http://www.radio-canada.ca/url.asp?/spo ... redi.shtml
Jacques Villeneuve est en pourparlers avec l'écurie BAR
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Boule à mites
- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : sam. juin 19, 2004 12:00 am
Richards recommande Villeneuve chez BAR
Jacques Villeneuve pourrait revenir chez BAR.
Vendredi 13 août 2004 - (RDS) - Alors que plusieurs croyaient que les chances de revoir Jacques Villeneuve en Formule Un étaient pratiquement nulles, voilà que l'espoir renaît.
Notre correspondant, Christian Tortora, a appris que le pilote québécois serait en discussion avec David Richards et l'écurie B.A.R.
Avec le départ de Jenson Button chez Williams, une place s'est libérée chez B.A.R.
On se rappellera toutefois que le divorce entre Villeneuve et Richards avait fait beaucoup de vague.
Cependant, Richards aurait lui-même recommander l'embauche de Villeneuve auprès de la British American Tobacco en indiquant qu'il serait une excellente solution de rechange au départ de Jenson Button.
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J'ai comme l'impression que c'est Honda qui est derrière la recommendation de Richards
Jacques Villeneuve pourrait revenir chez BAR.
Vendredi 13 août 2004 - (RDS) - Alors que plusieurs croyaient que les chances de revoir Jacques Villeneuve en Formule Un étaient pratiquement nulles, voilà que l'espoir renaît.
Notre correspondant, Christian Tortora, a appris que le pilote québécois serait en discussion avec David Richards et l'écurie B.A.R.
Avec le départ de Jenson Button chez Williams, une place s'est libérée chez B.A.R.
On se rappellera toutefois que le divorce entre Villeneuve et Richards avait fait beaucoup de vague.
Cependant, Richards aurait lui-même recommander l'embauche de Villeneuve auprès de la British American Tobacco en indiquant qu'il serait une excellente solution de rechange au départ de Jenson Button.
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J'ai comme l'impression que c'est Honda qui est derrière la recommendation de Richards
C'est bobépine ou bépine SVP
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Voici un extrait du forum du site de Jacques Villeneuve
Citation :... pour le moment c'est probablement beaucoup de bruit pour pas grand chose. En même temps que Richards raconte aux journalistes canadiens que Villeneuve pourrait revenir chez BAR il raconte probablement aux journalistes britanniques qu'il est intéressé à Coulthard ou à Davidson et aux journalistes allemands qu'il pourrait peut-être engager Heidfeld. Il y a même des sites brésiliens et italiens qui disent que Richards es intéressé à Barrichello alors... ne paniquons pas mon cher Torto. Richards est un grand manipulateur. En ce moment il prépare le terrain pour sa négociation avec son prochain pilote et il veut l'avoir pour une bouchée de pain.
Citation :... pour le moment c'est probablement beaucoup de bruit pour pas grand chose. En même temps que Richards raconte aux journalistes canadiens que Villeneuve pourrait revenir chez BAR il raconte probablement aux journalistes britanniques qu'il est intéressé à Coulthard ou à Davidson et aux journalistes allemands qu'il pourrait peut-être engager Heidfeld. Il y a même des sites brésiliens et italiens qui disent que Richards es intéressé à Barrichello alors... ne paniquons pas mon cher Torto. Richards est un grand manipulateur. En ce moment il prépare le terrain pour sa négociation avec son prochain pilote et il veut l'avoir pour une bouchée de pain.
Comment se fait-il que Richards ait échappé Panis, Button et Villeneuve et qu'il soit toujours en poste? La perte de Button devrait être perçue comme un manque flagrant de sa part et il continue son travail. Moi, ce gars-là, ne m'inspire pas trop confiance.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Citation :Les dessous du possible retour de Villeneuve chez BAR
Poussé vers la sortie du box BAR Honda à la veille du Grand-Prix du Japon 2003, Jacques Villeneuve pourrait réintégrer l’écurie de Brackley par la grande porte. Impensable il y a encore deux semaines, la théorie est pourtant fondée sur une certaine logique.
