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Publié : dim. mai 29, 2005 10:17 am
par Myr!am
Dans LA PRESSE ...
En juin
Possibles jours de grève dans les CPE
Presse Canadienne
Montréal
Les travailleuses de 310 centres de la petite enfance (CPE) menacent de tenir trois jours de grève, soit les 3, 6 et 7 juin, si les négociations avec le gouvernement concernant l'équité salariale ne progressent pas.
La CSN a indiqué mercredi que les pourparlers sur ce sujet durent maintenant depuis quatre ans et que le syndicat compte bien en arriver à une entente d'ici le 3 juin. Sinon, il y aura débrayage, ce qui toucherait environ 25 000 enfants à travers le Québec.
«Le gouvernement et les associations patronales savent depuis janvier que nos membres tiennent à ce qu'une entente sur l'équité salariale intervienne ce printemps. À notre avis, si toutes les parties y mettent du leur, aucune raison ne devrait retarder cette conclusion», a indiqué mercredi, dans un communiqué, Mme Ginette Lavoie, représentante du secteur des CPE à la CSN.
Par ailleurs, la CSN trouve surprenants les propos de la ministre québécoise de la Famille, Carole Théberge, qui a critiqué mardi la gestion des CPE.
Le vice-président de la Fédération de la santé et des services sociaux de la CSN, M. Jeff Begley, estime que les centres de la petite enfance sont bien gérés et invite la ministre Théberge à préciser sa pensée.
COMMUNIQUÉ CSN ...
Sans entente sur l'équité d'ici là :
Grève dans les CPE les 3, 6 et 7 juin
Les 7000 travailleuses qui œuvrent dans 310 centres de la petite enfance (CPE) - 380 installations - pourraient faire grève trois jours, soit le vendredi 3 juin et les lundi et mardi 6 et 7 juin prochain. Les négociations qui se déroulent entre leurs représentants et ceux des associations patronales et du gouvernement arrivent à la croisée des chemins. Les travailleuses entendent bien faire tout en leur pouvoir pour que ces négociations aboutissent enfin à leur conclusion.
Selon Ginette Lavoie, représentante du secteur des CPE à la FSSS-CSN, les représentants du gouvernement et des directions des CPE doivent comprendre que la patience des travailleuses a atteint ses limites. « Nous sommes près d'une entente sur l'équité salariale et, pour nous, il est hors de question de l'échapper. Le gouvernement et les associations patronales savent depuis janvier que nos membres tiennent à ce qu'une entente sur l'équité salariale intervienne ce printemps. À notre avis, si toutes les parties y mettent du leur, aucune raison ne devrait retarder cette conclusion. Les jours qui viennent sont cruciaux et nos vis-à-vis doivent comprendre notre sérieux », affirme-t-elle.
Depuis le printemps 2000, les travaux sur l'équité devaient être terminés et des négociations auraient dû débuter aussitôt après cette échéance. Pourtant, ce n'est qu'en mars 2004, après que les syndicats des CPE de la CSN eurent annoncé un débrayage, que l'ouverture de ces négociations s'est réalisée. Depuis, de nombreux travaux ont été menés conjointement par les syndicats et la partie patronale, dont des enquêtes exhaustives auprès de 564 personnes travaillant dans les CPE pour parvenir à évaluer les emplois.
Bien que certains points importants resteraient à régler, l'atteinte d'une entente sur la valeur des emplois dans les CPE d'ici le 3 juin permettrait aux mandataires des syndiquées de lever le mot d'ordre de grève, tout en respectant le mandat de conclure une entente ce printemps. Établir la date à partir de laquelle s'appliquera l'équité pour les travailleuses des CPE, fixer les paramètres de l'harmonisation des avantages sociaux dans tout le réseau pour favoriser une plus grande stabilité des employées sont des objectifs qui pourraient être atteints dans des délais relativement courts, compte tenu de l'état d'avancement des discussions concernant ces enjeux.
Publié : lun. mai 30, 2005 2:17 am
par Rénatane
Je ne sais pas si ça touche aussi les sevices de garde.....?
