Publié : ven. avr. 01, 2005 5:10 am
Cyberpresse.ca
Le Québec en état de choc !
Jean Charest démissionne
de ses fonctions de Premier ministre !
C'est très tôt ce matin, à 6 heures, que la nouvelle est tombée. Jean Charest, Premier ministre du Québec et député de la circonscrïption de Sherbrooke, a annoncé sa démission devant quelques journalistes convoqués à la hâte. «En politique comme ailleurs, le succès est à ceux qui savent jouer, j'ai joué... mais comme je suis un éternel incompris, j'ai perdu. Je préfère donc me retirer.» C'est en ces termes que Jean Charest, le visage accablé et les yeux rougis, a annoncé son départ.
Pour le moment, on ne connaît pas vraiment les motifs de la démission surprise du Premier ministre, mais parions que la liste des dossiers mal gérés par son gouvernement libéral, depuis ces deux dernières années, n'y est probablement pas étrangère : le CHUM, la centrale du Suroît, les écoles juives, les défusions municipales, l'ambivalence entourant le déséquilibre fiscal, un déficit de 1,7 milliard $ en 2003-2004, l'ampleur de la grogne étudiante devant les coupes de 103 M$ dans les bourses et on en passe, sont probablement des éléments majeurs qui ont pu motiver sa décision.
Plus de détails à venir.
http://www.lecornichon.qc.ca/journal/journal.html
Il y a vraiment juste l'adresse dans le lien qui dit bien quel jour ns sommes
Le Québec en état de choc !
Jean Charest démissionne
de ses fonctions de Premier ministre !
C'est très tôt ce matin, à 6 heures, que la nouvelle est tombée. Jean Charest, Premier ministre du Québec et député de la circonscrïption de Sherbrooke, a annoncé sa démission devant quelques journalistes convoqués à la hâte. «En politique comme ailleurs, le succès est à ceux qui savent jouer, j'ai joué... mais comme je suis un éternel incompris, j'ai perdu. Je préfère donc me retirer.» C'est en ces termes que Jean Charest, le visage accablé et les yeux rougis, a annoncé son départ.
Pour le moment, on ne connaît pas vraiment les motifs de la démission surprise du Premier ministre, mais parions que la liste des dossiers mal gérés par son gouvernement libéral, depuis ces deux dernières années, n'y est probablement pas étrangère : le CHUM, la centrale du Suroît, les écoles juives, les défusions municipales, l'ambivalence entourant le déséquilibre fiscal, un déficit de 1,7 milliard $ en 2003-2004, l'ampleur de la grogne étudiante devant les coupes de 103 M$ dans les bourses et on en passe, sont probablement des éléments majeurs qui ont pu motiver sa décision.
Plus de détails à venir.
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