LE DOMAINE BLEU

Publié le 30 avril 2009 à 23h48 | Mis à jour le 01 mai 2009 à 06h11


Coalition ADQ-PQ: Dumont confirme des discussions «Mme (Pauline) Marois disait en public qu'elle ne voulait pas d'élections, mais ce qu'elle nous a fait savoir en privé, c'est qu'elle en voulait et pensait les gagner», a dit hier Mario Dumont.

Photo: François Roy, Archives La Presse
Denis Lessard
La Presse


(Québec) Mario Dumont confirme qu'il avait donné le mandat à un avocat de discuter avec le Parti québécois pour former une coalition avec le Parti québécois afin d'éviter la tenue d'élections à la fin de 2008.

Me Marc-André Gravel, avocat proche de l'ADQ depuis longtemps, «devait explorer avec le PQ s'ils considéraient utile d'empêcher la tenue d'élections», a souligné hier M. Dumont, joint par La Presse.

«Ces approches visaient à enlever le contrôle du jeu au premier ministre (Jean) Charest. Mme (Pauline) Marois disait en public qu'elle ne voulait pas d'élections, mais ce qu'elle nous a fait savoir en privé, c'est qu'elle en voulait et pensait les gagner. Nous, on pensait qu'il fallait empêcher M. Charest d'aller en élections; elle, au contraire, pensait que c'était à son avantage qu'il y aille», a soutenu l'ancien chef de l'ADQ.

Hier, La Presse a révélé que des tractations avaient eu lieu entre le PQ et l'ADQ, pendant deux ou trois jours, à deux semaines du déclenchement des élections l'an dernier. Pour convaincre le PQ de former une coalition, le négociateur adéquiste, Me Marc-André Gravel, avait indiqué que le gouvernement de coalition aurait Mme Marois comme première ministre, avec le feu vert du chef de l'ADQ, alors chef de l'opposition officielle. Les sondages, unanimes, il faut le rappeler, laissaient prévoir la dégelée qu'allait subir l'ADQ aux élections et montraient déjà que les libéraux avaient toutes les chances de remporter un scrutin à la fin de 2008.


Hier, Mme Marois a soutenu que ces discussions avec l'ADQ «n'étaient jamais venues à (ses) oreilles», une affirmation contredite par les confidences de ses collaborateurs la veille.

Mario Dumont sursaute quand on lui souligne que Mme Marois soutient n'avoir jamais entendu parler de ces tractations. «Si elle dit cela, c'est un discrédit assez terrible pour son émissaire, Me Éric Bédard qui nous était revenu avec comme réponse, que Mme Marois pensait gagner l'élection et ne voulait rien faire pour ralentir le train», maintient l'ex-chef adéquiste.

Une autre source péquiste a confirmé hier la version de M. Dumont?: la chef péquiste a fait savoir par Me Bédard qu'elle n'était pas intéressée.

Avant d'obtenir une fin de non-recevoir du PQ, les stratèges de l'ADQ avaient fait savoir au caucus des députés adéquistes que des discussions avaient lieu avec le PQ sur une éventuelle coalition. «On avait dit qu'il y aurait une seconde réunion si nécessaire», se souvient M. Dumont. Le refus du PQ de poursuivre avait rendu l'opération inutile. Hier, Éric Caire a «nié avoir été au courant d'une coalition entre l'ADQ et le PQ».

Le rapprochement avorté entre l'ADQ et le PQ a soulevé hier l'ironie du premier ministre Charest. «Ils voulaient se saisir du pouvoir!» a lancé M. Charest, selon qui ces discussions montrent le peu de cas que font de la démocratie les stratèges adéquistes comme péquistes.

Finalement, c'est une bonne affaire que Mario soit parti.
Je vois ça comme une trahison.

Ce genre de tractation doit probablement avoir lieux plus souvent qu'on le pense mais, habituellement, ça reste en coulisse quand ça aboutit pas. Là, Dumont a trop parlé. Ça ressemble à une vengeance et à vouloir foutre le bordel.

