Publié : lun. juil. 12, 2004 7:35 pm
Proposition présentée à la Cour[/size]
Éric Lucas souhaite acheter InterBox
Presse Canadienne
Montréal
Encore indécis quant à son propre avenir dans le ring, Éric Lucas a décidé de se porter au secours de la compagnie qui lui a permis de devenir champion du monde.
Lucas a annoncé, lundi, qu'il avait déposé une offre en vue du rachat du groupe InterBox, le plus important promoteur de boxe au Canada, qui s'est placé sous la protection de la loi sur les faillites et l'insolvabilité, le 15 mars dernier. «Il y a un an, si on m'avait dit que je serais impliqué dans l'achat d'InterBox, j'aurais répondu qu'il vaudrait mieux mettre son argent sur le Lightning de Tampa Bay pour remporter la Coupe Stanley, a-t-il imagé.
«J'ai souvent dit qu'après ma carrière de boxeur, je voudrais changer de décor. Mais c'est un beau défi à relever», a poursuivi Lucas, qui est déjà initié aux affaires puisqu'il possède deux restaurants en Estrie. L'offre de Lucas a permis au propriétaire actuel d'InterBox, Hans-Karl Muehlegg, de présenter une proposition de règlement plus attrayante aux créanciers de l'entreprise, dont Lucas fait d'ailleurs partie puisque la compagnie lui devait encore 100 000 $ à la suite de son dernier combat contre Danny Green en décembre.
Éric Lucas souhaite acheter InterBox
Presse Canadienne
Montréal
Encore indécis quant à son propre avenir dans le ring, Éric Lucas a décidé de se porter au secours de la compagnie qui lui a permis de devenir champion du monde.
Lucas a annoncé, lundi, qu'il avait déposé une offre en vue du rachat du groupe InterBox, le plus important promoteur de boxe au Canada, qui s'est placé sous la protection de la loi sur les faillites et l'insolvabilité, le 15 mars dernier. «Il y a un an, si on m'avait dit que je serais impliqué dans l'achat d'InterBox, j'aurais répondu qu'il vaudrait mieux mettre son argent sur le Lightning de Tampa Bay pour remporter la Coupe Stanley, a-t-il imagé.
«J'ai souvent dit qu'après ma carrière de boxeur, je voudrais changer de décor. Mais c'est un beau défi à relever», a poursuivi Lucas, qui est déjà initié aux affaires puisqu'il possède deux restaurants en Estrie. L'offre de Lucas a permis au propriétaire actuel d'InterBox, Hans-Karl Muehlegg, de présenter une proposition de règlement plus attrayante aux créanciers de l'entreprise, dont Lucas fait d'ailleurs partie puisque la compagnie lui devait encore 100 000 $ à la suite de son dernier combat contre Danny Green en décembre.