Publié : mar. oct. 31, 2006 5:04 pm
Le mardi 31 octobre 2006
Photo AP
TVA adaptera Deal or No Deal
Hugo Dumas
La Presse
Radio-Canada était intéressée par le concept, mais c'est finalement TVA qui mis le grappin sur le populaire jeu Deal or No Deal. Au retour des Fêtes, une version québécoise identique à celle des Américains prendra l'antenne chez nous, deux soirs par semaine.
TVA a beaucoup de cases horaires qui se libèrent à 19 h, en semaine, avec l'arrêt d'Occupation double et de La fièvre du mardi soir. Le réseau y déposera-t-il son nouveau jeu télévisé? À suivre, car TVA n'a pas confirmé d'heure ni de date de diffusion hier. Le réseau n'a pas non plus indiqué si l'émission passerait en tranches de 30 ou 60 minutes.
À l'animation, rien n'a encore été fixé, mais le nom de Benoît Gagnon circule. Ce dernier n'a pas rappelé La Presse hier. C'est un Torontois, Howie Mandel, qui est à la barre du Deal or No Deal américain.
La recherche d'un nom français pour le jeu a aussi été amorcée. En France, Deal or No Deal, animé par Arthur, joue sur TF1 sous l'appellation À prendre ou à laisser. TVA ne récupérera pas ce titre et a proposé Un deal ou pas, qui n'a pas été retenu.
Dans Deal or No Deal, le participant doit d'abord choisir un attaché-case parmi les 26 que lui présentent 26 jolies jeunes femmes (TVA conservera les jolies jeunes femmes dans la version québécoise). Aux États-Unis, ces mallettes argentées renferment des sommes variant de 1 cent à un million. TVA n'égalera pas le million, mais sa valise la plus payante pourrait renfermer jusqu'à 250 000 $.
Une fois le premier attaché-case sélectionné, le participant le garde à ses côtés, mais ne l'ouvre pas. Il ne connaît donc pas sa «valeur». Épaulé par des amis et des membres de sa famille, le concurrent éliminera ensuite les mallettes restantes, en espérant ne jamais tomber sur les gros montants. Au fur et à mesure que le jeu avance, un mystérieux banquier - que l'on ne voit jamais - appelle sur le plateau et offre d'acheter l'attaché-case du participant. S'il accepte l'offre du banquier, il dira «deal». S'il refuse, c'est un «no deal». D'où le titre de l'émission.
Le succès de ce jeu, très minimaliste, repose en grande partie sur le choix des candidats, qui doivent être expressifs, allumés et enjoués. Sinon, ça ne lève pas. En juin dernier, Céline Dion avait participé à une édition spéciale de Deal or No Deal sur les ondes de NBC. C'est une des émissions préférées de son fils, René-Charles.
TVA enregistrera l'émission dans l'ancien loft de Josélito Michaud. Comme Loft Story et Star Académie, les droits de Deal or No Deal appartiennent au géant Endemol. TVA a bouclé une entente avec le groupe la semaine dernière. Deal or No Deal est diffusé dans une quarantaine de pays dans le monde.
La voix du Maître est celle de...
Vous êtes nombreux à spéculer sur l'identité de la personne qui prête sa voix au Maître du jeu à Loft Story. Non, ce n'est pas Alain Dumas ni Marc Boilard. En fait, il ne s'agit pas d'une vedette ou de quelqu'un de connu. Si vous ne souhaitez pas connaître ce secret, arrêtez de lire ce paragraphe et sautez au suivant. Donc, la voix mystérieuse du Maître appartient à... Dominique Jacques, le réalisateur-coordonnateur de Loft Story. Il a aussi fait S.O.S Beauté avec Chantal Lacroix. TQS n'a ni infirmé ni confirmé notre information hier, voulant laisser planer le mystère plus longtemps.
Martin Robert avec Dutrizac
À partir de lundi, Benoît Dutrizac aura de la compagnie à 22h: le journaliste Martin Robert, qui a été rappelé du week-end, où il lisait les nouvelles en fin de soirée. En ouverture d'émission, il livrera le résumé des manchettes de la journée avant que Benoît Dutrizac n'entame sa ronde d'entrevues. Dans cette version 2.0 de Dutrizac, qui durera 60 minutes, les téléspectateurs n'auront donc plus à attendre à 22 h 45 pour connaître les grandes lignes de l'actualité. C'est un premier signe encourageant.