Publié : mar. mai 31, 2005 4:15 am
par tuberale
De gros salaires dans certains CPE
Mise à jour le mardi 31 mai 2005 à 8 h 38
Radio-Canada a appris qu'une enquête du ministère des Finances démontre qu'une vingtaine de directrices de Centres de la petite enfance (CPE), dont certains sont déficitaires, recevraient en fait 100 000 $ par année. Or, leur salaire annuel versé par le gouvernement n'est que de 49 000 $.
Selon nos sources, ces garderies se trouvent entre autres à Montréal, Québec, Saint-Eustache, Pierrefonds et Val d'Or.
Ces salaires élevés sont versés alors que les déficits d'exploitation globaux des CPE ont totalisé 15 millions de dollars.
Christian Latreille affirme que ces situations risquent de se reproduire, tant que les CPE ne seront pas tenus par la loi de rendre des comptes.
À Québec, par exemple, le conseil d'administration d'une garderie qui a enregistré un déficit de 54 000 $ aurait pourtant octroyé en toute légalité un salaire d'environ 100 000 $ dollars à sa directrice, l'an dernier. Celle-ci n'a pas nié nos informations.
À l'Association québécoise des Centres de la petite enfance, on s'est dit surpris que des salaires aussi élevés puissent être versés.
Quatre CPE sur 10 en déficit
La semaine dernière, la ministre responsable de la Famille, Carole Théberge, a lié les problèmes financiers des garderies à 7 $ à une mauvaise gestion. Ses affirmations ont soulevé un tollé dans le milieu des services de garde, qui a plutôt rejeté le blâme sur les compressions budgétaires sévères imposées par le gouvernement Charest.
Sur un millier d'établissements, 314 sont déficitaires et 50 centres autres se trouvent en très grandes difficultés financières.
La Presse révélait cette fin de semaine que Québec projetait de réviser substantiellement la loi sur les CPE, notamment pour modifier la composition de leurs conseils d'administration et pour accorder plus de pouvoir d'intervention aux fonctionnaires.
Matin express: La présidente de l'Association des centres de la petite enfance, Hélène Potvin, a été étonnée d'apprendre que des directrices de garderie gagnaient 100 000 $ par année.
Comme les CPE sont autonomes, Québec a peu de contrôle sur leur gestion.
Rien dans la loi actuelle ne les force à donner des comptes sur une base régulière, même s'ils reçoivent 85 % de leur budget de fonctionnement du gouvernement.
Publié : mer. juin 08, 2005 4:27 pm
par °Cybelle°
TIens je vais retranscrire un bout du messagemessage que j ai eu
"Chers parents,
Vous avez été malheureusement privés au cours des derniers jours des services des garderie.Nous tenons d'abord a vous remercier de votre compréhension et de votre immense appui manifesté lors de ces trois journées de debrayage afin d'obtebir l'équité salariale."
le salaire maximum d'une éducatrices apres 10 ans d expréiences est de 18.36$/hres il vont avoir 1.19 d'augmentation sur 3 ans.... qui va faire 19,55
mais d apres eux...devrait avoir aux environs de 24 $ de l'heures...
Je suis tout a fait d'accord avec le fait qu'il mérite l'équité salariale,
mais tout a fait en désacord avec le fait que je suis obligé de payer pour un service que je n'ai pas
normalement quand on décide de pas travailler....c est comme mettons dire bon je ne rentre pas...aujourd'hui (pour un camionneur mettons) les livraisons ne se ferons pas...mais y vont devoir me payer pareil malgré le fait qu'il n'ont pas eu de service....
Ben voyons donc!!
Suis-je seule a penser comme ca??? et dans un autre ordres d'idées...est-ce que c'est normale de continuer a payer....les cpe lors des vacances(cpe fermer)
congés ferriers greve etc......??
qudn nos enfants et nous ne porfitons pas du services..? car pendans ce temps on a pas de services...
Est-ce comme ca dans tout les cpe??? et est-logique???
me semble qu'on paye pour un service...et non pour de l'air...je ne sais pas mais ce n'est pas nous leurs employeurs......Mais je suis d'Accord pour payé quand mon enfants doit etre la et ni est pas par contre]
encore la...mettons encore la prenons l'Exemple d un camionneur..qui doit faire des livraisons d'une usine a l'autre...bon si les usines fermes..(vacances) est que le camionneur va continuer a avoir son salire??? ben non voyons alors pourquoi pour eux ca serait différent? dites le moi?
