LE DOMAINE BLEU

Ca me fait penser à l'histoire du petit gars qui était placé en répit une majorité de la journée derrière un paravent sans pouvoir voir le tableau. Les parents avaient dénoncé la situation, l'école avait rien fait. Les parents ont dénoncer la situation dans les journaux, les parents ont été poursuivis par le professeur pour atteinte a sa réputation

Les parents ont pu aucun droit de regards sur le bonheur de leur enfant à l'école, c'est triste comme ça.

Ely a écrit : Ca me fait penser à l'histoire du petit gars qui était placé en répit une majorité de la journée derrière un paravent sans pouvoir voir le tableau. Les parents avaient dénoncé la situation, l'école avait rien fait. Les parents ont dénoncer la situation dans les journaux, les parents ont été poursuivis par le professeur pour atteinte a sa réputation

Les parents ont pu aucun droit de regards sur le bonheur de leur enfant à l'école, c'est triste comme ça.

Je ne voudrais pas être professeur aujourd'hui. J'approuve le cas de ce professeur qui poursuit les parents.

Je pense que les professeurs n'ont plus de pouvoir à l'école et c'est un gros problème de gérer certains parents et certains enfants roi.

Le dicton africain " Ça prend un village pour élever un enfant " est très justifié dans ce cas-ci.
Les enfants ont droit au meilleur et c'est la responsabilité de toute une communauté. Si tout le monde y mettait du sien... au moins en parlant du sujet, ç'est un début pour faire avancer le débat.
La direction devrait donner l'exemple par exemple.

On vit dans une société narcissique, complètement dans l'image. Les écoles représentent bien ce phénomène. On peut être cave et inadéquat, mais tant qu'on a pas l'air cave et inadéquat, ça passe bien.

Je me suis toujours intéressé à l'intimidation qu'il y avait dans les écoles. Jeune, j'en ai pas particulièrement vécu, mais je me portais toujours à la défense de ceux qui la vivait. Deux de ces derniers ont malheureusement emprunté des chemins très destructeurs pour la société. Ils se sont tous les deux retrouvé en prison. L'un pour violence conjugale et l'autre pour agression sexuelle. Ce sont des gestes graves mais je ne peux m'empêcher de me rappeler qu'avant d'adopter ces comportements, ils se sont fait briser des côtes et massacrer le visage. Bref, on ne peut qu'y voir une urgence d'agir.

J'admire les parents qui ont le courage de dénoncer ces comportements, en dépit du mécontentement de l'école. L'école joue à l'autruche. En taisant ces épisodes de violence, c'est un peu comme si on disait informellement à un jeune que son tempérament est acceptable. C'est à tout le moins ce que lui enregistre. En tant que société, on a le devoir de faire notre possible pour que notre jeunesse adhère à de bonnes valeurs... et ça, c'est un travail qui incomble pas seulement aux parents, mais également à tout ceux qui sont amené à avoir une quelconque autorité sur nos jeunes.

.anthurium. a écrit : [...]


Je ne voudrais pas être professeur aujourd'hui. J'approuve le cas de ce professeur qui poursuit les parents.

Je pense que les professeurs n'ont plus de pouvoir à l'école et c'est un gros problème de gérer certains parents et certains enfants roi.

Isoler un enfant n'a pas sa place dans une classe. La stigmatisation de la part de l'école est inacceptable. Les professeurs qui s'adonnent à ça sont probablement très épuisés... mais ça démontre simplement le manque de ressources qu'ils ont à leur disposition.

Les profs ne sont pas suffisament ''psychologue''. Nous ne sommes plus dans une société ou la discipline règne en roi et maître. Il faut s'adapter on a pas le choix. On ne se contente plus du savoir et du savoir-faire maintenant lorsqu'on est dans un travail qui nécessite interaction avec autrui. Le savoir-être est dorénavant un élément d'une grande importance. C'est dommage, mais il est devenu impossible maintenant de devenir prof sans avoir sa job à coeur... fini le temps où on choisissait ce métier pour bénéficier du trois mois de congé en été.

