Page 1 sur 1

Publié : jeu. janv. 25, 2007 11:08 am
par Melsy4
Y'a beaucoup de cinéphile ici alors je me demandais si qqn avait été le voir, ou projetait le voir.

A voir la bande annonce, ça l'air super intéressant, mais après avoir lu les critiques et bien...

Non pas qu'elle ne soit pas bonne, mais c'est d'une extrême violence et très terrifiant. Et mon chum veut aller voir ça demain  

Je vous reviendrai avec mes impressions, si je suis capable de dormir...

Publié : jeu. janv. 25, 2007 2:02 pm
par critonic
j'ai vu l'extrait, et ca ma lair vraiment bon
jaimerais bien aller le voir! j'attends tes commentaires

Publié : jeu. janv. 25, 2007 3:24 pm
par orve
Il sort demain en version française et j'essaye de le voir en fin semaine alors dès que je peux je vous en donnes des nouvelles.

Publié : jeu. janv. 25, 2007 4:47 pm
par Sebangecornu
il est pas à l'affiche partout...

Publié : jeu. janv. 25, 2007 6:14 pm
par lupin_le_vorace


J'ai été le voir ce soir et j'ai tout simplement adoré!! Ça fait du bien de voir un film fantastique qui nous fait aller les neurones...

Prendre note que contrairement à ce que l'affiche pour nous porter à croire ce n'est pas du tout pour les enfants. Même que certains passages sont assez violents!

Publié : jeu. janv. 25, 2007 6:29 pm
par Yautja88
Pan's Labyrinth (Laberinto del Fauno, El) | 5 étoiles
(vf:Labyrinthe de Pan, Le)

Un conte sombre et bouleversant où le pouvoir de l’imaginaire côtoie la cruauté des hommes
Par Marc Gadoury [AgenceNews]
--------------------------------------------------------------------------------
Avec «Le labyrinthe de Pan», le talentueux réalisateur mexicain Guillermo Del Toro («Hellboy», «Blade II», «Cronos») livre son film le plus ambitieux et le plus achevé à ce jour. Pour ceux qui connaissent l’oeuvre de Guillermo Del Toro, «Le labyrinthe de Pan» évoque immédiatement un de ses précédents films : «L’échine du diable». Dans les deux long-métrages, on retrouve un enfant qui se détourne du monde réel pour s’enfoncer dans un autre monde, celui-là fantastique. Dans «L’échine du diable», c’est le fantôme d’un enfant qui capte l’intérêt du personnage principal. Del Toro utilise la même superposition du réel et du fantastique dans un contexte presque similaire : la Guerre d’Espagne dans le premier film et la dictature franquiste aux lendemains de la Guerre d’Espagne dans «Le labyrinthe de Pan». Mais là s’arrête les comparaisons !

«Le labyrinthe de Pan» s’ouvre sur les prémisses d’un conte de fées, celui d’une princesse qui décida de quitter son royaume souterrain où tout était paix et douceur pour goûter la vie des hommes. Elle devînt humaine, oublia qu’il était, connue le froid et la faim avant de mourir. Toutefois, il est dit qu’elle reviendra un jour dans son royaume. Puis, le film de Del Toro nous plonge en Espagne, en 1944, alors que le pays est sous la gouverne de la dictature franquiste. La jeune Ofélia et sa mère, qui est enceinte, vont s’installer chez le capitaine Vidal, le nouvel époux de sa maman. Ce dernier, un véritable fasciste à la tête d’une armée d’hommes, livre une lutte aux rebelles de la région. À l’arrière de la résidence de Vidal se trouve un labyrinthe qui date des temps anciens. Guidée par une fée, Ofélia explorera ce labyrinthe qui lui fera rencontrer Pan, un faune qui est le gardien des lieux. Celui-ci lui apprendra qu’elle est la princesse disparue du monde souterrain mais pour en être certain, elle devra accomplir trois épreuves auxquelles rien ne la prépare.

Del Toro pousse encore plus loin cette superposition menant sur deux fronts et avec habileté des trames qui finiront par être complémentaires. Le volet se déroulant dans le réel est tout aussi prenant que le volet se déroulant dans le monde imaginaire d’Ofélia. Question de déstabiliser le spectateur, Del Toro fait côtoyer des scènes d’une extrême violence à d’autres scènes absolument féériques. En cours de route, le réalisateur multiplie les références symboliques sur la mort, la perte de l’innocence, les peurs enfantines laissant au spectateur assez de jus pour disséquer son film pendant de nombreuses heures.

L’acteur Sergi López, capitaine de l’armée franquiste, joue avec une froide conviction son personnage, un être cruel et impitoyable incarnant à lui seul l’horreur démesurée qui peut habiter les hommes. De son côté, la jeune Ivana Baquero incarne à merveille cette petite fille de onze ans à la fois consciente des horreurs qui l’entourent mais aussi subjuguée par le monde imaginaire qui s’ouvre à elle. Plusieurs interprètes ajoutent une touche vitale au film dont l’actrice Maribel Verdú qui incarne Mercedes, une domestique travaillant pour le capitaine Vidal qui entretient des liens étroits avec les maquisards. Cette dernière, qui finira par prendre sous son aile Ofélia, représente en quelque sorte l’adulte pragmatique qui ne rêve plus.

