Publié : jeu. mars 11, 2004 1:50 am
Voici un article paru dans le Nouvelliste d'aujourd'hui sur le père de Marc André:
Le mercredi 11 mars 2004
La deuxième vie de Pierre Niquet
Seul survivant d'un naufrage survenu en 1991
STÉPHAN FRAPPIER
Le Nouvelliste
Trois-Rivières
Toute la famille Niquet de Pierreville savoure chaque seconde de l'aventure Star Académie. Pierre, le père de Marc-André, est particulièrement bien placé pour apprécier ces moments inoubliables, lui qui est passé à un cheveu de perdre la vie lors du naufrage du remorqueur «Patricia B. McAllister» dans les eaux du golfe Saint-Laurent, au large de la Gaspésie, en 1991. En fait, on peut même parler d'un miracle si l'homme de 45 ans est encore là aujourd'hui pour encourager son fils.
Ces tragiques événements se sont passés il y a 13 ans. «Le 22 avril 1991», précise sans détour celui qui a visiblement encore frais en tête tous les détails qui ont conduit à ce malheureux incident. «C'est quelque chose qui ne s'oublie pas. En fait, quand j'y pense, c'est comme si c'était arrivé hier. On s'en allait en Nouvelle-Écosse avec le remorqueur puis on a été poigné dans une tempête. On a frappé quelque chose et tout le monde est tombé à l'eau. C'était vraiment terrible.»
Pour plus de détails, consultez Le Nouvelliste du 11 mars.
Le mercredi 11 mars 2004
La deuxième vie de Pierre Niquet
Seul survivant d'un naufrage survenu en 1991
STÉPHAN FRAPPIER
Le Nouvelliste
Trois-Rivières
Toute la famille Niquet de Pierreville savoure chaque seconde de l'aventure Star Académie. Pierre, le père de Marc-André, est particulièrement bien placé pour apprécier ces moments inoubliables, lui qui est passé à un cheveu de perdre la vie lors du naufrage du remorqueur «Patricia B. McAllister» dans les eaux du golfe Saint-Laurent, au large de la Gaspésie, en 1991. En fait, on peut même parler d'un miracle si l'homme de 45 ans est encore là aujourd'hui pour encourager son fils.
Ces tragiques événements se sont passés il y a 13 ans. «Le 22 avril 1991», précise sans détour celui qui a visiblement encore frais en tête tous les détails qui ont conduit à ce malheureux incident. «C'est quelque chose qui ne s'oublie pas. En fait, quand j'y pense, c'est comme si c'était arrivé hier. On s'en allait en Nouvelle-Écosse avec le remorqueur puis on a été poigné dans une tempête. On a frappé quelque chose et tout le monde est tombé à l'eau. C'était vraiment terrible.»
Pour plus de détails, consultez Le Nouvelliste du 11 mars.