.anthurium. a écrit : [...]


Je ne voudrais pas être professeur aujourd'hui. J'approuve le cas de ce professeur qui poursuit les parents.

Je pense que les professeurs n'ont plus de pouvoir à l'école et c'est un gros problème de gérer certains parents et certains enfants roi.

Alors on prend un enfant en difficulté, on lui appose le titre d'enfant roi et ca donne le droit au prof de lui retirer son droit à l'éducation. Et bien, est-ce qu'une enfant roi perd son droit d'être protégée contre un agresseur parce qu'on lui appose une étiquette d'aguicheuse ?

Maudite belle société qu'on a. Mon frère a connu ça aussi les répit en retrait dans le fond la classe. Il a jamais réussis a reprendre le retard qu'il a prit sur les autre et a décroché à l'âge de 13 ans. Je dit un gros merci au professeur qu'il a eu au primaire.

Zenith a écrit : [...]


Isoler un enfant n'a pas sa place dans une classe. La stigmatisation de la part de l'école est inacceptable. Les professeurs qui s'adonnent à ça sont probablement très épuisés... mais ça démontre simplement le manque de ressources qu'ils ont à leur disposition.

Les profs ne sont pas suffisament ''psychologue''. Nous ne sommes plus dans une société ou la discipline règne en roi et maître. Il faut s'adapter on a pas le choix. On ne se contente plus du savoir et du savoir-faire maintenant lorsqu'on est dans un travail qui nécessite interaction avec autrui. Le savoir-être est dorénavant un élément d'une grande importance. C'est dommage, mais il est devenu impossible maintenant de devenir prof sans avoir sa job à coeur... fini le temps où on choisissait ce métier pour bénéficier du trois mois de congé en été.

J'ai reçu une formation en ateliers pour l'implantation de cette façon d'agir dispensée par des psychologues et des formateurs dans leur domaine. De plus, ces ateliers ont été dispensés à l'ensemble des enseignants de ma commission scolaire et de d'autres CSs également. Étions-nous tous épuisés? Le nom de ces personnes m'échappent pour le moment.

Ely a écrit : [...]


Alors on prend un enfant en difficulté, on lui appose le titre d'enfant roi et ca donne le droit au prof de lui retirer son droit à l'éducation. Et bien, est-ce qu'une enfant roi perd son droit d'être protégée contre un agresseur parce qu'on lui appose une étiquette d'aguicheuse ?

Maudite belle société qu'on a. Mon frère a connu ça aussi les répit en retrait dans le fond la classe. Il a jamais réussis a reprendre le retard qu'il a prit sur les autre et a décroché à l'âge de 13 ans. Je dit un gros merci au professeur qu'il a eu au primaire.

L'enfant conserve tous ses droits puisqu'il est retiré dans un coin de la classe suite à un comportement qui ne réponde pas au code de classe. Si tu as un enfant et que tu le réprimandes pour ensuite lui demander d'aller réfléchir dans sa chambre, est-ce que tu le brimes de son droit à l'éducation? Voyons donc!

Zenith a écrit : [...]


Isoler un enfant n'a pas sa place dans une classe. La stigmatisation de la part de l'école est inacceptable. Les professeurs qui s'adonnent à ça sont probablement très épuisés... mais ça démontre simplement le manque de ressources qu'ils ont à leur disposition.

Les profs ne sont pas suffisament ''psychologue''. Nous ne sommes plus dans une société ou la discipline règne en roi et maître. Il faut s'adapter on a pas le choix. On ne se contente plus du savoir et du savoir-faire maintenant lorsqu'on est dans un travail qui nécessite interaction avec autrui. Le savoir-être est dorénavant un élément d'une grande importance. C'est dommage, mais il est devenu impossible maintenant de devenir prof sans avoir sa job à coeur... fini le temps où on choisissait ce métier pour bénéficier du trois mois de congé en été.