Un autre aspect à souligner c’est le soin particulier apporté à l’esthétique du film tant aux décors qui sont grandioses qu’aux maquillages saisissants des créatures du monde imaginaire en passant par le faune Pan à l’homme pâle, un ogre sans yeux, à la peau flasque, qui rappelle le Saturne de Goya. Les artisans ont fait preuve d’une originalité visuelle inspirée.

«Le labyrinthe de Pan» est un chef d’oeuvre qui mérite d’être vu et revu. Del Toro a réussi le tour de force de créer un conte pour adultes intelligent, étoffé et surtout significatif. «Le labyrinthe de Pan» est un long-métrage qui laissera un souvenir impérissable à ceux qui oseront embarquer dans ce conte sombre et bouleversant où le pouvoir de l’imaginaire côtoie la cruauté des hommes. --Message edité par Yautja88 le 2007-01-25 23:30:03--

Publié : jeu. janv. 25, 2007 6:38 pm
par Niko Bellic
Je crois que je vais aller le voir demain  

Publié : jeu. janv. 25, 2007 7:11 pm
par Melsy4
Merci pour vos commentaires mais j'Avais même pas remarqué qu'il sortait juste ce week-end..

Bref, je m'en vais sûrement le voir demain...

Publié : jeu. janv. 25, 2007 7:16 pm
par Patate13
Je l'ai vu. C'était bien. Mais je n'ai pas trippé. Mais bon, c'est habituellement ce qui se passe quand je lis des critiques qui donne 5 étoiles. Je suis la plupart du temps déçue parce que je m'attends à trop.


Publié : jeu. janv. 25, 2007 8:09 pm
par Yautja88
Pan's Labyrinth
Reviewed by: Edward Douglas (www.comingsoon.net)
Rating: 8.5 out of 10


Cast:
Ivana Baquero as Ofelia
Ariadna Gil as Carmen
Sergi López as Capitán Vidal
Maribel Verdú as Mercedes
Doug Jones as Pan/Pale Man
Álex Angulo as Dr. Ferreiro
Manolo Solo as Garcés
César Vea as Serrano
Roger Casamajor as Pedro
Ivan Massagué as El Tarta
Gonzalo Uriarte as Francés
Eusebio Lázaro as Padre (Father)
Francisco Vidal as Cura (Priest)

Directed by Guillermo del Toro

Summary:
Guillermo del Toro pulls a gorgeous dark fantasy tale out of his bag of tricks, showing his incredible flair as a filmmaker and a storyteller, even if it doesn't seem nearly as groundbreaking as its precursor, "The Devil's Backbone."

Story:
In 1944, a young girl named Ofelia (Ivana Baquero) arrives with her pregnant mother (Ariadna Gil) to the palatial Spanish villa of her future husband, a military captain (Sergi López) fighting resistance forces hiding in the hills at the end of the Civil War. An avid fan of fairy tales, Ofelia discovers a secret maze on the grounds where she meets a Faun (Doug Jones) who claims that Ofelia is a princess who will regain her rightful place on the throne if she can complete three seemingly impossible tasks.

Analysis:
You have to admire Guillermo del Toro's unique vision and his ability to take that vision to places no one could possibly imagine. "Pan's Labyrinth" is del Toro's second film set during Civil War era Spain, and it's similar to "The Devil's Backbone" in that it superimposes supernatural fantasy over the horrors of wartime, this time in the form of a fairy tale.

Once again, the story's main character is a child, a young girl named Ofelia, played by del Toro's talented young discovery Ivana Baquero. Like the best screen heroines, Bauero's able to keep the viewer's attention as she traverses between the real world and more fantastical situations. Ofelia's vivid imagination takes her to an abandoned maze, where she encounters a large Faun. Rather than being the cute, friendly woodland creature we're used to seeing in fairy tales, this is a dirty, intimidating beast whose motives for assigning Ofelia with three dangerous tasks seems questionable. The first of these tasks involves a key protected by a large ugly toad living under a tree, while the second has her retrieving an object from the lair of an eyeless creature with a taste for children.

The Faun's intentions are relatively innocent compared to Capitan Videl, Ofelia's future step-father, a sadistic and cruel man who will do whatever it takes to squash the resistance, often shooting or striking first and asking questions later. This impulsive behavior will get him into trouble later, but he's a shrewd military man able to get anything he wants and getting many chances to explore his proclivity for torture. As Ofelia tries to fulfill her three tasks to escape this situation, her pregnant mother starts to get sick while the resistance plots an attack on the military encampment using information from an inside source at the villa.

