sera prononcée le 4 octobre prochain.