Publié : mar. févr. 03, 2004 6:38 am
Télévision
BBM a sous-estimé les auditoires de Radio-Canada
Hugo Dumas
La Presse
La maison de sondages BBM, qui chiffre l'écoute de la télévision, a admis hier avoir sous-estimé les auditoires de nombreuses émissions de Radio-Canada entre le 1er septembre 2003 et le 18 janvier 2004, une erreur technique qui a fait perdre des milliers de dollars à la SRC en revenus publicitaires.
La cause du problème? Selon Robert Langlois, vice-président québécois de la firme BBM, l'écoute de certains foyers du Québec a été comptabilisée comme étant de l'écoute à l'extérieur de la province, en raison d'un mélange dans les signaux satellites. L'erreur n'a touché que Radio-Canada, les autres grands réseaux étant épargnés.
En télévision, les cotes d'écoute sont le nerf de la guerre. Même si elles ne témoignent pas toujours de la qualité d'une émission, elles décident souvent de sa vie ou de sa mort et influencent donc ce qui passe ou non au petit écran.
BBM a publié hier une liste révisée des émissions touchées par l'erreur et, en moyenne, les auditoires des deux tiers d'entre elles ont gonflé d'entre 3% et 6%. Par exemple, le premier épisode de Grande Ourse a été vu par 1 467 000 personnes, et non 1 346 000 comme on le croyait auparavant. Les 71 épisodes de Virginie diffusés entre le 1er septembre et le 18 janvier ont été regardés en moyenne par 619 000 personnes et non 580 000, une différence de 39 000 téléspectateurs. Et l'auditoire moyen des deux premiers épisodes des Bougon a fait un saut de 122 000 téléspectateurs, tandis que celui du gala de l'ADISQ a bondi de 71 000.
Est-ce que les sondages vous y croyez ?
Moi, je me fie pas aux cotes d'écoute pour regarder un programme. Car je suis très beaucoup, énormément documentaire
Comme hier j'ai regardé (L'homme trop pressé prend son thé a la fourchette) Très bon. L'avez-vous vu ?
Et vous les sondages est-ce qu'ils vous influencent dans votre écoute ?
BBM a sous-estimé les auditoires de Radio-Canada
Hugo Dumas
La Presse
La maison de sondages BBM, qui chiffre l'écoute de la télévision, a admis hier avoir sous-estimé les auditoires de nombreuses émissions de Radio-Canada entre le 1er septembre 2003 et le 18 janvier 2004, une erreur technique qui a fait perdre des milliers de dollars à la SRC en revenus publicitaires.
La cause du problème? Selon Robert Langlois, vice-président québécois de la firme BBM, l'écoute de certains foyers du Québec a été comptabilisée comme étant de l'écoute à l'extérieur de la province, en raison d'un mélange dans les signaux satellites. L'erreur n'a touché que Radio-Canada, les autres grands réseaux étant épargnés.
En télévision, les cotes d'écoute sont le nerf de la guerre. Même si elles ne témoignent pas toujours de la qualité d'une émission, elles décident souvent de sa vie ou de sa mort et influencent donc ce qui passe ou non au petit écran.
BBM a publié hier une liste révisée des émissions touchées par l'erreur et, en moyenne, les auditoires des deux tiers d'entre elles ont gonflé d'entre 3% et 6%. Par exemple, le premier épisode de Grande Ourse a été vu par 1 467 000 personnes, et non 1 346 000 comme on le croyait auparavant. Les 71 épisodes de Virginie diffusés entre le 1er septembre et le 18 janvier ont été regardés en moyenne par 619 000 personnes et non 580 000, une différence de 39 000 téléspectateurs. Et l'auditoire moyen des deux premiers épisodes des Bougon a fait un saut de 122 000 téléspectateurs, tandis que celui du gala de l'ADISQ a bondi de 71 000.
Est-ce que les sondages vous y croyez ?
Moi, je me fie pas aux cotes d'écoute pour regarder un programme. Car je suis très beaucoup, énormément documentaire
Comme hier j'ai regardé (L'homme trop pressé prend son thé a la fourchette) Très bon. L'avez-vous vu ?
Et vous les sondages est-ce qu'ils vous influencent dans votre écoute ?