David Richards a vu sa position fragilisée par la perte de Jenson Button, dont il doit endosser l’entière responsabilité. En tant que patron de l’écurie, il appartenait à Richards de se prémunir d’un tel coup de Trafalgar, qui a fait grand bruit dans l’enceinte des quartiers généraux de Bristish American Tobacco, actionnaire majoritaire et sponsor titre de l’écurie depuis sa création, sur les cendres de feue l’écurie Tyrrell, à la fin des années 90.
BAT était le dernier rempart contre l’éviction de Jacques Villeneuve l’année dernière. Sous la pression de Honda et de David Richards, patron de l’écurie qui réclamait carte blanche pour diriger l’équipe – afin d’éviter toute mésaventure du même tonneau que celle qui l’avait vu claquer la porte de Benetton quelques années plus tôt – Takuma Sato avait remplacé le champion du monde 1997 au sein de BAR Honda dès le Grand-Prix du Japon 2003. Résultats à l’appui, la cote de Richards grimpait en flèche depuis le début de la présente saison, jusqu’à l’annonce du retour de Jenson Button au bercail Williams. Formidable gestionnaire et organisateur, au contraire de son prédécesseur Craig Pollock, Richards surfait sur la vague du succès, mais a démontré ses limites dans le dossier BAR Honda contre Button.
Patron de Prodrive, structure impliquée en Rallye avec la marque Subaru, mais également présent dans le pendant de la FIA à la tête du championnat du monde des Rallyes, David Richards abat un travail considérable qui l’a amené à se disperser. Une faille pouvait se glisser dans son travail multi-tâches, dans laquelle Button et ses avocats se sont engouffrés. Une faille qu’un Briatore n’aurait jamais laissé se former.
Avec le recul, BAT a pris conscience que les bases de l’écurie BAR Honda doivent en partie leur solidité à Craig Pollock, ancien directeur de l’écurie, et toujours actionnaire minoritaire. Le manager de Villeneuve a tout d’abord monté le projet de toutes pièces, et s’il n’a pas su donner la rigueur nécessaire à une écurie qui avait pour ambition de viser le titre, la formation de Brackley lui doit certains atouts majeurs dont elle dispose aujourd’hui : Pollock a su convaincre Honda de renouveler son contrat au détriment de Jordan et a doté l’écurie d’un directeur technique hors pair en la personne de Geoff Willis.
Jacques Villeneuve est un produit marketing intéressant pour BAT, qui pourrait se servir de l’erreur de Richards pour lui forcer la main. N’ayant pas sa langue dans sa poche et n’hésitant pas à faire vaciller certains dogmes, le Québécois colle bien à l’image du numéro 2 mondial du marché du tabac.
De son côté, Villeneuve n’a pas abandonné l’espoir de piloter en F1 et se prépare tant physiquement que mentalement à un retour dans la discipline reine du sport automobile. Revenir chez BAR Honda par la grande porte serait une douce vengeance pour Jacques, qui a intelligemment déclaré au journal The Sun que ses querelles avec Richards appartenaient au passé. La balle est désormais dans le camp de Richards…
« David Richards et moi-même avons eu des différends mais je pense que l’on peut mette cela de côté. Je suis sûr que nous pouvons régler un certain passif et travailler ensemble pour faire progresser l’écurie, car BAR joue désormais les premiers rôles » a déclaré le champion du monde 1997.
« J’ai parlé à David ; il serait bien que nous puissions régler certaines choses mais il faut attendre de voir ce qui se passera avec Jenson. Je veux revenir en F1 et me battre aux avant-postes. Je m’entraîne depuis l’hiver dernier et je suis affamé. Il y avait des problèmes d’ordre politique à la fin de l’année dernière, doublés de maigres résultats en course, mais les problèmes que j’ai eus avec David appartiennent au passé. »
De son côté, David Richards n’a pas nié avoir eu un contact avec Villeneuve : « Il m’a appelé et nous avons discuté de certaines choses, tout comme nous le faisons avec beaucoup d’autres personnes. Il nous faut cependant d’abord résoudre la situation actuelle. »
Source: gp2005
Poussé vers la sortie du box BAR Honda à la veille du Grand-Prix du Japon 2003, Jacques Villeneuve pourrait réintégrer l’écurie de Brackley par la grande porte. Impensable il y a encore deux semaines, la théorie est pourtant fondée sur une certaine logique.