Earendil a placer ce texte hier dans un autre topic.


Denis Lessard
La Presse

(Québec) Terrorisés par la perspective d'élections l'automne dernier, les dirigeants de l'Action démocratique du Québec ont proposé une coalition au Parti québécois, deux semaines avant le déclenchement de la campagne. Et ce nouveau gouvernement aurait été dirigé par Pauline Marois.

Plusieurs sources de haut niveau parmi les décideurs de l'ADQ à l'époque ont indiqué à La Presse que, pendant deux ou trois jours, des échanges ont eu lieu sur ce scénario, entre les cabinets de Mario Dumont et Pauline Marois, par l'intermédiaire de deux avocats associés à l'un et l'autre chef, Marc-André Gravel et Éric Bédard.

Selon les informations obtenues par La Presse de sources sûres, une poignée de stratèges adéquistes, dont Mario Dumont et Gilles Taillon, au retour d'un conseil général de leur parti, s'étaient réunis pour préparer leur offre au Parti québécois. Rien n'avait été mis sur papier, toutefois.

Pour contrecarrer l'échéancier de Jean Charest qui se préparait manifestement à déclencher les élections le 8 décembre, l'ADQ avait fait une avancée surprenante pour attirer le PQ dans son plan. Mario Dumont et Pauline Marois seraient allés voir le lieutenant-gouverneur, Pierre Duchesne, pour lui dire que les formations détenant la majorité à l'Assemblée s'alliaient pour former un gouvernement de coalition, dont Pauline Marois allait être la première ministre.

«Charest contrôlait tout... il avait l'agenda en main. On voulait le bloquer, reprendre l'initiative. Mario Dumont a envoyé Marc-André Gravel avec la proposition de renverser le gouvernement. La réponse des péquistes a été qu'ils étaient certains de prendre le pouvoir... que Pauline Marois allait de toute façon être première ministre aux Fêtes. Ils ne voulaient pas embarquer», a révélé à La Presse un adéquiste influent à l'époque. Dans le camp péquiste, certains confient qu'il y avait une base pour des discussions, mais que le temps manquait - le premier ministre Charest allait à l'évidence faire basculer le Québec en campagne électorale dans les deux semaines suivantes, même s'il avait à maintes reprises soutenu le contraire.

Devant la tempête économique qui s'annonçait, l'ADQ voulait l'appui du PQ pour un «gouvernement de crise d'une durée de deux ans» où les postes de ministres auraient été partagés, également entre les deux partis. Au surplus, on se disait ouvert à la nomination de ministres venus de la société civile, non élus à l'Assemblée nationale. Chaque parti mettait de l'eau dans son vin: l'ADQ mettait par exemple au rancart son engagement d'abolir les commissions scolaires, le PQ indiquait qu'il ne profiterait pas de ce régime pour promouvoir la souveraineté.

Fait étonnant, Gilles Taillon, aujourd'hui prétendant à la direction de l'ADQ, était aux premières loges lors des discussions dans le cercle restreint autour de Mario Dumont, indiquent des sources sûres.

Joint mercredi, l'aspirant chef a pris ses distances: «J'ai entendu parler de cela dans les corridors... La proposition qu'on a faite était plutôt dirigée au gouvernement, on proposait de ne pas tenir d'élections en période de crise économique.» Le scénario de coalition avait été expliqué, avec moins de détails, à l'ensemble du caucus adéquiste dès la proposition faite. Deux autres aspirants à la direction du parti, le député Éric Caire (La Peltrie) et Christian Lévesque (Lévis) n'avaient pas soulevé d'objections à l'idée de voir leur formation faire une coalition avec le Parti québécois.

L'avocat Marc-André Gravel avait, le premier, sollicité le camp souverainiste, et avait été aiguillé vers Éric Bédard, frère du leader parlementaire du PQ, Stéphane. Joints cette semaine, les deux avocats sont restés très vagues sur leurs conversations de l'automne dernier.