Fairies, fauns and giant frogs aside, "Pan's Labyrinth" is not the kind of fantasy tale you can sit and watch with the kids. It's extremely dark and the violence is so brutal that it's sometimes hard to watch. The influence of Terry Gilliam, particularly films like "The Fisher King" and "Baron Munchausen," are fairly evident in the way Ofelia's fantasy world—that is, assuming it is fantasy—is just as dark and scary as the real world around her. The juxtaposition of reality and fantasy is amazing, even if the jumps between the different worlds is sometimes jarring. That being said, every frame of this film is gorgeous due to the perfect camerawork by del Toro's regular cinematographer Guillermo Navarro and the production design, which uses a limited color palette to give the real world a colorless grey look compared to the colorful fantasy sequences. Javier Navarette provides an equally gorgeous score to embellish the epic nature of the film.

The melding of CG with on-set creations is impressive, particularly the sprites that accompany Ofelia on her missions, but it's even more amazing when the two are mixed, as is the case with the dual-performance by Doug Jones (Abe Sapien in "Hellboy") as the two main creatures, the Faun and the child-eating Pale Man encountered by Ofelia. In most cases, these would have been done using solely CG, but Jones gives the creatures an even more other-worldly quality with his graceful movements.

The cast of mostly unknown Spanish actors brings another layer of realism to "Pan's Labyrinth," fleshing out del Toro's characters with strong performances, not just from relative newcomer Ivana Baquero, but also from Maribel Verdú as the villa's housekeeper Mercedes, who plays a key role in the story's resolution. The real standout is Sergi López, who brings such a joyful malice to the primary baddie, especially in the last half hour when his troops clash with the resistance where we get to see how truly evil and sadistic he is. Not that we needed much more proof by then, but the way he goes about torturing his captives puts the Captain up among the higher ranks of great movie villains.

Although the story is delivered in a fairly straightforward manner, there's plenty of room for del Toro to add subtler nuances to add to the film's rich textures. In one scene, a group of soldiers on horseback are attacked, and as the main action continues in the foreground, one of the horses casually saunters off in the background, one of those happy accidents that would usually end up on the cutting room floor, but del Toro is clever enough to know that it makes the scene more perfect by leaving it in.

Otherwise, the only other issue is the ending, which is very much left up to the viewer's interpretation, where the overwhelming grim nature of the film could have used something a bit more positive and clear-cut.

Bottom Line:
"Pan's Labyrinth" is easily one of the most gorgeous films this year, not only in the astounding visuals but also in del Toro's unique brand of storytelling. It's a shame that the dark and violent nature of the story sometimes takes away from the sense of wonder del Toro tries to instill in every scene. --Message edité par Yautja88 le 2007-01-26 01:09:52--

Publié : jeu. janv. 25, 2007 8:36 pm
par sleepy-girl
j'adore ce genre de film

Publié : ven. janv. 26, 2007 2:31 pm
par Niko Bellic
J'ai été le voir et j'ai beaucoup aimé.J'ose pas dire grand chose sur le film pour ne pas vendre la mèche mais si vous aimez les films originals imaginatifs,vous allez aimer  

Publié : lun. janv. 29, 2007 2:09 pm
par Melsy4
Finalement, je suis aller le voir samedi et j'ai adorer.
Mon chum lui a trouvé ça moyen car il s'attendait a plus de fantastique que le film en montre.
Bref, c'est un film violent tout de même... mais qui fait changement des films américains..
Triste, sanglant, réaliste, touchant... bref.. j'ai adoré  

Publié : lun. janv. 29, 2007 6:06 pm
par Ti-radis
miki  a écritJ'ai été le voir et j'ai beaucoup aimé.J'ose pas dire grand chose sur le film pour ne pas vendre la mèche mais si vous aimez les films originals imaginatifs,vous allez aimer    donc c,est pour moi

Ma soeur l'a vu, elle a dit que ça fesse, mais que c'est prenant et que ça ne laisse pas indifférent

Publié : mar. janv. 30, 2007 1:04 am
par sleepy-girl
ah ouin,c'est très violent

Publié : mer. janv. 31, 2007 2:14 pm
par mariepoupoule
moi men fou si c'est violent jveux tellement le voir  

Publié : mer. janv. 31, 2007 2:19 pm
par Niko Bellic
mariepoupoule  a écritmoi men fou si c'est violent jveux tellement le voir    Vas le voir avec Steven,il adore mon avatar avec le monstre dans le film

Publié : dim. févr. 18, 2007 5:45 am
par trinitycb
Je savais que j'avais vu un topic sur ce film qqpart!
Je suis allée voir le film hier et j'ai été agréablement surprise...je m'attendais à ce que ça soit beaucoup plus fantastique (j'aurais dû lire le topic avant d'y aller! )
Par contre, j'ai beaucoup aimé...ça fait réfléchir sur la cruauté en tk...

Publié : ven. févr. 23, 2007 11:27 am
par Steven
jai ete voir le film avec mariepoupoule hier  jai bien aimer sauf qu'on vois pas assez la tite fille je trouve.

Sur un site sa disais que c'etais horreur mais c pas vraiment horreur violent mais pas horreur.
je donne au film 8/10 --Message edité par steven le 2007-02-23 16:28:33--