Ben je comprend pas.....On fait la même chose a la maison , quand un enfant est tannant et QU'IL Ne RESPECTE PAS LES CONSIGNE d'ARRÊTER , ben on l'envoie dans sa chambre ....on est dans le champs ???

Désolée pour les caps lock....

Beppo a écrit : [...]


J'ai reçu une formation en ateliers pour l'implantation de cette façon d'agir dispensée par des psychologues et des formateurs dans leur domaine. De plus, ces ateliers ont été dispensés à l'ensemble des enseignants de ma commission scolaire et de d'autres CSs également. Étions-nous tous épuisés? Le nom de ces personnes m'échappent pour le moment.

Il s'agissait de gens embauchés par l'école... C'est pas compliqué. Ma fille a un TDAH. Pour l'aider je consulte des professionnels. Or, je sais pas pourquoi, les professionnels de l'école ont une tout autre vision de la chose que les professionnels de l'externe. La raison est fort simple. Ils sont MANDATÉS par la commission scolaire, ce qui signifie qu'ils doivent agir pour le bien être collectif. Stigmatiser un enfant est surement très efficace pour l'ensemble du groupe. Isolons ces enfants qui ''dérangent'' et continuons notre job. Or, moi c'est le bien être de ma fille que j'ai à coeur... et je travaille en ce sens.

Beppo a écrit : [...]


L'enfant conserve tous ses droits puisqu'il est retiré dans un coin de la classe suite à un comportement qui ne réponde pas au code de classe. Si tu as un enfant et que tu le réprimandes pour ensuite lui demander d'aller réfléchir dans sa chambre, est-ce que tu le brimes de son droit à l'éducation? Voyons donc!

Je suis d'accord avec les retraits périodiques sur de courte période. Mais quand un enfant passe + de la moitié de la journée du lundi au vendredi en retrait dans un endroit ou il ne peux pas suivre la classe, c'est abusif et ca nuis automatiquement à son cheminement scolaire. C'est les enfants qui ont des troubles d'aprentissages qui sont maleureusement souvent les victimes des ces techniques qui sont utiliser à outrance par des professeurs qui n'ont pas d'autre choix pour pouvoir avancer avec les autres élèves. Le gouvernement devrait mettre plus d'argent pour aménager des classes restrainte pour enfant en difficulté plutôt que de former des professeurs qui ne devraient pas avoir à effectuer ce genre de réprimande au départ.

Zenith a écrit : [...]


Il s'agissait de gens embauchés par l'école... C'est pas compliqué. Ma fille a un TDAH. Pour l'aider je consulte des professionnels. Or, je sais pas pourquoi, les professionnels de l'école ont une tout autre vision de la chose que les professionnels de l'externe. La raison est fort simple. Ils sont MANDATÉS par la commission scolaire, ce qui signifie qu'ils doivent agir pour le bien être collectif. Stigmatiser un enfant est surement très efficace pour l'ensemble du groupe. Isolons ces enfants qui ''dérangent'' et continuons notre job. Or, moi c'est le bien être de ma fille que j'ai à coeur... et je travaille en ce sens.

Les gens qui dispensent ces ateliers sont des personnes compétentes engagées pas la CS et non l'école. La formation a été donnée à l'ensemble des enseignants du primaire dans plusieurs CSs. Quand tu retires ta fille dans sa chambre pour la faire réfléchir, est-ce que tu la stigmatises? Quand un enfant dérange, il ne fait pas que me déranger mais il empêche aussi le groupe de recevoir ce à quoi il a droit, non? Ta fille n'est pas seule dans la classe, elle est entourée d'enfants qui ont les mêmes droits qu'elle et chaque parent a à coeur l'intérêt de son jeune, tout comme toi.

J'ai eu à consulter des professionnels externes et internes à l'école et, pour moi, le message n'a pas été si différent que ça.

Ely a écrit : [...]