J'ai une monté de lait....lollll grrrrrrrrr --Message edité par °Cybelle° le 2005-06-09 08:54:51--
Publié : jeu. juin 09, 2005 2:04 am
par Blanche Neige
Les éducatrices dans les garderie au N-B gagnent 8.40$/h et au Québec, ils braillent à 18$/h, Et ils me disent que ces leur passion, les enfants, mon oeil. La ptite Madame leur a lavé le cerveau, le cerveau d'un syndicat matérialiste et sans âme.
80% des travailleurs du Québec gagnent 15$/h et moins, eux font partis des 20% prévilègiés et ils braillent pareils.
Mon Dieu, donne leur la force et le courage d’avoir la vrai passion, celle des êtres humains et non pas celle de l'égoisme. --Message edité par Blanche Neige le 2005-06-09 10:25:29--
Publié : jeu. juin 09, 2005 2:29 am
par Myr!am
C'est comme ça dans tous les services de garde. En milieu familial ou en CPE, tu dois payer les congés fériés, les journées où ton enfant est absent, etc.
Préparez-vous car la grève recommence du 14 au 17 juin ! --Message edité par Bisous le 2005-06-09 08:32:01--
Publié : jeu. juin 09, 2005 5:38 am
par vivier
si c'est vrai qu'il y a des directrices qui gagnent 100 milles $ par année c'est du vrai vol ,pour qui elles se prennent franchement !
Publié : jeu. juin 09, 2005 5:42 am
par ResPect
Blanche Neige a écritLes éducatrices dans les garderie au N-B gagnent 8.40$/h et au Québec, ils braillent à 18$/h, Et ils me disent que ces leur passion, les enfants, mon oeil. La ptite Madame leur a lavé le cerveau, le cerveau d'un syndicat matérialiste et sans âme.
80% des travailleurs du Québec gagnent 15$/h et moins, eux font partis des 20% prévilègiés et ils braillent pareils.
Mon Dieu, donne leur la force et le courage d’avoir la vrai passion, celle des êtres humains et non pas celle de l'égoisme.
Tu résume bien mon point de vue...
Moi aussi je suis diplomé du collégial, je suis une professionnel pis je suis loin de gagner leurs 18$ de l'heure et je ne fait pas de greve ou de moyen de pression...alors pk ils chialent? ils trouvent qu'ils n'en n'ont pas assez???...hum...j'aime mieux rien dire....ca me fache trop!
Publié : jeu. juin 09, 2005 2:51 pm
par Soleil47
Moi aussi ca me choque une situation semblable et quand on pense que certaines directrices se paient un salaire de 100,000.00$ par année,j'en reviens pas.
Il me semble qu'une employée des CPE qui gagnent 18.00$ l'heure, ca devient un bon salaire; plusieurs travaillent depuis de nombreuses années et ne reçoivent même pas ce salaire.
Publié : jeu. juin 09, 2005 3:25 pm
par °Cybelle°
au moins si elle ne gagne pas toutes 18$ parce qu'elles non pas 10 ans d'ancienneté...bien elles savent qu'il y a de l'avancement....c'Est pas comme d'attendre apres que le salaire minimum augmente....et s arracher la vie a essayer de vivre...
Publié : ven. juin 10, 2005 8:27 am
par pucinette
Je suis d'accord pour qu'elles se battent pour qu'elles puissent offrir de meilleurs services. Par contre,je trouve que le salaire est très bien et je ne crois pas que cette revendication est justifiable...
18 $ de l'heure...crime je vais avoir un bac et je ferai peut-être jamais ça de ma vie...
Les chargés de cours font a peu près 15 000 par année, et ils ont
la plupart du temps, des maitrises et des docs. Eux aussi ils font de l'éducation ! Alors que ces dames crachent sur 18 de l'heure alors qu'elles ont une technique,je trouve ça poche !
Publié : ven. juin 10, 2005 9:30 am
par JOSEESS
À mon CPE, les jours de grève tu ne paie pas.... tu n'a pas le service et tu ne paie pas. Je débourser déjà pour une gardienne lorsque le CPE est fermé donc, je n'ai pas à payer pour le CPE qui grève. Informez vous bien, vous NE DEVEZ PAS PAYER pour les jours de grève.
