Publié : mar. oct. 11, 2005 12:48 am
Une semaine après sa sortie, On ne change pas, la compilation de Céline Dion, figure en tête des ventes d'albums en France. Le cd double s'est déjà vendu à une centaine de milliers d'exemplaires, a indiqué l'entourage de la vedette québécoise, qui a mis un terme tard lundi soir à six jours de promotion «frénétique» à Paris.
On n'est pas sûr qu'il s'agisse d'un record, mais ça y ressemble: chose certaine, c'est un démarrage exceptionnel, surtout pour une compilation.
Il est vrai que Céline Dion, qui effectuait son grand retour en France après une absence de trois ans, s'est dépensée sans compter pour faire la promotion de ce «premier best of français». «Positivement étourdie», elle a accordé en six jours des dizaines d'entrevues à la presse et à la radio et pris part à plusieurs émissions de télévision diffusées à des heures de grande écoute, à commencer par la Star Academy.
«C'est tellement rafraîchissant d'être ici, a expliqué la chanteuse. Ca me fait du bien de sortir de ma bulle. En arrivant, je voyais les lumières de Paris, les affiches, les taxis, je me sentais dans mon élément.»
Cette semaine de promotion intensive a connu son point d'orgue lundi avec l'enregistrement de l'émission Vivement dimanche, animée par son vieil ami Michel Drucker (6 millions de téléspectateurs en moyenne), et qui sera diffusée le jour de Noël.
Céline Dion avait 14 ans le jour où Drucker l'a reçue pour la première fois. Lundi soir, en conférence de presse, il lui a rendu un vibrant hommage.
«Elle n'a jamais oublié d'où elle vient, a lancé l'animateur à l'issue de l'enregistrement. Elle a la mémoire du coeur et une véritable gratitude, même si elle a réussi au-delà de ce qu'on peut imaginer. Elle est un cas extrêmement rare dans l'histoire de ce métier.»
Pour le plus célèbre animateur de la télévision française, il y a donc «un avant et un après Céline». «En France, on considère qu'elle est un peu à nous aussi. Et quelque part, elle un peu ma petite soeur», a-t-il confié.
Voulant «faire un cadeau» au petit René-Charles à l'approche de ses cinq ans, «pour qu'il sache tout ce que sa maman a réalisé», Drucker a proposé un long rappel en images des faits marquants de la carrière de Céline Dion, de ses débuts jusqu'à son triomphe à Las Vegas, en passant par les Jeux olympiques d'Atlanta et ses concerts au Stade de France.
La vedette venait en Europe avec son fils pour la première fois, et on peut penser que sa présence auprès d'elle n'a fait qu'accroître son émotion.
Pendant son séjour, Céline Dion, qui refuse de «vivre cachée», n'a cherché à éviter ni ses admirateurs ni les photographes. Et c'est le plus naturellement du monde, sans lunettes de soleil ni chapeau enfoncé sur la tête (mais avec ses gardes du corps) que la chanteuse, son mari et leur fils sont montés samedi au sommet de la Tour Eiffel. La petite famille s'est aussi offert une promenade (privée) en bateau-mouche, avant d'aller se sucrer le bec chez Bertillon, le plus célèbre glacier de Paris.
Céline Dion, qui reconnaît avoir gagné en «maturité», apprécie mieux désormais les beautés de la capitale française, comme tout le reste d'ailleurs. «Toutes les étapes de ma carrière ont été des tournants, a-t-elle expliqué en entrevue. Mais maintenant, je vis ma vie pour vrai. Quand j'étais petite, je répétais les choses par coeur.»
Tard en soirée, après avoir chanté en direct dans une émission caritative parrainée par Bernadette Chirac, l'épouse du président, Céline Dion continuait d'accorder des entrevues à des journalistes québécois, tandis que des dizaines d'admirateurs l'attendaient encore devant le palace où elle était descendue.
Après cette semaine harassante à Paris, la Québécoise et sa famille prendront quelques jours de repos au soleil, avant de regagner Las Vegas, a-t-on indiqué.
Céline Dion s'attaquera ensuite à d'autres projets: un nouveau disque en anglais et un autre en français, qui paraîtra «d'ici un an ou deux».
