Suite à sa vaccination, une femme...
Publié : dim. nov. 22, 2009 11:41 pm
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Une femme a dû se faire implanter un stimulateur cardiaque suite à sa vaccination
QUÉBEC | Une agente administrative en milieu hospitalier s’est retrouvée en détresse respiratoire et cardiaque six jours après s’être fait vacciner, et elle est convaincue que le vaccin en est la cause directe.
Les conséquences pour Agathe Robitaille ont d’ailleurs été très importantes puisqu’on a dû lui implanter un stimulateur cardiaque.
« Une heure après avoir été vaccinée, j’avais des maux de tête, et j’ai appelé mon employeur pour lui dire que je ne pouvais pas entrer au travail », a expliqué Mme Robitaille, qui n’est pas retournée au boulot depuis.
Deux jours plus tard, la dame, sans problème de santé particulier, avait de la difficulté à marcher et elle a dû se rendre à la clinique puisqu’elle avait aussi de la difficulté à respirer.
«Le médecin m’a conseillé de me rendre à l’urgence, mais, travaillant moi-même dans le domaine de la santé, je ne voulais pas engorger le système. Je suis donc retournée chez moi, en me disant que ça passerait. Le lendemain, ma fille a appelé le 9-1-1, parce que je n’arrivais presque plus à respirer... », a-t-elle raconté.
35 de pulsations cardiaques
Dans l’ambulance, on lui a installé les lunettes à oxygène, et un masque de Ventolin. Arrivée à l’hôpital, elle en était à 35 pulsations cardiaques par minute, alors que la moyenne au repos varie de 60 à 70.
« Je me sentais partir... et je suis certaine que ce qui m’est arrivé a été causé par le vaccin qu’on m’a injecté », a-t-elle ajouté, même si aucun médecin n’a voulu confirmer son hypothèse.
«Ils ne sont pas capables de prouver que c’est à cause du vaccin, mais ils ne sont pas non plus capables de me prouver que ce n’est pas ça. La seule qui a osé me confirmer quelque chose, c’est une infirmière qui travaille à la Santé publique, et qui m’a dit que j’avais eu un syndrome oculorespiratoire », a précisé la quinquagénaire, qui a toujours prôné la vaccination puisqu’elle travaille auprès des bébés naissants.
Elle regrette
Depuis les événements, la Santé publique a appelé la dame chaque lundi, pour lui faire répéter son histoire. « Ils voulaient même savoir à quelle heure je m’étais fait vacciner pour retrouver le numéro de la dose », a-t-elle dit.
Questionnée à savoir si les gens devraient prendre le vaccin, elle est catégorique: « Je vous laisse décider, mais moi, je le regrette, et je peux vous garantir qu’on ne mettra plus jamais rien dans mon corps... »
Une femme a dû se faire implanter un stimulateur cardiaque suite à sa vaccination
QUÉBEC | Une agente administrative en milieu hospitalier s’est retrouvée en détresse respiratoire et cardiaque six jours après s’être fait vacciner, et elle est convaincue que le vaccin en est la cause directe.
Les conséquences pour Agathe Robitaille ont d’ailleurs été très importantes puisqu’on a dû lui implanter un stimulateur cardiaque.
« Une heure après avoir été vaccinée, j’avais des maux de tête, et j’ai appelé mon employeur pour lui dire que je ne pouvais pas entrer au travail », a expliqué Mme Robitaille, qui n’est pas retournée au boulot depuis.
Deux jours plus tard, la dame, sans problème de santé particulier, avait de la difficulté à marcher et elle a dû se rendre à la clinique puisqu’elle avait aussi de la difficulté à respirer.
«Le médecin m’a conseillé de me rendre à l’urgence, mais, travaillant moi-même dans le domaine de la santé, je ne voulais pas engorger le système. Je suis donc retournée chez moi, en me disant que ça passerait. Le lendemain, ma fille a appelé le 9-1-1, parce que je n’arrivais presque plus à respirer... », a-t-elle raconté.
35 de pulsations cardiaques
Dans l’ambulance, on lui a installé les lunettes à oxygène, et un masque de Ventolin. Arrivée à l’hôpital, elle en était à 35 pulsations cardiaques par minute, alors que la moyenne au repos varie de 60 à 70.
« Je me sentais partir... et je suis certaine que ce qui m’est arrivé a été causé par le vaccin qu’on m’a injecté », a-t-elle ajouté, même si aucun médecin n’a voulu confirmer son hypothèse.
«Ils ne sont pas capables de prouver que c’est à cause du vaccin, mais ils ne sont pas non plus capables de me prouver que ce n’est pas ça. La seule qui a osé me confirmer quelque chose, c’est une infirmière qui travaille à la Santé publique, et qui m’a dit que j’avais eu un syndrome oculorespiratoire », a précisé la quinquagénaire, qui a toujours prôné la vaccination puisqu’elle travaille auprès des bébés naissants.
Elle regrette
Depuis les événements, la Santé publique a appelé la dame chaque lundi, pour lui faire répéter son histoire. « Ils voulaient même savoir à quelle heure je m’étais fait vacciner pour retrouver le numéro de la dose », a-t-elle dit.
Questionnée à savoir si les gens devraient prendre le vaccin, elle est catégorique: « Je vous laisse décider, mais moi, je le regrette, et je peux vous garantir qu’on ne mettra plus jamais rien dans mon corps... »