Publié : mar. août 09, 2005 4:39 am
La séparation gagne en popularité dans l'Ouest
Mise à jour le mardi 9 août 2005 à 6 h 33
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L'assemblée législative de l'Alberta
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Un sondage mené par une équipe du Collège communautaire de Lethbridge, en Alberta, révèle que 35 % des Canadiens dans les quatre provinces de l'Ouest envisagent la séparation de leur province d'avec le reste du Canada.
Le sondage a été réalisé pour le magazine Western Standard, basé à Calgary. Les citoyens de l'Alberta sont les plus nombreux à admettre qu'ils songent à cette option politique, avec une proportion de 42 %. Suivent les citoyens de la Saskatchewan et de la Colombie-Britannique, à 31 % chacun.
C'est au Manitoba que l'option de la séparation recueille le moins d'appuis, à 27 %. Malgré ces résultats, les partis sécessionnistes de l'Ouest n'ont recueilli que des appuis marginaux jusqu'ici.
Les répondants de l'Ouest disent éprouver un sentiment d'aliénation dans la fédération canadienne. Et 64 % d'entre eux croient que le premier ministre du Canada, Paul Martin, est inefficace pour abattre ce sentiment.
L'enquête a été menée auprès de 1448 personnes entre le 29 juin et le 5 juillet. Sa marge d'erreur est de 2,6 %, 19 fois sur 20.
Mise à jour le mardi 9 août 2005 à 6 h 33
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L'assemblée législative de l'Alberta
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Un sondage mené par une équipe du Collège communautaire de Lethbridge, en Alberta, révèle que 35 % des Canadiens dans les quatre provinces de l'Ouest envisagent la séparation de leur province d'avec le reste du Canada.
Le sondage a été réalisé pour le magazine Western Standard, basé à Calgary. Les citoyens de l'Alberta sont les plus nombreux à admettre qu'ils songent à cette option politique, avec une proportion de 42 %. Suivent les citoyens de la Saskatchewan et de la Colombie-Britannique, à 31 % chacun.
C'est au Manitoba que l'option de la séparation recueille le moins d'appuis, à 27 %. Malgré ces résultats, les partis sécessionnistes de l'Ouest n'ont recueilli que des appuis marginaux jusqu'ici.
Les répondants de l'Ouest disent éprouver un sentiment d'aliénation dans la fédération canadienne. Et 64 % d'entre eux croient que le premier ministre du Canada, Paul Martin, est inefficace pour abattre ce sentiment.
L'enquête a été menée auprès de 1448 personnes entre le 29 juin et le 5 juillet. Sa marge d'erreur est de 2,6 %, 19 fois sur 20.