Publié : lun. juin 13, 2005 4:42 am
par ResPect
CPE affiliés à la CSN
La grève semble assurée
Presse Canadienne (PC) 13/06/2005 10h32
©LCN
À moins d'un revirement de dernière minute, les 7000 éducatrices affiliées à la CSN et qui oeuvrent dans 310 Centres de la petite enfance du Québec déclencheront une nouvelle grève dès mardi.
Cette fois, c'est un débrayage de 4 jours qui est prévu. Les parents de 25 000 enfants devront donc trouver une alternative, eux qui avaient dû faire de même la semaine dernière pendant trois jours.
Les pourparlers se poursuivent néanmoins, aujourd'hui, entre le syndicat et le gouvernement.
Le vice-président de la Fédération de la santé et des services sociaux de la CSN, Jeff Begley, assure qu'il fera tout en son pouvoir afin d'en arriver à une entente et ainsi éviter une seconde grève. Il a rappelé, toutefois, que les négociations demeurent laborieuses en ce qui a trait au dossier de l'équité salariale.
Publié : mer. juin 15, 2005 4:19 am
par tuberale
CENTRES DE LA PETITE ENFANCE
Les éducatrices envisagent la grève générale illimitée
Tommy Chouinard et Tristan Péloquin
La Presse
Une rencontre au sommet déterminante aura lieu aujourd'hui entre la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, et la ministre de la Famille, Carole Théberge, afin de sortir de l'impasse les négociations entre Québec et les 7800 éducatrices syndiquées, qui entament aujourd'hui le deuxième de quatre jours de grève dans 310 centres de la petite enfance (CPE).
En début de soirée hier, Carole Théberge a accepté l'invitation que lui a faite Claudette Carbonneau de reprendre le dialogue rompu lundi. La présidente de la CSN veut savoir si la ministre est prête à faire des compromis ou si elle maintient la ligne dure qui s'est traduite jusqu'à maintenant par une attitude intransigeante à la table de négociations.
La rencontre aura lieu à 17h30 et sera d'une importance capitale pour éviter une escalade des moyens de pression. Les 7800 éducatrices affiliées à la CSN envisagent en effet de déclencher une grève générale illimitée. Réunies en assemblée générale aujourd'hui à Montréal, elles se prononceront sur les actions à venir.
En entrevue téléphonique, hier, la présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, a confirmé que la grève générale illimitée représente une «piste stratégique» qui est présentement sur la table. «On va la traiter sérieusement», a-t-elle précisé, soulignant que le gouvernement Charest est lui-même responsable de la situation puisqu'il a ramené les négociations à la case départ lundi.
La rencontre avec Carole Théberge sera donc déterminante. «La seule chose qui peut éviter l'escalade, c'est une négociation fructueuse. Quand tu fermes cette porte-là, il ne reste pas autre chose que l'escalade», a prévenu Mme Carbonneau.
Mauvaise foi
Jusqu'à maintenant, Carole Théberge refusait d'entreprendre des pourparlers avec la CSN tant et aussi longtemps que l'ordre de grève ne sera pas levé. Elle a finalement changé d'avis. Claudette Carbonneau souhaitait également rencontrer la présidente du Conseil du Trésor, Monique Jérôme-Forget, mais celle-ci a décliné l'invitation, plaidant que sa collègue est la ministre responsable du dossier des services de garde.
Carole Théberge a cependant attisé la colère de la CSN hier en accusant la centrale syndicale et sa présidente de ne pas «négocier de bonne foi». «Je n'ai jamais vu un vis-à-vis se comporter de cette façon-là et avoir le culot d'invoquer la mauvaise foi de l'autre partie», a répondu Mme Carbonneau.
Mme Théberge estime à quelque 300 millions le fossé qui sépare l'offre gouvernementale des demandes syndicales, un écart que la présidente de la CSN évalue plutôt à 69 millions. Le litige porte d'abord sur l'équité salariale. Québec offre aux éducatrices de faire passer leur salaire de 18,36 $ à 19,55 $ l'heure au sommet de l'échelle, une augmentation de 1,19 $ (6,5 %). La CSN exige 21,58 $ l'heure (17,5 %). La date d'application d'un règlement sur l'équité salariale, l'harmonisation des avantages sociaux pour l'ensemble du réseau des CPE et la hausse des échelles salariales autre que celles liée à l'équité font aussi l'objet de différends.