Je suis d'accord avec les retraits périodiques sur de courte période. Mais quand un enfant passe + de la moitié de la journée du lundi au vendredi en retrait dans un endroit ou il ne peux pas suivre la classe, c'est abusif et ca nuis automatiquement à son cheminement scolaire. C'est les enfants qui ont des troubles d'aprentissages qui sont maleureusement souvent les victimes des ces techniques qui sont utiliser à outrance par des professeurs qui n'ont pas d'autre choix pour pouvoir avancer avec les autres élèves. Le gouvernement devrait mettre plus d'argent pour aménager des classes restrainte pour enfant en difficulté plutôt que de former des professeurs qui ne devraient pas avoir à effectuer ce genre de réprimande au départ.

C'est l'enfant qui décide quand revenir dans la classe après entente avec son enseignant. Il doit signer un contrat après avoir établi un plan d'action avec son enseignant. S'il décide de passer la semaine là c'est son problème et les parents sont au courant dès la première rencontre de ce fonctionnement. Dès qu'il est retiré une note est inscrite à son agenda et l'enfant doit la faire signer par son parent le soir même.

Ely a écrit : Ca me fait penser à l'histoire du petit gars qui était placé en répit une majorité de la journée derrière un paravent sans pouvoir voir le tableau. Les parents avaient dénoncé la situation, l'école avait rien fait. Les parents ont dénoncer la situation dans les journaux, les parents ont été poursuivis par le professeur pour atteinte a sa réputation

Les parents ont pu aucun droit de regards sur le bonheur de leur enfant à l'école, c'est triste comme ça.

Je n'étais pas au courant de ça.. Arke c'est ben innocent

Beppo a écrit : [...]


Les gens qui dispensent ces ateliers sont des personnes compétentes engagées pas la CS et non l'école. La formation a été donnée à l'ensemble des enseignants du primaire dans plusieurs CSs. Quand tu retires ta fille dans sa chambre pour la faire réfléchir, est-ce que tu la stigmatises? Quand un enfant dérange, il ne fait pas que me déranger mais il empêche aussi le groupe de recevoir ce à quoi il a droit, non? Ta fille n'est pas seule dans la classe, elle est entourée d'enfants qui ont les mêmes droits qu'elle et chaque parent a à coeur l'intérêt de son jeune, tout comme toi.

J'ai eu à consulter des professionnels externes et internes à l'école et, pour moi, le message n'a pas été si différent que ça.

Ma job à moi c'est de m'occuper du bien-être de ma fille et pas celui de la classe au complet. Je laisse à Batman le soin de sauver la planète, moi je sauve ma fille. Qu'ils soient engagé par l'école ou la commission scolaire, c'est la même chose. Ils servent les mêmes intérêts.

Lorsque l'on met un enfant dans un coin dans lequel il est confiné 5 jours semaines, on envoi le message que cet enfant ne peut être gérable ce qu'enregistre assez facilement les autres enfants. D'ordre général, le jeune isolé est toujours rejet dans sa classe... Simple hasard? Depuis que je me suis farouchement opposé à cette pratique à l'égard de ma fille ils l'ont remis dans la classe parmis les autres enfants. Étrangement, elle n'est plus rejeté par ses camarades. Évidemment, j'ai été chercher d'autres solutions puisque mon but n'était pas de laisser ma fille leader la classe. J'étais juste convaincue qu'il existait des solutions beaucoup plus adéquates.

Ma fille est hyperactive. Elle a besoin de bouger. Lorsque j'ai demandé à la professeur qui allait faire les commissions (aller porter les billets d'absence, etc) elle m'a indiqué que c'était les élèves ''performants'' avec la meilleure attitude. Je lui ai dit qu'elle devrait changer sa formule. Dans cette classe y'a ma fille qui est hyperactive et qui a besoin de bouger... pourquoi ne pas la charger de ça. La prof s'est prêtée au jeu et, bizarrement, ma fille se comporte mieux. Elle ne se lève plus durant la classe.

La morale de cette histoire c'est qu'il faut savoir innover, créer de nouvelles affaires.

Zenith a écrit : [...]


