LE DOMAINE BLEU

Est-ce que vous êtes aller au show de marie-mai a sherbrooke !!! Je peux vous dire que c'était maladee !!! Elle nous en n'a mis plein la vue disons !!! Woow Bravo a marie-mai et ses musicien !!:)!!

Marie-Mai et Charlebois volent le spectacle



Jonathan Custeau
La Tribune


(Sherbrooke) Le week-end, c'est fait pour s'amuser. Et c'est exactement la philosophie qu'ont appliquée des milliers de Sherbrookois, cette fin de semaine, se foutant du ciel mi-figue, mi-raisin qui n'arrivait plus à se brancher entre le bleu et le gris. Familles et aînés, profitant chacun de leur journée, ont fini d'achever un gazon déjà plus que moribond sur les différents espaces verts du parc Jacques-Cartier.

Bien sûr, à un certain moment samedi, les orages ont fait mine de menacer. Mais les festivaliers n'ont pas bronché, ont pris le pari qu'il ne s'agissait là que de la frime. De toute façon, rien n'allait les arrêter alors qu'on leur promettait Malajube, David Usher et Marie-Mai en spectacle. Pari payant!

Il fallait d'ailleurs louvoyer habilement à travers un regroupement dense de spectateurs pour espérer voir la binette des artistes. Pendant les ballades, on constatait que le public était de la génération «cellulaires» plutôt que de celle des briquets. Les premiers rangs, devant la scène, étaient d'ailleurs peuplés en moyenne d'admirateurs beaucoup trop jeunes pour fréquenter les boîtes de nuit.


Devant 42 500 personnes, Marie-Mai s'est donc éclatée sur scène, effets lumineux à l'appui. L'intensité incarnée, tout simplement. Il aurait pu tomber des cordes que tout le monde en serait ressorti sec quand même.

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Infatigable Marie-Mai

Jonathan Custeau



(Sherbrooke) Elle exhibe fièrement de nombreux tatouages en forme d'étoiles. Mais les astres sur ses bras paraissent bien pâles en comparaison de celle qui les arbore. Avec une carrière sur la pente ascendante depuis sept ans, l'infatigable Marie-Mai se refuse le moindre congé, alors qu'elle lancera un troisième album en septembre prochain.

«Il sera en français. J'avais envie de poursuivre dans ce que je fais en ce moment. Le projet en anglais, je le vois en parallèle à ma carrière. Pour percer en anglais, il faut rencontrer les bonnes personnes au bon moment. De toute façon, ça va tellement bien ici que je serais folle de m'en aller», raconte l'énergique rockeuse.

En France?

Pas d'incursion chez l'oncle Sam pour le moment, donc, mais la nouvelle plaquette pourrait bien se retrouver sur les tablettes des disquaires en France. «Ce sera un album intense, toujours au rock et pop. Je me suis amusée avec les textes et j'ai fait une bonne recherche musicale pour voir où je suis rendue.»


La chanteuse de 25 ans, qui transforme tout ce qu'elle touche en or, a d'ailleurs passablement rallongé son cv depuis qu'elle a agrippé le micro pour la première fois. Un disque d'or, une prestation à guichets fermés au centre Bell, un Félix et une nomination aux Gémeaux plus tard, Marie-Mai constate tout le chemin parcouru. «Quand je me retrouve sur scène, je ne joue plus à la chanteuse qui veut faire un spectacle. Maintenant, je le vis vraiment. C'est aussi plus facile de parler devant public.»

Si la barre a été placée haute pour les prochains mois, ce ne sont pas les projets qui manquent. «J'ai l'intention de sortir de ma zone de confort, des sentiers battus, mais il y a beaucoup de projets dont je ne peux pas parler. J'ai une chronique à Des kiwis et des hommes, par exemple, et j'aime beaucoup l'animation. Je veux aller dans plusieurs directions en gardant la musique en priorité. Mais je ne dis pas que je ne m'inventerai pas comédienne, par exemple.»

Bref, ce n'est pas cette année que Marie-Mai se reposera. «Nous avions une vingtaine de dates cet été, le premier simple sera envoyé aux radios en août et je passe mes journées de congé en studio. Quand j'y pense, je n'arrive pas à croire que je vais m'embarquer dans un nouveau tourbillon. Mais ça ne me demande pas un gros effort. C'est ma passion.»

Grosse foule

En attendant, la bête de scène brûlait les planches en plein coeur du parc Jacques-Cartier, samedi, déchaînée qu'elle était. Ils étaient 42 000 à s'être déplacés pour l'entendre, mais aussi pour la voir. «Je ne m'attendais pas à un aussi grosse foule. Le centre Bell à côté de ça, c'est rien», a-t-elle lancé en début de spectacle.

