Publié : dim. janv. 25, 2004 4:45 pm
Le premier ministre Paul Martin se dit très préoccupé par la perquisition qu'a effectuée la Gendarmerie royale du Canada dans un bureau du Ottawa Citizen et au domicile de l'une de ses journalistes, Juliet O'Neill.
Les policiers étaient à la recherche de documents portant sur des fuites présumées dans le dossier de Maher Arar.
Le rédacteur en chef du Ottawa Citizen estime qu'il s'agit d'une entrave à la liberté de la presse. Il craint que la journaliste ne fasse l'objet d'accusations.
En marge du Forum économique mondial de Davos, le premier ministre Martin a reconnu que Juliet O'Neill ne pouvait pas être traitée comme une criminelle. Il a déclaré que l'important est de trouver qui a transmis l'information, et non de faire enquête sur la journaliste elle-même.
Les policiers étaient à la recherche de documents portant sur des fuites présumées dans le dossier de Maher Arar.
Le rédacteur en chef du Ottawa Citizen estime qu'il s'agit d'une entrave à la liberté de la presse. Il craint que la journaliste ne fasse l'objet d'accusations.
En marge du Forum économique mondial de Davos, le premier ministre Martin a reconnu que Juliet O'Neill ne pouvait pas être traitée comme une criminelle. Il a déclaré que l'important est de trouver qui a transmis l'information, et non de faire enquête sur la journaliste elle-même.