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VOTRE OPINION NE COMPTE PAS! par Michel Hébert

Publié : mar. avr. 07, 2009 6:55 am
par .anthurium.
VOTRE OPINION NE COMPTE PAS! par Michel Hébert

Elle n'avait sûrement pas besoin de ça pour empoisonner sa vie
(politique, s'entend), qui a l'air d'un atterrissage forcé...
Mais Monique Jérôme-Forget est une fois de plus prise les culottes à terre,
pour ne pas dire autre chose... comme en France!
Contrairement à ce qu'elle a dit après le budget du mois dernier,
les Québécois ne lui ont jamais dit qu'ils voulaient que les dépenses
soient maintenues ou augmentées et que, pour passer à travers la récession,
il fallait aussi creuser des déficits records durant cinq ans. CINQ ANS!
La Ligue des contribuables, peut-être la seule voix de la majorité silencieuse,
a découvert, en se servant de la Loi sur l'accès à l'information,
que 45% des Québécois souhaitaient plutôt une réduction des dépenses...
Que 40% voulaient qu'on reporte les versements au Fonds (symbolique) des Générations...
Le ministère des Finances avait mené des consultations en ligne avant le budget.
Mme Jérôme-Forget disait qu'elle avait tenu compte de l'opinion des Québécois
avant d'ordonner un déficit de 3,9 milliards cette année,
et une augmentation des dépenses de 4,5% (trois fois l'inflation)!
Selon les résultats obtenus par la Ligue,
l'opinion des cons-tribuables n'a pas pesé lourd dans la balance budgétaire...
Alors, on s'enfonce, dans le rouge, plus qu'hier et moins que demain.
Un jour, dans un avenir qui se rapproche,
ce n'est pas un gouvernement dont nous aurons besoin.
Un jour, ça nous prendra un syndic.
De faillite.

Re: VOTRE OPINION NE COMPTE PAS! par Michel Hébert

Publié : mar. avr. 07, 2009 7:49 am
par Acrux
Il est carrément dans le champs Michel Hébert. C'est exactement sur l'opinion de la population que la ministre s'est basé pour ordonner ces déficits monstreux.

Plus on dépense (gaspille) plus le monde est content.

Un seul parti politique parlait de réduction des dépenses et on a vu le nombre de votes qu'il a reçu...

La population a EXACTEMENT ce qu'elle veut, point à la ligne.

Re: VOTRE OPINION NE COMPTE PAS! par Michel Hébert

Publié : mar. avr. 07, 2009 8:03 am
par .anthurium.
Les gens n'ont pas votés plus pour les libéraux et les péquistes. Ils n'ont tout simplement pas voté.. Il y a une clientèle désabusé de la politique de plus en plus grande. Mon conseillé financier en est un exemple. Il ne s'intéresse plus à la politique, il a complètement décroché. Il crois que le pouvoir est a un autre endroit.(J'ai été étonnée de l'entendre étant donné son métier)

Re: VOTRE OPINION NE COMPTE PAS! par Michel Hébert

Publié : mar. avr. 07, 2009 8:30 am
par Acrux
.anthurium. a écrit : Les gens n'ont pas votés plus pour les libéraux et les péquistes. Ils n'ont tout simplement pas voté.. Il y a une clientèle désabusé de la politique de plus en plus grande. Mon conseillé financier en est un exemple. Il ne s'intéresse plus à la politique, il a complètement décroché. Il crois que le pouvoir est a un autre endroit.(J'ai été étonnée de l'entendre étant donné son métier)
Le pouvoir est dans les mains de ceux qui gèrent l'argent ramassé en taxes et en impôts...

Mon désabusement à moi est envers la population, la démocratie. Je ne pense plus prendre la peine de me déplacer pour voter dans l'avenir... Ça ne vaut pas la peine, du moins tant que les babyboomers seront aussi nombreux...

Re: VOTRE OPINION NE COMPTE PAS! par Michel Hébert

Publié : mar. avr. 07, 2009 8:31 am
par Acrux
Et de toute façon y en a pas de parti qui représente ce que moi je voudrais...

Re: VOTRE OPINION NE COMPTE PAS! par Michel Hébert

Publié : mar. avr. 07, 2009 9:25 am
par Ely
C'est tellement plus choquant quand je pense qu'on est l'endroit le plus taxé et le plus imposé :grr: Ca se peux tu dépenser aveuglément autant d'argent ...

Re: VOTRE OPINION NE COMPTE PAS! par Michel Hébert

Publié : sam. avr. 11, 2009 5:50 pm
par Blanche Neige
Il manque tout simplement la passion et l'amour de l'être humain. Sûrement que les 43% des électeurs qui n'ont pas votés n'ont vu que de l'indiférrence dans la politique économique et des niaiseries dans la politiques philosophique.