TQS estime que sa case horaire de 22 h à 23 h pourrait récolter de meilleurs chiffres d'audience et a embauché l'ancien directeur des émissions sportives de Radio-Canada, Daniel Asselin, pour «rebrasser les cartes». Le mandat de M. Asselin durera deux mois.
Le rapatriement de Martin Robert force le déménagement de la chef d'antenne Sophie Vallerand dans les bulletins de fin de semaine. TQS assure que ces changements ne découlent pas de la gaffe qu'a a commise Sophie Vallerand, début octobre, sur la mort de Robert Bourassa.
La SRC satisfaitedu gala
La directrice des variétés de Radio-Canada, Dominique Chaloult, s'est dite «100 % satisfaite» du gala de l'ADISQ présenté dimanche soir. Et il ne serait pas étonnant de revoir Louis-José Houde, à la même heure et au même poste l'an prochain. «Il a mis sa touche personnelle et il a amené beaucoup de monde, note Dominique Chaloult. Il a été excellent. Vraiment impressionnant.»
Pour l'instant, aucun mécanisme pour raccourcir les remerciements n'est envisagé. «Il faudra en discuter. Cette année, beaucoup de groupes ont gagné», explique Dominique Chaloult.
Quant à la présence envahissante des commanditaires (Lise Watier, St-Hubert, Sirius), il faudra apprendre à vivre avec. «Les commanditaires, on ne peut pas s'en passer. Pour faire un gala, ça prend de l'argent et des commanditaires», souligne-t-elle
Et sur les numéros de variétés plus pointus, Dominique Chalout dira: «Le show de l'ADISQ, c'est d'avoir des numéros de variétés que l'on ne voit nulle part ailleurs.»
http://www.cyberpresse.ca/article/20061 ... 017/CPARTS --Message edité par clair de lune le 2006-10-31 22:55:31--
Photo AP
TVA adaptera Deal or No Deal
Hugo Dumas
La Presse
Radio-Canada était intéressée par le concept, mais c'est finalement TVA qui mis le grappin sur le populaire jeu Deal or No Deal. Au retour des Fêtes, une version québécoise identique à celle des Américains prendra l'antenne chez nous, deux soirs par semaine.
TVA a beaucoup de cases horaires qui se libèrent à 19 h, en semaine, avec l'arrêt d'Occupation double et de La fièvre du mardi soir. Le réseau y déposera-t-il son nouveau jeu télévisé? À suivre, car TVA n'a pas confirmé d'heure ni de date de diffusion hier. Le réseau n'a pas non plus indiqué si l'émission passerait en tranches de 30 ou 60 minutes.
À l'animation, rien n'a encore été fixé, mais le nom de Benoît Gagnon circule. Ce dernier n'a pas rappelé La Presse hier. C'est un Torontois, Howie Mandel, qui est à la barre du Deal or No Deal américain.
La recherche d'un nom français pour le jeu a aussi été amorcée. En France, Deal or No Deal, animé par Arthur, joue sur TF1 sous l'appellation À prendre ou à laisser. TVA ne récupérera pas ce titre et a proposé Un deal ou pas, qui n'a pas été retenu.
Dans Deal or No Deal, le participant doit d'abord choisir un attaché-case parmi les 26 que lui présentent 26 jolies jeunes femmes (TVA conservera les jolies jeunes femmes dans la version québécoise). Aux États-Unis, ces mallettes argentées renferment des sommes variant de 1 cent à un million. TVA n'égalera pas le million, mais sa valise la plus payante pourrait renfermer jusqu'à 250 000 $.