Ma job à moi c'est de m'occuper du bien-être de ma fille et pas celui de la classe au complet. Je laisse à Batman le soin de sauver la planète, moi je sauve ma fille. Qu'ils soient engagé par l'école ou la commission scolaire, c'est la même chose. Ils servent les mêmes intérêts.

Lorsque l'on met un enfant dans un coin dans lequel il est confiné 5 jours semaines, on envoi le message que cet enfant ne peut être gérable ce qu'enregistre assez facilement les autres enfants. D'ordre général, le jeune isolé est toujours rejet dans sa classe... Simple hasard? Depuis que je me suis farouchement opposé à cette pratique à l'égard de ma fille ils l'ont remis dans la classe parmis les autres enfants. Étrangement, elle n'est plus rejeté par ses camarades. Évidemment, j'ai été chercher d'autres solutions puisque mon but n'était pas de laisser ma fille leader la classe. J'étais juste convaincue qu'il existait des solutions beaucoup plus adéquates.

Ma fille est hyperactive. Elle a besoin de bouger. Lorsque j'ai demandé à la professeur qui allait faire les commissions (aller porter les billets d'absence, etc) elle m'a indiqué que c'était les élèves ''performants'' avec la meilleure attitude. Je lui ai dit qu'elle devrait changer sa formule. Dans cette classe y'a ma fille qui est hyperactive et qui a besoin de bouger... pourquoi ne pas la charger de ça. La prof s'est prêtée au jeu et, bizarrement, ma fille se comporte mieux. Elle ne se lève plus durant la classe.

La morale de cette histoire c'est qu'il faut savoir innover, créer de nouvelles affaires.

Et moi, mon travail, c'était de m'occuper du bien-être de tous les enfants qu'on me confiait et non seulement d'un(e) au détriment des autres. J'ai expliqué dans un autre message le fonctionnement du coin retrait.

Ely a écrit : Ca me fait penser à l'histoire du petit gars qui était placé en répit une majorité de la journée derrière un paravent sans pouvoir voir le tableau. Les parents avaient dénoncé la situation, l'école avait rien fait. Les parents ont dénoncer la situation dans les journaux, les parents ont été poursuivis par le professeur pour atteinte a sa réputation

Les parents ont pu aucun droit de regards sur le bonheur de leur enfant à l'école, c'est triste comme ça.

Si on fait bien référence au même cas, l'enfant était retiré derrière un treillis qui lui permettait de voir ce qui se passait dans la classe. D'ailleurs nous en avons déjà discuté ici dans le Dôme mais je ne peux me rappeler du titre car nous avions des photos (si je me rappelle bien) du fameux coin-retrait.

HS

Moi où j'étais pensionnaire, si on surprenais une fille à ne pas dormir la nuit, on l'envoyait finir la nuit dans les toilettes. Y'a rien là un paravent . Tordez moi pas le bras, je risque de vous nommer l'école

HS

Perso, ma plus vielle commence en septembre et je suis pas mal inquiète. j'ai entendu autant d'histoires de profs avec un mauvais raisonnement que d'histoires de parents qui ne comprennent rien à rien... Que faire ? Faire confiance, être vigileant et s'impliquer dans la vie scolaire ?

Masse-chaussette a écrit : HS

Moi où j'étais pensionnaire, si on surprenais une fille à ne pas dormir la nuit, on l'envoyait finir la nuit dans les toilettes. Y'a rien là un paravent . Tordez moi pas le bras, je risque de vous nommer l'école

HS

Perso, ma plus vielle commence en septembre et je suis pas mal inquiète. j'ai entendu autant d'histoires de profs avec un mauvais raisonnement que d'histoires de parents qui ne comprennent rien à rien... Que faire ? Faire confiance, être vigileant et s'impliquer dans la vie scolaire ?

oui il faut s'impliquer dans la vie scolaire. Mon mari à été dans le conseil d'établissement de l'école de mes enfants et ça permet d'avoir un lien direct avec ceux qui ont le plus d'influence dans l'école. A l'école ils ont besoin de bénévole régulièrement .