Red K a écrit : Ce genre de tractation doit probablement avoir lieux plus souvent qu'on le pense mais, habituellement, ça reste en coulisse quand ça aboutit pas. Là, Dumont a trop parlé. Ça ressemble à une vengeance et à vouloir foutre le bordel.

Je pense que ça nuis plus a Mario que ça ne l'aide.
Et ce n'est pas le genre de politique que je souhaite. Surtout pas avec le PQ d'aujourd'hui qui est très a gauche.

Dumont n'a pas trop parlé, il a répondu à des questions en disant la simple VÉRITÉ, contrairement à Marois.

On voit bien à quel point elle s'estime et à qu'elles manigences elle est prête à faire pour avoir le pouvoir...

Moi me faire mentir en pleine face ça m'écoeure.

Acrux a écrit : Dumont n'a pas trop parlé, il a répondu à des questions en disant la simple VÉRITÉ, contrairement à Marois.

On voit bien à quel point elle s'estime et à qu'elles manigences elle est prête à faire pour avoir le pouvoir...

Moi me faire mentir en pleine face ça m'écoeure.

Ben voyons donc Acrux. Premièrement, c'est l'ADQ qui a approché le PQ. Déjà là, si j'étais membre de l'ADQ, je me poserais des questions sur le bien fondé. Dumont voyait les appuis de son parti être en chute libre. La seule façon qu'il pouvait avoir un tant soit peu de pouvoir était de courtiser le PQ pour faire un gouvernement de coalition. Me semble que ça fait un peu pas mal guidoune et c'est un manque de respect vis-à-vis les membres de son parti qui ne sont pas nécessairement chaud à l'idée de devenir complice de l'élection de Pauline comme chef du gouvernement.

Que Marois ait nié, c'est ridicule. Mais ça, c'est le lot des politiciens de faire des choses ridicules comme ça.

Au moins, elle a refusé la proposition.

Red K a écrit : [...]


Ben voyons donc Acrux. Premièrement, c'est l'ADQ qui a approché le PQ. Déjà là, si j'étais membre de l'ADQ, je me poserais des questions sur le bien fondé. Dumont voyait les appuis de son parti être en chute libre. La seule façon qu'il pouvait avoir un tant soit peu de pouvoir était de courtiser le PQ pour faire un gouvernement de coalition. Me semble que ça fait un peu pas mal guidoune et c'est un manque de respect vis-à-vis les membres de son parti qui ne sont pas nécessairement chaud à l'idée de devenir complice de l'élection de Pauline comme chef du gouvernement.

Que Marois ait nié, c'est ridicule. Mais ça, c'est le lot des politiciens de faire des choses ridicules comme ça.

Au moins, elle a refusé la proposition.

Tout le monde était bien heureux de la coalité PLC-BQ pourtant...

Si l'ADQ et le PQ avait fusionné il n'aurait pas eu d'élection dont personne ne voulait, la souveraité n'aurait pas été mis en avant garde, tout comme l'abolition des commissions scolaire.

Plutôt que de perdre temps et argent en élection, ils auraient pu travailler sur la crise économique. Tant Dumont que Marois disaient que c'était stupide d'aller en élection, que l'important c'est de travailler sur l'économique. Dumont a été fidèle à ses dires en tentant une coalition, Marois elle, elle a été bien plus que "ridicule", elle a MENTI. Elle a bullshiter sur ses intentions. Elle n'a donc aucune franchise, aucune sincérité, les qualités principales d'un bon politicien.

Tu trouves ça drôle qu'elle mente et tu l'accepte, comme lucide et une majorité de québécois acceptent que Charest mente, mais moi dès que j'm'en rend compte, la personne en question tombe automatiquement dans la liste de ceux qui n'auront JAMAIS mon vote...

J'aimerais que la majorité pense de même...