Une fois le premier attaché-case sélectionné, le participant le garde à ses côtés, mais ne l'ouvre pas. Il ne connaît donc pas sa «valeur». Épaulé par des amis et des membres de sa famille, le concurrent éliminera ensuite les mallettes restantes, en espérant ne jamais tomber sur les gros montants. Au fur et à mesure que le jeu avance, un mystérieux banquier - que l'on ne voit jamais - appelle sur le plateau et offre d'acheter l'attaché-case du participant. S'il accepte l'offre du banquier, il dira «deal». S'il refuse, c'est un «no deal». D'où le titre de l'émission.
Le succès de ce jeu, très minimaliste, repose en grande partie sur le choix des candidats, qui doivent être expressifs, allumés et enjoués. Sinon, ça ne lève pas. En juin dernier, Céline Dion avait participé à une édition spéciale de Deal or No Deal sur les ondes de NBC. C'est une des émissions préférées de son fils, René-Charles.
TVA enregistrera l'émission dans l'ancien loft de Josélito Michaud. Comme Loft Story et Star Académie, les droits de Deal or No Deal appartiennent au géant Endemol. TVA a bouclé une entente avec le groupe la semaine dernière. Deal or No Deal est diffusé dans une quarantaine de pays dans le monde.
La voix du Maître est celle de...
Vous êtes nombreux à spéculer sur l'identité de la personne qui prête sa voix au Maître du jeu à Loft Story. Non, ce n'est pas Alain Dumas ni Marc Boilard. En fait, il ne s'agit pas d'une vedette ou de quelqu'un de connu. Si vous ne souhaitez pas connaître ce secret, arrêtez de lire ce paragraphe et sautez au suivant. Donc, la voix mystérieuse du Maître appartient à... Dominique Jacques, le réalisateur-coordonnateur de Loft Story. Il a aussi fait S.O.S Beauté avec Chantal Lacroix. TQS n'a ni infirmé ni confirmé notre information hier, voulant laisser planer le mystère plus longtemps.
Martin Robert avec Dutrizac
À partir de lundi, Benoît Dutrizac aura de la compagnie à 22h: le journaliste Martin Robert, qui a été rappelé du week-end, où il lisait les nouvelles en fin de soirée. En ouverture d'émission, il livrera le résumé des manchettes de la journée avant que Benoît Dutrizac n'entame sa ronde d'entrevues. Dans cette version 2.0 de Dutrizac, qui durera 60 minutes, les téléspectateurs n'auront donc plus à attendre à 22 h 45 pour connaître les grandes lignes de l'actualité. C'est un premier signe encourageant.
TQS estime que sa case horaire de 22 h à 23 h pourrait récolter de meilleurs chiffres d'audience et a embauché l'ancien directeur des émissions sportives de Radio-Canada, Daniel Asselin, pour «rebrasser les cartes». Le mandat de M. Asselin durera deux mois.
Le rapatriement de Martin Robert force le déménagement de la chef d'antenne Sophie Vallerand dans les bulletins de fin de semaine. TQS assure que ces changements ne découlent pas de la gaffe qu'a a commise Sophie Vallerand, début octobre, sur la mort de Robert Bourassa.
La SRC satisfaitedu gala
La directrice des variétés de Radio-Canada, Dominique Chaloult, s'est dite «100 % satisfaite» du gala de l'ADISQ présenté dimanche soir. Et il ne serait pas étonnant de revoir Louis-José Houde, à la même heure et au même poste l'an prochain. «Il a mis sa touche personnelle et il a amené beaucoup de monde, note Dominique Chaloult. Il a été excellent. Vraiment impressionnant.»
Pour l'instant, aucun mécanisme pour raccourcir les remerciements n'est envisagé. «Il faudra en discuter. Cette année, beaucoup de groupes ont gagné», explique Dominique Chaloult.
Quant à la présence envahissante des commanditaires (Lise Watier, St-Hubert, Sirius), il faudra apprendre à vivre avec. «Les commanditaires, on ne peut pas s'en passer. Pour faire un gala, ça prend de l'argent et des commanditaires», souligne-t-elle
Et sur les numéros de variétés plus pointus, Dominique Chalout dira: «Le show de l'ADISQ, c'est d'avoir des numéros de variétés que l'on ne voit nulle part ailleurs.»
http://www.cyberpresse.ca/article/20061 ... 017/CPARTS --Message edité par clair de lune le 2006-10-31 22:55:31--