Publié : lun. juil. 26, 2004 5:26 am
Réclamant le droit à l'éducation en français
Une femme poursuit l'I.-P.-E.
Presse Canadienne
Souris, I.-P.-E.
Une résidante de l'Ile-du-Prince-Edouard qui revendique le droit de sa fille d'obtenir une éducation en français poursuit le gouvernement de cette province.
Selon Susanne Buckland, de Souris, l'éducation en français est un droit.
La province avait dit aux parents de l'est de l'île qu'ils auraient une école de langue française pour les écoliers de la première à la neuvième année cet automne.
Mais le budget provincial du printemps a amputé les fonds prévus pour ce projet. La commission scolaire francophone, qui agit en tant que codemandeur dans la poursuite de Mme Buckland, affirme qu'elle aura suffisamment d'argent pour offrir une instruction en français aux écoliers de la première à la sixième année, cet automne. Les étudiants plus âgés, comme la fille de Mme Buckland, Rayeanne, devront fréquenter des écoles anglophones ou effectuer le trajet jusqu'à Charlottetown.
Mme Buckland et la commission scolaire souhaitent que les tribunaux obligent la province à assumer les coûts supplémentaires de cours en français à l'intention des enfants des groupes scolaires plus âgés, comme l'embauche d'un professeur additionnel.
La province a refusé de commenter la poursuite parce que celle-ci est actuellement devant les tribunaux.
Une femme poursuit l'I.-P.-E.
Presse Canadienne
Souris, I.-P.-E.
Une résidante de l'Ile-du-Prince-Edouard qui revendique le droit de sa fille d'obtenir une éducation en français poursuit le gouvernement de cette province.
Selon Susanne Buckland, de Souris, l'éducation en français est un droit.
La province avait dit aux parents de l'est de l'île qu'ils auraient une école de langue française pour les écoliers de la première à la neuvième année cet automne.
Mais le budget provincial du printemps a amputé les fonds prévus pour ce projet. La commission scolaire francophone, qui agit en tant que codemandeur dans la poursuite de Mme Buckland, affirme qu'elle aura suffisamment d'argent pour offrir une instruction en français aux écoliers de la première à la sixième année, cet automne. Les étudiants plus âgés, comme la fille de Mme Buckland, Rayeanne, devront fréquenter des écoles anglophones ou effectuer le trajet jusqu'à Charlottetown.
Mme Buckland et la commission scolaire souhaitent que les tribunaux obligent la province à assumer les coûts supplémentaires de cours en français à l'intention des enfants des groupes scolaires plus âgés, comme l'embauche d'un professeur additionnel.
La province a refusé de commenter la poursuite parce que celle-ci est actuellement devant les tribunaux.