Publié : mer. juil. 20, 2005 1:43 am
L'un des crimes les plus odieux commis au Québec revient dans l'actualité.
En juillet 1979, à Montréal, deux jeunes de 14 ans, Chantal Dupont et Maurice Marcil, revenaient à pied de La Ronde lorsqu'ils ont été interceptés par Normand Guérin et Gilles Pimparé, qui les ont traînés sur une plate-forme sous la structure. Les victimes ont été agressées sexuellement et jetées du haut du pont Jacques-Cartier par les deux hommes âgés de 25 ans.
Pour André Gougeon, un ancien enquêteur des crimes contre la personne à la Sûreté du Québec, il s'agit d'un crime particulièrement dégoûtant. «Dans ma carrière, ça a été le pire, dit-il, le pire crime que j'ai vu.»
S'il est question de ce double meurtre survenu il y a 26 ans, c'est que l'un des meurtriers, Gilles Pimparé, a demandé une libération conditionnelle, qui vient de lui être refusée. Des agents du service correctionnel ont trouvé, dans son ordinateur, 1500 photos pornographiques et une photo d'une femme nue qui pose devant le pont Jacques-Cartier.
Pour la Commission des libérations conditionnelles, Pimparé, 26 ans plus tard, n'est donc pas encore prêt à vivre en société.
L'autre meurtrier, Normand Guérin, est toujours incarcéré et n'a pas encore demandé sa libération conditionnelle
En juillet 1979, à Montréal, deux jeunes de 14 ans, Chantal Dupont et Maurice Marcil, revenaient à pied de La Ronde lorsqu'ils ont été interceptés par Normand Guérin et Gilles Pimparé, qui les ont traînés sur une plate-forme sous la structure. Les victimes ont été agressées sexuellement et jetées du haut du pont Jacques-Cartier par les deux hommes âgés de 25 ans.
Pour André Gougeon, un ancien enquêteur des crimes contre la personne à la Sûreté du Québec, il s'agit d'un crime particulièrement dégoûtant. «Dans ma carrière, ça a été le pire, dit-il, le pire crime que j'ai vu.»
S'il est question de ce double meurtre survenu il y a 26 ans, c'est que l'un des meurtriers, Gilles Pimparé, a demandé une libération conditionnelle, qui vient de lui être refusée. Des agents du service correctionnel ont trouvé, dans son ordinateur, 1500 photos pornographiques et une photo d'une femme nue qui pose devant le pont Jacques-Cartier.
Pour la Commission des libérations conditionnelles, Pimparé, 26 ans plus tard, n'est donc pas encore prêt à vivre en société.
L'autre meurtrier, Normand Guérin, est toujours incarcéré et n'a pas encore demandé sa libération conditionnelle