Je vais aller plus loin : un politicien qui se fait prendre à mentir devrait automatiquement être accusé de PARJURE, comme s'il était en cour de justice, avec les mêmes sanctions qui viennent avec.

La sentence que Lafleur va avoir là, Marois et Charest mériteraient d'avoir la même et de perdre leur poste, avec les bonis et avantages de toutes sortes qui viennent avec.

Moi, mon avis est qu'il y a des choses que le peuple n'est pas obligé de savoir.

C'est une discussion qui a avorté et ce n'est donc pas d'intérêt public. Contrairement à la coalition Dion/Layton avec l'appui de Duceppe, celle là n'a pas trouvé preneur chez le parti de Marois.

Et il y a une différence de taille entre ce qui s'est passé au fédéral et la version provinciale. Le PLC et le NPD ont un certain rapprochement idéologique, certe, les libéraux sont plus au centre mais, quand même. Et pour que ce genre de coalition fonctionne, ça prennait absolument l'appui du seul parti qui était capable de représenter la 2ième plus grosse province du pays. Le Bloc n'était pas inclu dans le gouvernement de coalition, il était simplement un partenaire promettant de ne pas bloquer la gouvernance.

Dans le cas du PQ/ADQ, on a déjà un gros problème en partant. L'un étant considéré de droite et l'autre de gauche. Comment Dumont pouvait-il penser que ce genre de coalition pouvait fonctionner? Personnellement, j'aurais refusé comme membre du PQ et j'aurais aussi fait la même chose comme membre de l'ADQ.

C'est vrai qu'on ne voulait pas d'élection mais ça, c'est le problème du PLQ et j'espère que les gens s'en souviendront (je rêve en couleur) à la prochaine élection. Et que Marois pensait gagner cette élection démontre qu'elle a encore des crouttes à manger.

Ce geste de Dumont en était un beaucoup plus pour sauver ses fesses et avoir enfin, du pouvoir qu'il désire tant que pour bien servir les intérêts du bon peuple.

jai plus zero foi en aucun parti...encore moins avec palin marois ....ladq ca va etre une joke quand gendron va devenir petit dictateur .

sait pas si ladq va payer les tickets de vitesse de mr ? comment il va justifier son comportement quand on se fend en 4 pour arreter les fous du volant qui roule a tombeau ouvert .ou comment vont til dealer aavec le comportement douteux de mr envers les femmes......il y a une cause contre lui....

gendron est un danger publique...il roule 150 km dans des zone de 50....

ce gars la aura jamai un vote de personne que je connais parce que son jugement c 0 pis /

ye drole a tv mais thats it

pis palin....pas capable....anyway elle a pas ce quil faut pour la politique internationale .c une mascotte rien de plus

lol@adq

JOSEPH ARTHUR a écrit : jai plus zero foi en aucun parti...encore moins avec palin marois ....ladq ca va etre une joke quand gendron va devenir petit dictateur .

sait pas si ladq va payer les tickets de vitesse de mr ? comment il va justifier son comportement quand on se fend en 4 pour arreter les fous du volant qui roule a tombeau ouvert .ou comment vont til dealer aavec le comportement douteux de mr envers les femmes......il y a une cause contre lui....

gendron est un danger publique...il roule 150 km dans des zone de 50....

ce gars la aura jamai un vote de personne que je connais parce que son jugement c 0 pis /

ye drole a tv mais thats it

pis palin....pas capable....anyway elle a pas ce quil faut pour la politique internationale .c une mascotte rien de plus

lol@adq

Il y a autant de chance que Gendron soit chef de l'ADQ que Justin Trudeau le soit pour le PQ...