En soirée, Mme Carbonneau a accusé la ministre de faire de la désinformation, soutenant notamment que cette dernière gonfle l'écart pécuniaire séparant les parties en laissant croire que les syndiquées exigent un règlement rétroactif au mois de novembre 2001.
En réalité, dit Mme Carbonneau, le syndicat souhaite ratifier une entente rétroactive à une période beaucoup plus récente, soit au mois de juin 2003.
850 emplois en jeu
C'est maintenant l'ensemble du réseau des services de garde qui est en pleine ébullition. L'Association québécoise des centres de la petite enfance (AQCPE) a soutenu, hier, en conférence de presse, qu'à moins d'un changement de dernière minute, l'adoption des crédits budgétaires par le gouvernement entraînera la suppression de 600 à 850 emplois dans le réseau.
«On a déjà vu le gouvernement québécois se démener plus que ça pour moins d'emplois, a déploré son directeur général, Jean Robitaille. C'est à se demander si le gouvernement Charest ne cherche pas à affaiblir les CPE en faveur des garderies privées.»
L'organisme, qui représente environ 700 des 1000 CPE du Québec, évalue à 104 millions les besoins de financement du réseau pour l'année à venir. Or la ministre de la Famille, Carole Théberge, n'accorde que 64 millions aux CPE pour 2005-2006, ce qui représente pour le réseau un manque à gagner de 40 millions.
«Au moins 60 % des CPE n'auront pas le choix de réduire leur personnel», prédit M. Robitaille.
L'AQCPE propose plutôt au gouvernement de maintenir le financement de 104 millions, en échange de quoi ses membres adopteront différentes mesures administratives- dont un programme d'économie d'électricité et la création d'une mutuelle pour gérer les cotisations à la CSST- qui pourraient permettre d'économiser 143 millions par année.
Publié : mer. juin 15, 2005 4:33 am
par bikeuse
Blanche Neige a écritLes éducatrices dans les garderie au N-B gagnent 8.40$/h et au Québec, ils braillent à 18$/h, Et ils me disent que ces leur passion, les enfants, mon oeil. La ptite Madame leur a lavé le cerveau, le cerveau d'un syndicat matérialiste et sans âme.
80% des travailleurs du Québec gagnent 15$/h et moins, eux font partis des 20% prévilègiés et ils braillent pareils.
Mon Dieu, donne leur la force et le courage d’avoir la vrai passion, celle des êtres humains et non pas celle de l'égoisme.
ces pauv'tites.....faut bien qu'elles soient bien payées pour contrer les séquelles laissées parcequ'elles se font appelle "des gardiennes" qqs fois
Publié : mer. juin 15, 2005 7:29 am
par Annouk
Je suis en train d'écouter à TVA l'émission avec François Paradis et je vais avouer que certains commentaires d'éducatrices en garderie m'ont fait littéralement lever de ma chaise.
Je suis assez d'accord avec le fait que c'est un travail exigeant, qu'elles font du bon boulot, qu'elles offrent un programme éducatif, qu'elles font du dépistage précoce etc et qu'elles refusent d'être appelées "gardiennes d'enfant"
Par contre, quand je les entend parler de la "p'tite madame à la maison" qui n'a pas les capacité et la compétence d'éduquer correctement les enfants tout en faisant son ménage, je m'excuse mais je pompe l'air...Il parait que les enfants ne sont pas prêt pour l'école sans avoir passer par la garderie.
J'ai pourtant élever mes deux enfants tout en gardant les deux de ma soeur et ce, même en faisant mon ménage...Ils sont tous les quatre très bien elevé et sont des premiers de classe. DEvrais-je m'en aller travailler en garderie, moi la "p'tite madame à la maison incompétente"????
Publié : mer. juin 15, 2005 10:40 am
par Amellia44
Je l'ai entendue aussi quand elle a dit les tites madame à la maison ...je pense pas que les enfants en garderie seront mieux que ceux qui n'y vont pas ! Et pour les 18hrs cé bien trop payer , je connais des infirmières en priver qui on juste 12.hrs on s'en va où!