Et quand elle en aura fini avec Las Vegas, «elle refera une tournée, s'installera en Floride où elle a déjà acheté un terrain et fera un deuxième enfant», a prédit cette semaine le quotidien Le Parisien.
On n'est pas sûr qu'il s'agisse d'un record, mais ça y ressemble: chose certaine, c'est un démarrage exceptionnel, surtout pour une compilation.
Il est vrai que Céline Dion, qui effectuait son grand retour en France après une absence de trois ans, s'est dépensée sans compter pour faire la promotion de ce «premier best of français». «Positivement étourdie», elle a accordé en six jours des dizaines d'entrevues à la presse et à la radio et pris part à plusieurs émissions de télévision diffusées à des heures de grande écoute, à commencer par la Star Academy.
«C'est tellement rafraîchissant d'être ici, a expliqué la chanteuse. Ca me fait du bien de sortir de ma bulle. En arrivant, je voyais les lumières de Paris, les affiches, les taxis, je me sentais dans mon élément.»
Cette semaine de promotion intensive a connu son point d'orgue lundi avec l'enregistrement de l'émission Vivement dimanche, animée par son vieil ami Michel Drucker (6 millions de téléspectateurs en moyenne), et qui sera diffusée le jour de Noël.
Céline Dion avait 14 ans le jour où Drucker l'a reçue pour la première fois. Lundi soir, en conférence de presse, il lui a rendu un vibrant hommage.
«Elle n'a jamais oublié d'où elle vient, a lancé l'animateur à l'issue de l'enregistrement. Elle a la mémoire du coeur et une véritable gratitude, même si elle a réussi au-delà de ce qu'on peut imaginer. Elle est un cas extrêmement rare dans l'histoire de ce métier.»
Pour le plus célèbre animateur de la télévision française, il y a donc «un avant et un après Céline». «En France, on considère qu'elle est un peu à nous aussi. Et quelque part, elle un peu ma petite soeur», a-t-il confié.
Voulant «faire un cadeau» au petit René-Charles à l'approche de ses cinq ans, «pour qu'il sache tout ce que sa maman a réalisé», Drucker a proposé un long rappel en images des faits marquants de la carrière de Céline Dion, de ses débuts jusqu'à son triomphe à Las Vegas, en passant par les Jeux olympiques d'Atlanta et ses concerts au Stade de France.
La vedette venait en Europe avec son fils pour la première fois, et on peut penser que sa présence auprès d'elle n'a fait qu'accroître son émotion.
Pendant son séjour, Céline Dion, qui refuse de «vivre cachée», n'a cherché à éviter ni ses admirateurs ni les photographes. Et c'est le plus naturellement du monde, sans lunettes de soleil ni chapeau enfoncé sur la tête (mais avec ses gardes du corps) que la chanteuse, son mari et leur fils sont montés samedi au sommet de la Tour Eiffel. La petite famille s'est aussi offert une promenade (privée) en bateau-mouche, avant d'aller se sucrer le bec chez Bertillon, le plus célèbre glacier de Paris.
Céline Dion, qui reconnaît avoir gagné en «maturité», apprécie mieux désormais les beautés de la capitale française, comme tout le reste d'ailleurs. «Toutes les étapes de ma carrière ont été des tournants, a-t-elle expliqué en entrevue. Mais maintenant, je vis ma vie pour vrai. Quand j'étais petite, je répétais les choses par coeur.»
Tard en soirée, après avoir chanté en direct dans une émission caritative parrainée par Bernadette Chirac, l'épouse du président, Céline Dion continuait d'accorder des entrevues à des journalistes québécois, tandis que des dizaines d'admirateurs l'attendaient encore devant le palace où elle était descendue.
Après cette semaine harassante à Paris, la Québécoise et sa famille prendront quelques jours de repos au soleil, avant de regagner Las Vegas, a-t-on indiqué.
Céline Dion s'attaquera ensuite à d'autres projets: un nouveau disque en anglais et un autre en français, qui paraîtra «d'ici un an ou deux».
Et quand elle en aura fini avec Las Vegas, «elle refera une tournée, s'installera en Floride où elle a déjà acheté un terrain et fera un deuxième enfant», a prédit cette semaine le quotidien Le Parisien.