JOSEPH ARTHUR a écrit : jai plus zero foi en aucun parti...encore moins avec palin marois ....ladq ca va etre une joke quand gendron va devenir petit dictateur .

sait pas si ladq va payer les tickets de vitesse de mr ? comment il va justifier son comportement quand on se fend en 4 pour arreter les fous du volant qui roule a tombeau ouvert .ou comment vont til dealer aavec le comportement douteux de mr envers les femmes......il y a une cause contre lui....

gendron est un danger publique...il roule 150 km dans des zone de 50....

ce gars la aura jamai un vote de personne que je connais parce que son jugement c 0 pis /

ye drole a tv mais thats it

pis palin....pas capable....anyway elle a pas ce quil faut pour la politique internationale .c une mascotte rien de plus

lol@adq

Gendron????????????????????
Si tu parles de Stéphane Gendron il n'est pas dans la course.

Acrux a écrit : [...]
Il y a autant de chance que Gendron soit chef de l'ADQ que Justin Trudeau le soit pour le PQ...

javoue

ca serait quand meme tres drole a voir aller..gendron comme pm....2 jours a lassemble nationale et il se fait sortir a coup de pied dans le luc

Bof, y'a déjà André Arthur à la Chambre des Communes. Un de plus, un de moins.

Red K a écrit : Bof, y'a déjà André Arthur à la Chambre des Communes. Un de plus, un de moins.

Gendron a un problème d'équilibre et il est suicidaire. André Arthur n'est pas chef de parti, il est déplaisant mais il est assez équilibré ce qui est fort différent.

texte du blogue bleuquébec

Coalition barbare
30 avril 2009 at 04:40 |



J’ai dénoncé, comme bon nombre de Canadiens, la coalition barbare qui voulait renverser le gouvernement conservateur, je ne vais pas faire comme si je trouvais acceptable que mon propre parti en fasse autant.



Denis Lessard, dans un article publié dans La Presse de ce matin, informe ses lecteurs que des tractations ont eu lieu entre l’opposition officielle et le deuxième groupe d’opposition afin de former un gouvernement de coalition pour remplacer Jean Charest.



L’idée même d’une telle coalition avec le Pq me donne des boutons et, à l’époque, elle en a donné à suffisamment de députés pour me permettre d’avancer l’hypothèse qu’elle ne serait pas aller plus loin que le seuil du bureau du chef de cabinet de Dumont. Cette coalition n’aurait donc pu se faire, même si dans le cercle fermé entourant hermétiquement le chef de l’ADQ, on aimait croire qu’il suffisait que Mario dise oui devant ses députés, pour que le caucus avale la couleuvre. Cette démarche heurtait les sensibilités de façon trop profonde pour passer comme une lettre à la poste, un malaise encore plus profond que celui causé par le dossier des taxis! Même si Pauline Marois n’avait pas dit non, malgré cette assurance toute péquiste que le pouvoir lui revenait de droit quasi divin, il est fort à parier que ce projet, attaché avec de la broche à foin, était mort-né.



Pour mémoire, Marois n’a récolté, en décembre 2008, qu’à peine 14 000 voix de plus que Boisclair en 2007. Comme quoi sa belle assurance ne s’appuyait que sur du vent. Toutefois, je la félicite d’avoir finalement suivi son instinct, même si la base de son raisonnement était fausse. En démocratie, on n’arrive pas au pouvoir par la porte de derrière.



Lessard écrit « Terrorisés par la perspective d’élections l’automne dernier, les dirigeants de l’Action démocratique du Québec ont proposé une coalition au Parti québécois, deux semaines avant le déclenchement de la campagne. » Je n’en doute même pas, puisqu’une autre information, qui circulait largement au deuxième étage, voulait que ces mêmes « sources de haut niveau parmi les décideurs de l’ADQ » refusaient obstinément depuis des mois d’entendre les signaux en provenance d’Ottawa, qu’une campagne électorale se préparait au Québec. Ils auraient probablement été moins « terrorisés » s’ils avaient mis plus de temps à élaborer un plan de campagne digne de ce nom, qu’à distribuer des ministères d’un improbable gouvernement de coalition.



Ah, que la neige a neigé en ce mois de décembre 2008. Par chance le printemps est arrivé, l’été sera doux et l’automne…, oh oui, vivement l’automne!