David Richards a vu sa position fragilisée par la perte de Jenson Button, dont il doit endosser l’entière responsabilité. En tant que patron de l’écurie, il appartenait à Richards de se prémunir d’un tel coup de Trafalgar, qui a fait grand bruit dans l’enceinte des quartiers généraux de Bristish American Tobacco, actionnaire majoritaire et sponsor titre de l’écurie depuis sa création, sur les cendres de feue l’écurie Tyrrell, à la fin des années 90.
BAT était le dernier rempart contre l’éviction de Jacques Villeneuve l’année dernière. Sous la pression de Honda et de David Richards, patron de l’écurie qui réclamait carte blanche pour diriger l’équipe – afin d’éviter toute mésaventure du même tonneau que celle qui l’avait vu claquer la porte de Benetton quelques années plus tôt – Takuma Sato avait remplacé le champion du monde 1997 au sein de BAR Honda dès le Grand-Prix du Japon 2003. Résultats à l’appui, la cote de Richards grimpait en flèche depuis le début de la présente saison, jusqu’à l’annonce du retour de Jenson Button au bercail Williams. Formidable gestionnaire et organisateur, au contraire de son prédécesseur Craig Pollock, Richards surfait sur la vague du succès, mais a démontré ses limites dans le dossier BAR Honda contre Button.
Patron de Prodrive, structure impliquée en Rallye avec la marque Subaru, mais également présent dans le pendant de la FIA à la tête du championnat du monde des Rallyes, David Richards abat un travail considérable qui l’a amené à se disperser. Une faille pouvait se glisser dans son travail multi-tâches, dans laquelle Button et ses avocats se sont engouffrés. Une faille qu’un Briatore n’aurait jamais laissé se former.
Avec le recul, BAT a pris conscience que les bases de l’écurie BAR Honda doivent en partie leur solidité à Craig Pollock, ancien directeur de l’écurie, et toujours actionnaire minoritaire. Le manager de Villeneuve a tout d’abord monté le projet de toutes pièces, et s’il n’a pas su donner la rigueur nécessaire à une écurie qui avait pour ambition de viser le titre, la formation de Brackley lui doit certains atouts majeurs dont elle dispose aujourd’hui : Pollock a su convaincre Honda de renouveler son contrat au détriment de Jordan et a doté l’écurie d’un directeur technique hors pair en la personne de Geoff Willis.
Jacques Villeneuve est un produit marketing intéressant pour BAT, qui pourrait se servir de l’erreur de Richards pour lui forcer la main. N’ayant pas sa langue dans sa poche et n’hésitant pas à faire vaciller certains dogmes, le Québécois colle bien à l’image du numéro 2 mondial du marché du tabac.
De son côté, Villeneuve n’a pas abandonné l’espoir de piloter en F1 et se prépare tant physiquement que mentalement à un retour dans la discipline reine du sport automobile. Revenir chez BAR Honda par la grande porte serait une douce vengeance pour Jacques, qui a intelligemment déclaré au journal The Sun que ses querelles avec Richards appartenaient au passé. La balle est désormais dans le camp de Richards…
« David Richards et moi-même avons eu des différends mais je pense que l’on peut mette cela de côté. Je suis sûr que nous pouvons régler un certain passif et travailler ensemble pour faire progresser l’écurie, car BAR joue désormais les premiers rôles » a déclaré le champion du monde 1997.
« J’ai parlé à David ; il serait bien que nous puissions régler certaines choses mais il faut attendre de voir ce qui se passera avec Jenson. Je veux revenir en F1 et me battre aux avant-postes. Je m’entraîne depuis l’hiver dernier et je suis affamé. Il y avait des problèmes d’ordre politique à la fin de l’année dernière, doublés de maigres résultats en course, mais les problèmes que j’ai eus avec David appartiennent au passé. »
De son côté, David Richards n’a pas nié avoir eu un contact avec Villeneuve : « Il m’a appelé et nous avons discuté de certaines choses, tout comme nous le faisons avec beaucoup d’autres personnes. Il nous faut cependant d’abord résoudre la situation actuelle. »
Source: gp2005