Publié : dim. janv. 14, 2007 11:32 am
ce soir 18h30
ON N'A PAS TOUTE LA SOIRÉE
Éric Salvail entend persister
Malgré les critiques et le On n'a pas toute la saison de RBO, Éric Salvail est de retour ce soir à la barre de On n'a pas toute la soirée, gonflé à bloc par une nouvelle case horaire plus invitante.
Dès ce soir, On n'a pas toute la soirée est présenté plus tôt, à 18 h 30, permettant à Éric Salvail de mieux respirer, lui qui était pris en sandwich entre Tout le monde en parle et Loft Story à l'automne.
«C'est une bonne nouvelle pour tout le monde», lance un Éric Salvail visiblement heureux de sa nouvelle case horaire et qui salue au passage la flexibilité du diffuseur.
«Les téléspectateurs pourront donc suivre toutes les émissions de variétés du dimanche soir», ajoute-t-il.
L'animateur n'a pas du tout été ébranlé par les critiques, qui lui ont donné beaucoup de temps pour ajuster son émission, pour ensuite commencer à s'impatienter.
Malgré sa case horaire difficile, On n'a pas toute la soirée attirait tout de même jusqu'à 700 000 personnes. «Personnellement je trouve ça pas pire, ce n'était pas nos objectifs premiers, mais compte tenu des concurrents...», commente Éric Salvail.
Un prof pour s'améliorer
Celui-ci avoue toutefois candidement que son show n'est pas parfait, et il répond en continuant de travailler fort pour assurer le succès de son émission.
Il souligne au passage que tout était à faire, le concept n'ayant pas été éprouvé ailleurs et acheté d'un autre pays comme la téléréalité de TQS et l'émission de Guy A. Lepage à Radio-Canada.
Éric Salvail a même fait appel aux conseils d'une professionnelle pour améliorer sa technique d'entrevue. «Les comédiens y recourent pour les auditions, pourquoi pas les animateurs pour les entrevues?» dit-il.
Écoute
Il a donc appris à être plus à l'écoute de son invité, et surtout à être lui-même. L'aide lui a également été utile pour s'ajuster à la folie du direct, lui qui était habitué à de longues entrevues qui étaient resserrées au montage.
«Dans les premières semaines, au bout de 10 minutes, quand on me disait que l'entrevue était terminée, je n'en revenais pas! Je n'avais pas posé le dixième de mes questions !» affirme l'animateur.
Un bon départ
Pour partir du bon pied, Éric Salvail a invité le groupe de l'année à l'ADISQ, Kaïn, qui viendra interpréter Mexico. Les capsules taxi se changeront également en Astro-taxi, alors que Jocelyne Aubry dira la bonne aventure aux passagers.
En entrevue, l'animateur recevra son amie Véronique Cloutier, qui ne passe pas souvent par les locaux de TVA. «J'ai une couple de bonnes questions pour elle !» lance encore Éric Salvail, qui refuse d'en dire davantage.
Tout de même, il n'entend pas s'étendre sur le sujet de son père, jugeant qu'on a déjà amplement fait le tour de la question dans les médias.
Lise Dion et Benoit Brière complètent le tableau. «Le mot d'ordre, c'est de continuer à s'amuser là-dedans. Je réalise le rêve d'animer un talk-show, ç'a été plus difficile que prévu au départ, mais on s'ajuste», conclut Éric Salvail.
ON N'A PAS TOUTE LA SOIRÉE
Éric Salvail entend persister
Malgré les critiques et le On n'a pas toute la saison de RBO, Éric Salvail est de retour ce soir à la barre de On n'a pas toute la soirée, gonflé à bloc par une nouvelle case horaire plus invitante.
Dès ce soir, On n'a pas toute la soirée est présenté plus tôt, à 18 h 30, permettant à Éric Salvail de mieux respirer, lui qui était pris en sandwich entre Tout le monde en parle et Loft Story à l'automne.
«C'est une bonne nouvelle pour tout le monde», lance un Éric Salvail visiblement heureux de sa nouvelle case horaire et qui salue au passage la flexibilité du diffuseur.
«Les téléspectateurs pourront donc suivre toutes les émissions de variétés du dimanche soir», ajoute-t-il.
L'animateur n'a pas du tout été ébranlé par les critiques, qui lui ont donné beaucoup de temps pour ajuster son émission, pour ensuite commencer à s'impatienter.
Malgré sa case horaire difficile, On n'a pas toute la soirée attirait tout de même jusqu'à 700 000 personnes. «Personnellement je trouve ça pas pire, ce n'était pas nos objectifs premiers, mais compte tenu des concurrents...», commente Éric Salvail.
Un prof pour s'améliorer
Celui-ci avoue toutefois candidement que son show n'est pas parfait, et il répond en continuant de travailler fort pour assurer le succès de son émission.
Il souligne au passage que tout était à faire, le concept n'ayant pas été éprouvé ailleurs et acheté d'un autre pays comme la téléréalité de TQS et l'émission de Guy A. Lepage à Radio-Canada.
Éric Salvail a même fait appel aux conseils d'une professionnelle pour améliorer sa technique d'entrevue. «Les comédiens y recourent pour les auditions, pourquoi pas les animateurs pour les entrevues?» dit-il.
Écoute
Il a donc appris à être plus à l'écoute de son invité, et surtout à être lui-même. L'aide lui a également été utile pour s'ajuster à la folie du direct, lui qui était habitué à de longues entrevues qui étaient resserrées au montage.
«Dans les premières semaines, au bout de 10 minutes, quand on me disait que l'entrevue était terminée, je n'en revenais pas! Je n'avais pas posé le dixième de mes questions !» affirme l'animateur.
Un bon départ
Pour partir du bon pied, Éric Salvail a invité le groupe de l'année à l'ADISQ, Kaïn, qui viendra interpréter Mexico. Les capsules taxi se changeront également en Astro-taxi, alors que Jocelyne Aubry dira la bonne aventure aux passagers.
En entrevue, l'animateur recevra son amie Véronique Cloutier, qui ne passe pas souvent par les locaux de TVA. «J'ai une couple de bonnes questions pour elle !» lance encore Éric Salvail, qui refuse d'en dire davantage.
Tout de même, il n'entend pas s'étendre sur le sujet de son père, jugeant qu'on a déjà amplement fait le tour de la question dans les médias.
Lise Dion et Benoit Brière complètent le tableau. «Le mot d'ordre, c'est de continuer à s'amuser là-dedans. Je réalise le rêve d'animer un talk-show, ç'a été plus difficile que prévu au départ, mais on s'ajuste», conclut Éric Salvail.