Comme mari me dit là elle danse , que le gouvernement les laisse sécher en grève 2 mois , elle pleurerons ben ,pas de salaire cé povre Baby sitter !
Publié : mer. juin 15, 2005 10:49 am
par funny36
Annouk a écritJe suis en train d'écouter à TVA l'émission avec François Paradis et je vais avouer que certains commentaires d'éducatrices en garderie m'ont fait littéralement lever de ma chaise.
Je suis assez d'accord avec le fait que c'est un travail exigeant, qu'elles font du bon boulot, qu'elles offrent un programme éducatif, qu'elles font du dépistage précoce etc et qu'elles refusent d'être appelées "gardiennes d'enfant"
Par contre, quand je les entend parler de la "p'tite madame à la maison" qui n'a pas les capacité et la compétence d'éduquer correctement les enfants tout en faisant son ménage, je m'excuse mais je pompe l'air...Il parait que les enfants ne sont pas prêt pour l'école sans avoir passer par la garderie.
J'ai pourtant élever mes deux enfants tout en gardant les deux de ma soeur et ce, même en faisant mon ménage...Ils sont tous les quatre très bien elevé et sont des premiers de classe. DEvrais-je m'en aller travailler en garderie, moi la "p'tite madame à la maison incompétente"????
T'es pas la seule a avoir les cheveux dressés sur la tete la.......Non mais.....Pour qui elle se prennent Je les trouvais pas mal prétencieuses mais la,,,,,oufffff
Coudonc,j'ai élevé mes enfants a la maison,en faisant mon ménage moi aussi pis mes enfants n'étaient pas moins socialisés que les autres.
Bon m'a aller dépomper un peu.......
Publié : mer. juin 15, 2005 11:00 am
par Fourmi
Les éducatrices font un beau travail, j'en conviens. Pas évident de travailler avec des groupes d'enfants, je le sais puisque je l'ai fait pendant mes études, à temps aprtiel.
Elles sont aujourd,hui beaucoup mieux formées qu'elles ne l'étaient, quand je travaillais, la plupaurt n'avaient aucune étude dans le domaine. Aujourd'hui, certaines ont de stechniques collégiales, d'autres des attestations, et je pense que leur travail éducatif est meilleur qu'il ne l,était.
Cependant, elles ont aujourd,hui des conditions qui sont meilleures qu'elles ne l'étaient, depuis que le réseau des CPE a été créé et amélioré par le gouvernement. Elles sont aujourd'hui syndiquées, ont des avantages sociaux considérables, leurs conditions ne se comparent même pas avec celles en place il y a 10 ans.
Considérant tout cela, je pense qu'elles gagnent un salaire raisonnable si on tient compte des avantages dont elles bénéficient et des études nécessaires pôur faire ce qu'elles font. Elles gagnent moins qu'un prof, ce qui est normal, le prof ayant fait des études universitaires.
L'équité salariale a le dos très large! J'occuperai bientôt un poste qui était traditionnellement occupé par des hommes (à ses débuts), qui exige un baccalauréat, la clientèle est difficile, et mon salaire est à peu près le même que celui d'un enseignant (et je n,ai aps autant de vacances et de congés).
Alors quelqu'un peut m'expliquer sur quoi ce truc d'équité salariale est basé? Si mon salaire est le même qu'un prof et que mon emploi était pourtant traditionnement occupé par des hommes,e t que les exigences sont comparables... Pourquoi les profs (ou éducatrices) seraient-elles augmentées et pas moi?
Décidément, l'équité salariale a le dos bien large pour les syndicats qui la revendiquent...
Publié : mer. juin 15, 2005 1:42 pm
par Mimichouette
Je les écouter aussi l'émission ce midi. Mes j'ai pas compris comme vous le passage ou a disait les petites meudames à maison. J'ai compris qu'a parlait plus des persones qui gardent des enfants à la maison et non des parents qui restent a maison pour élever les enfants. En té cas je me suis pas sentis viser et j'ai élever mes enfants en restant a maison. Pis moi le prof Breton y me faisait facher. Tout ce qui trouvait à faire ces chialer contre les péquistes pis les syndicats au moins l'autre le responsable des garderies était intéressant. Je les trouver pas mal bon dans ses argument.