Succès après succès, Marie-Mai a entraîné ses admirateurs dans son sillon, les invitant à s'époumoner en récitant les paroles. Les fidèles ont même eu droit à un aperçu du nouvel album avec la pièce Rebâtir notre histoire, une composition originale qui sent le hit radiophonique à des milles à la ronde.

Enfin, l'ancienne académicienne a aussi dévoilé la teneur de ce qui deviendra sans doute son premier tube anglophone. Il reste à voir si le Canada anglais, et les États-Unis, pourquoi pas, répondront par l'affirmative à la question «Do you love me?», qu'elle pose dans le refrain accrocheur de cette nouvelle pièce. Parions que la réplique sera positive. Du moins, ils ont été plusieurs à quitter le site de la Fête du lac en fredonnant les «Do you, do you, do you...»

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Le Spectacle pour la paix, vendredi soir, au Mondial des cultures à Drummondville, avec Dan Bigras, Florence Ka et compagnie.











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olijoan a écrit : Merci bien pepin pour l'article et les photos...elles sont vraiment superbes!!

De rien! Elle commence à avoir des bons biceps Marie-mai

**pépin** a écrit : [...]


De rien! Elle commence à avoir des bons biceps Marie-mai

Que dire de ses jambes

Super article merci bien

**pépin** a écrit : [...]


De rien! Elle commence à avoir des bons biceps Marie-mai

Ouais...j'ai remarqué aussi, pepin et DJo-Coeur!
Ça parait qu'elle s'entraine, notre chère MaiB...elle est toujours très jolie!!

Merci!

INTERNATIONAL DE MONTGOLFIÈRES
Un festival qui voit loin



L’International de montgolfières de Saint-Jean-sur-Richelieu prend son envol aujourd’hui.

Avec un budget qui atteint maintenant huit millions $ par année, le festival arrive à attirer les grands noms de la musique de l’heure.

La programmation des neuf jours de festivités est impressionnante: Simple Plan, Dominic et Martin, Annie Villeneuve, Michel Barrette, Peter MacLeod, Réal Béland, Flo Rida, Murray Head, Kaïn, La Compagnie Créole, Marie-Mai, Éric Lapointe, Wyclef Jean et Mes Aïeux.

Marie-Mai prête à affronter la foule

Marie-Mai, qui sera sur scène jeudi, promet un spectacle des plus énergiques, avec ses chansons, mais aussi celles de Britney Spears, AC/DC et Michael Jackson.

«C’est un genre de prolongation à la tournée de mon spectacle Dangereuse attraction, explique-t-elle au sujet du spectacle qu’elle promène tout l’été dans les différents festivals.

«J’ai enlevé quelques ballades parce que j’ai envie que ça soit très up tempo. J’ai aussi ajouté un medley de chansons et je fais du Britney Spears (Gimme More) et du AC/DC (Highway to hell)», confie-t-elle, tout excitée.

«Ça montre l’étendue de ce que j’écoute. J’aime tout: le rock, le punk, le rap, le R & B, le heavy metal, tout.»


MICHAEL JACKSON

Pour les spectateurs de Saint-Jean-sur-Richelieu, Marie-Mai fera aussi une chanson de Michael Jackson. «Je suis trop jeune pour avoir connu l’époque Michael Jackson, mais ma soeur l’écoutait beaucoup.

«C’est quelqu’un que j’ai appris à découvrir et son album Number Ones tourne sans arrêt dans mon iPod. Ça reste un artiste extraordinaire et sa musique s’écoute bien encore aujourd’hui. Ce n’est pas mon idole, mais je me suis mise à le redécouvrir avec sa mort, comme beaucoup de gens. C’est malheureux, mais ça nous a réveillés», dit-elle.

Jeudi soir, Marie-Mai fera aussi deux chansons de son nouvel album, le troisième, dont la sortie est prévue en septembre.

«Je vais faire Rebâtir notre histoire et Do You, une chanson en anglais à laquelle les gens accrochent beaucoup quand je la fais en spectacle.»


UNE AMBIANCE PARTICULIÈRE

Marie-Mai a encore à son agenda une dizaine de festivals et événements d’ici la fin de l’été, qui la mèneront notamment à Rimouski, Ottawa et Rouyn-Noranda. Le festival de Saint-Jean-sur-Richelieu, auquel elle a déjà participé à deux reprises, revêt toutefois un caractère bien particulier pour elle.

«À Saint-Jean-sur-Richelieu, il y a des foules vraiment impressionnantes. Les gens qui viennent ont envie de fêter, de danser. Il y a une ambiance là-bas qu’il n’y pas dans certains autres festivals», confie-t-elle.

C'est l'article que l'on retrouve dans le cahier Weekend d'hier.